Le Corpus des lettres: lettresGordes

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  • commise par devant le sénat,

    [barré : metre ung sien parent ; et aussy] sergent et soldatz et davantage ledit sergent c’est venu pleyndre

    ay eu lesdits beufz, que furent bien prins. Et craignant, monseigneur, tumber

    Descamyn

    payer, disans que ce mot raisonnable en pourtoit de ne rien payer ;

    en ce gouvernement de laquele je soye plus eyse et content.

    que ne vouliés vivre aux despens du païs, que je trovey bien

    pour ceste heure occasion de la vous faire plus longue,

    Benoist

    leurs très humbles recommandations à la bonne grace de vous

    consulz de Vallence.

    consulz de Vallence

    aux Estatz prochains. Et quant aux deniers fournis par voz

    ce que je entends beaucoup des procedés extraordinaires,

    ment ; quant à ce que dites que vous doubtés plus de

    pour sa faulte, car sil [avoit donné b]ataille lorsquil la presenta devant Montz

    en commenderez vostre bon voloyr, priant Nostre Seigneur

    à moy que après avoyr servy bien long temps, il a esté cassé pour

    en tiel inconvénient et vollant obvier à tout danger, jay vollu supplier très humblement

    commis à Lyon pour l’extraordinaire de la guerre

    quest cause à ce que une autre foys soyons mieulx instruictz

    Je n’ey que ung regret[barré : car jey] : qu’ele s’y trovera mal trettée,

    louable et reysonnable, d’autant que voz aviés deus meysons

    je prieray Dieu

    et de madame de Gordes, lesquelles vous supplient les

    Borye, secretaire

    Borye, secretaire

    mandementz es guerres par ceulx dudit Dye et de Crest aux taxes

    je me vouldroys tant m’asseurer pour recepvoir la

    la vile pour estre pleyne de mechantz huguenotz,

    ainsi que le bruict est [mots manquants] du duc d’Albe, car ayent deulx

    Monseigneur, vous préserver en sa saincte

    y en metre ung autre et voylà tout le fayct du quel [barré : vous]

    votre singulière humanité que voz seigneuries ont eu en ma pauvretté, me cognoiscent

    de votre volanté que nous vous prions bien fort nous faire

    car j’ay exprès commandement du roy par lettres [barré : pra] patentes de

    bien procheynes des lieux où se fesoyent deus de voz compagnies ;

    Monsieur vous donner en parfaicte santé longue vie.

    excuser et leur pardonner de ce quelles sont contrainctes

    Monseigneur, pource que par votredite lettre nous envoyés de

    dernières, feust conclud que pour n’avoir lhors pouvoir de

    recompense que plusieurs ont recepue [sic] et reçoivent tous

    je mence vous avoyr escrit quon les désarmat

    esquadrons de cavalerie dudict prince passé deulx clochers qui estoinct

    Grace. De Chambéry, ce XXVe may 1572

    me priés vous advertir. je vous prie aussi (barré : me] croyre que

    tout tel que je demeuray très humble et obéissant à jamais voz faire très humble

    entendre si voulés quilz payent ou si entendés quilz ne payent,

    ne fayre fornir aucuns vivvres ni utenssilles à ses gens

    mays ce n’est pas en ce seul fayct que de votre authorité vous

    De Paris, ce VIIIe jour daoust 1572

    sen retourner de chés mondit seigneur de Rosset où elles

    donner moyen à mondit sieur de La Thivollière pour son

    l’estat general de faire entrer en taxe telles despences

    les jours ceulx comme si endorment par trop, vous priant me

    et affin que vous le puissiiés fayre plys aysément,

    chargez dartillerie et les hayes dautour farcyes d’harquebusiers λ [λ espaignolz], larmée

    vostre très humble et obéissant serviteur

    je ne vouldroys en rien préiudicier à la costume des Ligues,

    servisse, vous portant telle obéisance que je voz doibz, voloier avoier pitié et souvenance

    pareilhement nous commanderés votre bon plaisir et à tant ferons

    d’ordonnance qu’en payant de gré à gré et au pris du marché,

    en estes faict croyre qui me fayct assés cognoystre qu’en

    Vostre bien humble et affectionné

    sont encores, à leurs maisons, sans vous venyr baiser

    entretenemant, vous plaira nous ordonner combien

    soustenues durant les guerres, ont les taxeroit l’année

    faire entendre la volunte du roy de la votre à la quelle

    je vous envoye une lettre que jescris à monsieur de Chastelar

    dudict sieur duc bransloit fort, penssent que le reste passat, mais ayent

    Flamand

    me contentant au reste dudit cappitaine Russique et me recomman-

    de moy. Pitié diz-je, affin de ne tumber en tiel inconvenient par ledit La Roche.

    fin, priant le Créateur vous augmenter

    de quoy je vous ay bien volu advertir afin que vous voyés de y

    matière d’obeyssance en mon endroyt, vous le dites, mays il

    Serviteur

    les mains et faire la reverance, de quoy ont bien

    luy bailherons, et pour sa suyte.

    prochaine avec conclusion expresse de l’estat general pour

    toutte ma vie jay desiré et desire hobeyr daussi bonne

    que vous verrés et vous en servirés si bon vous semble,

    le prince faict halte avecques le reste de larmée, ces deulx esquadrons retournarent

    fin à la présente, après avoir prié dieu vous donner,

    touctes particularités. Quant à aultres nouvelles,

    de nostre malleur que ne pouvons vivre deux anées

    la vérité : l’on me donna bien peu de moyen, tant

    temps danger d’aucune prescription, quelques autre foys monsieur

    soit dépêché tant cela appertient au grand bien du pays.

    soient iugées par messieurs de la court ou par autres.

    n’auront pas faulte de partye si la guerre est. Le roy et Monsieur veulent gratiffier

    Monseigneur, en santé vie et longue, d’Aix, ce XXIIIIe juing 1572

    Le mariage sera en peu de temps après consommé.

    Courfou. Le roy s’en va demain à la fourès de Liions, ce sera à se metre par eau à Sainct-Germain

    pour certain que si on y faict lever autres companies

    honorablement receu, traicté et honnoré par ledit général son frère,

    qui et isy, ce porte bien et crois qu’il vous fait

    monsieur de Monpesat est gouverneur de Guienne. Les reynes ce sont remuées à Medon pour faire

    1572.

    fournir au nombre de votre guarde, il vous plaise aussi luy

    d’Espagne avoit faict au roy de désabvouer ses subiectz

    se doubtoit d’estre prisé, je cuyde qu’il ne feroit difficulté

    La court de parlement de Tholose par le moyen spécialement

    d’Austrie et les Venetiens ont faict,

    protestations comme vous pouvez pancer,

    je suys et serey tout le temps de ma vye de volloyr commander

    Monsieur vous donner en parfaicte sancté

    si ce n’est par ung humble desir que j’ay de

    où vous serés, qui me met an peine parse quil

    et heureuse et longue vie. de Pugmont,

    silz pensoyent que pour leur fauces [barré : callomniations] douleances et calomniations, ilz ne pourroient tant

    le Ve jour de juliet 1572

    se sera à me rendre tousiours plus obligée à prier Dieu pour conserver votre

    sergent Père et Bolomeau sont bien dignes de leur

    Votre très humble serviteur

    en cela daucun acte de force, ains que les choses passent

    Service

    que ceulx qui passent sont contrains de faire passer leurs

    peu de reste, qu’à peine jay peu donner pour ung mois à mes

    pourveu aulx places frontières de son gouvernement, en sorte quil espère

    venir d’Orenge avec une troupe darcabuziers au

    pour la craincte que le Turc à d’eux ; et aussi

    maiestés à la première commodité que i’en pourray avoir

    deu à ce que nostredict frère vous ara dict

    qui nont point vollu encore recevoyr de guarnisons, dont Malignes en est une pour la moindre

    qui ont promis prendre les armes pour ladite Ligue.

    Loyse du Fay

    vie. De votre meyson de La Thivollière, se VIIIme

    visconte de Cadenet. Je ne passeray poinct plus

    vye. De Paris, ce IXe julliet 1572.

    Serviteur

    non aux fins de demeurer davantage, car je suis prest

    Votre très humble et ancien

    Monseigneur, vous tenir en santé et longue vie. De Briançon, ce

    jour de juillet 1572.

    Venize et despuis prins le chemin des Grisons pour

    aller au devan, don s’il vous pleyt vous m’excuserez, je

    par monsieur le conte de sabilher, de mesme que lui

    Fs d’Avanson evesque de

    Lodovico Birago

    12 jullet 1572

    escript qu’elle en veult aultant. Je vous eusse mandé

    Villar, greffier

    monseigneur, vous donner en parfaicte santé, heureuse

    et du demeurant de votre compagnie, en priant Dieu

    en tirer toute résolution. Je finiray

    pence astheure qu’ay à la forestz de Lyons

    en Angleterre et est de retour en Lymosin

    Johan d’Austria ou bien au secours du duc d’Albe en Flandres.

    cent qu’il s’asseure seront prestes et équippées pour le commencement du printemps prochain, pour assaillir

    de vostre part, obéir à vostre mandement comme feray

    à cest inconvenient par ung extraict que i’en avois

    grand prevost de France, est decedé et son office supprimé. Pour le moins

    vertz. S’il vous plest, monsieur, avoyr pour

    sa magesté, voulant que non seullement les originayres de

    gueux, on navoit encaures aucunes novelles qu’il ce fit

    pour vous fère servysse

    ce pourra. Monsieur de La Terrasse vous dira comme je suis

    et d’envoyer à temps gens sur les confins pour recevoir lesdites bendes et les

    n’ay peu entendre comme il soit venu résolu

    Et en cest endroict, je fineiray la présente, après avoir supplié

    aveq une selle de femme et un de vos mullés de cofres. Madamoiselle de Charpey et delliberée

    Je ne peux aller avec qu’elle à cause dun reume qui mestoit descendu sur

    recommendations

    Montoyson.

    Lodovico Birago

    cest office et chose si pitoyable, bien leur ay-je dit que

    serviteur

    idoines pour exercer la charge des ames. Néantmoins, pour le bon

    et touz ce pays feroys hune grand perte, mèz cyl estoyt aincy, je

    Monseigneur, je ne fauldrey vous

    Je ne scay pas pourquoy cest faire. Dieu vueille que ce soit pour

    finyray la presante après avoyr salué vous bonnes grâces de mes

    n’ay encores heu point de responce de monsieur de president

    Suze

    avoys escript de n’aler point au voiaige de la Floride, de

    y a beaucoup de mallades. Lionp est à la mort et sa

    et Laval, s’il sont enquore là ; baissant

    vostre et celle de madame de Gordes de mes très humbles est

    avec messieurs d’Uriage touchant la substitution de Laval.

    ne les surprendre depourveus de tous vivres et qu’ilz ne fassent

    Sainct Maurice

    laquelle ne failhiray fère tenir en Provence.

    Monsieur, vous donner en bonne santé, longue vie. A Marseille, le

    Je vous suplie monsieur

    gouvernement, il fauldra qu’elles commancent à payer ce qu’elles prendront

    renforcées de gens de pied et de cheval. Il peult bien estre aussi que les

    estoit à se discours présent. Je ballis votre lettre à monsieur

    grâce) en très bonne santé, longue et très heureuse vie.

    tiré en cause sadite femme par devant monsieur

    quil meut promis destre pour moy. Cest iver

    avec monsieur de Chaptes et le plus tost seroyt le mellieur.

    possible de men retorner avecques ce que je pourrois ramasser

    Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. A Parys, le XXIe de juillet.

    à votre poursuitte ; et finablement, puis voz lettres receues

    donner en toute prospérité et sancté, acomplissement de voz

    1572

    Fizes

    vous remersie bien humblement la souvenanse

    estoit de voir en ce premier lieu monsieur son frère et

    mal accomodés pour deulx nuictz. Quoy voyant, je

    bien est-il vray que despuys deulx ou trois jours, on ha chargé six cens

    feray mettre sur la main et vous advertiray

    Votre très humble et très obeissant

    bestes de Briançon, asseurant en bailler des aultres le matin et la nécessité en quoy

    assasinementz et sestant adressé à ung de mes gens

    et dun autre que men donoit à ces fins advis, car je

    Chastillon

    dire que vostre aide et faveur luy ont

    bien que de vousloir vous en escripre, comme mont

    monsieur de Montbrun faire a été ung peu reffroidy, combien quil

    ville et faict monstre pour ung moys et mille escus quil a

    le secours de La Goulette ou entreprinse d’Argiers.

    Monsieur en perffaict santé, longue et heureuse vie. De Paris, ce

    de poullet. Mandés au ressepveur quil passe chercher des

    pour cause des cerymonyes non acoustumées.

    Vostre plus humble et obeissant

    de danger de retumber pour le mauvais her et seiour qui luy a

    secouru de beaucoup de voulallye dont il na voulu

    son costé, et ung petit vous du vostre, esperant que dans

    mieulx. Quant à moy, jay ung mal de dens quy me

    et que nestoit besoing le retournassent voir. Si ay-je

    les endroictz enquoy me jugerés estre propre

    de recevoyr mes très humbles recommandations.

    Alfonso d’Ornano

    à jamais

    Je vous prye denvoyer responce au controulleur Gilbert

    qui y accompagnarent le lieutenant de juge, qui en print actes et despuys s’est

    je ajousteray ce mout : les fruis de ceste

    obéir

    par sorte que si telz subjours ou subjour ce

    quilz rapportent les pagniers couvertz pour emporter

    en faudra detz bestes. Sy Creitin est malade, Jehan Deime pourra

    duc d’Anjou et duc d’Alençon sont en Brie comme vous

    d’Albe, a escrit à mondit seigneur, comme monsieur de Jenly est prisonnyer avec grand nonbre

    Lorraine qui est la despeche gratis denne abbadie que

    Monsegneur, vous donner en parfaicte santté, longue et

    et presque tous les jours le voir, mais non

    vous plaist me pourrés renvoyer. Je ne treuve

    prévenu dudit homicide et pour cest effect, detenu aulx

    Valernod, par commandement de monseigneur le president

    d’Hourches et Chastelard les plaintes que font seux de la

    Serviteur

    desse que ie ne leurs rans reponce.

    Vostre très humble

    sodeynement tenir, vous asseurent que sens la

    Michel à cause des estremes challeurs qui faict que

    dire pour ceste heure, me recommandant surce bien affectionnement

    et dix galères qui avoint chargé lenfanterye à

    Votre plus affectioné à vous aymer,

    si redevable pour lamitié et affection quil vous plaict conserver en mon

    Monsieur, je supplie le Createur vous donner longue

    il est guery du tout de sa jambe. Je suys en ce lieu icy

    que les precedantz seront renvoyez en Daulphiné. Il n’y a

    comme font les Juifz en leur messias, en faire faire ung cry à quelquun

    dudit commis pour ne s’en estre vollu dessaisir jusques à

    et sy me remectz du tout suyvant la volunté des superieurs,

    qui a promis à ceulx de ceste ville d’y en faire venir

    avoir faict doner ung arrest. Mays je suys

    serviteur que moy, qui sera pour jamaiz daussi bon

    Monsieur, qui vous ayt en sa garde. De vostre maison

    que vous m’avés promise. Et pource que, par

    N. Mulet

    voyant la convalescence de monsieur de St Laurens

    monsieur d’Entrecasteau, qui passa [barré : questz] seans.

    feu monsieur de Bressieu qui la confessé et ordonné.

    ogidi, facendo fine pregaro il Signore iddio gli

    le temps ne le permectent pas. Cest seulement pour lordonnance

    auquel je prie

    Je ne scay si vous haurés esté adverty du decès

    je prie Dieu

    n’aye à manger chair le vandredi, ni le samedi, sur

    aoust 1572

    vie. De Grenoble, ce 5 auost [sic] 1572

    leur en escrire. Ces gens disent que depuis la paix vous

    advertissement. J’estime que vous la pourrés recevoir

    Monseigneur, après vous avoir présenté mes très humbles recommandations,

    donner le moyen que je pourrey avoyr pour en recouvrer ung

    effait, ay mandé querir la mule à Jaunages

    Mesdamoizeles de St Veran et du Mottet vindrent hyer veoir

    ordre que [barré : ont] ainsy indifferemment ez marchés

    achepter et la maladie qui maintenent leur est survenue, en laquelle

    Bressieu a deu vous escripre des novelles et sucès

    digne de vous, je prendrey ceste ardiesse de vous presenter mes

    que vous porriez sperer de nul autre, et estimerés plus la defaveur que ce qui

    anvoyé gentz et chevaulx à madame la comtesse de

    me faire entendre votre volunté. A tant vous présenterei mes

    Monsieur, nous prierons Dieu vous conserver en sa sainte grace. De

    homme et i anvoier et oufert de fornir argant comme

    nepveu qui e[s]t isy a, depuis huit ou dis iours, la

    sieur de Moy est en ceste court pour avoir lectre de faveur du roy au duc

    de retour de Sault despuis les IIIIe

    nest pour me recommander très humblement à vostre bonne

    recouvrement de sa santé, affin de povoir prendre lair des champs

    troys centz livres. Je croy que si faictes cercher leur

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé et

    Monseigneur vous donner en santé hereuse et

    très humblement les mains, priant Dieu vous donner

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé, longue et heureuse vie, apprès vous avoir présenté mes très humbles recommandacions. De Grenoble, ce 11 daoust 1572

    dans deux ou troys jours nous en pouvouer aller hors

    pryant Dieu, monsieur, vous donner en parfaicte santé,

    bien de la pitié pour enquores. Sans recheutes

    donner en santé très longue et contente vie. De

    1572

    estantz leurs magestés par trop faictes et bien

    monsieur de Brigandières morut à nuyct dune expesse du mal

    na de quoy ferrer son cheval, et diminuant les payer et les vivres

    à leur honneur, come j’ay bien ferme espérance que vous, monseigneur, ferés

    très heureuse vie. De Grenoble, ce XIIIIme aost 1572

    chevaus apoustés, ne vous suis [barré : moimesm] aller besser les meins

    justice, et fire prisonnier ung de mes

    Jehan Besson

    respondre aux remonstrances de Cugy et du Cheylar, que

    de le remettre esdits magazins. Et surce, me recommandant

    de 25 000 âmes sur les païs des Venitiens, desquelz

    je trouvay par les chemins mon filz et le jeune monsieur

    le XVe aoust 1572

    Je maseure que ce nest pas que vous ne layés bien aussy

    Monseigneur, en parfaicte sancté, très longue et très heureuse vie.

    se reffaire ung peu, estant bien mègre. Il dellibère se remuer

    contusion au derrière de la teste, auquel fut faict

    allé à Marseilhe pour sa monstre ; madame de La Coste

    Monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureu-

    Monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureu-

    vous a pleu me despartir en ce myen affaire qui me rend

    me commander pour les grandes obligations que j’y ay pour mon acquict,

    asseurance aucune quil sera advisé que votre

    Monseigneur, quil vous doinct en parfaicte sancté très longue

    a esté à la court.

    et celuy du chasteau environ de quatre centz livres. Et

    myens qui estoit là et en revint arsoir. D’aujourdhuy je nay point

    Monsieur en santé contante vie. De Lion,

    Monsieur, longue et heureuse vie. De Gargas, ce XIXe aoust 1572

    Madame d’Ourche ma conmendé

    bonne voulunté et affection que je me recommande en cest endroict

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne

    de vous faire très humble service pour y employer tous les moyens que Dieu ma donné

    Jattandoys monsieur de Corbons, mayant asseuré

    se quil vous plest que jan fasse pour fère response ; pour vous

    et leur commander d’estre une aultre foys obeyssans à voz

    sur quoi je me remetray et atans. Après vous

    devant cestoyt la femme que parloyt, mais maintenent

    man avoir parlé aultrement au chapitre de l’ordre qui de sa part

    oublié à le remercier de tant dhonestetez que jay

    où je suis en une petite maison que j’ay à Melans.

    La Mote Verdeyer

    Surce, je prie Dieu quil vous doinct

    serviteur à jamais

    emprisonnez et fussent estez condemnez (selon

    escripray encores par monsieur d’Ourches, lequel

    je prie Notre Seigneur quil vous aye en la sienne. De Grenoble ce

    Jespère toutesfois que tout reussira selon le merite de vostre innocence

    monsieur de Saint-André à Grenoble pour quelque procès.

    le demeurant et si vous rendroyent aussi le

    de Gordes

    Du Saulzé et Chantprens, masseurant que les advés assés en

    Je prie Dieu le vouloir conduire comme vous désirés, vous suppliant

    fault que je prette mes chevaulx à madame du

    de Guyse a esté blessé et que ladite execution a esté faicte

    Votre très humble et très obaissant

    vous creiés que je suis et serey tousjour se que j’ay acoustumé vous

    Loyse du Fay

    ledit appel et faire les sommations y contenues, suffira qu’il

    contrayre humeur, pour [m]eygrir, ont dit que ce murtre

    on trouva d’arrivée noveau d’avoyr veu plus de garde que

    Monseigneur, vous conserver et maintenir en prospérité et

    ensamble les commandemantz de mondit sieur de La Tivollière,

    Votre très humble et hobeyssant

    seus de la relygiom de remetre leurs armes en la

    pour vous en advertir du tout, par coy, en atandant

    Monseigneur, je supplieray Dieu vous donner en santé et longue

    marchent en estrange craynte et quoy quon leur die, ilz ne

    des Corses vers vous et pance sera outroie Jusques Ici

    vye. De Lyon, ce dixiesme jour de septembre 1572

    cepandant je men va vous baiser très humblement les mains

    feroit vertu. Monsieur d’Evènes et moy i aviserons,

    Jean Besson

    compaignie, qui est à lestude, sont en bonne sant[é] et

    Monseigneur, en très parfaicte santé, très heureuse et longue

    ici de ce que en Prouvence et Dauphiné lons navoit

    à vous faire service.

    verso di quella. Alla quale raccomandandomi di core, le prego, dal Signor

    pour tirer la charrete, ne pouvoit servir, a esté dadvis

    bouche et me samble nestre bon vous an mander

    de ceste ville que nous ne soyons par eulx, ne aultres, offancés,

    arrivé quil me parle de le retyrer, mesmes [barré : par la]

    pour sa magesté, tant qu’il alla parler à Marmet Baschas,

    majesté catholicque. Voylà tout ce que je scay, monsieur,

    la mort de feu messire Bertrant, je ne say, monsieur, si pour ce dit regard quelqu'un en auroit faict

    que ne voys autre expedient pour les bien reduyre que

    toutesfoys ilz soint entrés dans ma maison,

    intention suyvant lasseurance que a sadite magesté

    jour dhuy que lons comence à vous prester des cherites,

    maison près de La Tour du Pin, lon scait bien que je ny ay trouvé

    après à cheval pour vous y aller accompagner, vous suppliant recevoyr mes très humbles

    vouleu escripre ce petit mot pour prevenir à toutes

    et tout mon petit pouvoir est à votre service et en pouvés dispenser

    dernièremant que monsieur de Sainctal estoit

    ajouster foy.

    inegalle avec ung pouvoyr si petit que le mien. [barré : par dessus] Au demeurant

    j’auray puissance, je seray tres ayse de m’employer pour vous

    quest venu fère de chaselleux dessins)

    Je prie le Createur vous donner

    comme on a peu appercevoir de quelques-ungz, lesquelz ont fort

    Monseigneur en tresbonne santé longue et heureuse vie. De Grenoble

    ne vous escripz de ce qui fut hier ordonné en notre compaignie

    Votre tres humble et affectioné

    [Autre main] Permission demandée à Mr de Gordes par le cardinal d’Armaignac de laisser sortir du Dauphiné des charges

    rappourta qu’il n’y avoit personne dans le dit lyeu estrangiers. Il y eust hiert

    s’en retournent en France, suivant la promesse qu’ilz ont faicte d’estre

    dedans et jattendz ung de ses gens. Je ne

    Ne se trovant aultre preuve de lassemblée d'Amblard

    consulz et conseilliers du lieu l’ont touvée raisonnable, ayant

    eusse plustost escrit si jeusse en quelques novelles

    bonne grace, et suplierey le Createur vous

    Votre tres humble et plus hobeysant pour

    la companie de monseigneur le prince, combien que ledit

    Monseigneur, vous conserver en très bonne, très heureuse santé et longue vie.

    religion du Champsor s’y trovarent et, comme a rapporté ung quidam

    aydant, auquel je voys prier

    massacre de quelques ungs advenu aux prisons,

    deguiser ce que j’en voys, oys et cognois comme je n’ay jamais faict.

    Monsieur [barré : levesqz] levesque et recteur de Carpentras

    je len soliciteray et en attendant je vous bayseray

    sesdits voulloir et intantion, au moyen de quoy je vous prye

    deux livres dix huict soubz. Ilz ont arresté quilz vous porteront

    et longue vye. De Pierrelongue, ce catryeme octobre

    se que je ferey paroytre quant jaurey se bien

    icy ung corrier allant en Espaigne, qui n’ha que douze jours est

    Monsegnieur, je ne vous puys escrire aucune nouvelle, si n’est que

    non pas qu’il n’y aye des raysons qu’il porroyt profiter [de la]

    que, par sa responce, vous avés antandu ce quil en est, je ne

    della au près. Mondit beaufils est allé trouver

    cheux la veuve de Noué Nayret. Ie ne panse pas y

    ne defaillierey de toz comandementz desquelz

    Saint-André est plus fort que l’on ne pance et ne n’y a point

    ne font volleries justement que pour vivre, qui me faict

    combatre, conduisant le sieur Don Joan la batallie avecques

    script contient verité. Car je suis este adverti des plus principaulx de mes

    Ludovico Birago

    despence. Je scay bien que leurs mollins vous sont hypotèqués,

    vie. De Gap, ce VIIe doctobre 1572

    Tande

    De Lyon, le VIIIe octobre 1572

    asemblée. Je pense que il penserat. Je syus

    poinct leur temps ; si Dieu nous entretient en santé au moins

    masqués qu ’allarent tuer ledit Bury Vaneau et sa femme dans

    Monsieur despuis ma lettre escripte, jay

    les catholicques, comme de faict ung des principaux cytoiens se catoliza dimanche dernier.

    Baumettes et de La Coste lundi prochein. Quand aux

    des compagnies cassées du baron des Adrestz ; et pource que j’ay

    des compagnies cassées du baron des Adrestz ; et pource que j’ay

    Monsieur, en très bonne santé longue et heureuse vie. De votre

    Loys d’uriage

    Mais, ayant repceu lettres de vous comme ledict de Montbrun

    pour le regard de ladvertissement duquel il

    aucuns souldatz à sa mayson de la novelle relligion, ny

    coeur à la votre et de madame de Gordes +° [+°comme faict votre seur, bien humblement.

    de Saincte Jalle que me mande que tout y est

    ou quastre jours, je coumanserey mon voiage, mayant esté mandé me trouver

    té, longue et contante vie. D’Apt, ce XII octobre 1572

    honeur de me venyr voyr. Mays, vollant incontinnent prendre

    luy fère la reverence et recepvoir ses commandemens et ne faudrey vous tenir

    au contenu en icelluy. Il sera tenu de rapporter en la

    Amy

    nombre d’homes alla, de grand matin, à Domène pour

    en sa Ste garde et protection. De Gargas, le XIIIe octobre 1572

    Hourche

    Monsieur, très heureuse et longue vie. D’Apt

    Baptiste de Simienne

    y seront alés, mays en chemin venant de La Coste icy, jay

    vie. De Vallance, se XIIIIe de octoubre 1572

    noz très humbles recommandations, nous prierons Dieu vous donner,

    conforme à la voulonté de mondit seigneur et je vous seray plege que

    D’Avallon, ce XVme jour d’octobre 1572

    Votre très humble et

    et y a desjà personnes prestes pour pourter les

    quelle vous fesoyt response. Je suys en peyne de ce

    après avoir salué voz bonnes graces de mes très humbles

    s’adembtèrent avec la court pour les lettres et

    vie. De Sarras, ce XVIe octobre

    sont possedez par ceulx de la religion, il ne pourroit se joindre

    ville et jadys recepveurs des deniers imposés pour la soulde

    sil ne vous playct monsieur me licencier daller à vous, vostre commendement et arrest me servira sil vous playct descuse envers monseigneur le mareschal à quy je veuls et à messeigneurs les siens, continuer pour jamays lhumble et très asseurée servitude que les miens et moy havons heus et porter à sa mayson et race

    Loyse de Simienne

    vous demeurant

    moyen que vous en ferés tenir à mon filz de Gargas.

    La Breoulle hou, sodeynement, ayant seu comme le faict estoyt

    Monlehuc

    melieur advis. Nous avons heu une recharge des pleyntes qu’on

    seray plus resolu.

    vous tiendrey adverty pendant que j’y

    Quelque mal que iaye heu, ie nay laissé daller diner

    et heureuse vie. De Grenoble, ce XXIe octobre 1572

    toute la garde de la ville. Je ne vous serey

    et quoy qu’il soit, ilz ont belle peur, car deux de

    dont le roy estoyt fort indigné ; aussi qu’il se faisoyt bruict

    et respect du service de sa magesté. Tant que jespère, avec votre

    grace, priant Dieu vous donner, Monsieur

    humbles requomandasions de bien bonne

    mesdessins vous ont ordonnés. Ie supplie assés pour

    serviteur

    et très heureuse vye . De Troiscleix, ce XXIIIIe jour

    à Grenoble et Laval. Je ne vous mande rien de

    ray deus flascons de vin et de mes nouvelles, sepandant,

    qu’aurés ocasion vous en contenter ayant désia rompeu

    aller à Nismes, ou pour se retirer à Genève.

    Ddésirs. De Loriol, ce XXVIe octobre 1572

    ci jointe où vous verrés ce qu’il ce

    car, venant telles choses à la cognoissance de noz supérieurs,

    de Vesse à monsieur de Vins. Je prétens qu’en avez désja

    recommandations et priant le Créateur,

    du tout appert par le procès par lequel aussi appert

    long, ce sera en compagnie de monsieur de Bonevaux.

    sur luy, mais par la très humble requeste que je vous en fais,

    grâce et à celle de madame de Gordes. Je prie le Créateur

    Vostre très humble très obéissant

    pour estre yci tous ensemble de retour dymanche que monsieur le légat

    que nous avons amené du Daulphiné, duquel

    à propos, mesmes qu’il me samble qu’il ne se voudra

    Roche vous aura peu faire entendre, qui a veu à l’œil

    peut mesme trouver pour argent et je n’ay le moyen de pouvoir advancer,

    mais sur tout ce qu’eust vallu le prendre et attraper,

    Monseigneur, vous donner bonne vie, heureuse

    Je luy eusse envoyé mon laquais, mais il ne scait encor aller ne venir.

    qu’il est arrivé une dépêche votre pour le roy chés monsieur

    et comme les présents porteurs porront mieulx informer

    au long et se proteur le mieulx du monde. J’ay

    biens, mesmes vous prier tant avoir sur quoy je vous prie monsieur

    atribuer à ma négligence, encores qu’il n’y a pas faulte

    pourteur. Et quant au faict de ladite lettre, il nous semble qu’elle

    serions en la guerre par tout ce pays. Parquoy, Monsieur, je

    de Montoison, ce XXVIIme de novembre 1572.

    Obéysente méson de Vanterol, se XXVIIme

    Carces

    Je ne faudrey de vous tenyr averty de se que

    et pource que se dict pourteur vous discourira

    que j’eusse bien désiré que Dieu m’eusse fait ceste grâce que, si grâce

    à vous, mais ceste-cy est du mesme tonneau que

    recepvray comme pour moy mesmes, augmentant de tant plus

    tart adverty et que ce que je suis esloigné me sera grandement préiudiciable. J’ay tout présentement trouvé commodité

    le nombre des soldatz qu’il vous ha pleu m’ordonner pour la garde de ce lyeu.

    sieur de Manti aura ^[^l’année prochaine] en les places de St Talle et de

    Monseigneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue

    sur le dos. Quant au faict de Montbrun, puisqu’il vous use de tant de

    dernyèrement qu’ilz furent ici, qu’ilz ne feroyent faulte de

    De Vallance, le

    du roy. J’estime que messieurs d’Évènes et de Laval vous

    lundy premier jour de décembre 1572.

    Serre, ce premier décembre 1572

    le Créateur

    et afeccionés requomandasions de bien bonnt cceur

    descouvrent aussi de bien loign, de sorte qu’il seroit

    estre l’esglize Sainct-Martin,

    De Valernod, châtelain

    advis de quelque remuement en Allemaigne, mesmement du duc

    courtoysie qu’il s’employe pour l’amour d’eulx à réduire monsieur le président

    demesler avecques luy. Au reste, selon le cours

    Monsieur, que en sancté vous donne très heureuse et longue vie.

    aultant désirré que l’exécution s’en suyvra, celon

    Sur ce nous prierons Dieu

    tenus et obligés comme désia nous sommes, à ecposer

    Monsieur, vous donner, en parfaite santé, heureuse et bien longue vye.

    reuse vie. De Paris, ce IIII décembre 1572

    affaires que ceste ville sera tousjours conservée soubz l’obeyssance de sa magesté

    Vostre plus humble et plus obéyssant

    grâces, en priant Dieu qu’il vous doinct, Monsieur de Gordes, en bonne santé,

    qu’ilz feront avec vostre saige et acoustumée ayde que vous y donnerés

    veuz qui vous dira la belle chose que c’est

    Il y a ung homme d’Allès, bon cathollique et homme

    je jouys du repos le plus que je puis, me desdyant

    laquelle le suffoque fort, de quoy je suis en peyne ; comme luy je prye

    recommandant très humblement à voz bones grâces et de

    nous avons pour le moingtz besoigné tailles. Si au retour de cedit porteur, qui s’en va

    et les mener en Flandres. Don Joan monstre se

    priant Dieu vous donner

    il nous charriet du vilage du boys et du foin

    ou à moy et despuis, je l’ay conduict par la main. La

    et affectionnés requomandasions, de bine bon ceur

    que ceulx qui ont achepté le vingtain d’Orange vous payeront

    des hommes et de la mort. Ie ne le ferai

    vous bones grâces et prier Dieu vous

    D’Apt, ce XII décembre 1572.

    Geneviefve Monery

    de Laval. S’il vous plait, mes lettres seront mises dans la première

    assés amplemant à voz lettres du XX octobre et du XXVII passé.

    ne l’entens tieulle que désirerois. J’ay, avec mon nepveu,

    qu’il vous voudroit gratifier en plus grande chose et qu’il y

    commandera que sera de rendre obéissance au roy et à monsieur

    esté ruyné et ont esté vendues les tuylles soixante livres

    Créateur qu’il vous doint

    serviteur.

    de moyenner faire revenir de par deça monsieur d’Aiguebelle car

    recouvrer. Suys bien marry que n’en

    lettres qui sont de pareil stil que ladite coppie.

    prétexte de tenir ung conseil général de la ville, quand

    messieurs de voz frères et de tout qui vous apartiènent

    peu d’espéranse, au moins qu’ils ne se voïent ataqués

    et heureuse vie. A Grenoble, ce XVIIe Xbre 1572.

    devers vous, par la voye de la poste. Vous pourrés aussi avoir

    faire tousiours très humble et affectionné service, prians Dieu en

    des susdites patentes, et de ma part, je me sentiray vous en

    à la votre du VIe, je vous diray que en y satisfésant,

    qui me viengnent successivement et me

    par votre dernière despêche dans laquelle il vous a pleu

    et en cest endroict, je prye Dieu que vous doint sa grâce

    laquelle il m’a envoyé une coppie, n’eust esté que j’ay trouvé monsieur de Bazemont, abé d’Aiguebelle, qui m’a promys vous donner ce paquet

    Laval

    Grenoble, le XIXe désambre 1572.

    Monsieur d’Ambrun trouvera

    monseigneur, vous donner et conserver en très bonne santé, longue

    par conclusion qu’ilz ne sont pas encor prestz d’obéir. Peult-estre que

    Monsieur, en bonne santé, heureuse et longue vie, après m’estre affectionnément

    main, il les remecte en justice. Quant aux advis de Grane

    at heu en ceste ville du boys et du foin. En faisant venir nostre

    d’Alençon vient à Sancerre accompaigné de monsieur de Never et

    L’on enterre ce jourd’huy

    asseuré tesmoiniage. J’espère à mon partement de ce païs le vous mener

    circonvoysines de son obéissance que nul n’en sortist avec armes, ne en intention de

    le plus tar ; auquel temps je seray prest pour aller avecque luy. Je parleray au

    asseurer que en ce que je vous y pourray servir, le feray de bien bon cueur.

    le lendemain des Rois. Nous sommes après à nous accomoder

    Monseigneur, je prie Dieu vous donner en santé longue et heureuse

    avoir monsieur, en sa sainte et digne garde. Escript à Paris,

    comme vous les luy avez desparty aussi aux derniers troubles lorsque

    a pardonné aux conditions qu’il ne le vist jamays. Sadite

    Laval

    Votre très humble

    que nous avons le plus dur hyver qu’il est possible, et ne cuyde point avoir

    Cest pacquet m’est arrivé

    Voz lettres pour Grane sont scellées. Monsieur l’advocat Ruzé

    Monsieur, je supplie le Créateur qu’il vous doint, en bonne santé,

    qua, non la voluto intendere, ho voluto dargli

    cette heure davantage, ie finirè m’a

    Francoys de Bourbon

    vie. De Montpellier, ce XXVIIe jour de septembre 1572

    vous a pleu me commander et me informerey de

    Le dit senyeur de Vantadour pretant que il veulent

    et dix mil lansquenetz pour le servir contre les rebelles de son

    vous pouvés à ceste heure considérer quel est l’equipage de mondit

    Paris, ce IIII janvier 1573.

    nepveu et moy. Il ha sa charrete atelée de deux

    vye. D’Allemaigne, ce Ve janvier

    ce VI janvier 1573.

    ce que toutesfois n’avons pour certein. Nous entendons icy que

    sis souldatz à sa mayson. Je ne vous escrips

    gaste de ce qui a este faict par vous. Le tresorier Bragelone

    Lon ma escript de la court que huict jours devant

    de moy. Ce porteur sen vad accompaigner la femme du cappitaine

    que vous envoyez à Monsieur le mareschal Dampville entre sept

    drès demain. Bien que je laye tousiours sellé à ma mère et ma femme quar ilz eurent

    ma personne et tout ce que en depend pour vous en

    ladite partie à leur accoustumée. Et nous mectrons ce bien, monseigneur,

    votre part. Au demeurant monsieur, jay à vous dire comme le jour avant

    Lucrece dantiboul

    Rousset

    quon est tousjours à poursuyvre

    biens immeubles dudit Argond et quand à Humbert Dubois

    du moins en avoir votre response advant que de parler

    des quatre compagnies que le roy ma ordonnées sur votre gouvernement ;

    monseigneur, en parfaicte santé très heureuse et longue

    Votre très humble et très hobeissant

    Priant Dieu,

    de la religion absens, ilz seront employez pour l’entretenement desdites

    monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. Au Monteilhimart, ce XIIe

    subiectz le requerir et ne nous desnyer au surplus notre juste et

    nées recommandations à votre bonne grace, je prie Dieu etc ...

    hobeissent serviteur

    à Piare Gorde. Seus de la relygion tiennent

    De La Voulte, ce XIIIe janvier 1573

    a prins par force la ville de Gueldes et mis à feu et à sang tout ce qui a

    sa magesté) et à vous très humbles et hobeissantz serviteurs et

    heu de voz lettres.

    et ainsi de tout autre equipage pour ce voyage de La Rochelle, ce qui seroyt

    men ont fait plusieurs requestes de vous en escrire et semblablement

    ne scay comme ceulx que vous savés sy conduiront.

    mayson, j’allay pour passer le tempz chez ung notre voysin, nommé Jehan Ryvaud,

    monsieur, en bonne santé, très bonne et longue

    se çon[t] asembler à grand nombre quoman le

    de Monbrun et ne sont encores de retour ; et sil y a

    Monsieur, vous tenyr en parfeytte samté, longue

    je desire faire daussi bonne volunté que je prie Dieu,

    cousine

    croyre. Monsieur le mareschal de Dampville sen

    et des Torrettes qui ne sont pas de nostre ressort et sont bien

    Parquoy monsieur, vous vouldrès supplier me donner mes subjectz

    servyteur

    par appel en dernier ressort vinssent en aultre parlement

    dequoy vous supplie très humblement plus seurement ordonner

    Serviteur

    monseigneur et messeigneurs de parlement,

    voustre hobeysent comme vous mavés trové

    serviteur

    laultre est dune rivière de Sanes qui m’appartient d’ancienneté

    nay [barré : pas] laissé de passer oultre, ayant toutesfoys

    Vie. Des Diguieres, ce 18e janvier 1573.

    Il y a une lettre cy enclose que j’esriptz à monsieur

    priant Dieu,

    pouvoir faire mieulx. Je me recommande humblement

    monseigneur, quil vous tiene en saincté longue et hereuse vye.

    dont Dieu vous en sera gré, lequel

    fait, ne fauldrey aussitost vous advertir et vous en mender toutes les procedures,

    vous donner, monsieur de Gordes, ce que plus desirez. De Saint Fergeau,

    à votre bonne grace. Priant Dieu,

    servir pour n’avoir aulcung empechement par les chemins.

    chatolyquemant. Mès vous povés panser comme je an

    promettoit avec lettres de faveur de obtenir gratis

    rendre dedeça, car y estant par mesme moyen que je feray faire

    pour ce que vous me pousastes si fort de [barré : men prendre] maller

    qui la fortiffiée, lequel est maintenant au service du

    premierement estre presentées ; et combien quil me semble estre

    qui merite vous avertyr autre quelque[s] huns # [# se doute que le senieur de Monbrun ne se lève]

    courri[e]r de monsieur le marechal que sen

    Vostre très humble et plus obeyssant

    comme de chose votre ; donques vous me continuerez, sil vous plaist, au nombre

    Cappitaine Saynt Auban, je vous ay escrit du XVe et XVIe de ce moys [barré : et] pour

    les troys canons qui sont au Crest, lesquelz sont tous esventez et de nul service ;

    serviteur Bressieus

    janvier 1573.

    presenté, il a esté contraint à ceste occasion se retirer

    que faisoyt penser que lon nestoit hors d’esperance de les avoir à composition. Jen ay bien entendu

    monsieur, longue et comptancte vye, saluant vous bonnes

    hommes qui viennent devers monsieur lamiral, lesquelz mont dit quil a remys plusieurs

    est que lon se ranche [= range ?] selon les premières lettres royaulx ou selon les

    monsieur le vibayly quest à Grenoble sera plus

    gentilzhommes qui pretendent audit gouvernement. Voyant

    nextime pas beaucoup. Qui est lendroit où je prie

    et soupport, à leffect que dessus, quil sera possible. Si ne serons ingratz

    tout le temps de sa vie en devotion de luy fère

    mon service quy ne vous soit riens reffuzé de ce que vous aurez besoing comme je

    nous puissions donner advis lun à lautre de ce qui se

    dommaige et prejudice que pourroit apporter la vente de ladite forest

    notres. Nous sommes venus de compagnie avec ledit sieur de

    qui me fait panser qu’ils ne sount trop grand nombre

    Votre très humble et très affectionné

    Priant Dieu vous donner, monsieur de Gordes, en

    les votres bien seurement. Le roy partit dici le XVIe

    assiegés. Voyla monseigneur, en somme tout ce que pour ceste heure

    suis contanté y dourmir une nuict. Mon nepveu, qui est melheur

    supplyer de les voulloir avoir pour recommandé

    Paris où la galle le travailhoit et despuis en ha

    plus povre lieu de ce cartier. Et sil vous playt les

    vous doint,

    nouvelles et quil vous plaise me commander ce quay

    lettres dicele pour se rendre avec le plus de la noblesse de ce

    service, prenés le villain et les boeufz car

    la faute quil avoit faict de laisser passer ses vaisseaulx ;

    tout me sera bien necessaire, me retrouvant aujourdhuy toutes les forces des rebelles de

    et me ferez ce plaisir de croyre quil ny a personne au monde

    Serviteur

    aux aultres lieus de la ault. Je vous tiendrey de ce

    responce et le m’envoyer tost pour le faire tenir avec la presente.

    Grignan et les mienes très humbles et à madame

    quel je luy escris [barré : que], car importe de beaucoup.

    madame de Gordes. Je rendz graces à Notre Seigneur de ce que noz escolliers

    Mente, car elles nous sount enquores incogneues ; et

    trop grand harte [sic] de me marier, car si jestois

    son retour ; et cependant votre frère et moy nous en

    monsieur, en très parfaicte santé, très heureuse et longue vye.

    de leurs menéez et dessains que sur la ferme pierre qu’est Jesuchrist, lequel

    messieurs les consulz de Vienne ou aultres telz

    et boulletz que je pretendois avoir de Montmellian, car mon oncle le duc de

    De Chambery, le dernier febvrier 1573.

    mectre quelqu’une en ceste ville, les affaires seroit

    Voutre très humble et aubeisen

    point. Je vous tiendrey adverty de tous ce qui se presantera.

    lettres portent clause rogatoyre sil est

    et tousiours en ces occasions il y en a quelcung de mal

    mareschal dans ledit Sommières, ilz estoient en grande

    cappitaine Sellier, commandant en labsence dudit sieur

    deus ce declaroyt contre le roy que Dieu ne veuille. Bien que vous ayés eu des lettres de messieurs

    Votre très humble et très obeyssant

    la feisoit reediffier. A present (encores quelle importe beaucop

    la lettre que jescrivois à mondit seigneur le mareschal à ce quil nattacha rien quil

    affection que je prye Notre Seigneur,

    plus belle garde que lons puysse fère en la vile pour bien

    feust necessaire, si est ce toutesfois que votre presance est plus que

    tellement quil ne ma rien vollu bailher pource que madame

    je vous presente mes humbles recomandations. Priant

    arme avec grand dilligence et tyent onc quilz feront quatre

    les mectre en besoigne et assaillir ceulx de dedans en deux endroictz tant au château qu’à la ville,

    questoient decendues au Pouzin sont allés assieger

    et magistratz, prierons affectueusement votre

    premyer jour. Le Maistre du dit [barré : souldart]

    aura quelque remuement en Daulphiné. Je doubte que ledit Pignerol

    monsieur, en bonne santé, très bonne vye et longue.

    javoys deliberé envoier ung homme tout exprès et en diligence

    qui importe au passaige du Rosne à notre ville et province comme

    vous ferés pour la bonne volonté que touiours

    Je m’asseure, monseigneur, quil s’y portera umensément

    peuvent que sera une grande asseurance pour la ville,

    le plus de jentz que porrés et croys qu’ilz n’entreprendront

    secourir à ceste necessité, vous advisant que j’ay despendu environ

    escrivant la presante j’ey receu vous paquet

    sinon qu’on m’a faict entendre qu’ilz se sont retirés au Chelard. Il[s] font

    les mains et à elle aussi. Je suppliray le Createur,

    à trouver quelques deniers extraordinaires dont le roy ne face

    Si madame veoit la presente, elle y trouvera mes très humbles recommandations à sa bonne grace. J’escritz ung mot à messieurs

    en sancté, longue et heureuse vie. De Chambery, ce IIIIe

    me faicte poinct mention d’une depêche que je

    monsieur que vous ayt en sa garde. De votre maison de

    1573.

    d’estat de son altesse, qui se va devers le roy d’Espaigne, qui

    monsieur, an santé très heureuse bonne et

    nous estre necessaire. Me recommendant très humblement

    Rosne et me semble non pour vous donner advis pour sentir

    plaise de m’envoyer aussi la compagnie de monsieur

    pas. Il y a davantaige : que les [barré : pas] roys,

    toutes ses execussions se font par tractimens des

    leur ay jamays usé que d’office tel que je doibz, ny ayant espargné

    escrist. Je vous supplie monsieur faire mettre celle

    le prince d’Orenge tient assiegées, et que ses navires

    pour commencer de s’acheminer en ça et de la madvertiroyt

    du jour qu’il pourroyt estre. Icy ma belle seur sa femme a fait

    ung portrait de La Rochelle.

    avoit heu sur ce advertissement d’aucun desdits sieur du senat que s’il ne faisoit [barré : de]

    VI mars 1573

    suivra la court ou bien s’il retournera à Chantilly.

    logis où estoyent logés les sieurs de Sainct Romain, Cugii, le

    puissions pourvoir surce ainsi que nous desirons, et vous ferez chose

    qui anportera les letres qui sadresent à mademoyselle

    monseigneur, comme nous pryons Dieu vous preserver en sa saincte

    continuer à votre souvenance et esperer de nous toute humble obeyssance de

    comme j’ai fait autre fois la demolition dudit lieu. Pour respondre au surplus

    du Pousin. Surquoy ne le pouvant resouldre j’ay advisé de la remectre

    très heureuse vie. De La Brioulle, ce VIIme

    temps ne porra guières durer. Evènes le porroyt negotyer au

    ceste ville je[sic] ne sommes si grand

    supporter, car tant plus de faveur on leur

    avec condition qu’ilz passeront devers

    monseigneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue vie.

    me [barré : fère] participper des nouvelles que vous aurez, vous merciant ce pendent

    y porveus le mieulx que je peus mesmes au chasteau,

    de voz bons desirs

    contenant que ce soir là estoyent arrivées nouvelles de La Rochelle

    pour en recouvrer. Elle demeure bien petite que

    font aulcung compte de se garder, sinon quant l’on les presse ou qu’ilz

    Monsieur, mais il est encor à Caours

    poinct de responce. Qui sera la fin, après vous

    vous escriray rien des affèrez de ce camp pour ce qu’on n’y fet aulcune

    monseigneur, qu’il vous preserva en bonne prosperité, heureuse vie et longue.

    le desir que j’ay de vous gratiffier non seullement en cela

    ung mois pendant lequel mondit sieur y mettra tel ordre que

    tel. Ceulx de la religion dudit Loriol se jouissent fort

    dissipliner votredite compaignye que la faire vivre à discretion en mondit gouvernement,

    lieu de Rives. Je suys bien marri qui ne suys peu vous

    Hector de Maniquet

    messieurs en très bone santé, longue vye. Du Montelleymar,

    par les quelles il me mande que sans s’arrester nulle part il

    est temps qu’il vous plaist vous souvenir de nous

    receues sont du cinquiesme de

    grandz forces, mays ung peuple sans chef est bien aysé à s’estoner

    Saluant sur ce voz bonnes graces de mes très humbles recommandations

    mes humbles recommendations à sa bonne grace.

    la compagnie de monsieur de Maugeron, laquelle je

    vollanté et commandement et y employeray

    renvoyé au sejour de Fontainebleau,je y sceus la

    ma vie j’ay esté si aultant à votre disposition que personne du monde

    en cas de necessité, je y ay envoyé pour ne demeurer depourveu, donnat

    et très bonne vye et longue. De Valence, ce

    qu’elle me pouroit faire. Je ne luy rande tout

    Votre hobaisant serviteur à jamais

    que] à ce que cependant on ne s’en peut ayder. De ma part quant

    que lon aye à me dressé

    Mais pour cela, ilz ne laissent de parlamenter et a lon

    escrit comme j’avois faict rompre ceux là de Soyon. Il y a trois ou quatre

    aura du tout point, vous asurant qu’elle ^ [^ a] meilleur

    ung tour laquelle va sur la rivière. Au Pousin font

    le Createur vous donner

    Et au-dessus :

    Monseigneur, qui vous doint en parfaicte sancté très heureuse et

    estre cause de la pertede Sommières, ne se donnent grand peine

    Gab. Dugas

    par leur conmandemant

    quil vous doint

    de ne bouger de cheulx ly ; Myrebeau en est de mesmes.

    Jay prié messieurs les consulz quilz facent

    Vojany.

    Sev. Odoard

    Et commencera la première

    A.d'Ambrun

    ungs cessanz, et quil soit installé en icelle, affin quil vous puisse servir et

    très hereuse et très longue vie. A Coindrieu,

    cependant, je suplieray Notre Seigneur

    je mesloignois de ces quartiers du fere faulte

    que je prie Dieu,

    ces marches là avec ses forces et que ceux qui favorisoyent

    très humblmant les mains, an priand Nostre Seigneur vous

    votredicte compagnie et chevaus legers, lesquelz pour avoir seray fort volonterement

    et lattemptat que font aulcuns des aultres de faire le

    monseigneur, à tout ce quil vous plairra noz comander, ne ferons faulte

    Le sieur de Grillon fut tué quant ceux

    ou aulx consulz de cette ville, de les aller prendre à

    avons veu les effaictz et experimenté ; et sur ce,

    playra commectre tel ou telz que votre seigneurie verra pour les

    des Rochellois, sont sortiz de la ville et venuz trouver mon frère

    havoir pitié de ceulx de ceste vile de Venterol ^ [^ car ilz sont fort povres]; et aussi je leur

    mines ont esté evantées. Je me trouve peu de loysir

    Monseigneur, vous avoir en sa saincte garde. De Grane, ce XXme mars 1573

    advertir pour, surce et aultres plaisirs votres, recepvoir voz commandemens, lesquelz

    C[apitain]e Mestral

    cartiers. Madamoyselle d'Ourche est du tout guerri. Toutes

    monseignieur, quil vous preserve an bonne [barré : spe] s[an]té hureux se vie et longue.

    messagier sest arresté icy pour faire ses pasques. Au demeurant,

    humble de les faire descharger de la contribution pour le

    votre très humble et plus hobeys

    sire, très humblement requeste de vouloir accorder au sieur de Veaune, mareschal des lougis de

    ne se soit présenté par devant vous; dont je vous prye de lexcuser, dautant

    [barré : encores que par la] quilz peuvent avoyr, encore que par la publication que jay faicte faire de la bonne nouvelle que votre majesté a eue de

    lesquelz sont demourez en leurs maysons. Jay receu votre lettre du XXIe de mars.

    à la plus part de la quele javoys fayct entendre

    Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à Fontainebleau,

    et davantage, je vous diray, monseigneur, que ceulx du Daulphiné

    fit sortir ors de prison à Paris, qui sy estoyt catholise et avoyt fayct

    temps, pendent lequel on pourvoira à la levée des deniers pour [mot barré] le

    de Neufville

    bonne intelligence avecques vous et vous assister de tout ce quil pourra. Sur tout,

    la justice et punition que les loiz et mes ordonnances veullenet, affin que par mesgarde

    que jay peu metre sus, et des communes, les queles, en quelque

    cy devant [barré : pro] aulx precedantz troubles prouveu

    recommendations à votre bone grace, et aultant en presente

    de Pontays, ce dernier dapvril 1573.

    de Neufville

    votre serviteur

    Sire, la nuict du XXVIe du passé, les rebelles donnarent une escallade à votre

    defunct en sadite charge durant XXVI ans peuvent apporter de merite envers

    [paragraphe barré de deux traits verticaux :

    le moyen des catholisez pour navoir peu [barré : advictualler] porter vivres à ceulx qui estoyent

    surce faire scavoir parquoy je vous prie me le mander par votre première;

    Madame, ceste mienne despeche na dautre fin que pour supplier très humblement

    Romans, en votre maison, ce 22 may 1573

    traicte et transport du sel quilz ont accoustumé enlever de ce pays franche dudit

    pour lepetit nombre des catholiques que nous

    soient sursoiées jusques à ce que ma court de parlement et vous ayez aultres lettres

    la vostre, laquelle je scay avoir fort bien et continuellement servi, ne

    avoir en sa saincte garde. Escript à Fontenay en Brye, le VIIe jour de juing

    magesté ny a esgard, laquele je noze importuner

    sans grande despence et foulle du pays, je supplie très humblement votre majesté me

    Lyonnoys, Foresz et Beaujolloys, jen pourroys estre secoru autrement

    despeché et sen revenir rendre son debvoir. Jenvoye à votre majesté

    venir le soulagement

    Vous men manderez votre advis et je prieray Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir

    prochaine tenue des estatz, toutes leurs despences seront cognues et

    sy ranger, pryant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript

    Sire, ses jours passés, Montbrun surprint le lieu de Nions

    de ladite ville de Crest de ne bailler aucunes eticquettes aux soldatz pour

    et que sa venue puisse proffiter en quelque chose, enquoy je masseure que

    ung très grand mescontantement et les feray poursuivre par toutes les plus

    aussi une bonne lettre aveques toute instance de me contenter en cest endroict

    mesnager le plus soigneusement que faire ce pourra, affin que, par votre bon

    de Gordes, quil vous tienne en sa sainte et digne

    m’a proposé permectre ausdits de la nouvelle oppinion depputer vers moy un

    comme je m’asseure que vous aurez desia faict et

    et des sieurs pour [barré : en] luy en faire les remonstrances telles que porte

    puis [barré : prevalloir] cy après prevalloir]. Jey fayct distribuer voz

    veoyr par madite responce ; et estant sus le poynt de renvoyer

    de neufville s[ecretair]e

    de parlement à Grenoble mon edict de paciffication pour le faire

    vous avoir en sa sainte garde. Escript à Paris le XVIIe jour

    consideration et userez de ma volunté ainsi que verrez estre plus à propoz

    pas que [barré : Dieu] ilz obeyssent que par force. Dieu veuille toute

    restitution ; or syre, cuydant metre quelque fin à tant

    à toutes lesdites compaignies de mes ordonnances, gens de pied et autres gens de

    de recevoyr le bien et la grace que [barré : vous] votre magesté leur fayct,

    accoustumez, à toutes lesdites compaignies de mes ordonnances, gens de pied et

    seigneur de Monbrun pour le soulagement de ceste province.

    du pays, dont je vous advertiray incontinent après, afin que vous sachez

    votre bien humble et affectionné

    esté chargés par tous lesdits habitans

    où serions bien receus et aurions moyen de faire quelque bon service à sa majesté, oultre

    droict chemin et aux meilleures plus rayzonnables

    à Dye aultre quy avec lesdits retrenchementz puisse tenyr

    commandement quil nous a faict a esté pour lobservation et entretenement de la tresve,

    dame de Laval, femme de messire Bertrand de Simiane,

    venue, je n’ay voulu faillir vous advertir du faict, aultant piteux

    de pied et despeché devers sadite Saincteté le sieur de Vermillon,

    Savasse : Xm p. XVIII p. v. –

    auroyt faict emporter avec sesdits meubles les cloches dun village de

    Florensac, ce IIe decembre 1573. Voz humbles et obeissans

    sil vous playst et ce pour eviter toutes soupssons et calomnies

    tost comme jay antandu par plusieurs et divers

    mal et point dampechement qui nous [barré : doib] doibt

    aussi que lennemy se fortiffie tousiours plus

    et de la part dudit sieur leur seroyt esté dict et notiffié que suyvant

    home questant hors des prisons après avoyr parlé à monseigneur

    par ses presantes nous commettons et depputons pour, en nostre absance,

    monsieur de Monbrum vous donner bonne et longue vie. Du Montellimar,

    de Chippres, ia assés sien quand il heust voulu ;

    le canon fit son debvoir ; et au cas qui auraoit [barré : jà] esté jà faicte

    dudit duc.

    pour le faict de la religion. En somme, notter

    ses procès en la cité de Grenoble ; daultant aussy que des

    sont poinct libres et sy nous pourons passer,

    sorte que congnoistrez n’avoir poinct semé tant de plaisirs en sable, mays

    Pour la garnison de Piegon C XX hommes

    deulx ensemble à Gennes, puis que leur voyage

    venue en ce quartier que avez cogneu aultresfoys, ce

    murailhes, a esté advisé la baisser et reffaire et le tout est

    sera advisé sil vous plet commanderés à

    lequel me faisoit entendre comme le Turc, après avoir bruslé

    des vénitiens prendra la routte de la Poille, ou si elle viendra en Selgoulfe.

    ce que justement est mien comme à celluy lequel vous

    Monsieur de Gordes, encores que je desire avoir

    compaignie plus suspecte d’estre affectionnée en me demandant si jay memoires

    priant Dieu

    du conseil et me commander en voz affaires particulières comme à lun de voz

    santé très longue et très heureuse vie,

    ce quil vous plaira que jen suyve ; et en ce, je ne fauldrey vous hobeyr ;

    mandé le sieur de Monluc quil sy treuveroyt pour

    me pria vous en advertir fustent comme scavés

    à Champigny et lautre à St Fergeol. Quant à faire le taux des [barré : coups] vivres des

    bonne vye, et que pour gamès, syl vous plet,

    Je vous prye me fère antandre sy Baltesart pyse toujours

    et si rendre entrecy et le XV de septembre, encores que

    que monsieur de Toulon sera de la partie, aiant ja

    grand tryonfe ; que sera la fin, après vous

    très humblement recoumandé à vous bones graces

    Pierre de pontevès

    Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie

    d’Italie et de larmée des Venitiens de la

    luy et pour voyr notre ordre honnoré dune telle personne. Que pleust

    avant votre venue, à celle fin que je puysse advoyr les

    vous donnis bien advertissement à Lyon quant vous y

    apretoit lon son logis. Se lui de monsieur de Laval

    à Marseilhe. Toutesfois les voiageurs par la mer ne

    Gaspard flehard

    que je me porte fort bien à vous fère très humble service et

    avoit ordonné par cy devant et quil entendoit sue lesdites

    soict la fin de ce moys quy est le mesme tamps que lon tient que larmée turquesque

    vous presenter ses humbles recommandations.

    nu en ce lieu pour en apprendre nouvelles

    ung bien affectionné serviteur et comme par effet à locasion je

    lomme de monsieur de Bosas nommé Marcouis, ensanble à messieurs du

    serviteur

    espées hors de là ne aultrement, afin respectivement de saysir

    Solière ou aultre gentilhomme tel quil

    et le moyen qu’on ha à y tenir et advenant quil pleust à votre

    hourche

    Je vous supplie bien hunblement

    masseure que vous ne l’endurerez pas non plus que moy, pour le zelle que nous avons

    Au demeurant, je vous supplie me commander votre

    venyr à estre pappe ung jour et si les a leisser à ses anfans.

    maître de Langes

    et prye le Createur vous donner en santé

    comandemens, ientens si nesties alé en piedmont, car en ce cas là,

    Monsieur et madame d’Aumalle sont allez à Joynville pour les

    recoumandasions an iselle et prier Notre Senheur

    Grenoble, quil vous plaise faire commander au

    comme mieux votre segnorie le saict. Il

    Marie ne envoyé que ung fromage [barré : pezant] avec

    minimes à Tours, veust la Monestier ainssi esgourgetée et madame

    plus longue. Quant à ma santé, la Dieu grace, je

    de venir pour sen prendre garde en mon

    de nespargner ça vye ne ces moyens pour vous faire affectionné

    lestremité mais il ce porte mieux. Je ne veus pas oblier à vous dire quil

    lautre, afin de soulager dautant le pays

    à votre bonne grace, priant Dieu

    le VIIIe de septembre 1571.

    et est que par le recepveur general de la province sera payé à ung

    Ledit sieur de Leglise a vendu la couppe de votre boys de

    St jullien

    toute ma vie acomplir daussy bon cueur que me recommande

    Vallence, ce VIIme jour de sepbre 1571

    servyteur

    le consellier Audeyer et du chanoine Porret, lung mort pour

    De Valence, ce VIIme septambre 1571

    Cental

    mesmement quil y a encores rumeur et contagion de peste en la ville de

    faict ungfort beau ovrage de pressoir, prest

    pierre de pontevès

    serviteur

    la presente plus longue, je sallueray voz bonnes grasses

    bien heureuse vie. De Bayane, ce mardi Xe de septambre

    fère service

    Lon vendange à Jarrie où jey envoyé

    grace, sans oublier de me recommander humblement à la votre.

    montrerés comme jay aprins à jouer à la pillie qui saulte

    A ce que ma dict mons mondit nepveu, monsieur

    le Createur vous donner

    faire perdre ceste commodité à mon filz de Pomet, je suis esté

    leur ay dict que jestimois que nen seriez poinct marry, confiant

    leur ay dict que jestimois que nen seriez poinct marry, confiant

    le Turc. Je rencontray hier au partir de La Terrasse

    faire response, je me suys advisé les bailler

    paravant ung catterre si violent quil lavoit presque failly

    rien, je vous envoye celle que me feut bailliée. Je me doubte

    vous y estes desiré, que vous y seriés mieulx treté que

    conduyre, massurant aurreste que toutes ses

    cest endroict très humblement à votre bonne grace, en priant Dieu

    esperance à Dieu quil nous fera la

    obeyssant serviteur

    gesté, mays je creins que son service ny soyt pas faict [barré : coment]

    en parfaicte santé très longue et très heureuse

    les commis des estatz de Daulphiné

    7tembre 1571.

    g de portes

    monsegneur, vous donner en santé, heureuse et

    ladvis quil plairra à votre segneurie surce nous

    yer d’Avignon pour parachever son voyage et sen vient à ses

    qui fust de mesme en votre pouvoir. Et quant à ce

    jay toute matière preste et les maistres massons, chappuis et

    Jay veu par la letre quil vous a plu escripre à mon filz b

    Votre humble et plus affectioné

    en heureuse sancté, bonne et longue vie. De

    ladmiral à peine que monsieur le premier president sen

    septembre 1571

    Monsieur, je vous prie croyre que je ne

    recommandations, priant Dieu vous donner

    madame de Fiensayes. Madame et monsieur et mes

    Pommet me commanda aller à Serre vers madame de

    que je prie Dieu,

    monsegneur, après vous avoier beyssé très humblemant

    monsieur des Addrèz est venu en ceste ville. Ledit sieur de Pressins

    monsieur de Vantadour. De ma part, jen ay regret non tant

    succession au testament de madite dame à cause quelle leur laisse des places

    à vous faire cervice Bragard

    les mains, suppliant le Createur vous donner en

    chandelles, pour sepmeyne II Lt

    tormens que lesdits soldatz leur donnent, ilz rompent

    affectionnées recommandations à votre bonne grace,

    Gordes

    pour le repos et honneur et reputation

    chose du monde de nouveau, qui me fera finir

    cassine ou grange là auprès et de lever leaue qui passe par ledit

    qui puisse advenir ; car en effect silz veullent execquter quelque

    asseurer messieurs, que leurs majestés et tous les seigneurs dudit conseil, me lont donnée en

    de nous comme [barré : desdits], on fera [barré : desdits] desdits Margallier et ministre,

    monsieur, quil vous doynt en parfaicte santé longue et contante vie. De

    prochain. Je vous supliray bien humblement,

    Je croy bien que le camp de monsieur levesque

    Mercier et pour monsieur Vincent de Lion à la requeste

    pourteur de la presente, qui vous pourra dire et laurés

    Monsieur d’Evènes est ordinairement après monsieur de Sauve

    vous advertir quil y faudra aller en bon ordre et bien

    service de sa magesté et le votre. Mays, monsieur, vous connoissez

    ycy nous en esperons bien tost venir à bout. Jey desjà prins deux mille

    de Molines. Je prie le Createur

    dangiers qui sen ensuyvent et par les coursses que

    Votre bien humble serviteur

    monseigneur quil vous donne en saincté

    Votre bien humble et obéissant frère

    Monsieur de St-Serny ma anchargé de [barré : vostre] presenter

    tost quil aura baillé quelque cahier à monsieur de Limoges pour le pays quil

    ferés entendre votre volunté, la quelle ie metrai

    artilyerye de Serre ne vault rien ; tous ceulx qui

    dautant que cestoit au quartier du regiment des Landres, cest-à-dire

    contraire se presente par devant nous ung prejudice irreparable

    companie fera monstre sur lesdits deniers pour le quartier doctobre

    difficulté, elle soit authorisée. Pour ces raisons, il vous plairra le luy commander

    gouverneur, daultant quil adsistoit là, estant arrivé le iour precedent XXVe.

    à la quelle fais fin, me recommandant humblement à

    les habitans de ladite Coste de different advys avec les gentilhommes du lieu parce

    Votre très humble et pour jamès obeissant

    De Briançon, ce penultiesme janvier 1574

    main à la protection, conservation, poursuyte et union dudit sacré domaine,

    cinquante hommes de notre citadelle. On faict issi bruit de la

    cecy luy estre preiudiciable en aulcune chose, jay votre

    seffraier. A Gargas, Dieu mercy, tout y va bien et y continuons

    myennes dernières, je vous mandoys que nous estions icy en quelque doubte de nouveaux

    cinquante hommes de notre citadelle. On faict issi bruit de la

    votre très humble et obeyssant

    se parle de levée ou menée au prejudice de sa majesté

    dieu permetra que je soye à Grenoble, je ny gasteray rien

    fort, et à ce que jentens, sy la fiebvre la

    Votre pour jamès trèsd humble

    Ecroys que ne vouldriés que ie prince une escorne ; car ie veux

    Votre humble et obeissante

    ce que le dit sieur de Chastellart vous touche des languaiges que le roy luy tint de vous, lesquelz ilz fit entendre à la

    contraventions et desordres que aucuns des compagnies dhommes

    vous plaict faire à maître Flori pour son eslargissement et

    commandant audit chasteau en labsence dudit Bolut, auquel

    de sa majesté leur adherer et consentir, à peyne

    d’Embrun qui est detenu à Vitroles, ce advenant il y faudroyt

    icelluy toute ma vie accomplir daussy bon cueur

    facheus discours, jy mettrey fin , vous bezant très humblemant

    humblement mexcuser et me faire entandre votre

    tellement que qui sen vouldra servir, en fera une neufve.

    religion ou leurs ministres ont volu fère croyre à plusieurs. Au

    que ledit Antragues est deliberé comme serviteur quil est à monsieur de Suze, de luy conseiller de presser

    Or monseigneur, javoye remis à la première commodité vous escripre

    les jallouzies et souspeçons d’intelligence de lennemy sur icelle,

    que je ne puis esperer rien de mieulx à ladvenir que ce qui a esté faict

    monseigneur, en santé prosperité augmentation de voz estatz et grandeur. A

    que leurs magestés desireroint, comme plus particulierement

    Toutesfoys, il vous playra men escripre votre volunté car il

    et le service quespère que vous nous donrrés ;

    lenemy qui detient et ocupe toutes nos aydes

    tousjours attentifz à faire bonne garde quelle trève quil

    vous pour vous faire la reverance et rendre mon debvoir,

    la meson de Françoys Daubres et lauteur et conducteur est le sieur du Poyt. A ce

    toutes conformes, qui les met en telle frayeur

    acoustumé et cessé la garde comme ilz ont respondu, tant pour rayson

    monsegneur en très bonne sancté et longue

    leur souhète et peult beaucoup pour leur soulagement, comme

    gardera vous en fère plus long discours ; sil nest

    duquel jay entendu leur desain estre de faire

    monsegneur en très bonne saincté et longue vie. De Grenoble,

    toutes choses raisonnables. Et sur ce après nous

    eulx, vous remercyant bien humblement de ce quil vous plaict

    pays, de vouloir octroyer deux ou trois soldardz

    recommandations. Monsieur le president Truchon mat escrit que je luy envoyasse à la première oppourtunité une coppie

    ung mémoire pour votre particulier à monsieur de

    accompaigné dune lettre audit Cadet pour le cacher dans ledit chasteau qui

    monsieur le mareschal.

    prisonier laultre et mené au chasteau de

    1574.

    metre humblement recoumandé à vous bonnes graces, priant

    par deçà. Son partement fut ung petit plus souldain que je ne pensoys, de

    serviteur pour nous en faire venir à heureuse fin

    tiltres sont fort vieulx, car il y a bien IIIIXX ou cent ans que nont esté

    sans estre requis quoy quil disoit. Je suys très ayse

    depeche. Les estatz se tiendront, Dieu aydant, le

    d’Aulvergne. Cyl raporte choze qui le merite, je ne

    tuer et quil y avoyt une entreprinse sur les chateaux de La Mure

    Le president me sont si proches et en sperance de le veoir

    voise bien par deçà. Je suys esté visiter despuys troys

    père, aient esté receu dudit duc de Cazemyr et de tous les

    esté à Pontays pour aultre occasion que pour le faire mouryr à loccasion de quelque innimytyé quil dit avoyr

    Lanjac et se debvoit excequter à demain, jour de dymanche cependant

    et par lentreprinse sur Bagnolz, nous cognoissons

    à perpetuitté, priant Dieu vous donner,

    dans la vallée d’Engroigne, taschant par tous moyens

    vous baise bien humblement les mains et prie Dieu

    cours ; et aiant lesdits excès esté perpetré par ceulx de votre

    ny a que dix ou moins d’années qu’ilz l’ont eue de [barré : nre]

    du tresorier de lextraordinère Lagorce, lequel est

    contribution qu’il leur conviendra faire audit magazin

    polles et chappons pour luy faire tenir ; cependant, je luy ay bailhé

    Crest. Je ne vous puis dyre si sa reception reviendra au prejudice

    Grane, ce Xe de febvrier 1574.

    avecques vous. Affin que vous en soyés mieux instruict,

    avecques vous. Affin que vous en soyés mieux instruict,

    devers monseigneur le marechal de Damville.

    Jay fait responce à mondit sieur de St André que

    et depuys convertie an double tierse, et says aut honziesme jour

    pryant Dieu vous donner,

    De Grenoble, le XIme febvrier 1574.

    a testé en faveur de monsieur de Laval. Et pour ne scavoyr

    de confitures, avec la musique. Je nay encor peu descouvrir

    L Berallier

    moys de juillet pour faire mil cinq centz livres à monsieur de

    longue vie, saluant voz bonnes graces

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    Laborel.

    on porte aulcuns vivres quelz quilz soient en ceste ville

    mais lons ma respondu que les autres venus pour

    Votre très humble etrès obeissant frère et serviteur LA ROCHE

    bien tost. Vous pourrés avoir sceu comment monsieur de St Sulpice

    vostre segnerie daussy bon ceur que prie Dieu,

    antandre que cella ne sera trop grand despence aux aides de ceste

    semblé pour le meilleur la remetre à votre arrivée en ce lieu, de laquelle nous aurons le soin comme la trefve

    malheureuse entreprinse, tant contre lesdits consulz que

    er maleurs. Je la finerey avec mes

    affaires tout ce qui se pourra et [barré : tenterons] tacherons

    pas pour inportunité si je les metz dans le present pacquet ; que

    nous dorra. Je desireroys scavoyr de vous si

    chose au preiudice de ladite suspension. Comme nous vous fimes entendre dernierement,

    scavés, en pays sterille ; actendu [barré : aussi]

    santanses [barré : al] arbitrales quon e[s]t fés sus les diferans des

    avons exhortés de se metre à leur devoyr de se

    monsieur, en très heureuse santé très longue et heureuse vie. De Dye,

    plaise mander et ordonner à mesdits sieurs les commis de louir et

    Meaulce pour les diocèses de Nismes et Uzès ; et quant à ce que me priés vous

    pour y metre quelque remède sil se peult treuver. Et de ce

    recommandations, priant le Createur

    Galeys et Gafontayne prisoniers. Monsieur, sy les huguenaulx senstendent

    si aurés lettres de monsieur de Chatellart. Il est à

    que monsieur de Rousset verra, à laquelle je

    ny autrement, que vous puissiés assseurer lartillerie devant

    scauroys dyre et du salaire de lestol quilz mavoyent promis,

    Bonet secretaire

    et de bon cueur à votre bonne grace, en priant Dieu de vous donner,

    laquelle faillie, se retirarent à Chorges doù ilz furent pour surprendre

    Lon me mande aussi que lon ne parle plus si chauldement

    revolter ; et si, que Dieu veuhe, il nen

    aura bien daultres. Despuys que les comencent au plus anciens

    estatz prochains en pourrions plus amplement discorir avec vous,

    [brouillon de réponse de M. de Gordes]

    ses vieulx chasteaux sonctz entretenus et conservés

    neiges les en gardent. Autres nouvelles ne vous puys

    attendant de recepvoir vous commandementz, ne

    Vallantinoys, cece [sic] que seroyt bien aussi tost à doubter.

    humbles et affectionnez recomandations à votre bonne grace et prie le

    Voz povres subiectz de Chechilienne voz

    fevrier 1574.

    icelle tout ce quil ce peult, et que leurs avés desparty raisonnablement des fources qui sont en votre puissance.

    d’Arles, ung au chivaucheur de Ville

    votre voulloyr pour icelluy toute ma vie accomplir

    Priant Dieu,

    Truchet consul Philipons

    loyzir dhavoyr melheur escrivain que moy,

    plus grande. Toutesfois, ilz espèrent que par

    Varce, laquelle pourrez veoyr. Et en atendant de voz novelles,

    vous suplie, monseigneur, [barré : très h] avoyr esgard et que oultre la

    plaict nous mander, auront grant efficaxe [sic] contre

    messeigneurs, vous conserver en très perfaicte sainté, très longue

    le reste ; e[t] sest present jour, lesdits rebelles sont

    De ma part, je cognoy que la peur est entrée si avant et a

    si le besoyn y est. Quant à moy, je ny entens rien.

    ce XVIIe febvrier 1574.

    succès aura prins ce faict, cependant, je vous supplie très humblemant

    prins quil ne restera rien plus à prendre. Je vous laisser penser en quelque

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse vie et longue. De Grenoble, ce

    discours [barré : po] si cestoit par ung aultre, mays je say que monsieur de Nocase estant bien monté avec la compagnie de ces

    que monsieur Faure at entre ses mains avec ung acquit

    qui demeurent en garnison auprès de nous ; mays cela

    je remetrai à notre première vue quespère en Dieu

    pence que iustise me sera faite. Ie nay pas heu la peine de debatre

    tous la paciance quil cognoit nous estre necessère

    grande integrité et qui desire demeurer et estre retenu au

    que vos ey escript du Seint

    obeisante à vous fère servisse

    tout ce qui sera de notre povoyr. Ilz ont advisé denvoyer

    Ferrière qui conduict lanfanctarie sen partit dudit

    atendant voz commandementz, je finiray ceste par mez humbles et

    vie. De La Mure, ce XIXe febvrier 1574.

    fevrier 1574.

    secours du Languedoc et des Sevennes

    Monmorancy.

    lun deulx est prisonnier pour avoyr heu intelligence avec

    que estant parti à limproviste, il nestoit chargé

    mieux dailheurs. Atant, je prierray le Createur vous donner,

    pouvoir nuyre au service du roy. Je nay rien receu

    vous die, monsieur, que le roy a grande occasion de se

    Vostre très humble serviteur

    par ung appoinctement que fistes aux consulz de ce lieu

    monsegneur, en très bonne saincté et longue vie et vous

    montagnes où lon se pleynt des pilieries et compositions

    grace et prie Dieu vous donner,

    commandementz. Au demeurant, jay entendu dudit Vent ce quil vous a

    de tout que moy.

    robe de velours à double guène, laultre grande dune

    monsieur, en très bonne sancté heureuze et

    Voustre très humble et hobeissent

    ceulx qui sadresseront à vous. Attendant vous commandementz,

    de monsieur le capitaine Mistral, qui merite autant de faire la charge qu’il faict

    ou six vingt harquebusiers pour les venir secourir,

    venus aulx nopces de la filhe de gentilhoume d’Urre,

    grace, priant Dieu,

    en bonne devotion pour après se resoudre de sen aller. Je pense que monsieur

    envoie querir à Embrun ung sergent et six soldatz pour [..]

    bonne garde, mays quil ne font aucune reparasions.

    febvrier 1574.

    de la guerre conduyronnt encor mieulx la barque, ce que

    retirés suivant leur mauvaise voulenté avec les

    et aymer come frère G. CARDL. D'ARMAIGNAC.

    allyée preste à vous faire

    estant entandues, je masseure quon ne me voudra demetre

    seans, quest la cause que je vous veulx supplier

    pour coumander en ce lyeu, dont je luy remertye très humblement

    je vous supplieray me continuer en voz bonnes graces, et vous

    Lucques et sacheminoit à

    che mio venir trovar soa eccelentia, laqualle io la

    Monseigneur, en parfaicte santé, très longue et heureuse vie.

    monseigneur l’admiral est encores à la court et passa par ceste

    antières sans la guerre. I’escrips à monsieur d’Evènes, le

    de nourriture que autres chose nécessaires. Toutesfois,

    d’Allières aura meilleur moyen d’en sourtir et en toutes sortes

    Je fus hyer ouy au conseil sur le faict de la parcelle

    Monsieur, nous n’avons sceu comment remuer ceste

    monsieur d’Hourche d’une bien fort honorable charge, tant pour ce qu’il ha cet

    vostre très humble et obéyssant serviteur

    Dimanche dernier, ce courrier qui est l’un des gens de monsieur l’ambassadeur

    jusques au dit lyeu, et revenyr par la poste. Il ne demeurera que set ou huit jours. les reynes ne bougent

    que monsieur d’Hourches en aura la charge. J’ay pris

    qu’il luy donna, et par conséquent à tous les autres ministres de

    savoir souvant de ces nouvelles et son maistre ;

    netyer le chasteau de Bouloingne. monsieur de Guoas et moy partons demain à la poy[n]te du jourt

    Votre humble serviteur.

    commettre le payement ainsi que paravant et jusques à présent vous

    qui sont allés en Flandres, et ce faisant les chastier et leurs

    de recevoir promptement les compagnies tant de pied que de

    d’aucuns conseiller de la religion d’entre eux fait

    de quoy l’on me doibt mander les particuliarités

    sur quoy, je donne le deffault par eulx

    qu’il soit mys hors de la cognoissance de la justice de Romans

    Très longue et heureuse vie. C’est de l’Albenc

    vous faire à jamais service. Vous me commanderez

    nara mouien maporter mon dit argant, si ce

    ce IIe juhhet 1572.

    faire que de faire imprimer leurs dites magestés aultre opinion de vous que voz services et vertus

    Votre très humble et très affectionné

    prosperité et santé laquelle je luy supplye

    charge. Je prie Dieu,

    S. de Boczosel

    selon lordre et forme de justice, comme je masseure estre telle

    Pierrebon

    cevaulx deux ou troys postes et à leur grand desavantage

    soldatz pour les entretenir. Et voilla la cause, Monseigneur,

    nen pourra arriver inconvenient. Les monnoies ont esté

    secours de Beaufort. C’est tout ce que je vous puys

    pour aller fère ung fret en une petite isle tout

    et remonstrer à la royne qu’est costumière

    que madame de Caseneufve luy avoit

    des quatres. je vous remercye très humblement des advys quil vous plaict me donner sur toutes

    Et dict aussi que ladite armée sen va à Nègrepont.

    Je prie Dieu de bon cueur vouloir conduire monsieur d’Evènes et monsieur de Laval et que leur aler, sejour et retour soit

    de gulliet

    oultre, réservé vous dyre que jay veu ung beau

    Votre plus humble et affectionné

    des Adrés

    à marcher aussi tost quil vous plairra le commander,

    Serviteur

    XIe juilhet 1572

    Votre plus affectionné à vous faire service

    retourner en France, qu’est tout ce que vous puis

    ferey fin à ma lettre en me recommandans bien humblement

    qui est verd et jaune, leurs chausses, perpoint et

    Grenoble

    Votre plus affectionné à vous faire

    ladite lettre, mais j’ay mandé à mondit nepveu monsieur le

    et longue vie. De Saluces, ce XIIe julliet 1572

    Monsieur, qu’il vous doint la sienne, accompaignée de longue et

    par mes très humbles recommandations à voz bones

    ou des envyrons, que sera la fin, après

    et doibt pour la fin de la sepmayne à La Voulte.

    Ce sera vers celluy des deux qui premier en aura besoin.

    ses ennemys de tous coustez, se contentant pour le présent de temporiser, quelque despence qu’il ayt

    toute ma vie, à ce qu’il vous plaira commander et d’aussy

    retenu. La royne me commanda bailler à monsieur

    l’on ne faict contenance d’en prouvoir personne. Je diligente le plus que

    recommandé les subietz d’Auray, lesquelz

    la principaulté, mais ceulx qui despuis dix ans se sont retirez

    levée pour eux en Alemaigne et que toutesfois la prise qu’ilz

    Lapierre

    en grand peine sans vostre ayde, laquelle je vous suplie

    conduyre où je verray estre de besoing pour le service du roy. Sur ce, je

    sur les différens qu’ont esté entre le sieur

    le Createur vous donner

    dy aller ausy. Ie ly demandis si elle avoit afère de chevaus, elle me dit qu’elle en avoit

    un brascz. Vous croyrés bien que tout ensemble ne sera sans faire la

    vostre à jamays très humble

    peut estre ferés difficulté pour le regard des bastons à feu

    des adrés

    vouloir qu’avions de leur faire plaisir pour l’amour de leur parens

    vodrey byen qu’il me contat bonne chose et que monsieur Bellièvre

    tenir adverty de ce qui se passera et

    le service et grandeur de nostre roy ; cependant, j’auray l’œil et

    très humbles recommandatyons, pryant Dyeu

    ne de madame la presidente. Bien vous puis dire et assurer

    quoy l’on parloit pour lhors. Bref je ne scay que c’est que de luy

    femme grosse. Dieu luy soit en aide. Nous sommes tous

    la bousse à toute la petite troupe, et

    bien affectionnées recommandations, priant mes neveus et nièces si voyent

    Me samble que ce nest que bien, puys quon sort de procès. Monsieur

    compte en avoir eu aucung advertissement de moy. Nous

    XIXe juillet 1572

    que madame de Gordes

    de gré à gré, suyvant l’intention du roy ; j’envoyeray ung trésorier

    grandes maladies qui règnent entrecy et là, jusques à Tholouse, retardent

    Bellieuvre et celle de monsieur de Saint André et luy communiquiei

    D’Ambrun, le XIXme de jullet 1572.

    le vibally de Sainct-Marcellin, par devant

    pasé, ie luy avay parllé et de rechef ma promis

    Touchant laffaire de Cabanes, monsieur le president de Fuveau

    de soldats. A ceste cause, jay despesché le dict laquay

    Vostre plus humble et très hobeyssant filz et serviteur

    par ledit Michalon, il n’avoit voulu sortir pour aller au

    désirs. De Bryanson, ce XXIe juliet 1572.

    Votre très humble serviteur

    Monsieur, je remetray à ceulx qui sont icy de votre part à vous

    qui vous plet avoyr delle et vous presante

    qu’il vous suffiroit de disposer du tiers estat de président,

    suis esté trouvé vostre hotesse à la Grenette, la dame

    quintaux de biscuict sur celuy de monsieur de Clermont. Monsieur de Lanssac,

    de tout ce quil sauront faire. Je vous

    serviteur

    l’on c’est treuvé des laisser les mallades et aultres armes et tout le bagage

    auquel il a faict la plus grand meschanceté qui se

    ne luy en ay pas touché un mot. Jespère avecque vous que,

    servi. Pour fin, ie prieray Dieu qu’il vous doint

    feist ausy monsieur de La Roche, vostre frère et

    heust envoyé mil escus à Geneve pour recouvrer

    heu de present pour la levée de ses quatre compagnies, quest

    Nous avons aussi lettres de Rome par lesquelles on

    XXVme de juilhet

    poulletz de la recepte

    Les preparatives se font grandes pour le mariage

    serviteur

    pour ung malade icy, de luy faire changer dher, on a ballé

    prandre argent. Et nayant chose pour le presant digne

    peu de jours, nous serons esclarcyz que deviendra ceste armée.

    travaillhe estresmement et comme je ne sors point, je ne ferey

    tousiours fait venir le premier quy lheut en mein,

    pour votre service avecque asseurance que y serés obéy

    Je vous envoye sis paires de sonnettes dautour, aultant

    Alfonso d’Ornano

    pource que son pacquet a esté envoyé par homme exprez

    monstré assés lent à l’information. Toutefoys je m’asseure que verrés tout comme

    année sont plus dangereulx de fayre mal

    Claude de St Prie.

    font, ne pourons subsiter, que ne scera sertement

    les oysons et ce quel sera icy. Je vous

    bien vennir avecque letz muletz et le laquay. Il fault porter

    pouvez avoir sceu. (soulignés : On m’a dict que monsieur l’amiral parla

    de noblesse, que je ne vous nommeray presentement pour nestre trop prolix. Il y demeura cinq

    le roy avoit donnée audit sieur de La Valete, nommé

    heureuse vie. De Lyon, ce dernier de julliet 1572

    coume medecin. Je vous envoie ung discours des

    que bien bon tout ce que est passé et ne men puys

    prisons de Romans par auctorité du juge de Marches ; et pource

    Truchon qui n’a peu signer

    religion an ceste court de vous et vous ont anvoyé le

    Brezenault

    Laval

    compaignie que jattens yssy que moy mesme heusse

    sont les plus grandes quon vis il y a vingt et

    à vostre bonne grace, suppliant au Créateur vous donner

    Lespece soent alés à Messine pour trouver la Ligue,

    honorer et servir.

    endroict, que jen demeureray tousiours affectionné à vous faire d’aussy bon

    vye. De Thurin, ce IIe aoust 1572

    despuys mardy dernier, mayant monsieur le comte de Sault,

    remonstrances qui le sceussent empecher, et si je

    que le pourrey entendre de la part où vous serey. Je men partz

    la monstre, attandant laquelle vous adviserés ce quil

    sy lalarme estoict sy chaulde comme lon cuidoit et quelle

    quelque quantité, pourveu qu’il vous plaise de luy

    asseuré que mes lettres ne luy ont esté randues,

    cueur vouz havoir baisé humblement lez

    de Montoyson, ce IIIIme daoust 1572

    la lectre que Monseigneur vous escript, il entant

    du Pont reprendra le propoz auquel il estoit

    Bien me dict il que monsieur le comte de Tande attandoy

    Au demeurant, monsegnieur, il vous a pleu par une vostre

    dia contentezza di Loriolo, il di 6 agosto 1572.

    du vivre et de peur que quelque autre accident ne luy

    Monsieur, vous donner tès heureuse et longue vye.

    de monsieur Vidal, lequel passant la Durance

    Monseigneur, vous donner en santé très longue

    peine de trois traictz de corde, et que en recompense,

    Vostre très humble serviteur

    Vostre très humble et très obeissant

    avés entièrement changé de naturel et que vous vous

    bientost si jà ne l’avés. Je vous ay escrit dans une depeche

    je prie Dieu quil vous aye en la sa saincte protection et digne

    ou deulx en les bien payant. Au surplus, monseigneur, je vous

    et verrons si dans cinq ou six jours sera assés

    monsieur de Laval ; que sera landroyt après vous avoir beysé

    de Moras, Lemps, Beaurepaire [barré : nu] telz greins

    il fault beaucoup despendre d’extraordinaire, jen ay escript à monsieur

    de leur voaige, aussi eust faict monsieur

    très humbles recommandations à votre bonne grace, priant le Createur

    me porroyt toucher. Et quand il vous pleyrra bien savoyr de quel pied et

    Grignan et suys cy peyné pour nen advoyr aulcugnes

    très humbles recommandations, priant Dieu

    Grenoble, ce dernier jullet 1572.

    mavés tousiours mandé, mais lesperanse de vostre venue

    petite verolle. Ie lay esté voir, ilana fort peu et ne

    d’Alve. Monsieur d’Orches qui part aujourdhuy, vous randra plus certain

    presant, où il a esté quelques jours

    grâce, et prier Dieu vous donner

    comme vous avez faict, ce quil espère faire vers la fin de ce moys ou

    comte, quilz doibvent davantage. Monsieur de La

    longue vye. De Savillan, le XIe daoust 1572

    prospère vie. De Grenoble, ce XIe aoust 1572

    monseigneur, très parfaitte santé, longue et heureuse vie.

    Vostre très humble et obeissant serviteur

    ceste ville pour luy faire changer daer [barré :et à monsieur de

    bonne et longue vye. De Savillan, le XI jour daoust

    dans huit ou dix jours, il y aura quelque moien.

    Grenoble, ce mardi au soir, 12 [barré : aos] auoust 1572

    Vostre très humble très hobeissant

    nstruictes de telles menées et bien informées

    chaud et que nous avons icy une grand course de fièvre

    estanctz fort augmentez, ce ne sera pas pour les remectre cy

    de tout cecy, et ce de telle sorte que votre vertu et vous actions

    Vostre très humble et très obaissant

    et moy mesmes alé rendre vous lettres aiant trouvé ce laquai

    archiers exequutant les commandementz

    je vous ay envoyées dernierement par le capitaine La Coste. Ce

    bien affectionnément à vostre bonne grace, je suplye au Createur

    nous n’entendons aulcung progrès qu’ilz ayent faict ceste

    de La Coste venant de la court qui allèrent coucher à Montavil

    Vostre très humble et très obeissant serviteur

    consideré, pourtant je [barré : me] remetray le tout à vostre

    De Vienne, ce XVIe jour daoust 1572

    ung de ces jours à La Tresorerie et y demeurer trois ou quatre jours

    une incision par ledit maistre Bastien, presuposant que

    sestoit fait porter à Apt, malade dune fiebvre don

    se vie. De Lion, ce XVII d’aoust 1572

    se vie. De Lion, ce XVII d’aoust 1572

    tant abligée à vous que la chose que jaurey le plus en

    desquelles je ne puis de present que faire une prière à Dieu vous donner,

    segnorie aura occasion de se contenter et

    et très heureuse vie. De Vienne, ce XVIIIe daoust 1572

    A mon retour arsoir, je trouvay icy Michallon qui ma

    monsieur, je vous faictz tout ce discours scaichant combien

    sceu de ses nouvelles, mais jen saurey par mon laquay que jenvoye

    ce XIX aoust

    Vostre très humble et très obeissante

    vous presenter ses très humbles recommandations

    bien humblement à votre bonne grace, suppliant le Createur qu’il

    grace et prie Dieu vous donner santé, prosperité, longue et heureuse vye. De

    et après vous havoyr très humblement baysé les mains, je supplie le Createur

    par ses lettres quil debvoyt partir le XIIe de ce moys.

    fère toute ma vie très humble servise dausi bon ceur que je

    mandementz. Monsieur de Brigoudières, notre procureur, sen va à

    avoir salué de mes humbles recommandations, je

    c’est lhomme qu’a dict à mon nepveu, monsieur de La

    en avoit porté la parolle de IIII mil , ny aussy à levesque,

    receu de lui. Je ne vous escrivis point par monsieur

    Lon m’a dict quil se nomme Jacques Loubé autrement

    Monseigneur, en parfaicte sancté très longue et très heureuse

    Mysauld

    leurs merites) sans lintercession de mondit

    nous ha faict cest honneur que de prandre sa maison

    XXIIIIe aoust 1572, de

    et me pardonnerés sy surce, je ne vous puis faire plus long discours,

    L’archier arrivat hier au soir, qui estoit allé devers vous

    fonds et capital de vostre pension, ainsi que verrés par une

    memoyre. Je vous diray que mesdames de Grignan et

    me commander et croire que naurés jamais parente que de melheur

    Monestier qui sen va voir monsieur d’Ambrun. Ce neust

    dans Paris. La crie a esté faicte audit Lyon à ceulx

    nepveu et serviteur

    estre, quy est de Viene, se XXVIII ost,

    le face pardevant notaire et tesmoings et que du tout

    avoyt esté procuré par ung plus grand et qu’on avoyt fally

    de costume ; mays aujourd’huy, nous avons tenu l’audience

    santé, très heureuse et longue vie. De Romans ce XXXe

    et ferons si bonne garde, avec l’ayde de Dieu que

    Serviteur

    meysom de la ville, vous m’an ferés entendre votre

    votre commandement et voulanté, fyniray la [barré : presante]

    et heureuse vye. De Paris, ce premier jour de septambre

    se peuvent asseurer ; si aynsi est, ilz auront esté bien ayses de

    je nay enquores pas parler daffaires. Mon nepveu

    Votre plus afeccionné à vous faire

    suppliant le Créateur vous tenir

    Dieu veuille que ce soit pour le mieux. Iay remersié

    pour fin, ie me recommanderay très humblemant à votre

    vie. De Paris, ce XXI septembre 1572

    rien tué et, remanthens des depêches que leurs

    J de ancezune

    Iddio ogni desiderata felicita. Di Ambruno, il XXIII di settembre 1572.

    de le vendre, car aussi bien neut-il fait que de pren-

    davantage par letres. Ne ce presantant autre chose digne

    mais que soyons par eulx sauvegardiés. Ledit sieur de Villefranche

    à leurs magestés, pour le trouver bon ; Dieu lha

    luy remonstrant comme Lochielly avoit detenu ledit

    qui me semble estre digne de vous. Au demeurant,

    quelque sinistre rappourt, bien vous asseure-je, monsieur, qu’il estoit entre neuf et dis heures du soyr

    de suivre l’ordre que avoit esté prins à Orleans, comme appert

    ains seullement leur ay faict donner la

    sur vous ; audemeurant despuys que je suys parti

    mays en fin tout tumbe en leur confusion et à votre

    que les quatre murailhes et vous acordés bien ce que mavez

    recommandations à vostre bonne grace, priant Notre Seigneur vous donner

    calonnies et vous supplient croyre que vous

    comme de celuy qui me rendz merveilheusement obligé à votre endroict

    mort. Il est aussi bien eschapé que

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et prie

    monseigneur, je vous supplieray me vouloyr tant faire

    d’aussy bonne volonté qu’après mestre humblement

    lequel fyst fère les prières en sa méson

    Monsieur en bonne sante et prosperite tresbonne longue et heureuse

    familiarizé durant ceste foyre de Sainct-Bonnet avec leurs freres

    ce premier octobre 1572

    au faict de Roumans, ayant sceu de monsieur le presidant

    seruiteur M. Bovier

    de bled et d’avoine achetées par le cardinal pour la provision

    huict jours que j’ostys les armes aus catoulizées, leur desfandant la guarde

    catholicques et de ne porter jamais les armes contre le roy ; et

    fauldrey vous advertir de ce que j’en scaurey.

    de la Riuoyre que par son fils, jeune garson et

    esgard à la grande chertée des vivres, telle que la livre

    qui leussent merité ; que sera lendroit où je

    donner,

    vous fere servyse Lapierre

    seigneur et sadite companie demandent aller en Bretaine.

    De Sainct-Genis, ce troiziesme jour d’octobre 1572.

    audit vibalyf, tindrent quelques propos, ou de moquerie, ou de demy-

    Monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie.

    ainsi qu’avés esté adverty cy-devant, ont faict

    Les choses ne sont encor tant refroydies que si le Cheylar

    passa sabmedy dernier à Apt et coucha à levesché,

    très humblement les mains et suppliray le Createur

    luy faire tenir aussi tost madite lettre, et s’il est possible le amener

    avec le compte de ce quilz vous doibvent, [barré : sf] le tout signé de

    1572,

    que destre anploié pour voustre service dausi

    party de Sicile, qui porte nouvelles que l’on ha encore quelque esperance

    ceux de Nymes, qu’on estime au nombre de cincq mille, font contenance

    publier, mays il me semble pour le present, à cause du [danger]

    vous en diray aultre chose. Monsieur de Guarguas fut avantier

    monsieur de Joyeuse qui sen va assieger

    pouvoir arriver plus tost que anviron le XXV de ce mois.

    il vous plaira mhonorer. Et par mesme

    de chasteau. Monsieur de Saint-André vous dira les particuliarités.

    pensser quilz sont là pour aultre dessaing. Sil vous plaisoyt

    soixante galeres, et le grand commandeur de Castillie

    amys de la religion, lequel me dict que ny a plusieurs que ne marcheront

    encores qu’ilz les ayent vendus à monsieur de Saint-André. Je me

    Vostre très humble et plus obeyssant

    Votre afeccionné à vous faire servise

    tougours après à fère remparet au long du Ronne.

    mon debvoir n’y deffauldra

    son lict et croys fermement pource que avoit bruict d’avoir

    heu lettres de Lion, par lesquelles on

    Je desireroys scavoir votre volunté, si je doibz recevoir à faire garde ceulx qui se seront

    nouvelles de ses cartiers, ce jourdui Xme, est passé ung

    estimé cela importer au solagement de ceste province, j’ay prié

    estimé cela importer au solagement de ceste province, j’ay prié

    maison à La Tour d’Aigues, le XIe octobre 1572

    Sy madame veoit la presente,

    ne desiroyt que de ce contenir en reppos dans sa mayson

    vous pleut luy escripre, que me seroit ung

    aultres, et qu’il veult demeurer toutallement en l’obeissance de

    Le sieur de Cabanes ne faict que

    en bon repos en ce pays, ne font semblant de

    le quinsiesme de novanbre ; sependant je dezire bien que libremant vous

    Votre bien humble et obéissant frère

    la poste, icy, ne vous ay vollu fère la présente plus longue.

    adverty de ce que se passera. Sur ce, monsegnieur, attendant estre honnoré

    chambre des comptes lestat du roy en vertu duquel vous avez

    H. d’Angoulesme

    desarmer ceulx qu’on doubtoyt. Ilz n’y trovarent aulcunes armes

    Votre mère

    Les deus dernières lettres que j’ay receu de vous, l’une est de Grenoble du VIIIe, l’aultre de Voyron du IXe. Je me failloys

    ce XIIIe octobre 1572

    trouvé ung qui ma dit que le baron de Seneste estoit encores

    Votre très humble et aubeyssant

    Monseigneur, en très bonne santé, très longue et heureuse vie. A Grenoble,

    toutte la famille vous en rendra perpetuellement par debvoir dobligation,

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    très hobeyssant serviteur

    nouvelles de ce que ce sera à Roume, en

    que mescrivés, si le paquet que je baliay au chevaucheur

    recomendasions. D’Apt, ce XVIe octobre 1572.

    declaration du roy concernant les officiers de l’opinion

    Votre bien humble et plus affectionné

    avec moy et estoit contrainct prendre autre chemin et

    des gens de guerre, Jacques Fouliouse père et filz

    Votre plus affectionné

    Je mettray ce bien fait avec les aultres pour men

    passé, chascu[n]g se retira chieus soy. Je ne falhirey aveques

    faict des voleurs de Mens en Trièves et monsieur d’Ambrun a adjousté

    Monseigneur je me recommande très humblement à votre bonne grace

    serey, qui sera faict à ce quil vous plaist

    yer au mas hou mon mesdessin menmenat, hou estoient

    Votre très humble et très hobeyssant

    ennuyeulx, monsieur, de plus long discours, me

    leurs ministres qui estoyent de sez valéez deçà,

    que le duc d’Albe devoit entrer en quelque accord avec le prince

    congé que je vous supplie me donner, aller brief vers vous et à la court

    de Gordes, en bonne santé, longue vie. Du Pont-Saint-Esprit,

    ceur à voustre bonne grace et suplieray

    qu’il vous doint la grace de guerrir de ces oppillastions.

    Sev odoard

    octobre 1572.

    mesiers d’Evènes et de Laval, estimant qu’avés resu de

    je vous baise très humblement les mains et

    despuis la perte venant de Montellimars jusques celle

    Il a vendeu tous ses bledz, une grand partye

    Vostre très humble et très obéissant serviteur

    dict à Chambéri, Dieu nous en doinct

    elles seroyent trovées peu reysonnables et si je n’en seroys excusable

    repceu de plus amples nouvelles, qui me fera

    Mon seigneur, vous doynt en joye et santé le comble

    que les officiers de la justice de Dye l’ont grandement favorisé

    Aurreste, Monsieur, je suis extrêmement marri

    le conserver soubz l’observation des edictz du roy et soubz vostre

    vous donner

    nepveu et serviteur

    arrivera ; et sur ce, je me recommanderay très humblement à

    menoyre nous ne aurons de nous servyr de

    arrester della, allant Monseigneur à La Rochelle comme

    de la façon que je m’y conduis. Ne se présentant autre

    qui me faict vous supplier très humblement qu’il vous plaise y pourveoir

    et pense-on qu’il s’en fut ensuivi ung saccagement misérable

    Et longue. De Paris, ce XXIIIIe novembre

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grâce et prie le

    de Sauve, mais il est à une liue d’ici, à une siène méson,

    du fet. Vostre seigneurie nous avoyt

    parlé au viguier Provance de la robbe comme m’avés

    croire que je n’en hoblie rien de ce qu’il en faloit dire et de `[` la] charge

    d’alaieurs. Quant à vostre demande de Grane, j’espère réussir à bien

    contient ung grand discours et des intelligences fort haultes

    vous suplie bien humblement havoir pitié d’eulx et leur faire

    Vostre très humble et haubéyssant serviteur

    Novambre mille V c LXXII

    se présenterat sà-bas quant il se présenterat l’ocquazion ;

    au long de toutes aultres choses qu’il apeu

    estoit, que ce tillet ce adressat à moy, l’on eusse attandu le

    celle que ledit sieur vous vouloit faire acroire à Valence, que leurs magestés

    l’obligation et désir que j’ay de vous faire perpétuellement

    par la voye de la poste, que m’a faict changer de deslibération pour n’y envoyer point mon laquays.

    J’en hey jà changé, de vintedeux ou vintetroys, pour ny pouvoyr temporiser

    Châteauneuf le charbonnier à faulte de payer la somme accordée

    vie. De Gap, le XXIXe de novembre 1572.

    longueur, je m’en donne une fort mauvaise augure et ay peur qu’à la fin il vous

    vous payer ce Noël prochain. Despuis, ladite dame de Grignan

    Votre très humble et très obéyssant serviteur

    auront adverty comment ilz luy présentarent votre lettre, qu’il receut

    Vostre très humble et plusobéissant serviteur et

    Votre plus affectioné serviteur

    Monseigneur, voz havoyr en santé longue et (en toute)

    à votre bonne grâce et suplierey le Créateur

    difficille de nous surprendre, mesmes que chescung

    on n’y a guyures touché que faust

    Cherin, conseul

    de Saxe, qui prétendoit se faire courronner roy des Romains,

    Bellièvre d’avoir non seullement ce mariaige pour agréable, ains de s’y

    du temps, ie feray en tout et partout selon vostre bon

    De Lyon, ce 3e jour de décembre 1572.

    l’intenssion de ses majestés, tant pour le contentement

    monseigneur, qu’il vous veilhe maintenir et

    noz biens et personnes pour vous faire très humble

    De Montbrun, ce IIIIe décembre 1572,

    Votre très humble filz et très obéissant serviteur

    et à votre dévotion. Et sur ce, je supplie le Créateur qui vous doinct,

    Serviteur

    longue et bonne vie. De Beaucayre, ce VIe décembre 1572.

    et sur ce je me recommanderay très humblemant à vostre bonne

    ou en une façon ou autre et monsieur d’Entrecastraulx

    de bien, qui estoyt allé dela le Rosne pour voyr

    et faisant estat de m’acheminer à l’assiègement

    à Nostre Seigneur de bien bon cœur par son infinies bonté volloyr

    madame de Gordes et de monsieur de La Roche notre frère.

    jusques à Lyon vers monsieur de Mandellot, vous me voullez faire entendre de voz

    voulloir retirer en Espagne, mais, persuadé du pape, s’est

    Monsieur, en santé longue et heureuse vye. D’Aujoz ce

    que nous y achetons, car sans ce moyen nous heussions

    response à votre despêche au roy du XVIIe du passé est

    à vot bonne grâce et suplieray le Créateur

    à ce Noël car ilz m’en ont fort assuré. Je vous puis dire

    jamais tant qu’il pléra à mon bon

    donner

    Votre très humble et très obéissant frère

    despeche que vous leur ferés. J’escry aussi à monsieur d’Ayguebelle.

    Le peu de commodité, la paresse et négligence qu’est en moy ont esté

    présenté la votre à monsieur le légat qui se contante

    adviseroit avec son segrétaire et la dernière fois que je

    le mareschal Dampville, y recepvant telle garnison qu’il luy

    et dix escus le bous. Ladite tour est carrée sans aulcuns

    Monsieur en très bonne sancté longue et heureuse vYe. De

    La Casette

    il est plus nécessaire que jamais. Autmoins si plustoust ne

    puisse recouvrer plus.

    est venu de l’eure acoustumée et comme je avoys

    par desa. Je suis en ce lieu despuis huit jours pour

    vivement. Le roy est despuis trois jours allé à Saint

    Voz très humbles et obéissantz serviteurs, les

    receu celles du roy respondantes aux votres du IIIIe et

    cest endroict,

    avoir obligation pour en prendre mon revenche en tout ce

    j’ay donné advis à mon frère, monsieur le conselhier,

    travaillent bien et m’ont gardé de faire

    avoyr souvenance de moy. Mays je n’ay encores veue la lettre

    acompaignée de longue et contente vye. De Gargas, le XIXe

    de ces propres mains. Or Monsieur, je ne me puis garder de vous réciter ung discours que Roysse me vint faire à mon retourt de

    Votre très humble etrès obéissant frère

    icy mes plus humbles recommandations

    et très heureuse vie. De Grenoble, ce XXe jour de décembre 1572.

    quant ilz se verront pressés, ilz se radviseront, de quoy je prie

    recommandé à votre bonne grâce. D’Avignon, ce XXIe de décembre 1572.

    et autres, mondit seigneur le mareschal, vous et moy eussions fait un papct.

    dicte charrette en ceste ville chargée ung steur de boys

    espèrent avoir aisément ville et château par la sappe ; sur quoy me

    madame la présidante de

    pour vous baiser les mains. J’en ay retiré ung aultre de ceste vile que

    les prandre et porter, pour qui ne pour quelque cause ou occasion que ce soit

    roy pour voz estats le premier jour que la commodité se présentera.

    Et n’ayant autre chose à vous dire avec la présente, je prie le Créateur,

    pour icelluy, comme entendrés par mon nepveu de Laval,

    vye. De Paris, ce XXIIIIe décembre 1572.

    le XXIIIIème jour de décembre 1572.

    vous luy envoyastes le capitaine Mestral. Vous en demeurerés,

    maiesté a commis la reyne d’Angleterre pour estre sa commère,

    et très obéissent serviteur

    veu neiger pour XVIII ou XIX heures plus que icy, car ce n’a

    par le chemin de Pragela, ce

    a receu mémoires pour faire révoquer le don faict à

    très bonne et longue vie. De Saluces, le dernier jour de decembre 1572.

    pagno di megliori cavali che sieno in questo

    lettre par mes très humbles recomandations

    Vostre très humble et très affectionné

    tous aultres consuls de ce baillaige ou aultrement

    seurprendre la Voucte Il mast demandé des sourdars,

    royaume. Il est vray que parmy cela le roy n’espargne

    sieur de Laval, vous ayant desià escript que jestoys de cet

    Votre très humble filz et très obeissant serviteur

    bon chevaux don la pie est du nombre et j’ai deux

    Je desire estre très humblement recomandé

    Votre plus humble et plus obeissant à

    le Turq faict grands preparatifs de guerre. Le sieur Marc

    rien de mieus massurant que en avés toutes

    me dict encor lors quil me bailla sa certification, don ie

    Nohel le roy estant à Sainct Germain en Laye

    Martel lequel sera bien tost de retour pardeça. Qui est tout ce

    et huict lequel je faict despecher incontinant par le

    quelque nouvelles moy estant à Grenoble, que je devoys bien toust aller à [barré : Grenoble] la

    servir comme je m’asseure en faira de mesmes ledit

    avecques les aultres que nous avez faict pour nous perpetuer à vous faire

    mon despart le roy avoyt assuré à monsieur de Clermont une lettre

    et heusse bien souhaité quil fut jà

    et Merau Lambert ; je nay sceu encores scavoir silz ont

    d’estre exempté de lannatte ny faire autre poursuitte

    car jen fais estat, ayant suplié sa majesté de revoquer ce quelle

    Vie. De Gap, le XIIe de Janvier 1573.

    serviteur

    monsieur, vous donner en saincté, longue et heureze vie.

    deux compaignies qui sera pour dautant soulaiger le pauvre pays qui en

    de Janviert.

    très humble requeste pour raison de ladicte traicte de bled, en ce faisant

    Morges

    asigné Chomerat que e[s]t à monsieur le conte

    Despuys la presente escripte, jay envoyé ung nombre

    esté trouvé dedans, en revanche de la perte des hommes qu’il a perdus au siège ;

    serons tousiours prestz à vous hobéir, soit pour le service du

    Votre très humble et très obeyssant serviteur et filz

    trop long à escrire si je vouloys tout mettre par le menu. Bien est il vray

    de deffendre que de mesmes lon ne transportast riens en

    Monsieur de La Coste est à Marseille. Je suis très aise

    et pour avoir compagnye, mandasmes querir deux aultres marchandz, l’ung

    vie. De votre maison à La Motte, ce XIIIIe janvier

    sourdat se retiroiet de souper. il en nay blessé

    chouse que meritte, ne falleray soudain la vous

    et eyreuze vie. De Vallance, se XIIIIe de janvyer

    monseigneur, vous donner parfaicte sancté, longue et

    Lucrece dantiboul

    alloyt à Montpellier. Que sera la fin, après vous

    du vostre et certes nous doubtons fort les Torretes qui sont

    de Sainct Mazel et aultres despendentz mes subjectz pour m’ayder à garder

    Laval

    quen cestuy de ceste ville, soit au parlement d’Aix, Grenoble

    sur ce faict pour le service de sa magesté, bien et repos

    Chabons

    avoir sil vous plaict en memoire la taxe de

    jusque cesteure d’aussi bon ceur comme je me

    densielle

    avecque tiltre onereus de monsieur le conte du Bouchaige,

    renvoyé tous les opposantz par devant la cour au

    Vostre très humble et obeissant

    de Maugiron que je vous prie luy faire tenir affin

    monsieur, quil vous doint la sienne accompaignée de longue et contante

    à votre bonne grace et prie Dieu,

    A votre maison en Trèsmenye, ce XIXe janvier 1573.

    après mes très humbles recommandations , je

    auecq celles que jà avons fait. Quoy attandant, finirey ma lettre après qu’aurey

    ce XXme janvyer 1573.

    monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison de

    Et en ce faisant, monsieur, vous m’obligerés de plus en

    suys des autres. Se sont mes pechés. Je prye Dyeu que

    lesdicttes bulles et quil feiroit voluntiers ce vouiage

    monstre aux autres compaignyes que je y ay, je la leur feray

    houser et mondict sieur de St André après departir que cela me feisoit

    roy. J’estime quen serez plus amplement et au vray adverty

    raisonnable de y mettre quelque reiglemant à ce que toute

    por resson que il la vendu tous ses blés et

    vast à Lyon pour fère de party lartillierie ;

    serviteur

    de voz plus affectionnez et intimes amys, et me commanderez où vous

    me venir trover et envoyé mes lettre à monsieur de Bayal pour les vous fère tenir

    et aussy quil me conviendroit demeurer en ce lieu avec deux compaignies de gens de

    Votre très humble et hobeyssant

    à vous, et par le moyen de monsieur du Vilar

    plusieurs autres particularités. Harsoir [barré : par] nous veint veoir un capitaine de Marseille que nous

    graces de mes très humbles recommandations. De votre maison

    villottes [barré : soubz] en son gouvernement soubz lobeyssance du roy. Le cappitayne Louynes passat

    dernières quant à ceulx qui sont revenus dans le temps des

    amplement entandre à vostre seignerie. Cest le tout,

    toutes ces disputes et que je suys assés mal

    le Createur luy plaise,

    à le reveoir et recongnoistre, en bien et honneur, de tout notre pouvoir

    très humble et fidelle service ; et quil mavoit voulu

    leur escriptz. Mon Cousin, je vous asseure à ce commencement d’année me retrouver

    passera en ce gouvernement et au votre pour le service

    pour sur ce me resouldre de ce quil y fauldra faire, et ce pendant

    Monestier et messieurs de Vance et de Conbaut qu’avés

    de gens de guerre dedans. Notre artilherie asise en

    Serviteur

    parfaicte santé, longue vie. Au Camp devant Sommieres, ce

    avec la royne. La royne sa mère est arrestée

    vous aurez de moy. Vous ayant très humblement baysé les mains, je

    marinier, y a tousiours esté. Meintenant, à cause que les

    et mobligerez de plus en plus à vous faire

    beucop moyns et presque du tout pouint. Par madite

    fère ressantir de la bone faveur quil vous playst me porter,

    monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vie.

    afère. Jay trouvé à Montelimar le laquè de monsieur

    pays quil pourroyt près monseigneur le mareschal de

    en pouvés dispozer entierèment. En escripvant la

    que ledit sieur de La Garde est tumbé d’enuy en ung egarement

    Guyenne sur les bras, au moyen de la rupture de larmée de monsieur ladmyral mon oncle

    de qui vous puissiés vous asseurer de vollanté et de bonne

    Hourche

    costé adverty de ce qui se presantera ; quoy atendens,

    En somme, il fait demonstration davoir envie de complaire à ladite damoiselle.

    de Gordes, don je suis fort marry quelle ce soit

    Votre très humble et très obeissant frère à jamais

    se portent bien et fault que je vous dye que je suis en grand

    si ne scavons quele asperanse prandre ni donner

    asseurée de vous, je vous actendroys plustot

    juirons et de ce faire vous en prye bien fort. Qui sera

    De Vinssobres, ce XXVIIe feuvrier.

    je prie quil les inspire, et quil nous garde des faulx catholisés puis

    que seront deputés par votre seigneurye,

    Savoye ne m’en peult faire delivrer par cest endroit comme il m’a mandé, ains

    Votre humble et affectionné serviteur

    en beaucoup plus grand seureté quilz ne sont. Le

    Servitur

    Je nay seu voyr au Pousin que le bateau du port et

    possible les faire amener par deça. Jespère,

    traicté. Dieu mette bien tost une fin à ceste malheureuse

    necessité de pouldres. Chacung de ceulx qui y sont entrez

    de Saint Roman à Chasteauneuf de Vernoux en la ville

    d’Evènes et de Laval, si ne larray je de vous asseurer de leur bon pourtement, duquel je suis esté

    serviteur Bautezar Eme

    pour la guarde de ladite ville, ainsi que le capiteine Maires

    ne fust bien assuré demporter non que jeusse encor ouy parler de

    monsieur vous doner longue et heureuse vie, saluant voz bones graces

    asseurer le chasteau et quant ilz voldroyent

    necessaire depardeça où ilz entreprendront plustost que en

    de Champtz, ma belle mère, luy avoit deffandu, à se que le

    Dieu vous doner,

    centz galères et les nostres saprestent et on tyent que

    ce que Notre Seigneur nous fera la grace d’en venyr à une heurese fin. Puys que la compagnye de

    Chalancon. Monsieur du Pelloux est à Boffre avec

    seingneurie nous permectre dyt commercé libre,

    souldat a resceu grand contentement de la

    ne soit bien tost saisy et qu’il seroit besoing y envoyer soudain.

    En votre maison de Lestang, le IIme de mars.

    à monsieur de Gordes, pour le tenir adverty de ce faict, comme

    votre seigneurie scait tropt mieulx.Et sil survyent quelque chose

    il vous plait de montrer au service de mondit

    et à vostre contantement. Nous attendons que la

    mais qu’il soit achevé. Je ne suis faict bailher

    de passer sens inteligence de ce

    IIm Vc coups de canon en ce siège et faict livrer deux assaulx à la

    lequel j’ey fet tenir suyvans vous comandemens,

    courir le bruict entre eux qu’il[s] attendent monsieur de Sainct Romain

    vous donner à touts deux,

    aucun estat et d’en escipre s’il vous plaist par deça en donnant l’advertisse,

    du pays ne leurs faisant aultre mention que de notre arrivée en ceste ville, et du contentement que madame de Sauve a heu

    de mars 1573.

    vous ay faict et addressée et non à messieurs du pays

    Montoison, ce IIIIme de mars 1573.

    Votre très humble serviteur

    m’a confirmé les nouvelles que

    longue vie. De Montelimar, le IIIIe mar 1573.

    à vos bonnes graces et à celles de madame

    le votre très souffisant qu’ils seroit bon faire ung fort sur

    de Maugiron si elle preste à marcher en ayant

    princes, poutentas et repu[bliques d’Allemaegne, Angleterre

    catholisés qui mest ungne grand jalouzie par

    [barré : mes] ma vie, mes biens et mon sang, pour les enseigner, conserver et

    que j’escris à monsieur de Chastellard en la premiere

    estoient venuz le long du canal d’Anvers tirer coups

    du jour qu’il pourroyt estre. Icy ma belle seur sa femme a fait

    la fille que j’espere sera portée sur les fonds par mondit sieur

    Monseigneur ie supplie le Createur vous

    cesser la poursuitte dudit sieur Reverend, plusieur inclinoient à lui accorder sesdites fins chose qu’il

    Votre à jamais très humble et plus affectionné

    L’ons avoit ung peu d’alarme à la court à cause que

    Cheyllar et Descros de Savoye, et lors il entendit dire ausditz sieurs

    de notre intention en ce faisant. Donné à St Ligir le VIIe de

    de Casaneuve. Je suis fort aisé que madame de

    et digne garde avec heureux succès de boz desirs, baysant les

    telle volunté, que supplie le Createur vous donner,

    de vos lettres par ordre, j’entens que monseigneur le maréchal de Tavanes se porte mieux.

    à vous et de vous prier d’y adviser pour luy en mander votre

    mars 1573.

    pis haller fauldra faire de la terre le fonsse comme a esté

    nombre de catholicques que vous

    faict tant moingz prenent devotion de se

    vous pour entendre votre bon plaisir

    De Gap, le VIIIIe de mars 1573.

    bien affectueusement du susdits advis et me recomandant humblement à votre bonne

    lequel est acomodé pour quelque temps de toutes choses

    Mon frère de Cobans et mon cousin de Larnage qui

    comme le sieur de La Noue et le mère de La Rochelle citoyent sourtis

    me donnera occasion y pourveoir au plustost

    ont peur. Je n’entens jà monsieur qu’ilz ayent ^ [^ besoing de] gens de guerre car

    Votre bien humble et bien [barré : affection]

    avoyr supplié me commander votre vouloyr pour

    chose despuys le dernier assaut donné que fut le IIIme du present. On tient

    De Vallance, ce neufieme mars 1573.

    mais en trop plus grande chose comme pourrez congnoistre en tout

    ly plera. Je vous prie aulcy escripre au cappitaine Colonp qui qua ung

    et sont esté treuvés deferrés sur la minuict allant

    je vous conseille de la licencier, mandant audit sieur de Gordes que à votre

    aller fèr[e] la reverance ayanct entendu come estes sus

    ce Xe mars 1573.

    nous vient trouver esperant estre icy le XIIIIe de ce moys,

    ce que vous esperons humblement comme vous faisons

    ce moys.

    comme il vous plairra veoir par leurs lettres qui sont à cest heure bien

    priant Dieu,

    Monsieur de Mures et Mademoiselle de St Preis doivent

    croys que sera demayn au Montelheymar et suys en

    le vert et le sec.

    prise du Pousin et du jour que l’on[ ?] partit ^ [^ qui fut le VIIe] y vint

    que vous ayez oncques aymé. Et respondant au subiect de voz

    asseurance aux proprietères d’iceux paier en deniers ou semblables espèces de

    XIIe de mars 1573.

    l’honeur l’hobeisance et l’amitié que je luy dois

    Lecailhon

    ores j’eusse estimé qu’il n’y eust poinct eu de danger [barré : d’empechement et]

    Votre très humble

    oppinion quil en reuscira quelque chose de bon au contentement

    jours tellement qu’ilz n’ont aulcung basteau qu’il puisse apparoistre au bor

    visage le jour que sa fievre ne la tient point que avant

    amas de tous vivres tant quilz peulvent et agrandissent

    Monsieur en santé très longue et heureuse vie.

    A Monsieur,

    longue vie. A Estoille, ce XVe mars

    à layder pour le recouvrer. Je me souviens bien vous avoir dict

    Broyen secretere

    Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vie. De Sainct

    Monsieur de Suze passa hier qui sen va à la court.

    faire à ceulx qui ont des maisons joignant les

    paye du jour que lesdictz souldartz

    Je desire bien, monsieur, que madame

    obeyr à lexecution du tout ce qui dependra de ladite charge ; faisant sur ce

    ce XVIe mars 1573

    monsieur, quil vous doint en très bonne santé heureuse et longue vie. A Saint-Gervais, le

    au service du maître que je veoy bien que si

    Monseigneur, vous tenir en santé et longue vie. De Briançon, ce

    leglise grecque estoyent enclins à luy, que monseigneur le duc

    donner

    à toutes occasions que mondit segneur du Rousset les a voulu emploier lespace de

    semblable conjoinctement à quelque advis que nous

    de incontinent voz obeyr, comme vous très humbles et très obeyssans serviteurs

    desquelz je vous ay deià escrit

    la Guillotière et les conduyre par les lieulx que vous

    Monseigneur, prierons Dieu nous fère la grace

    conduyre et obvyer à telles violances et injures. Nous avons

    avecques dix ou douze des premiers et principaulx gentilzhommes qui

    fois faire garde nuict et jour. Et nayant aultre subgect digne dalongir

    comme un homme qui fait son conte de partir demain matin,

    Votre très humble serviteur

    me seront règle certeine et infallible, L’occasion que ma meu de retenir

    choses ce conportent de ce costé bien, graces à Dieu. De tout

    De Valanse, se XXIme mars septhante troys

    monsieur, je ne vous scarés dire comme je regrette votre eslognement

    magasin de Valence. Monsieur de Veaune, mareschal de votre

    sante fille Laurence de simiene

    ma compagnie le I [I don du] droict d'aubeyne qui ay vous est escheu du moys daoust dernier

    que je ne luy veulx donner congé de vous aller trouver, congnoissant le bon

    La Rochelle, ilz en deussent estre detournez ; aussi ay-je, sire, envoyé voz lettres aux

    Lon vous depeschera ung economat pour six mois, combien que jaye faict

    le contenu en voz instructions, mavoyent promis aucuns

    le VIIIe jour davril 1573

    ne [barré : veu] desirent poynt estre commandés par des Savoysiens et

    les festes de Pasques audit Buis [barré : et estoyt] comme les catholiques [barré : mays] et

    remboursement dicelle partie

    monsieur de Gordes, il ne leur fault laisser prandre pied ni avantage sur

    et trop grande volonte de bien faire l’inocent ne soit meslé et chastié parmy le

    endroyt on[t] faict leur debvoyr, en autres, elles ont eu du pyre,

    par commission ; et attandant vostre volunté de

    à monsieur et madamoyselle de Piarre Gourde,

    Votre hobeyssant filz à vous

    François pupier

    ville de Dye. Mais une compagnie questoit dedans et ceulx de ladite ville, les

    les siens, esquelz par ce moyen il a laissé [barré : plusieurs charg] telles charges et

    Sire, je vous veulx bien toucher ce mot en faveur de mes secretaires, quest que

    dans ledit chateau [barré : que] ont esté contrainctz se rendre par composition ainsi que

    et cependant adviser que cest impost soyt si moderé que il nempesche

    voz majestez me vouloir accorder les compagnies de messieurs de Maugiron et de

    votre voisin, serviteur et entier

    impoz, par provision toutesfoys et sans prejudice de linstance qui est pource

    sommes et pluralité des pertinax ne ayant

    de moy pour entendre sur ce mon intention, à quoy je vous prye, monsieur de

    pouvant revocquer les compaignies des sieurs de Suze et de Maugeron comme

    1573.

    pour le payement de mes estatz. Pour le regard du

    faire entendre tant plustost votre intention sur le tout et envoyer votredit edict, ensemble

    et se renforçant les rebeles comme ilz font, je ne les

    lextraict de la qualité que satribue / [/ en ses despeches] le sieur de Pierregourde qui

    qui estoyt tres requis. Jay esté contrainct de recourir à monseigneur de Savoye,

    en sa saincte grace. Faict au château de Boullongne, le XXIXe jour de juing 1573.

    comptées et distribuées sus luniversel, de sorte que personne

    au château de Boullongne, le Vie jour de juillet 1573.

    [barré : dans] par la mechancetté da[u]cuns catholisés qui avoyent leurs

    les maisons dudit Chapaix, en quoy faisant, vous ferez chose que jauray

    particulièrement et d’affection, il fera son debvoir, estant telle la volonté de sondit

    rigoureuses voyes que me sera possible, sans leur laisser aucune esperance de grace

    et donnant charge au porteur de retirer responce deulx que vous menvoyerez

    mesnage, ceste depence puisse estre departie par tout, mesmes à lendroict de

    garde. Escript à Paris, le XXIXe jour de juillet

    d’entre eulx pour me faire leurs dolleances ; et ce pendant faire continuer la

    suivrez au demeurant ce qui est porté par celle que

    sa charge, afin quil y soyt pourveu sellon lintention de mondit

    lettres aux gentishommes et cappitaines que il vous a pleu escrire ; comme

    son tambour, jey receu votre despeche du XXIXe jullet et [barré : sil]

    [brouillon de lettre à CAtherine de Médicis]

    publier et veriffier comme il a esté sans aucune modiffication en celle

    daoust 1573.

    pour le bien de mon service et de mectre fin au plustost à ceste guerre

    foys que je me trove deceu de mon attente. Au demeurant,

    dinsolences et ruyne de voz sugetz je avoys permis au

    guerre de se retirer incontinant en leurs maisons et demeures sur peine

    sestans faitz ouyr que sy elle ne leur accorde les articles

    aux gens de guerre, de se retirer incontinant en leurs maisons et demeurer

    Sire, etc, de Montelymar le IXe 7[tem]bre 1573

    ce que vous aurez à faire de votre part.Cependant, jay bien voulu vous faire

    s(ervi)teur

    de remonstrer que ces jours passés quand

    lesperance que nous avions d’y recevoir quelque repos, il nous semble que ce nest

    journées et à la moindre folle et charge de noz subiectz

    ledit lieu à lobeisance de sadite majesté ou luy

    laquelle il nous a de rechef prolongié et mandé audit sieur marechal son intention

    chevalier de notre ordre, baron de Gordes, cappitaine de cinquante

    et sobdain comme à moy enuyeux et regretable ; en fin ay sceu par

    gentilhomme de la chambre de monseigneur le duc d’Alenseon pour luy remontrer

    Sauzet : –

    madamoiselle de Tournon.

    serviteurs. Sarlaboux, Sainct geran La Crosette. Et au

    quon me metoyt sus ordinayrement, nonobstant tout cela on

    advertissement aveques quelques piesses de campagne

    tous à voir loyl [l'oeil] à ce bien garder et prier Dieu qui

    fort, car toutz les souldardz, tant dycy que

    la declaration du roy surce faicte et pour garder de faire

    d’Ambrun, je ne fauldroys vous aller fère la reverence et fère entres

    commander aulx vallées de deça le Rosne et à tous les lieux des

    ce XXIIIIe decembre 1573

    encor n’est ce rien que cela au regard d’une

    quelque capitulation entre les cappitaines de notre armée et les assiegez

    Ladite armée ne feust deux journées loing d’Anvers quelle ne rencontra

    et observer tout ce que vous jugerez appertenir

    troys mois en ça ou environ, elle est affligée de maladie

    synon, nous demererons issy [barré : i] en atendent mieulx.

    en l’endroict de personnages qui se baignent à rendre au double s’ilz peuvent

    le cappitaine Bessonnet

    se rencontre en mesme temps, ce que pourroit avoir

    recommande à vostre bonne grace et Dieu vous aye en sa

    grandement necessaire.

    quelquns de soliciter Claude Gras de tenir la

    et sacagé lisle del Zante, cest aproché dix mil près Colfeu

    A Cara se sont descouvert le XXe de ce moys grand nombre de cavalerie

    a esté toiors et à perpetuité très huble et obeissant

    responce dudit de Ventavon, je vous prie bien fort

    et instructions signées par le greffier de la court ; et quand le sieur de Chastellard en parle

    monsieur, vous maintenir en très bonne santé

    plus affectionnez serviteurs. Ne sachant chose digne de vous, je prieray

    de Carpentras, ce XIXe aoust 1571

    oultre ce, je leur ay offert par le commandement de mondit sieur de

    les soullaiger aussy les ungz et les aultres ; car,

    monsieur (La Piese pa). Ie ne feux pas d’avis danfonser

    compaignies de gendarmes estans en garnison en Daulphiné, estant arrivé à la court,

    me ferés tant doneur madrescer vous commandemans,

    au lyt. Sy le fet, je serès davys de fère voyr à quyequel

    prenant le chemin de La Croix Aulte, il ne se tourdreyt point

    esté expedié à Rome. Ie n’ay aultres novelles de votre

    avoyr supplié me commander votre bon vouloyr pour

    et de meilheur de mon ceur à celles de mon

    Je ne vous dis rien de madame de Gordes

    le Createur vous donner en sancté heureuse vie. De

    deffaicte et mort du conte Martinengot, le

    à Dieu que touttes les nominations qui se font pour le jourdhuy à semblables

    couvers. Et atandent ceste honeur de vous voyr, je supplierey

    estiez avecq monsieur le mareschal Dampville, comme

    estoit prêt sur le sire Monay.

    peuvent pas bien souvant donner certaine asseurence de

    prie Dieu

    compainies tinssent garnison pour la garde et seurté

    sera contraincte de ce retirer ; et apprès Don Johan d’Ostrye faict estat datacquer Tunis

    Je ney peu vendre aulcung vin

    asseurées ce que jay fait car lon ma asseu-

    le vous ferez parestre ; me recommendent très humblement à votre

    pays ; jey à vous presencter les recomandassionns de messieurs de Mandelot

    G deportes

    ceulx qui porteront armes deffandues ou commettront quelques

    vous plairra voysin des loups ou frequentant

    seigneurie y ordonner taxe par mesme moyen, vous supplions

    ne treuver mauvais si par

    à la protection des subiectz de sadite majesté et de ceste stat, qui nous a meuz d’en faire ce que

    vouloyr pour icelluy toute ma vie acomplir daussy

    Quand aus bulles de Viviés données grattis, je nen vois pour

    et prosperité longue et heureuse vye. De

    vous plairroit mescuser ung chacun connoit assés le debvoir

    couches de madame de Guise. Je finiray ma lettre par mes

    vous donner

    tresorier qui doibt peyer ceste compaignie se vouloir

    vous playrra nous faire entendre votre

    ung petit cartier pezant le tout huict livres, ung

    de Vinay ainssi proprement vestue, il eust quicté et noix et

    commence à me remectre et comme jey esté levé, ma femme

    absence, je ne scay pas quelle responce

    service, me recommendant très humblement à votre bonne grase, suplyent

    ne ce parle que du mariage de monsieur de Vins avec madamoizelle de

    qui nen a, à mon advis, que trop besoing.

    monseigneur vous donner en santé longue et heureuse

    Votre très humble allié et serviteur

    chescung des acquereurs diceluy dommeyne certeins deniers par

    Sainct-Vy et pour cause de quelques envieux, il a esté

    très humblement à votre bonne grace, priant Dieu

    Votre très humble très obeissant et très affectionné

    Jehan de chaste

    ne pouvoir plus et laultre pour trop.

    Votre entièrement plus humble

    Monsieur, je vous vouldrès prier que

    Genève et quelque aultre lieux de la Savoye, ce que, monseigneur,

    à servir, lesquelz jey payé. Quant à la chert

    Alfonso d’ornano

    de mes très humbles recommandations, je prie le

    1571.

    lhuyssier Prehault qui en prend

    De Grenoble, ce XIe de sepbre 1571.

    pour vous y tenir compaignie. Et si vous faictes long sejour

    de Lacoste desireroit laccompaigner de son

    monseigneur en très parfaicte prosperité et santé très longue

    dadvis que y sen y alle, suyvant les propos quil vous pleut

    cela de vostre susdite amitié audict sieur de Lessin ; qui est tout ce

    cela de vostre susdite amitié audict sieur de Lessin ; qui est tout ce

    des faiseurs de piques à cheveau qui me respondirent

    à ce laquais pour les porter audit sieur president

    à suffocquer, il avoit envoyé demander congé à sa Sainteté

    bien que plusieurs de la religion, soubz ceste couleur, [barré : mais] eludront

    vous ne serés ; et vous puys certeynement dire, monsieur,

    actions tendront tousours à vous donner contantement

    monsieur, qu’il vous doint la sienne et en parfaicte santé, longue et contante

    grace à tous de le preserver de tout mal

    De montenard

    einscis que je desire et quil seroit requis. Je voudreys à voir moien

    vie. De Grenoble, ce XVIe jour de 7bre 1571

    S neville substitut du

    Vostre mère

    longue vye. De Grenoble, ce XVe de

    commander, auquel ne fauldrons hobeir incontinant

    journées jusques au Monthelimar où il prindra la poste.

    quil desyroyt que vous feussiés, attendront du chastellain

    daultres pareillement, vous promectant que je nynnoveray ny

    de Bressieu que avés heu quelque resentimant de

    Serviteur

    Vienne, ce XIXe septembre

    revienne que naye veu [barré : et] ou entendu que [barré : ce] cen est

    votre très humble et obeissant

    garday vosdites letres demye heure

    monsieur, en prospère santé, lacconplissement de voz

    damoiselles de Bonrepos et d’Anbel presentent leres

    Bressieu, laquelle à ce qu’il disoit avoit affaire de moy

    monseigneur, vous tenir en santé et longue vie. De Briançon, ce XXV 7bre

    les mains, je prieray le Createur vous donner en

    mest venu trouver ce matin et mayant mené à lesbat,

    pour le respect particulier que scavés ; car, oultre ce que

    mellieures selon la prerogative de leage.

    parfaicte santé

    foyn LXXV Lt

    et brisent tous les meubles, ustencilles estans dans

    avec prières à Dieu qui vous doint

    Par mondit seigneur

    de mon mary, me gardera de plus en dire davantage,

    par mes très humbles recommandations à votre bonne

    Guillestre ; et comme ceulx dudit lieu ouvriront les portes pour

    chose, je vous prie faire tenir lincluz par la poste au plustost quil

    particulier telle quil nest poinct de besoing les en rechercher daventage. Mon cayer

    attendu quilz avoyent estez accordez pour nous, et que de leur

    Saint-Germain-en-Lahie, ce XVIIIe jenvier 1574

    ce retirés quelcunes de compeignies

    a faict à Nions à cinq ou six mil livres du

    de monsieur de Langes, vous assurant quil y a une infinité

    peu entendre d’autre gens que le roy se ferme à cela

    pour avoir les mandementz pour faire monstre à votre

    acompagnez sans faire estat des forces des comunes,

    tropt mieulx le pays que moy, qui est mal aysé pour la cavalerie

    trois centz escus et comence à paier le droict du collège des seigneurs cardinaulx,

    monsegneur, vous donner en perfecte santé très longue

    font ordinairement ceus de la relligion dans le dit Contat

    P evesque de Gap

    longue et heureuse vie. D’Embreun, ce 27e

    Baptiste de Simienne

    ses humbles recommandations à vostre boune grace

    se retirera. Sil plaist ausdits sieurs du pays demploier mondit frère pour les affaires

    toute ma vie en execution de tout mon pouvoir, aiant

    sont montés du Comté si ault avec le reste de leurs

    des cinq cantons, avec lesquels il estoit mal. Surquoy, ledit colonel Heidt

    si nous adversaires se prevaloient desdites charges ; ce que a esté

    dernier. Il na peu gaigner le mesme poinct pour la companie

    et nous voloir aider de votre auctorité et faveur à toutes les resformations.

    Ce que ie vous en puis faire entendre à presant est que le roy envoye cinq

    votre bonne grace et la presidente aussy. Priant à Dieru,

    que lesdits gentilhommes estoient dadvys de garder le château et desmanteler la ville,

    serviteur

    Votre très humble et très obeissant

    sur peyne de respondre de la perte dicellui qui seroyt advenue par

    maladie de monseigneur de Savoie et se dict que les medecins

    service et son honneur en telle recommandation que

    le mesnaige à la coustumée, duquel je vous diray mon

    remuementz. Mays sa majesté y a si bien pourveu que tout cela commence de sestaindre, et est-on

    maladie de monseigneur de Savoie et se dict que les medecins

    serviteur

    et madvertira sil survient quelque chose. Jeusse bien

    et my ayderay à mon pouvoyr. Il madvertit aussi vous

    laissée ung coup, elle est deliberée sachemyner

    voisin à vous faire très humble

    crever et mourir pour le servixe du roy et votre. Monsieur,

    Claude de Turenne

    royne sa mère, dont il vous en donnast advis par un forrier ou aultre de la maison de monsieur le mareschal

    darmes establies en garnison en ce pays coimmectent. Nous

    supplirons le Createur quil vous tienne en sa saincte garde.

    Bonnard et à ladite Vincente, ledit consul, presentz et assistans sept

    destre pendus et estranglés et aux despens et fraiz

    adviser.

    que me recommande très humblement à votre bonne

    les meins, et à ce je feys requeste à Dieu vous donner

    volunté avec voz commandementz, lesquelz je

    Je prie le Createur vous avoyr

    reste, monsieur, ce que je vous puys dire, que jay aprins de la court, sa magesté

    toute poursuite. Il ma dit que les compagnies de gendarmes doyvent servir alternativement et parce moyen il ny

    que après le grand contentement que les dames ont heu de remettre

    esquelles on entre de jour en aultre, que je prie Dieu nestre

    sur le commencement, oultre que dans quatre ou cinq jours, monsieur le marechal

    Mon[telim]ar, le Ve febvrier 1574

    vous aura informé monsieur de Chastellart, et en aiant ausy escript

    ny sera faict ny plus ny moings. Je vous envoye aussi une

    Autrement, navons moien de sortir le nez ors des portes

    comme plus fortz en campaigne, ainsine [sic] que

    y aye, de sorte quesperons maintenir tousjours nostre

    neust esté que je me treuve malade et indisposé

    que ledit espie ma rapporté, ilz ont aussi intelligence à Estoille quilz doibvent

    quilz vous supplient très humblement de comander audit

    de la trefve, comme ce quilz sexcusent de limposibilité pour estre peu

    vie. De Grenoble, ce Vie febvrier 1574.

    ilz ont de long temps congneu et leur ay faict dernierement

    pour vous dire que jey eu moyen parler

    le gast. Il saict comme jentens quelque aultre

    ce VIIe febvrier 1574.

    estre affectueusement recommandé à votre bonne grace,

    men advertyr, comme plus amplement jay chargé ses deulx

    pour la garde dicelluy audit seigneur de Rochechinard,

    du don de la plus valluee [sic] de la terre de Jaunaiges que le roy a faict don à monsieur d’Evènes. Je ne scay pourquoy ny

    Sauve, mais il nha enquores heu moien le leur

    luy fist responce quil ne le lerroit entrer avec luy estoyent quelques

    Vostre plus affectionné à vous honorer,

    La Bastie avec toutes leurs hardes,

    Votre humble serviteur

    Notre Seigneur vous donner,

    sorte quil ne vous porta aucune lettre de moy. Le present porteur est le

    sans que ces messieurs de la chambre des comptes me

    recognues et mal exhigées ; par quoy seroit de besoing de les bailher

    de son innocensse et quil desire vous aller fère la reverance

    dernier de ce moys ou premier de mars. Les letres

    faudrè le vous mander. En a tendent, je me recommande

    et que le tradiment se menoyt par ung des chefz ; lequel Achard

    reusir comme je le desire, jactendrey de luy escripre pour son

    jours avec Brunel votre comptoir et y avons mis quelques

    princes où il a passé cy dignement et honorablement quil

    avec ledit Bruyères. Il est bien vray que je fus vendredy à Sainct Gervays, mays ma femme na bougé deste ville quoy

    que ceulx de La Chaisedieu feroient leurs monstres. Ledit religieulx

    quil ne nous faul andormir soubz pretexte des trefves.

    monseigneur, en santé ce que desirés. De Romme, ce IXe

    et poursuytes costumières de fère eslever et marcher soubz

    monsieur, vous donner en parfaicte sancté ce que bien

    gouvernement , je vous ay bien vollu escripre la presente pour vous

    monsieur de St Sernin notre frère, sinon, fauldra que Menis la fasse

    allé à Bourdaux ; mais par le moien dun sien comis

    sil ne vous plaict, monseigneur, leur faire grace

    troys polles que je avois, ung de voz groz fromages que je avois

    du service du roy, ne pouvant disserner le cueur des hommes et encores moings

    Votre très humble serviteur

    il vous plairra vous sovenir de deux choses : l’une

    il vous plairra vous sovenir de deux choses : l’une

    Jattens responce de quelques capitaines d’Ury aux quels

    le plus grand plaisir que jaye pour ce regard est de

    de mon mal que fet prezumer quelque longar de ma maladie ;

    monsieur, telle santé et contantemant que

    Ilz menassent le vouloir venir assaillyr.

    autre chose pour le present, je fineray ceste par mes très humbles

    à qui il faict lamour. Le goulter se faictz chez monsieur de Cessenaige.

    Sainct André font le compliment des dites deus centz livres que

    de mes très humbles recommandations. D’Apt,

    Mandelot.

    tenant telemant serés tous les passaiges comme si on

    mesmes affaires nen hont pouint heu. Jay toutes

    est de retour de La Rochelle où il a persuadé aux Rochelois

    monsegneur, vous donner en très parfaicte saincté

    ville de paier le nombre des souldartz quil vous plairra ordonner.

    sera parachevée ; car ceste ville et ressort dicelle sont grandement menacées des cources que les ennemys y

    pour havoir lesdits ducatz ; et à la fin, se voyans descouvertz,

    bien humbles recommandations à votre bonne

    de suivre le plus près que fère se pourra. Lordre

    sera lendroyt auquel vous presenterey mes humbles et très afectionnées

    nous retirerons ce bien de vous voyr en ce lieu à

    nous sommes atendant ce quil vous plairra nous commander pour le regard si

    aussi la charté des vivres et que bien peu

    sieurs de Mures et de moy, je trove les dis sieurs acordés

    bien garder et de descovrir avec diligence sil

    ce XIIIe de febvrier 1574.

    examiner, car cest chose qui deppend de votre aucthorité ; et si ladite

    faire entendre comme je me gouvernerey en Daulphiné pour le regard de la surcean

    qui se passera cy apprès, je ne fauldray vous en advertir, presentant

    vous doner,

    comme ilz font le bruizct, comme verrez par une lettre que jay receu

    Poissi et ny a que deuz jours quil mit une depeche

    satisferay suivant ses memoires.

    ledit Pousin, ny que vous puissiés y faire venir les vivres necessaires.

    ont encores imposé tailhe à ladite cure et la me font

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse et longue vye. D'Avignon le

    La Bastie Neufve, au retour de laquelle, Labarre fut blessé par ung des

    que lon faisoit de la venue du roy en ces quartiers, tant

    advient rien, je diray tousiours que plusieurs

    que sur les remonstrances du conseil politiq, la court ferma

    monseigneur, par bouche que par lettre, si Dieu promect que votre comodité soit

    Monsieur, jey receu votre du XIIIIe et par icele veu le retour de monsieur le mareschal

    puis quil sont au roy, car lon ma dit pour asseurance que

    je faire scavoir, synon que de peur que ne me reprenez

    vous feray plus longue lettre, fors que je

    Je vous envoye le despeche que monsieur de Glandaige me

    Createur vous doner,

    supplient très humblement les exhempter

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    Je masseure que vous estes bien attendant des nouvelles de monsieur le mareschal de Damville de toutz ceus

    Neufve de Advignon, lequel Garach

    daussy bon cueur que me recommande

    monseigneur, vous tenyr en saincte, longue

    comme je ferey de tout ce que surviendra daussi

    votre bonté et benenité, vous leur ferés ceste

    nous ferons bonne garde ; qui sera lendroict que je me

    vie, il fault encores que je m’entretienne d’accoutrementz.

    ces popullas, de quoy vous en prions très humblement come

    et vie hereuse. Cest du Monestier, ce dix septiesme

    audit lieu de La Roche et finisent ruyner leur

    prins telles racines dans le cueur de beaucoup de gens quil

    Vostre très humble et obeissant

    Les consulz de La Terrasse sont

    de me commander ce à quoy je seray propre pour vous fère service et je

    calamité nous allons tomber, cessant dun costé le labouraige et le trafficq de lautre.

    XVIIIme fevrier 1574.

    amys se rendra en toute seureté à Valence, ce qui seroit difficille à ung aultre, car les ditz ennemys sont jourt et

    que je luy ay faict de cent escus sol., quil at mys entre

    depend de votre prudence et commandemant. Comme hyer,

    sera bien tost. Il y a quatre jours que, voulant

    mes letres de coumitimus, car cela e[s]t passé ainsi. Il met veneu bien

    et mesmes à vous, monsieur qui, avec tant de pertes

    nombre de voz humbles et plus affectionnés serviteurs. Mondit

    espryt.

    Claude de St Priest.

    là part où serés exprès le sieur du Van à ses fins.

    Chorges mardy dernier et sen alla à Sygoyer près

    affectionnez recommandations à votre bonne grace et prie Dieu vous

    Votre très humble et hobeissant serviteur

    Votre très humble et hobeyssant serviteur

    comme vous scavez trop mieulx et les moiens

    lennemy. Des moyens davoyr deniers passés des deulx moys

    de letres. Mon nepveu Baltesar ce porte ausy

    monseigneur, en parfecte santé, très longue et très heureuze vye.

    depuis hier digne de plus longue lettre ; et supplieray

    contanter du devoyr qu’a faict le païs, je dis toutz estatz,

    J. de Buffevant.

    me rezequer le nombre des souldatz que maviés ordonné,

    avoir et tenir en sa saincte garde. De Grenoble, ce XXIIe

    de lennemy et demanderoient des forces de cheval et

    pleu de luy dire touchant le faict de la cappitenerye du chasteau de

    de velours mochetté toute couverte de grandz pacementz

    longue vye. A Vallance, ce XXIIIe febvrier [barré : 157]

    serviteur

    je supplyerey le Createur,

    Votre asseuré amy à vous

    icy quhomme qui soit, et qui le faict bien, et religieusement, monseigneur, il seroit

    se que je croict qui ne sera bastable pour les

    et desiroient les avoyr. A ce que je ay antandu, ilz

    monsieur, qui vous aye en sa guarde. De votre maison

    de La Falaize sen retournera bien tost et par luy, je vous escriray bien

    afaire faire bonne garde et ni ont demeuré que neuf jours,

    Voilà tout ce que jen est peu tiré. Quant à nous aultres,

    Voz très humbles et très obeyssans serviteurs

    Je ne say sy estes adverty que ceux de

    ne dezire aultre choze le cappitaine Ferrus et nous aussy.

    huguenaus à St Maurice et Vinssobres, nous avons

    très humble service

    sans avoir forfaict ; et comme le melleur droict a besoing dayde,

    humblement, messeigneurs, quil vous plaise me

    et à vous aussy. Je prye à Dyeu quy me fasse la grace

    servir de moy en ce que vous cognoistrez que jauray

    Rome.

    prego di mandar me la sopra detta chomisione per

    De Paris, ce VIe juing 1572

    ville accompaigné de quatre à cinq centz chevaulx. Il vist

    pansant à présent près de vous et pour ce coup n’escrips

    je feray au mieulx qu’il me sera possible ; et survenant

    afin que monsieur de Saint-André ne subisse point seul ceste ennuye

    de laquelle nous sommes dépêchés pour la renvoyer bien

    besogne de nouvau et en temps que les lettres de

    honeur de vous apartenir de si près, comme de la bonne opinion qu’ilz en ont, mais

    Guillaume Eme

    Malleras, arriva, venant de Romme et s’en retourna en dilligence, estant prévenu

    de Bouloigne. on faict plaisir au roy de le laysser seul. nous ferons cependant la court aux reynes.

    occasion que me sembloit bonne de soliciter les deulx

    sa majesté, toute occasion de se louer de tant de courtoysies, desquelles nous sommes

    quant à mon fait de Dieppe, il ni a rien de résolu.

    pour aller trouver le roy. Je vous supplie très humblement de faire tenyr à ma mère les lettres que je luy

    De Neufville

    avez faict et par ainsi avoir ledit capitaine et son frère pour-

    biens, autrement qu’il luy dénonce la guerre. Cela nous

    cheval que on luy pourroit envoyer. Nous pensons que avant

    ce qu’elle peut pour retirer des consentements de plusieurs églises

    de Thurin, que je vous ferey incontinent tenir

    requis, en commettant le premier advocat de

    et de Sainct-Marcellin pour ce que je cognoys que de mon droict

    Ce premier juing [sic] 1572.

    voz vollontés et serez obéy de tout mon cueur, duquel

    nest que vous le luy donniés la commodité de

    Votre très humble et

    leur tesmoignent. En fin, monsieur, je vous puis asseurer sur mon honneur, que ladite reyne mère du

    Serviteur

    Monsieur, vous augmenter en heureuse félicité ; vous saluant de mes très humbles

    Monsegneur, vous doner très heureuse et longue vye,

    votre intention ; et nestant ceste pour aultre, je la finiray par mes

    et mescontentement ; et parce, Monsieur, que cella deppend

    que je nay peu satisfère à votre vollanté, mès jexpère que

    déscriées et les escuz remis à LIII sous, et les pistollets à LII.

    escripre, après avoir pryé Dieu

    à lencontre de la Morée, estant l’armée chrestienne

    de dire et se louer qu’elle a faict toujours pour vous

    rescript. J’ay veu ce matin monsieur de Cabanes

    les particularités que plus amplement je vous avoys tenu adverty tant pour les dis compaignies

    Ledit gentilhomme a esté despeché en dilligence par

    accompaigné dautant de bonne santé que je leur en souhaite.

    voutres très humble et houbeyssant

    païs et de seigneurs fort cortez, qui nous ont

    Serviteur

    Monsieur, revenant d’Alières ce matin, jey receu votre lettre. Je ney poynt ouy

    mais affin que j’eusse moyen de me rembourser de ce quay

    Duvillars

    Votre très humble et obéissant

    Lodovico Birago

    escrire pour cest heure, priant le Créateur

    à votre bonne grâce, pryant Dieu

    reistre chacung, toutesfois à ses despendz, aussi ce

    très humble service

    conseiller, auquel j’ay pryé et donné charge de négotyer

    Votre très humble et affectionné

    contante vie. D’Apt, ce XIIme juillet 1572.

    grâces et de madame de Gordes et de mes

    vous avoir supplié me commander vostre vouloyr

    Ilz disent qu’il doibt faire quelque voyage

    Je ne scauroys dire, monsieur, le regret que j’ay de la malladie de monsieur

    sceust faire jusque icy. Il n’a encores aulcunement touché en ses trésors. Il faict venir de Caramange

    bon ceur que je veys prier le Créateur

    de Sauve l’estat des arrerages qui vous sont deulz et

    je puis mes affaires pour m’en retourner au plustost, cependant

    m’ont mandé qu’ilz ne scavent que ceste

    en ladite principaulté, jouyssent des biens qu’ilz ont en terres

    on fecte de vintedeux veseaus venant du Pourteungal et

    nous donner et me commander ce qu’il vous plairra que

    me recommanderay à vostre bonne grâce, priant Dieu qu’il vous doint

    Ludovic et luy. L’on ha promit la seigneure

    Monseigneur, en santé, vye et longue. De Gap, ce

    assés pour elle. Ie creins for, monsieur, de vous yn coumoder des votres, mais sur tout

    guerre à monsieur de Rosset et quil nous en coutera. Je vouldroictz que

    et fidelle servyteur

    et les ay asseurés, soubz la faveur qu’il vous plait me porter,

    trépassés, j’estois content présenter quelque bon homme d’Eglise

    hut son estat et me samble que cy son frère estoit averty quil

    que je porrey apprendre, comme celluy

    prendray garde que ceste ville continue en la mesme paix et vivre

    Monseignheur, vous donner sainté très heureuse et longue vye. De Lyon, ce

    que j’auroys plus d’envye à ung partaige que non

    qui me tient et sa mère en prier Dieu luy doint ce que

    en grand peine de la senté de monsieur le president

    à madamoiselle de Moneri la main. Ie

    la présente, en prandre leur bonne part. De Gargas, ce XVIIIe

    de Briançon se trompoit de beaucoup de dire que les droictz desdits

    partons presentement pour aller au Vilars d’Arènes. Si je les

    Votre plus affectionné et

    voye icy mes humbles recommandations

    avec ledit commissaire à La Pérouze, qui vous ira trouver au Villairet,

    ledit seigneur. Du costé de Bourdeaulx passsa par icy dimenche le

    ce que vous en escriviés à monsieur d’Hourches, qui est de

    Votre très humble compagnon et serviteur

    lequel tant auroyt esté procédé, que ledit

    de fère pour moy et que ce quil an avoit fait

    ne ma point encores faict de responce à ma dernyère lettre.

    avecque ce petit mot pour vous supplier très humblemant

    à jamays.

    chasteau sans nous avoir parlé, et s’estoit résolu avec nous

    Votre très humble et très obéissant

    Rousset

    mander ce que le roy a faict pour la procuration de l’estat de

    ses très humbles recommandasions

    qu’il n’eust jamais mis mondit sieur son frère en jeu sur votre

    Meyre, pour luy compter la maladye de mondict

    qui est en part avec ledit sieur, est en sa mayson, lequel, quoy qu’on luy

    envoye la requeste de Boigniol avec les

    Sainct Maurice

    derrière, monsieur des Adrés n’a peu ny volu desloger qu’il n’ayt heu

    puisse dire, jay obtenu lettre du roy et de monseigneur

    pour encore nous naurons point de guerre avec l’Espagnol, et

    Monsieur, an santé, très heureuse bonne vie

    monsieur le baron d’Alemainie pour vous en suplier de

    des chevaulx qu’il ne sont encors venuz. Sy

    tout ce que vous puys dire pour le present. Jey seulement regret que

    escrit que le pape ha mandé levesque d’Assisi

    Vostre très humble parant et affectionné serviteur

    du roy de Navarre. Lon est en dobte s’ilz esposeront

    Gibert

    ou à Jonages ou bien à St Saphorien, pour, puys après,

    de vous escripre, je fineray la presante, après vous avouer

    Il mescript aussy par la mande au pied de sa lettre, que oultre

    point de faulte de dilligenter tout issi et scarrert à celle

    et feray pour deux jours ou trois au plus. Il nha

    daussi bon cœur comme je sallue voz bonnes

    de tiercellet. Je vous supplie, monsieur, faire donner ung

    qui est parti ce jourdhuy de Romans

    y a esté procédé et croy que l’asseurance est desjà telle en eux qu’ilz ne

    que cant il en est grande saison don, monsieur, je

    nostre daulmaige, mès aussi des gens de guere

    envoye trois pains et deux langues de beuf.

    hencores quatre cofres et quelques aultres ardes. Je croys

    longuement contre vous, mais je m’en anquerray au vray].

    centz hommes sur la place. Ilz ont renvoyé force privés soldatz après les avoyr devalisés jusques

    Verdonnes de lordre St Bernard par le rapport qui

    Vostre très humble et très hobeyssant

    nouvelles de Flandres que peult estre aurés

    repentir.

    que le lieu de Marches est dans le ressort dudit seigneur

    caier diselles. Ilia quelque tamps que ian dis un mot à

    Dans le pacquet de mon cousin de Chattelard, yl ni a point

    faict le voyage. Je ne vous ferey ceste plus longue,

    cinq ans. Monsieur, il est bien certain que ceulx

    Monsieur, en bonne santé longue et contente vie. A Marseille, le premier

    car nous en estions en ce pays presques en [barré : arme] alarme,

    G. card[inal] d’Ar[magn]ac

    cueur service, que je presente avec mon frère noz plus humbles

    Vostre humble et ancien

    escrit et prié me trouver et assister à la rédition des comptes

    me souviens bien de ce qu’en feut proposé à noz estatz

    presentement pour men aller en ma maison d’où nespere bouger sans y

    vous plairra de me commander, je vous envoye une

    pourroit estre, lon congnoisteroit quil y pourroit avoir du

    permettre, qui me faict vous supplier bien humblement

    et que au contraire, le faict luy a esté du tout

    mainz, je supplieray le Createur

    Vostre humble et au

    que j’alle fère ma monstre à Viene et que

    avant que Michalon arryvast à la court.

    responce du roy par le sieur de La Molle quil

    lettre menvoyer de remersiemans du service que je faisoys

    Di Vostre eccellenza

    survienne, pour ce que ceste maladie est fort dangereuse

    De Paris, ce Ve aoust 1572

    [v°] se noya comme l’a escript madamoiselle sa femme, laquelle

    et très huruse vie. De Grenoble, ce Ve aoust 1572

    le pays de Saluces luy a donné mil escutz, lesquelz,

    L. de Brianson

    Serviteur

    monstrés partial, ne permectant qu’ilz puyssent jouir de

    du roy du XXXe du passé, mais j’entendz que ce fut

    garde. De Grenoble, ce VIe aoust 1572, de

    mercie très humblement, et à madame de Gordes aussi, des biens

    ranfourssé pour aller an dit Jaunages et S[ain]t Prie.

    très humblemant les mains, je preray le Createur

    ne soyent levé, car ont a entendu comme il

    de Rosset. Sil ne m’envoye argent bien tost, je ne porrey achepter

    de Pomet, nust esté quil est bien fort malade

    vous donner

    affection j’ey marché à la court quand il a esté question de quelque chose

    nouvelles, cregnant quil ne luy soyt venu quelque

    Monseigneur, vous [donner] en parfaicte santé, très longue et très heureusse

    Voz bons frères et amis les gens tenans la cour du

    nous a randus tardifs et lans ; il ma samblé bon de la

    sera rien et ny paroitra nulemant. Tous ces petis

    de toutes choses. Je suis très aise monsegneur de vostre guerison et très marry

    pour assister aux comptes de monsieur d’Aubignan

    Monsieur en très bonne santé, longue et heureuse vie.

    au commancement de laultre. Dieu luy en face la grâce, affin quil

    Colombière, passant icy vandredy, me dit mavoyr escrit

    Vostre très humble et afecxionné

    Voustre très humble et obeissant serviteur

    De Lion, ce Xe d’aoust 1572

    F Boffin

    Laval]. Je vous diray monsegneur que vandredy et

    1572

    Bref nous fairons la guerre à leiul. Bien prétandons

    Vostre très humble et très houbeissant

    serviteur à jamais

    aussi de voz bonnes et justes actions. Je voudrois bien

    et tous les jours saugmentent, et Dieu mercy, cest sans

    lequipaige que peult estre seroyt bon quilz feussent, mais pour ma

    n’en reluiront que devantage ; ce que outre l’expérience

    nepveu et serviteur

    si à propos et crere que ce nest point [mots barrés] à faute [ajouté dans la marge : de bone volunté] de

    de mon lieutenant. Ce courrier ce fait

    pendant, voyant qu’ilz alloint après monsieur de Morvilliers,

    vous donner

    année. On discourt diversement en Italie de

    et aujourdhuy vont audit Allières avec ma fille Agnières.

    Hardy

    volonté et discretion. Et nayant icy chose [barré : digne] de noveau

    Votre bien humble et obeyssant serviteur

    et puis prendre lair des champs à St Jehan de Moyren. Il

    l’os fut rompu, ce qui ne se trouva et estoit

    avoit jà esté sagnee et prins medecine, de sorte que

    Vostre très humble filz et très obéissant servi-

    Vostre très humble filz et très obéissant servi-

    recommandation sera de obeyr à vous commandemens et prier

    Monseigneur, en très bonne santé contente vie. A Grenoble, ce

    antièrement comme plus particulièrement avons dict

    Vostre bien humble serviteur

    aporté les lettres de monsieur de Bellièvre que

    vous aurés agréable que telle oeuvre se parface et aux

    à Gargas pour porter ceste lettre à madamoyselle de Caseneufve,

    Votre à jamais très humble

    seur à iamais

    à voz bonnes graces

    vous doint,

    Grenoble, ce 19e aoust 1572

    Monseigneur quil vous doinct en parfaicte santé, longue et heureuse

    Madame la contesse de Grignan se fache fort de ce quil

    prierey le Createur

    Lyon pour quelques affaires siens. De là, il mectra une despeche

    prieray Dieu

    Coste quil n’a jamais entendu que de cinq mil

    mais aiant esgard à la dignité [barré : fesalt] le tout dissimuler,

    d’Hourches mon frère, masseurant bien quil vous

    Loubière. Il s’est tenu durant ces troubles passez à

    vie. De Vienne, ce XXIIe daoust 1572

    beau frère, quil fit tant envers son père

    [v°] en labsence de monsieur de St André. Ie tasche de

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    esperant entrecy et ung mois deviser de cella et dautres choses plus

    aportant provision d’ajournement personnel par devant la court

    lettre quilz vous envoyent. Et encores que je leur

    de sainct Privast sen vont aujourdhuy. Je ne sey

    cueur vous obeysse et de telle voulunté que je sallue voz

    esté sans vous aler baiser les mains et à madame et

    de la religion ne bouger de leurs maisons et croy que

    Artus Prunier

    vostre bien humble et bien afectionné

    il s’en fasse expedier actes affin que iceulx veus, il

    aussi à la personne du roy. Voylà comme nous humeurs nous

    sans aulcune espèce de changement pour le cas survenu. Ce

    aoust 1572.

    vous contanterés de ce que ferons modestemant et sans

    Prunier

    voullenté. Monsieur, en atendan d’avoeyer de vous

    presente en me recommendant très humblemant

    1572

    anticiper leurs logis et de fère corir ung bruit dung chemin et

    a receu bone chère de leurs magestés. Le recommandant

    servise Mandelot

    Moseigneur en très parfaitte santé très heureuse et longue

    tout seux de qui jay reseu plaisir le mieux que jay

    bonne grace, de madame de Gordes et de tous mes

    Vostre très humble filz et très obéissant servi-

    Magestés vous avoint faites despuis du XXIIII du passé,

    Di vostra Eccelenza affettionatissimo per servirla di tutto cuore.

    dre. On la vendu cinc escus. Voilà Monseigneur, ce que

    de vous, ie me recommanderay très humblemant à vostre

    leur la remonstré souvent que votre vollanté est que nous ne soyons

    conservé au plus grand hasard, jespère en luy quil nen

    chevallier, le priant bien fort que, puisque le Grand

    monsieur, j’ay esté averty qu’il s’est retiré ung ministre

    quant il fut tué hors la ville, comme soudaynement je vous tins adverty. Monsieur d’Exéa m’a dit qu’il en

    par arrest du conseil privé du temps du dernier roy Françoys,

    scollation comme enusans je en ay adverty les

    de la court, sadite magesté ma despechée la letre

    louenge. Je croys monsieur que vous estes adverty

    escript quil eust esté bien louable de faire ses fraictz à mes despens,

    Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye au Monteilhimart, ce XXVIIIe de

    navés honmes en ce monde quy de meilleur cueur

    daussi bon cœur que je prie le Createur après avoir presenté

    monsieur le conte de Tende dont je loue

    le Createur vous donner en santé heureuse très longue vie. De

    de bien que de continuer la bonne vollunté quil vous a pleu

    recommandé à vostre bonne grace, je prye Dieu vous donner,

    où il sest journé suivant des recommandations

    vie. De votre maison à La Motte, ce premier jour doctobre 1572

    (qu’ilz appellent) desquelz s’y en est treuvé bien assés, et mesmes

    Vos tres humbles et obeissans serviteurs les

    de Portes quil vous en a escript, comme aussy monsieur de

    de sa maison.

    en leur faisant fournyr à leur tour ung catoulique feable, ce qu’ilz font. J’ay faict

    les Allemandz seront conduictz en Allemaigne et toutz avec leurs

    Monsieur du Pouet et quelques aultres se sont

    assés simplas et luy sestant catholisé, messieurs

    du pain commung couste trois liardz et va tousjours

    prieray le Createur

    Monsieur, en parfeytte sancté loungues et ereuse

    Sur ce [barré : mons] actendant vous commandementz, je prieray

    Votre très humble et très affectionné serviteur

    menasse, concernant la religion. J’estime qu’on vous envoyera la

    De Grenoble ce IIIe doctobre 1572.

    eslargir tous les aultres prisonniers en nombre de

    estoit attrapé, il ne tiendroit jamais roolle ny contrerolle.

    qui se monstre non moinz affectionné à votre androict

    vous donner

    avec vous ; et sur esperance que j’ay de bien tost vous

    votre dict frère. Ilz sen veullent obliger à vous payer toute la

    Vostre très humble et

    bon ceur que je prierey le Createur

    qu’ilz doibvent combattre, et que Louchaly espalmoit son armée en la

    de se opiniastrer, fortifians leur vile de toute monitions et rempars,

    qu’il souffira de fère crier le surplus, car je ne [fais doute]

    yssy et aveques luy Monsieur de Furmeyer, lequel me dit quil

    Nysmes et ace quon dict les huguenaulx sont

    Ie crois bien que ce sera au plus tart, Dieu aidant,

    moyen vos randrey très humbles remerciemantz

    Et despuis ledit advertissement, nous avons heu quelque

    y envoyer monsieur de Merieu avec de forces, il en purgeroit

    le corne droit, et [barré : lambassadeur] le general des Venitiens

    pas, ne luy avec. Et se survient quelque aultre chose, ne fauldray vous

    [Réponse de M. de Gordes]

    suis tousjours doubtée qu’il ne vous porte domage de les

    serviteur

    Mandelot

    Et ne sachan autre chouze qui meritet de vous

    [dessin d'une croix à six branches]

    de l’argent, que l’on a donné ceste larme expressement

    me donnet avis que monsieur le mareschal

    catolizés, pour de tant les descharger de leur cotte, bien que je ne me veulhe point

    corrier venant de [barré : Romme] Itallie que porte nouvelles de

    le chevaucheur fère courir exprès ce paquet, afin que messieurs

    le chevaucheur fère courir exprès ce paquet, afin que messieurs

    Votre humble voisin et [barré : aff] serviteur

    elle treuvera mes très humbles

    soubz l’hobeyssance des edictz de sa Majesté, pour ne guaster

    vrai moyen pour me accomoder vous aller

    sa majesté ; et comme il se sentira pour se pouvoyr tenir

    darriver de Gordes. Présentement, les enfens

    rien. Ung des gens de monsieur de Portes qui

    fassiés estat de mavoir pour personne quy dezire vous respecter et fère

    Baptiste de Simienne

    Madame de Cazaneuve et la grace à Dieu en bone sancté

    de plus en plus de voz commandemens et du très humble et fidelle service que je

    ordonné desdits parties et pour ceste cause, il me semble

    et n’y veirent aultre qu’esfroy de ceulx qui pensoient qu’on

    Pierre de Ponteves

    de ce que j’escrivoys qu’il y en avoit une des deus dattée de Moueram. Je n’ay encoures eu la responce de la lettre qu’avés escrite à monsieur

    Votre à jamais très humble et plus

    audit lieu malade et quil esperoit incontinant quil pourreyt

    servyteur

    le XIIIIe jour d’octobre 1572

    servisse très bien humble et de ma part, autant que gentilhome de

    affectionné serviteur Truchon

    Baltazar Ollier

    Spagne et autres lieux. Mon nepveu et moy

    lendemeyn de votre departement, dans lequel estoyt la

    Votre très humble nepveu et très obéisant

    nouvelle. Ceulx qui en sont comme Venon, Pecat

    à vous faire service

    plus seur quil luy seroit possible avec le nombre de soixante

    et Anthoine Morfin, commis au debitement en gros et

    et obeissant

    revencher auci mal que jay fait pour le passé.

    mes compagnons me rendre vers vous s’il advenoyt remuement.

    qu’au Champsor y en a dix et huit ou vingt. Ayant comuniqué la letre

    et prie le Createur vous donner santé prosperité très longue vye.

    me despanser en voz letres

    mes cousines de La Pierre, de Chastelard. Letans est

    serviteur

    remectant aux susdites lettres et me conrey pour

    despuys huict jours ont vendu de leur bien pour

    d’Orenge, et le nous jecter dessus, avec quelques aultres choses

    pour men acquicter le mieulx que je pourrey, ayant en premier votre

    ce XXIIIe octobre 1572.

    le Créateur vous donner,

    Je vous baise les mains très humblement et vous donner

    Vostre plus parfaict amy et

    leurs letres depuis mon partement où je les laisé an

    suplie le Créateur qu’il vous doint

    qui en vient de Vallance du quartier dambas ; faisant fin, priant

    de son bestail, l’autre partye il faict manger

    De Buffevant

    bien.

    et n’estant ceste pour autre, je me recommande etc…

    mettre fin à ceste cy, par mes plus humbles

    de voz très haultz et généreulx désirs. A vostre mayson du

    au préjudice de mon commissère qu’en a informé, et de mon chastelain

    de ce que n’estes paié de vous estat ; et ne

    protection ; et je vous demeureray obligé de ce bien comme

    Monsieur avec les siennes très sainctes, très bonne heureuse

    P. de Simianne

    vostre bonne grâce, priant le Créateur vous tenir

    garson destable come est dopinion mondit sieur de

    il faira. Aurreste, monsieur le cappitaine Maire qu’avés veu

    chose qui mérite vous estre escrit, je vous bayseray très humblement

    comme adviserez. Je n’ay receu encore aulcune nouvelles de monsieur

    des meilleures maisons de ceste ville. Monsieur le légat

    Vostre très humble serviteur

    Créateur qu’il vous done, en parfaicte santé, très longue et heureuse vie.

    de sorte que s’il y en a pour moy, ne les puis avoir qu’à son

    toujours en sa protection et sainte gâce pour

    mandé. Il m’a respondeu la vous garderoit et

    que j’en avoys coment de moy mesmes, ce que j’avoys jà faict auparavant

    devant que de passer c’est an. Je veux scavoir s’il faudra

    pour les affaires qui sont à présent en France en contreverse entre les deux

    havoir quelque récompance de la grand despance qu’ilz portent

    Montoyson.

    Votre très humble et hobéysant à vous fère service

    et atendan, je finerey septe de mes humbles requomandations,

    voir et sentyr en se dict page auquel m’en

    rettour du porteur, car ma responce eust bien manifesté cy

    l’avoyent recherché et pressé d’accepter la moytié de

    très humble service, à quoy me trouverez toute ma vye aussy affectionné

    car ilz sont tous, jour et nuyct, de guarde, et sy leur hey retrenché, de troys

    et dict-on quan ceste occasion, on est en traicté de viente

    Vostre très humble et plus obéyssant serviteur B. Olier

    eschappera. Il ne s’y fault fyer que de bonne façon et prenez bien garde que sur

    a bailhé ung votre pacquet, passant par ici du VIIe du présent.

    Esguille

    de fort bon cueur. Il leur dict qu’il vous escriroit et

    comme filz.

    Bressieu

    vie. De La Terrasse, ce premier décembre 1572.

    vous donner

    des habitens, sans nul excepter, sont en bonne volunpté

    que à chesque cousté de l’austre méson

    mais puis qu’il n’est riens de la mort de l’empereur dont l’on

    employer comme on dict jusqu’au coulde. Je vous supplie tres humblement,

    advis et conseil, auquel toute ma vie ie désire

    Votre bien humble amy et serviteur

    vostre que pour leur bien et reppos du pays.

    garder en bonne santé et heureuse prospérité.

    service. Je vous fusse allé faire la requeste et vous

    votre très humble et plus affectionné serviteur

    de Simienne Alle[man]

    Monseigneur, en très heureuse santé, très longue et heureuse vie. De Dye, ce

    B. Olier

    Vostre plus affectionné parfaict amy

    grâce, priant le Créateur vous tenir

    faict sortir son père de sa maison, ayant bien

    quelques parentz qu’il y a. Il a esté prins prisonnier

    de La Rochelle, encores pour ceste bonne foys ; pour

    conduyre le tout à son honneur et gloyre. Et en cest endroit, je

    De gargas, ce Xe décembre 1572

    nouvelles, me ferez fort grand plaisir, vous priant pour la fin croyre que je vous

    arresté à Naples, y attendant nouveau advis du roy

    X décembre 1572

    esté en grande pouvreté ses jours passés pour la grande

    commandée. On ne vous veut accorder la levée d’aucunes

    vous doner

    que j’ay faict une pouvre acquisition pour vous sus la

    Dieu m’assister, vous pouvant dire que pour

    monsieur, en santé contante vie. De

    François de Simiene

    S’il est là à Grenoble, quelcun de voz gens luy pourra bailler ma

    cause que je ne ay plustost et non pas que voz lettres ne me

    infinyment de vous et loue [le] trètement qu’il a receu

    lui en parlay, ce fut le jour qu’il partit de ceste ville

    plaira d’ordonner. Voylà toutes les petites nouvelles que

    flans, disant les ouvriers qu’elle ha d’espesseur sept

    Lyon, ce XIIIe décembre 1572.

    peult estre que ce soit après cet yvert. Il y a plusieurs de ceste

    aussi acoustume de veoyr sceulx qui entroyent

    les comptes de monsieur d’Aubignan envers messieurs

    Germein courre le cerf, mais les roynes, ni messeigneurs

    commis des estatz du Daulphiné.

    XVIIe du passé. Voz lettres pour Grane sont sur le seau. Je ne

    Monseigneur, qu’il vous doint, en parfaicte santé, heureuse et longue vie.

    qu’il vous plaira m’employer et commander que ce sera

    de vous fère responce de la lettre et mémoyre

    long sésiours à Gargas pour avoir icy la

    car ma femme me l’envoyayt à Aix par ung qui passoyt

    Xembre 1572

    Grenoble, comme monsieur de La Pierre estoit allé veoyr monsieur du Pouet, lequel il avoyt conseillé comme son allhyé et amy

    et serviteur à jamais

    à sa bonne grâce.

    Voz très humbles et obéissants serviteurs les commis

    Dieu leur donner la grâce pour la nécessité en laquelle ilz mectent

    Votre plus affectioné à vous honorer,

    Après plusieurs allées, venues, plainctes, bravades et déguysements,

    et ung aultre de foin du vilage, j’ay voulu essayé

    recommandant à votre bonne grâce et à celle de monsieur l’archevesque

    Birague et yer fut enterré

    s’appelle Sainct Germain et quelques aultres encores et ne voy point qui

    sans sa licence expresse. Et de faict, sans madite indisposition, je y eusse désjà donné

    Je ne faudray à vous advertir de ce que j’y auray peu

    Monseigneur, que en sancté vous donne très heureuse et longue vie.

    lequel a receu la lettre de banque pour mille IIIc livres

    Votre très humble et très obéissant

    Votre humble serviteur

    comme je m’asseure, de bon accord, car mondit sieur le marechal

    laquelle monsieur le cardinal tient qu’elle ne secourra aulcunement

    Lavacine

    esté guères moins de deux pieds, dont il n’est rien fondu à cause

    jourd’huy, apprès midy.

    Boyvin pour Moras]. Le bras du roy est, la Dieu grâce, bien guery,

    Votre bien affectionné serviteur

    numero, insoma non ha voluto fare niente, la

    aulx bonnes grâces de vous et de madame

    Serviteur

    mieux que pourray pour veriffier si ie treuverois

    se que je nay voulleu fère pour nous tenir tougours

    pas ses financer pour leur payement et pour leurs appoinctementz

    advis de leysser le courtault pie à la charrette. Messeigneurs

    à jamais

    bons mulets. Nous avons ung pavilhon pour metre

    à la bonne grace de madame de Gordes

    vous faire service

    Anthoine Colonna ses jours passés partit de Gênes pour aller

    nouvelles. Bien ma dict ung cappitayne

    vous ay escrit cy devant, qu’il est necessaire que vous dressiez

    ala aux toylles où il y avoyt une senglier qui

    que je vous puys escripre fors que je vous baise les mains

    chevaucheur de ceste ville. Ne saichant aultre chose pour lheure

    court, questoit la cause quelles ne faisoyent que pleurer et lamanter journellement ; si

    sieur du Pelloux. Et n’estant ceste par aultre,

    très humble service.

    de faveur pour moy pour vous addresser, mais il ne se treuva

    prins car il est merveilheusement

    alcuns biens. J’en feray informer plus amplement. Et pour

    sur ce faict. Mondit sieur d’Evènes attendoit de partir ce

    avoit ordonné des deux quelle men avoit retranché. Vous scavez

    Je suys informé de bonne part que aulcuns

    Pierre de Montguers ansien advocat,

    De vostre maison de Saincte Jaille, ce 12 janvier 1573.

    a bon besoing. Au demourant, monsieur, lon me mande de la court que

    Vostre très humble très obeyssant

    votre seigneurie adjoustera infiniment aux aultres obligations que nous

    de Vamtadour ; ausy il[s] se çont seyzirs de Bouzas

    darquebusiers jusques sur le bord d’Esrieu qui

    disant de plus que Monseigneur, frère du roy, avoit eu nouvelles que ceulx de

    roy ou pour le votre. Toutesfoys et quant Dieu nous fera ceste

    Charles de Simienne

    que maintenant les depences ne seront pas si grandes, dautant que je

    Daulphiné venant du Lyonnoys ou passant par icelluy

    q’uaiés veu monseigneur le cardinal de Lorraine qui vous

    nommé Loys Lyous et laultre Mathieu Chabrières, comme aux derniers troubles

    Votre très humble et obeissant serviteur

    deus autres. Je ey encoure en vouyer querir

    fère entandre. Finiray la presante par mes très humbles

    1573.

    très heureuse vie, vous saluant de mes humbles

    avoyr supplié me commander votre vouloyr pour icelluy

    près du Rosne et que les rebelles tachent de surprendre

    ma mayson, et par mesmes moyen les exempter de la contribution

    ou aultre, tel que myeulx vous adviserez, car en ce parlement

    publicques. Mon homme nest encores venu, par lequel

    noz droictz et vaccations quil a falu faire.

    recomanderey très humblement à voustre bone grace.

    lequel a prins le faict pourt me garentir comme il est tenu

    premier jour juridic après les Cendres, auquel temps

    serviteur

    de faire tenir sa campagnie preste.

    vie. D’Apt, ce XIXme jour de lan 1573. Vous naurés par

    monsieur, vous conserver en parfaicte santé.

    Votre plus humble et fidelle

    supplie vous doner,

    presenté mes très humbles recommandations à votre bonne grace, priant le

    Votre bien bon et affectionné

    Montoyson, ce XXme de janvyer 1573.

    plus à vous faire toute ma vie très humble service qui

    me doynt pasyanse é a eus grasa de connestre la

    mais le temps est changé ; sy serois je aise qu’il eust

    faire et leur sera faict leur payement par celluy que vous depputterez

    oublier une partie de mes devoirs may je nay point [barré : pas ] de regret

    de la court, toutesfois je n’ay voulu laisser de vous en

    la fourniture dudit champ ne soit pas prinse en ce païs

    vins et meubles et que il l’anvoie ses filies,

    et mad dit que monsieur le marechal alloiet

    B : Olier

    congnoistrez que je vous pourray faire service avec asseurance que me

    et ce XXIIIe de ce moys, je vous ay escrit par [barré : un autre] Colombat et par luy vous ay

    pied qui accompaignent ladite artillerie, ensemble les mariniers, chose qui seroit cause

    serviteur Furmeyer

    son beau frère le vous faire entendre à ce quil vous plaise

    asseura que le chateau de Cornusson sestoit rendu et ceux de dedans tous tués avec lespée et

    à Vifz, ce XXVIe janvier 1573.

    avant hiert en ceste ville, venant de la court, qui me dit que messieurs d’Evènes et de Laval

    dernières lettres royaulx vous advertissans que je crois en

    priant Dieu en très bonne et très heureuse saincté,

    recogneu de monsieur le mareschal Dampville

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé, bonne

    tant envers votredite seigneurie, que tous ceux qui de vostre part nous seront

    fère entendre pour la charge que javois icy par sadite

    en telle necessité d’argent quil m’est du tout impossible pourveoir au payement des

    de sa majesté. Au demeurant quant aux IIII compagnies

    vous tiendrez la main à ce quil ne se face aucune vente en ladite forest.

    Veu, à monsegneur de Nemours ; et [barré : all] estans près de

    baterie, nous pourrons plus esement voir leur contenance

    Cugie

    XVIe fevrier 1573.

    yci encor pour lindisposition de la royne de Navarre.

    suppliray le Createur vous donner,

    marées sount petites, lons n’a grand opinion de la venue desdits

    service, de telle volonte que je salue voz

    precedante, il vous escripvoit et moy ausy quil avoit

    je metray ce bien et obligation avec tant dautres que jay

    De St Gervais, le 24me fevrier 1573.

    de Cabanes quil avoit anvoyé vers ma niepce et vers

    Dampvile pour lacister en ce qui se presentoyt du

    presente, monsieur de Cublaize ma escript que monsieur

    de son bons sens et depuis quil est mort. Ce sont novelles

    quy est allée à La Rochelle, ce seroit impossible que ce pauvre païs de Languedoc peult

    affection que de moy. Au demeurant, je remectz à vous

    je prierey Notre Seigneur vous donner,

    Quant à nouvelles, je nen ay point aprins depuis mes precedentes,

    mal pourtée, priant Dieu quil luy doint et à vous

    Francois de Simienne

    peyne de ceulx qui sont à La Rochelle. Je prye Nostre Seigneur les

    en ce parlement, bien nous apercevons nous quils

    dix ans. Mais je cognoys bien que votre amytié

    pour fin à la presente, après mestre recommandé bien fort à

    Votre très humble et plus hobeissant serviteur

    quilz font de sy beaux traitz, lesquelz à la fin leur tumberont sur la teste.

    monseigneur, je supplieray le Createur vous donner en

    seullement à Bourg en Bresse, où j’ay donné charge au sieur de Mandelot envoyer.

    Pourdeaut

    cappitaine Briant et moy avons parlé ensemble ses jours

    Veaulne

    des petites beches. Il y advoyt des grans bateaus quy

    avecq laide de Dieu, que larrest sera en

    guerre au contentement de leurs majestez et veuille preserver le

    pourtoyent ung sac de pouldre pezant six lyvres. Les

    de Chalancon et lieu de maison seulle ou bien à ung sien

    adverty par le moyen du cappitayne Barate qui partyt du camp le XXIe du passé. Le roy est

    a bien recogneu et croyons quil vous en escript) si est ce quon

    Sommieres, mais je le feis sur ce que vous me mandastes quil deliberoit de

    de mes très humbles recommandations. De Vernoux près Chalancon,

    antreprandre, cella les arrestera. Vous mescripvés

    lieu de votre gouvernement si par votre saige prevoiance il

    sire Pierre du Rifz ma dit, quil neusse à me rien bailher

    monsieur en santé, heureuse et longue vye. De Tollin, ce

    ne le font pas à trop grand haste. Des autres nouvelles,

    monsieur de Maugiron est encore de delà et assemblée vous vous en pourrez ayder pour

    quelques gens de cheval et de pied et à ce que

    aultrement ne porons satisfère mesmes

    prinse du Pousin et se desesperoit quant

    Et lasseurance que jay en tiendrés adverty monsieur de Gordes,

    Monsieur, depuis ma lettre escripte, jay repceu celle quil vous

    estant chose tant importante pour le service du roy et aussy

    de noveau, ne ferons faulte vous en advertyr incontinent daussi

    seigneur. Je ne vous en direy davantage par ceste,

    commodité se presente pour parler de vostre affaire d’avec

    le nombre aux consulz de ceulx qui ne sont pas

    costé comme j’en ay heu le vent. Et atandent votre

    ville et au château où j’ay trouvé une si forte resistance qu’il a esté

    ensamble selle que m’avés escrit.

    pour estre leur chef, les aultres disent que sera le seigneur de Monbrun, et

    monseigneur, tout l’heur et contentement que je

    enquoy alors je m’emploieray et satisferay de tout mon povoir ; et comme

    des deux mulletz que le pays luy ont faict present.

    Vostre bien humble serviteur et

    advant le XIIIe du passé, où il y avoit ung pacquet

    Votre très humble et aubeissant

    L. de Brianson

    vous m’avés escrites de l’armement

    Votre très humble et très obeisant

    de Gordes. Priant Dieu vous donner,

    le bord du Rosne prez du Pouzin. Car par ce moyen ilz

    bien grande necessité. Si la fortune vous dict

    Escosse, Souisse et aultres onnt faict imprimer

    tout sabbas. Ces jours passés, tous leurs chefz

    garder, et sy ce n’estoit l’honneur de Dieu qui me commande plus que la

    despêche que luy ferés. Je layssay avant-hier

    de canon jusques auprès de la ville, voulantz

    la fille que j’espere sera portée sur les fonds par mondit sieur

    de Morvilliers. Quant aux nouvelles, si vous estes encor

    donner en santé heureuse vie. De Lyon, le VIe mars.

    craindroit comme la mort, combien qu’on ne lui impropère que ledit departement. J’ai

    frère et serviteur

    mes seigneurs de Longuerville et de Guise avoient comandé

    que les huguenaulx de Daulphiné et Provance avoyent faict

    mars 1573. Ainsi signé Charles et au dessoubz de Neufville

    Gordes soit an bonne santé et an recommandant graces à Dieu, luy priant vous donner,

    mains par la presante de votre seigneurie. De votre ville d’Embrun, ce

    monseigneur, très longue et très heureuse vye. D’Embrun, ce VIIe mars

    Vous aurés peu veoir comme par lettres du premier de ce moys monsieur

    advis avec la lettre cy enclose que je luy escriptz, par laquelle

    Votre très humble et hobeissante

    tousiours l’oppignon de monsieur d’Apt et myenne. Nostre Seigneur

    pourriés penser, et le nombre de

    renger à la volunté de sa magesté

    et me semble qu’il n’y a poinct de mal

    Monseigneur je me rapporte à ce que messieurs

    grace. Je prie Dieu qu’il vous doint,

    nessessayres. Ilz desirent advoyr quelques estrangiers

    sont icy vous presentent leurs humbles recommandations

    pour parlementer avec Monsieur. Toutes ces nouvelles ne se

    que je pourrey

    ilz sont assés suffizant pour se garder, pourveu qu’ilz ayent ung chef

    affectionné à vous faier servyce

    icelluy toute ma vie acomplir d’aussy bon

    qu’ilz sont an necessité de poudre pour les arquebuziers comme ilz monstrent

    Monsieur du Pelloux me manda icy [mots barrés] par

    endroict que l’occasion s’en offrira, vous priant bien fort vouloir

    cart de lieu dissy que en attandant que sa compaignie sont

    d’une maison à aultre, et est fort dangereux s’y arrester

    premier reffuz de desobeissance et premiere plaincte qu’il en aura de la [barré : licencier

    vostre despart pour aller au Valenctinouiys se qu’espère

    Votre très affectioné amy et bon voysin

    samedy des rameaux, et me prie de garder les pacquetz

    le Createur,

    Votre très humble et aubeissant

    honnestes lors qu’ilz ont besoing des gens lesquelz ilz oblient assés

    monseigneur, vous avoir en sa saincte garde et accomplissement de voz

    Estre [barré : icy] ceans ce matin.

    deliberation y fère acheminer ce que le cappitaine Coulon a

    Il y a deux gentilzhommes ceans avecques moy qui ont porté

    la mauvaise novelle de la mort de feu monsieur

    lettres, je vous diray que je trouve bon que vous reteniez pour encores

    denrées ou bien les assigner sus lieue ou mandementz qui se trouverront moings

    Votre très humble serviteur

    ce que j’espère faire maienant sa crainte. Dieu grace toute

    pour ladite demoiselle de passer oultre et par-dessus lesdits memoires,

    serviteur

    et service du roy. Dieu vueille que cela se face, lequel je supplie

    de l’eau ny en aultre lieu que je sache. Monsieur le mareschal n’a rien encores

    qu’elle l’eut et m’asure que l’avoir purgée luy an a fait

    leur fossé du costé du Rosne et se promectent tougour

    De Chateaudouble, ce XIIII mars 1573.

    Monsieur de Metral

    Votre très humble et très obeyssant

    qui sont ceux la. Je vous ay escrit à quoy en estoyent demeurés

    au dos : coppie de lettre des consulz

    Gervais, le XVIe de mars 1573

    Je ne scay sy avés sceu commant monsieur de Candalle

    muralhes dans la ville quilz les aient à percer

    departiront de leur pays, que sera

    de Gordes voye en la presente mes

    fin après vous avoir presenté mon très humble service et prie Dieu

    Votre bien humble et meilleur amy

    XVIIe mars 1573

    nous ne trouvons moyen de l’amener en Daulphiné

    dix septiesme mars 1573

    d’Anjou y avoit aussi bone part et l’archiduc Hernest en

    Monsieur, an parfaicte santé longue et très heureuse vye.

    dix sept ou XVIII jours desireroient fort estre ung peu soulagés et

    avons dailleurs, nous doubtant quilz ne soyent

    dausi bon ceur que noz recomandons très humblement à voz bones graces

    furent blessés.

    ordonnerés, attandant que celluy quil vous plairra ordonner

    de pouvoir employer et nous et noz vies pour

    despeché ung de nous exprest pour vous advertyr de ce que dessus

    commandoient en ladite ville, ayans laissé les habitans non moins

    la prezante, je la fineray par mes très humbles recommandations que je

    qui me fera fère icy fin par mes très humbles recommandations

    L. de brianson

    la coctisation que jay faicte dans les ressortz des troys villes susdictes

    ce qui se presantera, je vous tiendrey adverty, et atendent

    votre très huntble et très obeysant

    de ses cartiers, mais, sachant que ce nest sans juste occasion, je ne

    compagnie et plusieurs aultres gentilshommes qui y ont esté, vous

    Madame d’Ourche [barré : s] sallue voz bonnes

    par le decès de Maxemin Lacrose de Faussiny en Savoye qui estoyt maryé et

    zèle et affection quil a maintenant au service de sa majesté, principallement en occasion

    commissaires sur lallienation de XXXVI m[ille] livres du revenu de votre domaine et faict entendre

    une ordonnance quil ne sen bailleroit plus. Je prie Dieu, monnsieur de Gordes,

    par parole, autres par lettres, [barré : de] quilz ne prendroyent jamays

    Charles

    le temps est tel quil se fault accommoder aveques eulx ; et

    nen estoyt parti ledit jour [barré : il] et, aveques quelque siens adherens, gaignerent la

    pareille à la royne en soubstance.

    vous comme comme vous avez bien commancé, ayant faict mettre en pièces la cornette

    coulpable. Bien est madite intention que lon y procede vivement et ainsi quil apartient,

    mesmes despuis VI jours [mots barrés : y (mot barré)] en ung rencontre à huit l[i]eues au

    la chastellenye de Beau Repaire, dont il na

    ma cousine Marie et la petite cousine, vous

    hobeyr

    repoulsarent si vifvement quilz y furent bien frottez et en demeura sus le lieu

    debtes que, sil ne plaist à votre majesté y avoir esgard et leur departir de votre grace

    les gens des estatz de ce pays, cuydans bien faire à ceulx de monseigneur le

    plus amplement il plaira à votre magesté veoir par la lettre que jejscriz au roy.

    lordinaire et ne face plaindre ceulx qui y ont interest. Jay veu et bien consideré

    Suze pour mayder aux affaires que me sont sus en ce gouvernement,

    amy Anthoine Coste

    pendente en votre conseil dentre eulx et le procureur des estatz de cedit pays.

    aulchune ayde que dudit sieur de La Motte et dung

    Gordes, tenir la main. Pryant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa saincte

    vous desiriez sans en ordonner dautres à mon cousin le marechal de

    Charles

    maniement des deniers que votre magesté desireroyt

    le[s] provisions necessaires pour la monstre de la compagnie de monsieur de Nemours et la mienne.

    pourray garder de seslargir au plat païs et diceluy ruyner

    commande au Pouzin.

    lequel ne me pouvant accommoder de sa compagnie, ne de celle de monseigneur

    Charles

    n’aura ocasion de se plaindre. C’est en partie ung sommaire de ce

    Charles

    meysons sus les murailles et aussy pour la mauvayse garde

    fort agreable ; car, comme je vous ay dict, je desire grattiffier ledit doyen

    maistre. Priant Dieu vous avoir, monsieur de Gordes, en sa garde sainte. Escrit

    et misericorde, esperant que lesdits de Daulphiné obeyroient audit eedict, javoys faict

    après et je vous asseure que vous ferez chose qui me sera à singulier

    ce qui peult estre deub à la gendarmerie qui a servy près de vous, dont vous

    1573

    suspension d’armes que vous avez accordée, ce que je n’ay trouvé bon parce

    le roy, mondit seigneur et frère, vous faict, à laquelle je

    seigneur le prince son maitre, mesmes de la prinse de deux

    aussi jay envoyé [barré : la commission] leedict et lettres de commission necessayres

    leur en ay envoyé[barré : e] coppie. Je attendray leur resolution et ne

    Madame, vostre magesté verra sil luy

    de ma bonne ville de Paris. Vous me demandez si vous ferez

    Charles

    et leur faire recepvoir mondit edict, qui est tout ce que je desire le plus

    syre, je suplie trèshumblement votre magesté vouloyr

    sieurs de Roysse et de Lediguières venir pour esclarcir

    de la vie ; et où après ladite publication il sy en retrouverra encores quelques

    quilz presenteront, quilz ne poseront les armes. Je retenu

    sur peyne de la vye ; et où après ladite publication il sy en retrouverra

    ce mot pour ne vous tenir en peyne de la reception de vosdites lettres, priant Dieu,

    Gio(vanni) Galeazzo s(an) s(everi)no

    la levée de XL m[ille] l[ivres tournoi]z fust mise en

    la fasson nous renvoyer dun à autre, mais en ensuyvant le vouloir de sa

    que sera possible, nous vollons pour ces causes et

    delaisser les moyens quil a avec lesquelz il promet

    et vouloir, prenant à grand regret et desplaisir les contraventions et excès

    hommes darmes, tant en son nom que comme heritière

    le laquay de monsieur des Pilles quilz n’ont tué comme ilz ont achevé

    comme ses predessesseurs et luy avoyent tousjours heu seubz une

    La Lupie : Xm p. X p. v. – fourny : IIm pains III p. v.

    dessus de la lettre est escrit : A Monseigneur, Monseigneur le

    me pressoyt tousiours de plus en plus à venir par deça, ce que

    qui se sonnt faictes dedans Cerres et un couple quilz en font

    nous aye en sa protecion car je ny voy aultre

    des autres garnisons circumvoysines quont estés

    aulcun complot et monipole à lavantaige des rebelles de ceulx

    chose à votre grand profict et attendant ma dellivrance par le moyen

    environs dicelluy pour, en cas de necessité, vous opposer et empescher

    aultre demande qu’il leur faict, qui est que

    dans ledit Pommerol, elle sortiroit effect et si tant estoit que [ajouté : à] larrivée

    lennemy qui luy feist teste et combatyrent bien douze heures si furieusement

    au bien du repoz public. Ce faict vous envoirez

    griefve à grandz fraiz et despens en la cité de Grenoble,

    Je ne vous puys mander aultre nouvelles, synon

    les honnestetez et courtoisies quilz recoypvent de leurs bons amys. Et

    Pour la garnison de Dieu Le Fit C XX hommes

    esté traitté entre eulx. Dieu nous doint, et à vous

    garde à qui prie.

    main à ce que je luy escripvis dernierement par ceste

    et est à Laxo. Celle des Venitiens est au Trente. Lon ne

    courant jusques aux portes, et le marquis de Rangon, lon luy dressa une

    serviteur et den commender votre bon plaisir à la court

    me faire encores ce plaisir de luy faire tenir ma

    de la part du païs, on luy respond que les commis du païs ne doivent plus

    longue vie. De St-Chamond, ce XVe daoust

    le Createur

    votre entièrement

    Suze, poyement de gré à gré suyvant lordonnance du roy, et de faire

    à la vérité, il y a pitié de tous costés car vous scavés

    guières en Avignon laffaire avant larrivée du cappitaine

    je feray ce que je pourray et ne doubte qu’on vous baillera la charge dy pourvoir, dautant

    desquelz mestrey peyne dauci bon cueur vous fère

    medesyn de y fère quyequel chose. Je an suys an peyne

    ou bien peu, sur quoy il ne ma rien respondu par la

    merite. Notre seur et moy voz baisons les meins, en

    icelluy toute ma vie acomplir daussy bon cueur

    nepveu Baltezar, priant Dieu vous donner

    ne de noz enfens. Je pence quelle vous escript

    Lyon le XXVIIIe daoust

    gentilhomme, present porteur, monsieur de La Fontaine Milon

    charges que la sienne fussent aussi de personnes de semblable calibre et

    Notre Seigneur vous donner

    javois vendu mon molin à madite dame et luy avoit

    Monsieur, je prierai Dieu vous donner contente et longue

    leur arryvée. Le lougis de monsieur de Laval y est

    Monseigneur vous donner en parfaicte santé très heureuse

    du pays, à faulte de quoy il pourroit advenir inconvenient

    à laquelle lon cuyde ny avoir neulle defance, dautant que cest une mauvaise ville et de

    car il y a si tres tant des vins

    ré que André Dorie avec ses galères

    bonne grase, suplyent Dieu vous donner en bonne santé

    et de La Mante. Le dit sieur de Mandelot me dit quil vous vous avoeyt

    aultres excès pour les remettre à justice, et du moins les

    lesdits loups pour la pluspart du temps aux

    très humblement permectre la levée des deniers à ce necessaires

    se soin de lettre ie sallue les

    nous avons faict, et encores quil nait reussi selon noz intentions, si est-ce que les bons

    bon cueur que la dame de sceans et moy nous

    ancores pas grand asseuranse. Bien me promettent ilz que

    Grenoble, ce IIIe de septembre

    quavés fait pour guarder qu’airrange ne le randit et

    humbles recommandacions à vostre bonne grace, priant le Createur vous

    monsieur, en parfète santé très heureusze et

    acheminer de par deça, tant pour le soulaignement de tout le

    bon playsir et commandemant, auquel vous

    carteyron pour les vendanges dycy qui ne souffiront,

    merlentz pour vacquer en charnelle contemplation. Je me reserve à

    a prins la place dunne fievre tierce qui, presentement, la

    il mapportera et aussi au prieur de

    Dieu vous donner en bonne santez

    Sault que trois ou quatre mont asseuré pour aresté. Scay-ie bien que estant

    Monsieur, je me recommande humblement à votre bonne grace et

    vye. De Grenoble, ce VIe 7bre 1571.

    G. davanson A. d’Ambrun

    chescung an jusques à ce quilz seront entieremant rambourcés

    vendu beaucoupt plus quil ne vault. Medit de Leglise

    monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison de Montoyson, ce

    serviteur

    et haubeissant serviteur

    madame de Bressieu [barré : en] eust la

    navons volu metre en execution sans au prealable avoir votre permission

    sallée, il ny a point sabas que du lard et

    createur vous donner

    Votre plus humble et très obeyssant

    garde. Lon ne continuera à vendanger à

    Vostre très humble et

    à La Terrace, je me yray parquer à notre maison pour

    filz Jean Baptiste et entrer en la despense

    et très heureuse vye. De St Pol, ce XIIIe sepbre 1571

    men dire ; et advant son despart, il sen va recepvoir

    que je vous diray, après mes humbles recommandations à votre

    que je vous diray, après mes humbles recommandations à votre

    quilz estoyent de Milanoys, à scavoir de Cosme d’où

    à St Humier à la charge que sil ne ly

    pour aller en Italie changer dair, lequel, penssant luy estre

    les jugementez et authorité de la cour. Quant aux novelles

    que messieurs les jentilhomes de Chamssaur desirent

    et aux siens. Madite dame de Gordes coumance

    vie. D’Apt, ce XVIme septembre 1571. Encores ne veulx-je pas

    et le fère venir en bonne senté, de quoi

    Je suis marry que je ne puis rendre mon debvoyr

    et ce bien destre près de vous pour vous raconter ce que lon a faict

    votre très humble et très affectionné

    secretaire des

    Pierre de ponteves

    sepbre mil Vc LXXI

    et satisfaire au faict duquel est dict comme aultresfoys

    Je madvance d’ung jour pour venir veoyr monsieur et

    Mourins que volontiers vous len prierés, mais que vous le

    aulceray aulcunement chose quelle ce soit si non coment lancyennité porte,

    colique, que me fayct vous envoyer une piarre propre

    Bressieu

    Votre bien humble serviteur

    et sil est ainsi nous ne laurons gueres plus tost que la

    serviteur

    dizirs. De St-Gervaix, le XXI 7bre 1571.

    très humbles recommandations à votre bonne grace,

    pour lexecution des funerailhes de feu monseigneur de

    1571.

    bonne santté longue et heureuze vie. De Grenoble,

    ma reprins le porpoz de monsieur de Montfort, lequel il a fort

    le personage dont est question est encor bien jeune pour la

    Sil vous plaira pour honorer messieurs voz frères, vous porriés adjouster

    monseigneneur [sic], longue et très heureuse vie.

    avoyne XII picotins

    les maisons ; iceulx bruslent, pillent et sacquagent

    cappitayne La Cazette, en très bonne sancté, longue

    Cot

    si non que cest pour cette heure la chose de ce

    grace, priant Dieu qui vous doint

    courir au feu, partie de ses gens entreront par ladite porte, les

    sera possible, et au reste madvertir de la reception de ceste cy, me

    feut leu par monsieur de Sauve devant le roy dans son cabinet lendemain que ledit

    part, ilz attendoyent parolle et que maintenant, on la leur veult

    Vostre humble et affectionné serviteur

    pour estre auprès de vous, qui

    bien au pays. Monsieur, Blaise Allez ma dict

    de peines pour la resignation quil fault avoir pour

    que les companies don[t] sa majesté vous a escrit cy devant

    companie et à celle de monsieur de Nemours ; et pour le surplus

    car pour ung mal en pourroit venir deux, comme trop

    en beacopt de lieulx et porroit advenir quelle viendroient à sengager

    suyvant la costume, bien marry que ne ay lettre de monseigneur le cardinal

    et heureuse vie. De Briançon, ce XXVIe janvier 1574.

    dont ne seroyt contrevenu à la suspention, car, quant ilz

    janvier 1574.

    Vostre très humble etrès obéisant frère et serviteur La Roche

    du general, il sy portera fort fidellement, aultrement ilz y commettront qui bon leur

    plus que iamais vos affaires en recommandation. Les gardes

    garnisons sassamblent à Rivières et ont la force

    m’a asseuré que certainement il estoyt si mal avec ceux desdits Landres

    cause que avons requis ledit sieur de Granieu sil y auroit moien que

    de monsegneur de Nemours, pource quelle se treuve avoir faict

    Jay fourny audit Froment ce qui est necessaire pour les compagnies durant ce

    cens hommes darmes et XV compagnies de deux cents hommes par delà,

    ma dame vous donner ce que desirés et vie longue.

    et au contraire les habitans vouloient que tout feust desmoly. Si bien que, suyvant

    Le pegue

    serviteur à vous obeyr

    leur faict et faulte ; et partant, nous ne povons consantir la veriffication

    en augurent fort mal.

    jamays je nen heusse ouvert la bouche et mes

    advis quant il plairra à Dieu nous donner cest heur de

    en quelque bonne esperance de paix. On se doubtoit que le filz de Briquemaud voulsit

    en augurent fort mal.

    c de la mothe

    presté encores deux jours à mon hostesse de Chambon,

    avoyr envoyé les advertissementz de monsieur de Birago

    à Merlon pour fère ses couches. Je croys bien

    servixe

    et atandant votre comendement, ie finyrey ma lettre

    de Damville, ce doubtant que sur ce faict du conte de Gayas, estant le subiect sur la venue des Suisses en votre

    aurions prins pour le passé mesme chemin, mais les habitants

    A Grenoble, ce IIIme febvrier 1574.

    soldatz illec, estans comme ilz disoyent pour la garde dudit

    de justice. Bonnet, lieutenant, de St Remy, vibally

    grace, priant Dieu,

    monseigneur, an parfecte sansté, heureuze et longue vie, avecques

    metrey peyne dexequuter toute ma vye en vous

    monsegneur, en sa saincte et digne garde. De La Coste

    se prepare pour venir à Lion ou envoyer monsieur le duc son frère,

    aura aulcune casserye, et que le roy na retenu en toute la France que dis et huict compagnies de gens de

    le bal, elles nont pas heu grand joye à la reformation des

    veritable et à toutes fins, ensuyvant le dire de Job que son

    sera resolu si la conferance se doibt faire et que ce me sera ung grand

    Il vous plairra aussi, monseigneur, entendre

    à messieurs du peïs. Quand à votre particulier avec beacop

    memoyre que jay dressée pour le surplus de voz affaires dudit

    de ceste ville. La souffisance dudit sieur Faure me gardera

    monsieur lauditeur Faure, present porteur,

    ville soubz lobeissance de sa magesté et votre, aydant

    du travail du chemin. Si la guerre continue,

    exploicter avec celle de Crest tout à ung instant ; et massure que ceulx de

    cappitaine Bolu de meyler ses soldatz aveques ceulx

    de gens et pauvres, que long temps y a, ilz avoint poursuivy davoir

    Jey payé pour la norriture

    congnoistre quand jeuz receu celle quil vous pleut menvoyer

    à ung de la relligion des principaulx de ses

    entreprinse quil ne veult pas dire et je ne lay

    Je ney receu aulcunes

    prierons le Createur

    gentilz hommes, presentz pourteurs qui sont de la compaignie de mondit

    present porteur, car je craindrois que sy lesdits

    où elle ce pourroit recouvrer. Au Monteilhymart, ce VIIe febvrier.

    fayre voir. Vous pouvés vous assurer que je noblie à

    soldatz de Sessenaige, toutesfoys se voyant foyble contre le reste des soldatz

    servir et aymer comme frère,

    de sorte que ledit Ferrier et sa troupe

    Ade Rame

    monsieur, en parfaicte santé, très longue hereuse vie. De Gap, se

    sieur des Ursières, gouverneur de Montpellier, le frère duquel monsieur de Castelno,

    fascent consommer en plus grand peine et travail

    à quelqung qui heusse moyen de les faire recongnoistre de nouveau

    et se purger comme innossent de se fait. Il na point

    ont esté depechées par tout. Vous en devés bien

    humblement à votre bonne grace, suplient Dieu vous donner

    monta à cheval soudain et sen vint à La Mure, estant dans

    contententement [sic] et la verité comme elle passera. Lappoinctement

    livres de recognoissances. Tout y est bien conduict.

    ne ce peult plus, aymé et extimé de tous ceux qui le

    quon vous ay dict au contrayre. Je salue voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant Notre

    est prisonnier. On a depesché à Ryon sept ou huict de ceulx

    Monseigneur, vous pourrés estre adverty de monsieur

    febvrier 1574. Labsance de Notre Saint Père qui est allé à Space,

    sa conduicte ceulx quil treuvera bien disposez à sa persuasion.

    desirés. A La Bastie Neuve, ce IXe febvrier 1574.

    prier escripre et mander à ceulx qui tiennent ledit cappitaine Prachoran

    respondre par un des rentiers. Monsieur d’Aiguebelle vous en [barré : dira]

    qui ha de ses blancs signés, jespère en sortir et y a

    et avoir pitié et compassion deulx, ce que d’aultant

    receu de voz montagnes avec quelque thomes de chèvre, du fruit

    si les habitans du Crest en entreront en soubsson ne men estant jamays

    L. de brianson

    qu’il a achepté long temps après la veriffication de

    qu’il a achepté long temps après la veriffication de

    jay baillé charge de sinformer , [, : par le menu] de ce que fust fait

    ny penser plus, non que je ne soye tousiours en la puissance

    et mat samblé jusques ala reseption de vos lestres que Noutre

    povés desirer e[t] vous suppliant acepter mes

    Lon auroit bien moyen si ces gendarmes qui

    et affectionnez recommandations à votre bonne grace et prie le

    Si je me treuve à la deffaicte, je regarderay bien actentivement

    je desireroys bien avoir moien vous fère tenir, mais la creinte des

    ce XIe de febvrier 1574.

    estoit au plus gros de la guerre, voire que yer, sur

    les provisions des offices de conselhier pour

    que sa majesté ny aucung de ceste cour navoint participation à

    longue et heureuse vie. D’Embrun, ce XIIe febvrier 1574.

    Sil ne vous plaisoit que feussent paiés comme ceulx d’Embrun, veu

    doyvent faire, dont le peuple sestonneroyt silz ne pensoyent estre assistés de quelque cavallerye et ce font ouyr

    tirarent lesdits agresseurs trois ou quatre cops darquebusade,

    grace, priant Dieu vous donner,

    que feu madamoyselle a laisser ; que sera tout ce

    recomandations, priant le Createur,

    la tenue des estatz. Surce, prieray le Createur,

    la guerre continue après la suspension darmes finie ; et atendant de recepvoir voz

    de personnes dudit lieu [barré : non] nont moyen

    ansamble pour me surprandre et tromper sus la reseption des

    y ha intelligence dans la ville. Lennemy sest

    Vostre très humble et affectionné à vous faire

    partie mest allouée, je la vous paieray, ou bien sur la radiature

    ce darmes, je ne vous y puis dyre autre chose, si non que nestant prolongée

    mes [barré : hum] très humbles recommandations à votre bonne grace, je prie Dieu vous

    monseigneur, en santé longue et heureuse

    ce matin dudit sieur du Monestier, laquelle je vous envoye, ceulx

    bien ample à la poste. Je me recommande

    Jay laissé monsieur d’Evènes presentement qui en va parler à la royne

    poier maugré les catoliques. Parquoy, suyvant le consel de

    XIIIIe jour de fevrier 1574.

    soldars de leur trouppe ; de quoy l’on avoit icy vous advertissemens et

    pour l’indisposition de sa personne à cause de quelzques

    nous menassent du mal, mays nul ne soffre

    toutes postulations et poursuictes daulcune expedition de

    de assister ausdits estatz, lesquelz comme nous prevoyons seront mal

    des fortz qui sont aux envyrons de Florenssac et me remetez à ce quil mescrit

    tous les planchemans estoint à dymy abatus et les soldars

    plus du prest des XX ecus que je [barré : feis] prestay pieça à Montronx,

    prieray

    dona. Sy nous apprenons choze qui merite vous tenyr

    Monsieur, jay entendu quon na point pourveu au

    de la cocte en quoy ilz sont cotizés

    affectionné serviteur Truchon

    qui viennent de son cousté. Je menquiers soigneusement sil ne ce parle point de prolonguation de treive, mays

    Postilhon, estant en chemin entre

    très humblement à vostre bonne grace, priant

    et heu[reu]ze vie. De Grane, ce XVIe fevrier

    bon cueur que je desire vous obeyr parfaictement

    aulmosne, de quoy ilz vous requièrent très

    recommanderay humblement à votre bonne grace et prie Dieu vous donner

    Je ne suis venu en ceste ville si non pour vostre regard et

    nous faisons le Createur vous donner

    febvrier 1574 à midy.

    esglize et plussieurs aultres masacres,

    est malaisé de larracher. Lon a resolu de prendre, norrir

    serviteur g deportes.

    prisonniers en ceste ville pour

    vous obeyray daussi bonne volunté que je desire estre tenu en votre bonne

    Il vous plaira faire tenir mon pacquet que jaddresse à Grenoble et me continuer en

    Votre très humble et aubeyssant

    nuict [barré : f] dung cousté et daultre sus les chemins dicy à Valence pour ce quilz nont [barré : j] point encoures veu ce

    les mains du sieur Thomasset, lesquelz lon leur avoit

    estans assemblés en notre lougis, il feut resolu vous

    prandre congé du roy et recevoir ses comandemens,

    à propos pour ninportuner la raine pour ce faict. Que[s]t tout ce

    estes accablé dune infinité daffaires. Si fault

    sieur de Vennes me mande sestre ouvert à monsieur de

    Votre très afectionné à vous fère

    Cela est cause que pour ne le retarder, nayant secre[taire], jay

    de Tallard pour querir quelque trouppe de Provensaulx

    donner,

    Comborcier

    Prunier.

    que vous avez. Suppliant en cest endroit le Createur

    prochains, nous remectons à ses estatz prochains sen deliberer

    très bien, et tous ses compagnons. Monsieur de Chatellard

    De Chateaudouble, ce XXIe fevrier 1574.

    en cest endroit le Createur, après mes humbles recommandations

    et que si ceste guerre continue, il est raysonable que sa

    questoyent en nonbre de trente et me les adviés remys

    febvrier 1574.

    provisions de vous, monsieur, pour estre mieulx obéis des

    le cappitaine [barré : Bastiste] Baptiste avoyt vollu avoyr

    La Mure. Je vous diray encores une foys ce que par cy devant je vous ay

    dargent, la cotte de satin ou taffetas mochetté de blanc

    1574.

    Fourvillyer

    monseigneur, quil vous reserve en bonne prosperité, heureuse vie

    obeyr Louis de la Baulme.

    bon que vous en escrivissiez particulierement affin qu’on ne nous gourmende poinct,

    hosté de là car, à ce que dict ceste femme, il y

    sunt recullez et hont prins le chemin de Livron pour

    de Montoyson, ce XXIIIIe de febvrier 1574

    au long et feray reponce à touts ceus qui mont escrit. Cependant [barré : mon]

    les consulz se faschent de les paier. Vous scavés monsegneur, quun

    nous ne les craignons aucunement. Quant à vostre

    les consulz de Crest

    Serignan ont quité et les notres les

    Ilz luy servyroint de beaucop. Ceulx de Molines ont fermé

    tout soubdain renfourcée nostre guarde, aiant

    De ancezune.

    recourant à vous mon principal support, je vous supplie très humblement

    mander pouvoir de y fère mectre afforce

    de men acquyter cy byen quen ayés contentement.

    le moien, à quoy me cognoistrez tousiours daussy bonne

    il presente equesta non esendo per altro pregaro il

    vostre très humble et très obéissant serviteur

    la royne de Navarre, laquelle despuys ne tacha qu’à mourir,

    point en Prouvance. Si ie pars bien tost d’isy, ie vous

    autre chose, je vous en feray part comme je vous

    que on attende la venue de monsieur d’Ambrun pour s’en résoudre

    tost par monsieur Bruyet. Messieurs du pays vous pourront

    contraire évocation de ce parlement de Paris ne font

    cela est bien certain car ie le tiens de persones de bon lieu qui en ung besoing ne

    pour occasion qui se dira aveq’ le temps et pour la quelle, il y a ici ung notable

    Je n’ay rien oublyé qui mérite vous escrire, qui me fera saluer voz bonnes graces par mes très

    quartiers pour les mortespayes du Daulphiné, don

    tenuz de nous revancher et les recongnoistre envers luy ou les siens.

    La maladie de monsieur l’amiral m’a beoucoup

    escritz. Pour n’avoyr aultre chose qui mérite vous escrire, je salueray voz bonnes grâces par mes

    teur dicestes, avecqz son beaufilz, en si favorable recommandation

    fait estimer que nous ne pouvons tarder de scavoir à quoy

    la réception des présentes, vous scaurés à quoy nous en sommes

    pretendues reformées affin que leur soit rendue la

    si c’est chose que merite encores que les

    notre siège ou aultre sur ce requis pour

    l’on en vouldroict faire mon tort comme vous serés du tout adverty.

    Vostre très humble serviteur

    je vous presente mes très humbles recommandations

    le resovoir là ce que vous suplie sil ce peut de

    obéissant serviteur

    roy faict toutes les demonstrations quil luy est possible de vous volloyr aultant de bien quà seigneur

    Bellievre

    recommandations à votre bonne grace. De Montelimar, ce IIIe julhet 1572

    me recommandant très humblemant à votre bone grace.

    bien humbles recommandations à votre bonne grâce. Je supplie le Createur

    de votre authorité, je vous supplie de luy faire obéyr

    par tout le XXme auost, se trouvera fondz entre les mains du

    Je vous en envoyray par le courrier de la poste ung edit et rendray

    Monseigneur, vous donner en toute prospérité, très bonne

    d’environ quatre cents galères, avecques plusieurs aultres

    que si elle ne vous faict mieux traicter que

    à Apt qui se porte, Dieu grâces, bien, mais

    que le sieur de Cosseins commande, lesquelles leurs magestés avoyent une foys résolus que je les

    ledit seigneur comte vers sa magesté. Quant aux novelles

    Monsieur, après avoir escript la présente, j’ay receu en ceste

    servyteur

    usez de toutes les honnestetez qui se peuvent

    de Meulhon

    parler du partement de monsieur d’Evènes, ny de Guaspar pour encores

    fourny pour la nourriture desdits soldatz, oultre les quatorze

    serviteur à vous obéyr

    Monseigneur, vous donner en santé très heureuse

    Monsieur, vous donner en parfaicte santé bonne vye et longue.

    feust esté beaucoup pour ledit seigneur de les abilher

    Cental

    cest affaire et je m’assure quel le fera fort bien et

    serviteur

    Votre bien humble et obéissant frère

    nepveus et niepces et de madamoiselle de Monery,

    pour icelluy toute ma vie acomplir d’aussy bons

    mais je ne l’ay peu scavoyr. Il m’a bien

    le président Truchon, de l’ennuy que je porte d’entendre qu’il

    cinquante mil hommes, de plus furieux et bravres qu’on ayt jamais veu, lesquelz encores

    Monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie . De

    le placet pour vous faire remettre en l’estat de IIIc livres

    Monsieur, je supplieray Notre Seigneur en vous baisant les mains,

    de contribuyé aux gendarmes ou qu’ilz disent

    de notre St Père et rendent douze mille frans que le sieur de la

    depuis deux de surre, ne puisse estre cause quilz pourron

    je face pour vostre service, vous obéyr très humblement

    Monsieur, en santé, bonne, longue et contente vie. De Saluces, le XVme

    Uriane, la plus jeune des fillies de feu monsieur

    XVe juillet 1572

    se que men avés escrit, ie nay ossé faillir de vous en advertir. Ie prie Dieu qu’il me

    ny eust qune journée de Prugnieres à Laval, car yrions demeurer un

    Laval

    et l’équité de la cause que s’ilz vous en présentoient requeste,

    s’il le pouvoient trouver et si, apprès que le susdict pupille serait d’aage

    pourroys aysément satisfayre à sela le cas avenant.

    qui desire avoir cest honneur vous rendre

    que l’on a fait jusques icy et qu’elle soit tousjours conservée

    dix septyesme julhet 1572

    point à l’achept et ne m’y accorderay jamais au pris qu’est

    luy est necessère et à nous s’il luy plaist. Le jour que ledit

    Tronchon, aiant sceu par les lettres de madame la contesse

    prie Dieu vous donner à tous,

    juillet 1572.

    seigneurs d’Uriage ne pouvoyent monter à plus de cinq ou six cens

    puys passer Bryanson sans seiour, la necessité les contraindra

    obeissant amy

    à sa bone grâce.

    qui est le dernier lieu du Daulphiné, luy donnant advis pour vous

    jeusne baron de La Roche qui en venoit en poste pour aller querir au

    retour puis quatre ou cinq jours de Lorrayne. Nostre

    G. Davanson

    Robert, pour le maulvais gouvert de sadite

    estoit cas amenant que ie n’y peuse estre prouveu.

    Il est vray que madame la presidente men a escript deux fois. Je pence

    monseigneur, me vouloir perdonner si je nay peu et ne puis

    Hourche

    du moyen que l’on avoit à y tenir pour votre contentement,

    serviteur

    Monsieur, madamoyselle de Sainct Privat vous bayse très humblement

    premier president de Daulphiné et ce qui a esté ordonné pour vous.

    entreprise, et que le roy vous eust donné la nommination

    sieur de Laval, laquele ma presanté tant d’honetetés

    escripve de venir, n’arrive point néaulmoing. Monsieur d’Estrozze est en

    responces. Vous en ordonnerés comme il vous plairra,

    des bestes pour sollager sesdits mallades. Qu’a esté la cause que j’en envoye

    son frère adressant à tous les prevostz, baillifz et senechaulx

    croy d’autant plus aysement que le roy catholique aura receu en

    et longue, me recommandant très humblemant à votre

    ma part. J’ey ferme aseurence monseignieur, que vous

    est-ce que hier, vingt et troisiesme de ce moys,

    nous avons de bons melons en ce pays principalement de Lascezane

    devers l’empereur pour luy demander temps à se resouldre

    Allemaigne

    comme ledit seigneur de Condé. Après le succès, vostre

    estant bien sainz, nous en cheminer de long à nostre

    beysé très humblemant les mains. Je prieray le Createur

    ce quil a avec luy argant à Genes, quil y a nonante galères

    fin de men aller que sera ausitout que la litière sera

    besoing que de se ranfourser. A tout nous adviserons,

    graces de mes plus humbles recommandacions et

    memoyre au present pourteur où il pourroit trouver Monsieur

    craignent plus que bien peu, car ung filz de Françoys de Combes, jeudi

    le vous ay bien vollu fayre remantevoyr.

    passanz et reppasans en ladite valée, comme lieu de

    Vous verrés que lestat de tiers president vous avoit esté

    que vous arés bien pensé pour le retardement de Laval, avec

    Lendemain, allant au Louvre, je trouvis monsieur de

    à la chemise quilz leurs ostarent. Jamays gentz ne firent si mal que firent les huguenotz françoys.

    feust faict à sa Sainteté que ledit sieur de La Valete estoit

    Serviteur

    desia sceu. Il est si mal escriptque ne suis

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    de Chatelar et que desjà il estoit saisi de la cognoissance

    monsieur lamiral, luy priant nayouter foy à tant de

    decelles de monsieur d’Ourches. Despuis, jen ay veue une

    atandent de vous novelles, priant Nostre Seigneur

    de la relligion ont faict leur assemblée comme

    jour daoust 1572

    mayant monsieur le conte escript me tenir prest, et

    Monsieur, je ne veulx oblier vous acccuser la réception de la votre du XXVIIe que je

    ecommandations à voz bonnes graces et de Madame de Gordes, priant le Créateur

    Serviteur

    de sa tutelle. Monsieur d’Oraison et monsieur de Riés y sont

    derniers, et combien de querelles se mouvoint pour la

    recevoir voz commandementz,

    [v°] liste des colonelz reystres et cappitaines de gens à pied

    mancquement pour ce maulvais traictement quilz ont receuz

    vouloir commander qu’il ne luy soit donné aucun

    desguizé. Vous cognoissés le seigneur et savés

    Monseigneur en parfaicte santé, très hereuse et longue

    beisant servyteur

    venant ma compagnie du cousté d’Avignon, le

    Je suys en volonté de men retourner coucher

    avoyt despeché en dilligence. Nestant ceste cy pour aultre,

    à mondit sieur de Laval. Je ne scay qui vous en a peu

    Servitore affecionatissimo

    quant elle nest bien pencée et soigneusement. Vous vous

    Vostre plus humble et affectioné

    ha envoyé ung homme exprès pour retirer ung

    Vostre très humble et très obéisante

    si il est ainssi, il ayme beaucoup mieulx, à mon

    N. Mulet

    l’edict de la paix. Je m’asseure Monsieur, que vous userés

    pour faire rester le sieur des Adretz dans la Provence. On y crainct

    vostre très humble et très obeissant serviteur

    faictz que ma femme a receup de vous seigneuries. Elle est

    Jespère en Dieu quil se conduira de sorte quil nen

    Monsegneur vous donner en parfaicte santté, longue et heureuse

    si faict ung grand abus en ducatz pour transmarcher

    meubles ni me mettre dans le collège ; [barré : parquoy] et par mesme

    et mon nepveu La Pimpie, vous supplye très humblement

    Monseigneur, très perfaicte santé, longue et très heureuse vie.

    qui vous touchat, vous trouverés que jey suis allé de telle affection ou plus

    fortune. Madamoyselle de Saint Privat et le reste de ceste

    vie. De Paris, ce XXe juin 1572

    Parlement de Daulphiné

    vous anvoier et arés mouien an pasant par Moulins

    compaignons lont ausy, ormis Lacoste, mais ie ne panse

    de la maladie survenue à monsieur de Laval, laquelle javois deia antandue

    qui ont esté remis à Lormarin le

    D’Ambrun, ce IXe daoust 1572

    vous puisse aller veoir à Laval, si tant vous y demeurerez ou ailleurs

    une lettre et pour ce questoys absent, la luy randirent,

    serviteur

    Cl. Chapuys

    Vostre très humble filz et très obéissant

    samedy derniers, illa gardé ung devoiemant destomag

    Vostre humble allié et afesioné

    nous pour toute ceste sepmeine aller à Saint-Prie pour deux

    Serviteur

    Myzaud

    aussi scavoir si ceulx qui aultresfois se sont

    dangier quant ilz sont bien secorus. Les consulz de Chambery

    part, sy vous nen ordonnez aultrement, je leur en lairay faire

    du passé, je dis avec d’autant plus d’asseurance que je scay

    Artus Prunier

    vous fère service, de laquelle je desire estre très humblement

    de me chasser hors de Vallance. Ne feust

    je luy ay faict voir ce que je vous en ay envoyé, où jay

    Monsieur, en bonne santé, longue et contente vye. A Marseille, le

    l’embarquement du sieur Strozzi et

    Monsieur, je me recommande humblement à votre bonne grace,

    qui soyt digne de vous escripre, je metray fin à la presante

    Gibert

    me semble que celluy du Thouvet ou d’Avallon seroit aussy bon.

    environ le vingtquatriesme de septembre dernier

    lons nen esperoit que bien, au dire de messire Jehan Guilhaume,

    teur pour jamais

    teur pour jamais

    Dieu

    XVIIIe aoust 1572.

    audit de Luzi, lequel nous a promis de nous

    Gibert

    je vous envoye. Je vous envoye aussi

    fins quil vous plaise emploier votre credict à lendroict

    laquelle vous faict une despeche par voye de la poste de Villeneufve.

    et très obeissant frère

    Loyse de Simienne

    Monsieur, en très bonne santé longue et heureuse vye. De

    Vostre très humble et hobeyssant

    vie. De Grenoble, ce XIXe augst 1572

    ne vient, estant presser de monsieur le conte son mary

    Monsegneur vous doner an parfecte santé longue et heureuse

    à la poste. Sil vous plaict escrire quelque chose en cour, il partira

    Monsieur vous donner en santé heureuse et longue

    escus. Quand monsieur d’Apt feut à Aix pour

    sera sellon l’advis de chascun le plus expedient et que

    scauroit mieus compter de noz nouvelles que moy

    Cezane lès Brianson. Mais despuis, il s’est retiré en

    Votre plus humble et obeissant serviteur

    quenvers ledit sieur viceneschal jusques à faire

    luy faire la meilleure chère quil mest possible.

    de Bazemont abbé d’Aiguebelle

    amplement en votre maison de Laval. Cependant, je men vois

    contre ung nommé Pons Corbis, marchant nommé aux informations

    remonstrasse quil ny avoyt ravisement ni aparance

    qui a empeché monsieur de Corbons de venir. Elles sen

    bonnes graces de mes très humbles recommandacions, comme aussi faict ma

    vous offrir service ; et à cest endroit, je vois saluer

    grand nombre des catholiques prennent les armes, qu’est

    à vous fère service.

    sache s’il se debvra presenter en personne ou non, dequoy

    poulsent diversement. Allant ce matin à l’ebat à Chastelet,

    matin j’ay ouy le tabourin de Suysses à la dyane, qui

    Voz plus humbles et obeyssantz serviteurs,

    insolences. Je vous veulx bien advertir que sommes bien

    novelles, nous dorronns sy bonns ordre en septe

    à votre bonne grasse, pryand Dieu

    Votre très humble et tres

    prendre laultre à la manière des gens de ce païs. Jay balié

    à la roine, elle me demanda à qui aviés vulonté

    vie. De Paris, ce XIIII septembre 1572.

    peu. Mondit sieur d’Evènes an a fait de mesmes, tant

    nepveus et niepses de par de là, priant Dieu

    teur à jamais De Simienne Alleman

    sans jamais avoir seu aucune créance de leur part.

    Jacomo Sacrato, Vescovo di Carpentras

    je vous puis dire pour ceste heure, après vous

    bonne grace, de madame de Gordes et du sur plus

    offancés par les cathollique, ne en nous personnes, ne biens ; sil

    adviendra inconvenient. Il ha bone sauvegarde de

    Seigneur en avoit faict présent à ung si grand roy comme

    [v°] en la vallée de Queyras, qui est de mon diocèse, comme

    a envoyé les imfourmations à messieurs de la court, combien qu’il n’a rien peu adverer du dit

    qu’estoit de y fère deux fortz, pour quelle occasion monsieur de

    magistratz de Gap et mesme Vouliert y estant,

    dont je vous envoye coppie, affin que suyvant

    de lextreme maladie hou ce trove monsieur le

    mais aussi il fauldroit que ceulx qui ont travailhé et travailhent

    septembre

    vous obeysse que nous ; que sera landroyt où je

    mes humbles recommandations à votre bonne grace et vous donner

    Dieu. Je nay pour cest heure autre chose

    grenoble, ce dernier 7bre 1572.

    me faire paroistre par le passé, encores que je naye rien

    Monsieur, en santé heureuse et longue vie. De Cluny, ce

    et (abstine ) que sa fame voloyt

    Votre tres humble et obeissant serviteur

    des chiefs. Ainssins que vous entendrés bien au long de sieur de

    commis des estats de Daulphiné

    Brigaudieres madict vous avoir faict response sur le paiement

    Lettre datée d’Avignon le 1er octore 1572.

    invantorizé les dites armes pour en rendre conte en temps et en lyeu. Je vous

    bagues sauves. Le duc d’Alve estoit party le mardy pour aller après

    [v°] retirés avecques monsieur de Monbrun. Le viceneschal

    l’ont eslargi hors les prisons, soubz certeynes

    encherissant, le pot du vin nouveau ung solz, et tout le

    Monsieur vous donner en sante bonne et heureuse vie. D’Aspremont ce IIe octobre 1572

    vie. De Vallance, se IIe de octoubre 1572.

    Dieu

    Jehan Jaques Lemay

    letre dudit vibalif ou qu’on vous advertira d’alieurs. L’on a aussi

    Votre humble serviteur

    dix huict ou vingt, encores qu’il y en eust d’aussi

    On estime qu’il soit à Montargis. C’est chose incertaine de la

    et des votres qui estoit l’aultre il voussit venir

    [croix à six branches dessinée à l'encre]

    veoir, je ne vous feray la presente plus longue, sinon pour

    somme ce noel prochain comme ont dict après en havoyr

    très hobeysant servyteur

    Monsegneur vous doner an parfecte sante longue

    Morée ; et dom Joan d’Austrie estoit au Janto que n’est gueres

    et au surplus se remectent à la venue de monsegnieur Damville pour

    que dans deux jours après la crie, l’on en verra ung [ ] à

    estoyt alé à Vanton pour vous ouster et aux aultres loppinion

    desliberés de tenir et sont dans la ville

    auquel ie prie quil vous doint

    de la bonne souvenance et recomandation quavez

    chatoulhement de messieurs les nouveaux religieux : toutes

    le païs et pourroyent entendre leursdits dessaings que je

    le senestre, faisant le tout 186 galeres ; et qu’apres

    en advertir comme je vous suplie que de votre costé feré le semblable, que sera

    Monsieur, jay receu presentement votre lettre du VIme de ce moys pour envoyer commissayre

    attendre, tant pourtant prenez y garde. Je suis très aise

    B: Ollier

    en scripre, je finerey septe de mes humbles et

    Monseigneur, je supplye le Createur vous voulloir maintenir en santé

    pour avoir ledit argent. Et à ce qu’on dict, on luy a prins

    Damville depvoit ariver à La Pallise samedy

    encores aultrement repozer en eux. Et d’aultant qu’en plusieurs villaiges de ce ressort,

    la victoire qu[o]nst eu les Vénitiens avec leur ligue

    des estatz entendent sur ce votre intention. Au surplus, Monsieur,

    des estatz entendent sur ce votre intention. Au surplus, Monsieur,

    Cental

    recommandations à sa bonne grace que je

    aulcune chose et pencent que ce seroyt assés de vous envoyer l

    trouver, et de là, men aler à la cour où je dézireroys

    à cheval, m’a promis me venir trouver icy et se catholizer,

    sont arrivés en fort bonne santé, Dieu

    est arryvé, dict que à Aubenas sassemblent à force

    service, quy sera tousiours dausi bon cœur que je supplie le Createur

    et atandons en bone dévotion mes neveus et nièces que Dieu

    desire vous rendre à jamays, je prierey Dieu

    que ne pouvez faillir à luy signer et expedier ledit estat

    y alla à aultres fins, qui les meut à se cacher jusques

    Je vous renvoy voz lettres. Mon nepveu, monsieur

    de Monbrun. Comme je fermoys la présente, j’ay receu la lettre que monsieur de

    affectionné frère et serviteur De Simienne

    monter à cheval aler cherment trouver ledit sieur de Carcès

    La Thivollière

    Voz très humbles et obeissans serviteurs,

    ma sorte peult et doibt à seigneur de meritte comme vous ; et

    sur ce nous souvenons fort bien de votre voulonté,

    letre du segneur Ludovic touchant les compagnies du baron

    serviteur

    et autres, ont esté mandez et demain matin on leur

    Rochebaron

    hommes seulement et de moy, monsieur, je nen ay recouvert

    menu dudit sel, sire Jehan Bataillie contrerolleur de

    Suze

    Monsieur de Carses ma sceu mervelheusement

    Il est très nessessayre d’asseurer bien Die car j’ey esté adverty

    de monsieur Gentil escripte aux gens du roy ce matin à cinq de messieurs à la

    De Grenoble, ce XIXe octobre 1572

    du tous fort beaut encellieu. Iay tant fait par mes

    Prunier

    fin de ceste cy de me recomander très humblement

    deux mil escus, à mon grand regret pource qu’ilz

    que je croys encor moings. A La Rochelle, ilz s’opiniatrent et tiennent

    bon advis s’il vous plaist, car il me semble que ma bonne volunté

    Votre plus affectionné et asseuré

    Monsieur, en parfeytte santé, longue

    en bonne santé longue très heureuse vie. De votre

    comme frère d’harmes

    bonne santé, comme ausy les petis escouliers. Je vous anvoye

    monsieur, en par faictte santé, longue et hereuse

    Dieu

    aux soldatz qu’il a avec soy. Il a aussy

    recommandations à voz bonnes graces, supplyant Notre

    Montelhimar, ce dernier jour de octobre mil Vc LXXII

    présent à l’examen, et de moy aussi contre tout debvoir, et si

    tient à en parler ourdinèrement à leurs

    s’il estoit employé envers ung mien propre frère, et pour

    Et longue vie. De La Coste, ce XII novembre 1572.

    Monsieur, en très bonne santé et longue vie. De Parys, le XVIIIme

    Veynes. Nous somes après à Recouvrer quelque charrete

    lieutenant de monsieur de Monnestier, est ici, qui m’a

    les mains et suppliray le Créateur vous donner

    de La Coste, ny argent, si ce n’est celluy que monsieur d’Anières me bailla,

    faict son entrée ce jourd’huy en ceste ville. Le roy est

    S. de Boczosel

    De Beaucaire, le XXIIIIme jour de novembre 1572.

    retour. J’ay ausi seu qu’il fault que vous letres du don

    continuer en vers nous vostre bogne clémence, vous

    en avoit refusé V c escus. Despuis, ma dicte dame estant

    je dis à monsieur de St Sernin. Car, quant à monsieur

    adresser les letres à messieurs des contes du Dauphiné

    religions, d’aultant qu’il y est parlé et de l’Alemaigne et de

    journellemant. Vous serés adverti aussi comme mondit seigneur de Paris

    Parys

    de bien bonne ceur, à votre bonne grâce, et suplierey le

    remectant, je ferey fin par mes très humbles recommandacions

    j’ay quelque chose de covert et caché dans mon ceur, et vous

    vostre charge, dont je veux faire demain le compte

    qu’en saluant voz bonnes grâces de mes très humbles recommandations

    sentinelles contreinctes, une ; oultre, Monsieur, que pour la grande chierté des

    avec le comte de Ventadour, sieur de St Martin ou de

    L’on m’a dict que aulcungs des chiefz

    ces entrefaictes, ilz ne facent quelques assemblées, car l’on m’a adverty que vers

    Je me suis fallye car c’est monsieur le consellier de La Coste

    se disoit grandement obligé à vous. J’estois lors avec eux.

    Deurre Doncieu

    Mon frère de Pomet vous présente ses très humbles

    Votre très humble serviteur

    Monsieur, en parfaytte santé, longue et yereuse

    de bien faire leur debvoir. Si quelque chose advient,

    y a une brèche assés suffizantes

    [v] a faict courir le bruict, je m’asseure que cela l’aura ung petit reffroidy.

    Monsieur, faire seurement tenir le paquet et davantaige, me recommander

    obéir d’aussy bonne voulonté que ie prie Dieu,

    Joseph Arnolfin

    Je ne vous diray rien de ce que m’a discoru le sieur

    De votre seigneurie de Bally, ce 4e décembre 1572

    en supplier très humblement, mais je suys sy pressé

    Montbrun

    Ve décembre 1572

    H de Montmorency

    Monsieur en très bonne santé longue et très heureuse vie. De

    dict en la présence de monsieur de Carces que puis

    [v] au Chellard de Bouttières où il a demeuré dix ou

    le regard des affayres de Nismes, j’ay laissé à

    me recommande de fort bon cœur à vostre bonne grâce et à celle de

    Votre très humble et très obéissant frère

    suis et seray toute ma vye aultant affectionné que personne de ce monde pourroit

    Philippe. L’on crainct que, s’en allant, que cella

    Vostre humble voysine et

    nécessité qui luy avoyt dans Paris, d’aultant que

    companies que comme il est porté par la commission dont

    monsieur en parfeyte santé lounge et eyreuze

    commune d’Aix car je les ay faict aclamer et fault playder

    tel affère la mort me sera très agréable

    Paris, ce XIIe décembre

    letre et luy en demander response ; et s’il n’y est, l’un de voz secrétaires

    soient aggréables car en icelles je reconnay bien la bonne gr-

    par le Daulphiné. Pour revanche, il dit désirer avoir moien

    pour s’en aller chez lui. Je l’accompagnay à deux lieues

    je vous scauroys mander du cousté de ça, vous présentant mes

    piedz de trois costés et du costé où la muraille a esté

    Vostre plus affectionné à vous faire servise

    ville que luy escripvent de s’en venir et qu’il est bien nécessaire,

    en garde et fermer les portes, ne m’ont voulleu

    de Sault et à mon advis que nous y serons encore bien autant

    n’hount bougé d’ici, où l’ons atant ce jourd’hui le retour

    Bourgel

    scay si monseigneur le prince vous en aura accordé la chastelenie

    De Lyon, ce XVIIIe décembre 1572.

    d’aussi bonne voullunté et affection que je recommande

    que luy envoyâtes du VIIe du passé par Boniveau

    commodité du chyrurgien. Il y a trente ans que

    par Pertuis et je m’en revenoit par Cadenet pour veoyr

    Vostre mère

    de s’aller randre auprès de monsieur de Suze et que ledit Pouet persuada ces parans, amys et semblables d’en faire de mesmes,

    La Roche

    des Etatz de Daulphiné

    principalement ce gouvernement, et qu’il vous donne,

    aymer et servir comme frère

    monseigneur le mareschal a déclaré que monsieur le comte de Grignan mectra au

    si nostre courtaut pie nous voudroyt servyr de second

    d’Ambrun et de toute votre bonne compaignie, je prieray le Créateur

    la femme de monsieur le

    y en aye d’obstiner que troys ou quatre. Là-haut, quand il plairra à Dieu, ilz

    commancement. Mais avec l’ayde de Dieu, ce sera tout soubdain avoir recouvert ma santé,

    faire et en attendant, je vous bayseray très humblement les mains

    A Lyon, ce XXIIIIe de décembre 1572.

    et ne s’en servira qu’avec soin ; et prévoy bien bien que ce

    Serviteur

    de Fizes

    entend fort bien que ce ne seroit pas le service du roy de perdre

    ceulx de La Rochelle qui sont fort divisez entre eulx

    Sy vous plest ♯ [♯ me comander quelque et] m’escrire, vous

    des extrêmes bises qui ont depuis régné ; de sorte que j’ay veu

    et Chelègue qui l’avoit blécé, de retour en ceste cour.

    Carolo Birago

    suplico havere pieta di noi è se gli piace fare

    de Gordes. De La Verpiglière, ce mardi

    Bellièvre

    quelqung de subiectz à la susdite alienation pour y

    en bonne guarde ; hontz pacet le Ronne andesous

    et grosses pensions. Monsegneur de Nevers, monsieur le mareschal

    de Nevers et de Thavanes sen deypartent aujourdhuict, daultant

    Desimienne. allemand

    nous lits et accomoder nous gens. [barré : Il] J’ai bien

    et monsieur de La Roche.

    Sault

    en Espagne pour le different quil ha heu en larmée de

    Flamynio, Corse qui venoit de Beau Cayre portant

    votre mandement pour les deniers qu’Hortie a maniés à la

    voulust faire mourir à coup despée et entre ses

    et vous sallue de mes très humbles recommandations à voz bonnes

    presente je finyray ceste par vous presenter me[s] très humbles

    bien que pour les ouster de ceste peyne, je leur ay faict en croyre que je ne bougeroys

    après m’estre recommandé très humblement à votre bonne

    Monseigneur nous prions le Createur vous donner en parfaicte santé

    point de secretaire à propos pour recepvoyr le commandement et je

    grand.

    le regard desdits Chausson et Pothon cy devant leurs biens ont

    jour mesme pour son voyage avec monsieur de Laval, messieurs

    que peu de chose retarde une bonne entreprise, et que de si long

    de la pretendue religion de ces quartiers preparent

    à presant prevost

    Votre très humble et hobeissante

    monsieur le president de Birague a obtenu le gouvernement de Pyedmont

    filz et à jamays serviteur

    avons envers elle, à laquelle nous ferons toutes noz vyes

    de puys samedy. Il ny ad parsonne qui les

    ont veu quilz retranchent en toute dilligence,

    Poloigne l’avoyent esleu pour leur roy, et quil avoit faict donner une abbaye

    grace que notre service vous sera agreable, quest landret

    me suis acommodé de ce qui m’est le plus necessayre, de façon que ces

    [57 v°] qui sont, à ce quilz dient, la pluspart des grosses chairs

    peust beaucoup favoriser en tous voz affaires, que

    de monsieur de Briansson qui estans venus nous mesmes à jouer fins à neuf heures

    Lamote Verdeyer

    monsieur Quorery pour in fourmer du tout.

    recommandations à votre bonne grace, priant Nostre

    Votre très humble et aubeyssant

    recommandations. De Vourey, ce XVe janvier 1573.

    toute ma vie a complir daussy bon cueur que me

    quelques villes au bord du Rosne de par dela voir que

    quilz font à la ville de Dye car ma mayson est daultant d’importance

    ont luy faict mille tortz et ny est ouy ny escouté en façon

    attendoys recepvoir votre permission vous aller faire la

    Je finiray la presente en priant Dieu pour

    Priant le Createur,

    laquelle riviere il, seigneur de Meyrieu, dict aveoir aberge

    je ne feray faulte de vous envoyer, ou à ladite court,

    Lesdiguieres

    Votre plus affectionné, parfaict et asseuré amy

    ce pourteur aucunes lettres de monsieur de La Coste, ny de monsieur

    De Paris, le XIXe de janvier 1573.

    serviteur

    monsieur, très bone et longue vie. D’Apt,

    Createur,

    amy Francois de bourbon

    Votre très humble et aubeisant

    sera d’aussi bonne volonté que de personne à qui le

    veryté é me consolé. Je torve byen bon que de present

    honeste et bone occasion de faire ces guerres

    du pays qui se chargera et rendera comptable des deniers. Car

    du jour, ensemble dudit sieur.

    escrire ce mot, et vous dire comme m’estant resolu

    où ne a poynct des grayns vieulx et bien peu des grayns

    l’une est [à] monseur de Montenat et lautre à monseur

    asigié le château de Quovyson. Sy je aprans

    trouverez tousiours plein de bonne volunté et affection pour vous obéir,

    envoyé votre commission et creignant que ne layés receue, je vous en envoye une

    de grandz frais à sadite majesté ; pour obvier ausquelz, je nay laissé de m’acheminer sans

    Monsieur, je vous supplierey très humblement

    luy provoyr selon lintention de sa majesté ; et

    la dague. Le recouvrement de ce chateau là eslargist fort le païs allentour de Nymes estant au

    Vostre très humble et hobeyssant

    estoyent en fort bonne santé, lesquelz faisoyent estat de partir avec monsieur de Vances au

    notre ressort ne se trouveront guières de personnes absentes pour

    monseigneur, vous donner ce que desirés. D’Ambrun,

    et de la court comme vous scavés, jay laissé

    longue heureuse et contente vie. De Lion, ce XXIXe

    pour cas pareil et plus grand recommandez, d’aussi bon cueur

    majesté masseurant qu’il ne participerai jamais au

    Corces et de la gendarmerie quy est pardela comme vous desirez et congnois quil

    [137 v°] que le roy mavoit ordonnées sur votre gouvernement encor’quelles

    Et nestant la presente à autre fin, je prieray le Createur vous tenir, monsieur

    Poitiers quatre liues où nous allions trouver Monsegneur,

    et pance que bien tost lons travalhera aux tranchées.

    Votre plus affectionné, parfaict et meilleur amy

    Le conseil y est encor aussi. On tient que ce sera

    monseigneur, très parfaicte santé, longue et heureuse vie.

    secours λ [λ en XV jours], oultre quil nous est venu ranfort de [barré : s] navires

    bonnes graces de mes bien humbles recommandations,

    dormy quatre jours sur les galères, coume partie

    receu de vous. Lon me dict que vous devés dessandre

    Madame d’Oourche vous presente

    madame la contesse de Grignan. Il san retorne au

    costé du Languedoc, mesmes contre ceus de Nismes si

    de Turesne estoyt venu à Chantelly et que

    communes de quoy touttesfois ie nay ouy parler aucung de

    supporter une si grande surcharge sans layde du roy ou des païs circonvoisins. Aussi pouvez

    de juger si votre presence est ou pourroit estre necessaire

    monsieur en parfaicte prosperité très heureuse et très bonne

    fors que jentends que le capitaine Gieromme dict avoit entendu que

    monsieur, an santé très heureuse, bonne vie et

    volloyr tenir en sa sainte garde et proctetion. Je vous prye me faire entendre

    hount despuis tiré plus que de costume et quils hount

    ne mest pas si bonne comme vous mavez dict

    votre bonne grace et de madamoyselle de La Roche votre bonne

    La Laupie

    Jascoyt que Dieu se serve deux pour notre fleau et chastiment. Or parmy

    prosperité très longue vye. De Vienne, ce XXVIIIme

    Priant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à St Leger, le dernier

    passés qui soyette [= souhaite] fort vous fère service et tient

    vouloyent remonter que je nay volu permetre ny permetrey

    briefz exequuté et vous venge de telz meschantz

    roy et Messeigneurs, aussi messieurs votre filz et frère qui y

    assiegez font semblant de ne nous craindre guère,

    dudit Sellier frère nommé le cadet de Sellier au pouvoir

    à Sainct Legier. Jespère luy aller faire la reverance en macheminant vers mondit seigneur.

    ne la voulu fère abattre sans votre commandemant. Sil vous

    approcher en bref la ville de Nîmes. Et voila certainement pour

    ce premier mars 1573.

    par celles que jay ce jourdhuy de vous resseues

    ni est suffizamment proveu. Jenvoie expressemant le

    à mon retourt ; nayant au jourdhuy nulle comoditté ny

    premier de mars.

    je croys en estes informé myeulx que moy.

    lentreprinse dudit Pousin et jusques à ce que je m’aproche de Nysmes comme je feray au partir

    jentens a desliberé faire lever le siège. Son [barré : es]

    aux ducatz qui presentament fault poyer

    entendoit la batterye que monseigneur le mareschal

    est cause que ne la vous ferey plus longue, sy nest pour vous

    at pleu envoier au cappitayne Jessant pour me fère tenir, dont

    comme son serviteur et pour le tenir adverty aussy [barré : comme] que

    bon cueur,

    mais lacheverey en presentant mes humbles recomandations

    le sieur de Chattes, enquoy monsieur le president de

    catholizés. Et quand à ceulx qui font la garde

    venue bien requise sabas, je vous tiendrey adverty

    impossible pour encores de les avoir. Toutesfois je suis

    Votre très humble et très obeyssant

    tous les jours ilz tachent par tous moyens à ce que il y esté adverty

    vous desire. Du camp de Nieul près La Rochelle, ce

    en votre particullier je m’estimeray tousjours très heureux de vous

    Vostre très humble et très hobeyssant filz et serviteur à

    frère

    du roy que monsieur de Villemus m’avoit baillé [barré : pour] où

    servyteur

    du Turc et de celuy de la Ligue.

    frère et serviteur La Roche

    monsieur, très heureuse et longue vie. De

    ne pourroyent passer. Je ne veulx fallir de vous dire

    [228 v°] audit Villeneufve de Berc, au partir de là vous pourrez

    ung escriteau de la cause pourquoy ils onnt

    delà le Rosne se sont assemblés à Privas pour

    passion que j’en sens, je n’y mectrois jamays le pied, mays je ne veux

    madame de Caseneufve et toute sa petite compagnie

    enfondrer quelques vaisseaulx dans ledict canal

    de Morvilliers. Quant aux nouvelles, si vous estes encor

    à Grenoble vous verrés ce peu que j’en escris à monsieur de

    Vostre très humble et oubeissant serviteur de Langes.

    esté pour mondit frère unique contrainct de me retirer comme à un dernier refuge

    De Simiene

    à leurs gouverneurs que tous les huguenotz eussent à leur

    grand faulte quand ilz ne s’estoyent eslevés, mais qu’ilz

    Monsieur, an santé, très heureuse bonne et longue

    7 mars 1573.

    1573.

    de Morvilliers estoit encor à Paris, où je pense qu’avant en partir il portera

    je luy mande d’en user comme vous le luy manderez, et me semble

    cousine Julie d’Antiboul

    conduyra le tout s’il luy plaict à son honneur et gloyre. Je n’ay

    ceulx qui se sont catholisés surmonte

    et comme p-lus on les laissera en liberté,

    de leur ayder veu qu’ilz sont catholicques,

    [les consulz] vous espripvent touchant les aultres

    monsieur, en santé, bonne, longue et contente vie. De Saluces, le

    pour leur seurté et m’en presantarent request, laquelle

    et ma sœur aussi. Ceulx et moy en presentons aultant

    ressemblent du tout si est ce qu’elles reviennent toutes à cela pour le

    Votre très humble et très obeissant

    qy’ay l’ueil ouvert sur la ville et qu’il soyt respecté d’eux. Et

    Seynt Andre

    cueur que me recommande très humblement à votre

    par effet ne tirant gueyerez de leur muraille. Monsieur de Deaux mon

    monsieur de Montgros coment ^ [^ qui] [barré : je] vous avoyt

    tousiours avoir en bonne recommandation ce que congnoistrez qui me

    preste, il m’envoiye vingt quatre de ses soldatz avec ung pour

    la nuict. Les lances s’accomodent aux granges près du bort

    et] casser. Ce ne sont pas les promesses que m’aviez faictes et que j’esperois

    fère, mès se que je suys blessé à la meyn gaulche, au posse

    Rousset

    du roy que recevroyt, toutesfois, je luy laisse porter le pacquet

    monseigneur, vous voulloir donner en bonne santé , très longue

    servyteur

    aysement, comme vous avés peu cognoistre monsieur, par leurs dernières

    sainctz desirs. Du Monthelliemart, ce XIe mars.

    Votre très humble et très affectionné

    assemblé. Il est très nessessayre d’advertir toutes les viles

    les armes pour la relligion, l’ung s’appelle Jean de Rosset, qui

    d’Aumale d’ung coup de ^ [^ groz] mosquet que luy emporta

    les autres troys compagnies que le roy m’avoit ordonnées aux despens

    foules. Je n’ai pu encor aller au Montelimar pour aviser et pourveoir à

    Rousset

    la compaignie disy est an bonne santé. Vray est

    si me fusse je bien gardé de le luy conseiller en chose que luy importe

    So. de Boczosel

    après mestre en cest endroict bien humblement recommandé à votre

    faict à Sommières. Il n’y aultre nouvelles qui merite vous escripre. L’on m’a adverty

    fort grant bien. Je desirerois bien de savoir sy après festes

    d’avoir secours d’Alemagne et sen asseurent. Le sieur Desdan de

    Voz humbles voysins et serviteurs

    commandant pour le

    serviteur

    le sieur de Mures et m[ademois]elle de St Pris. Depuis il ne fait semblant

    de Guilhestre ; receus

    et au dessoubz : votre bien humble à vous servir, Louise du Fay

    fust blessé à lassault de Somiaire à la bouche.

    pour y faire passer les rondes quelques foys

    le plus promptement que fère se pourra.

    humbles recommandations à sa bone grace.

    Monseigneur quil vous doint jouyssance dune saine longue et heureuze vie.

    à vous obeyr et servir.

    Votre très humble et bien affectionnée à vous faire service

    [20 v°] je serai contrainct de vous actendre à la

    votre très humble et très obeissant

    estat aussi après. Voila tout ce que je vous puis escrire pour

    Du Montellimar, se XVII mars

    eux rafrechir. Je ferey fournir vivres à la compagnie dudit cappitaine Colom,

    aussi prestz à sesmouvoyr que le temps du renouveau

    et prions Dieu

    pour les conduyre, les ayent trouvés, vous feriés ung

    le service de sa magesté et votre particullier et

    et nous commander voz bons playsirs, que nous acomplirons d'aussi

    estonnez que despourveuz de cappitaines et gens de commandement, chose

    prezante à toutes voz bones graces et suplie le Createur vous doner

    à votre bone grace et à celle de madame de

    Dyois et Baronnies a esté pour les sentir plus subiectz à remuement et

    de vous nouvelles et vous comandemens, je supplierey Notre

    serviteur à jamays C[apitain]e Mestral

    puys sinon vous offrir en votre absence ce que vous est dedié aussy

    pourront rapporter le bon ordre et grande vigilance quilz

    graces de ses très humbles recommandations

    habitant à Lyon où il seroyt decedé sans enfans et ayant delaissé quelzques

    si importante comme est celle-cy de la reduction de La Rochelle. Et outre que ce sera

    votre intention, lesquelz mont faict responce quilz espèrent y satisfaire pour

    vous avoir en sa garde. Escript à Fontainebleau, le IIe jour de apvril 1573

    les armes contre votre service, le porteur de ladite lettre

    de Neufville

    neantmoings, les choses sont survenues en votre gouvernement

    porte. Montbrun, quy estoyt deors en embusquade ne le sceut secourir si

    qui estoit passée en votre gouvernement. Je suis bien marry de ce quilz

    ce que par votre prudence et le lieu que tenez pouvez considerer mieux que nul aultre.

    dessus de Grenoble en ung lieu nommé Corp, où fut tué ung

    jouy qune année, parce que, bien tost après

    baisant les mains et vous suppliant me tenir tous

    Jache quintel

    et y en eust plusieurs blessez et y laissarent quatorze eschelles. Le lendemain,

    et liberalité, ilz seroient pour en souffrir grand peyne et callamité, delaquelle je

    prince daulphin, à la succitation daucuns leurs procureurs, auroient couché

    la coppie de la lettre que vous a escripte le sieur de St-Romain sil se

    mesmes à saulver ceste prochaine recolte, attendu que je ne le pourroys

    Sy on demende daquebouzes

    Je ne fauldray, sire, de faire ce quil vous plaist me commander pour le

    sergent, nous ne pourions fère guyères grande

    garde. Escript à Fontainebleau, le XXVIIIe jour de may 1573

    Dampville, puis quelles servent près de luy. Je prie Dieu, monsieur

    Pinart

    que ce fut par voz tresoriers de lextraordinayre des

    Sire, ce matin, ceulx qui tenoient ce lieu après y avoir demeuré au-devant X ou XII jours, me lont

    comme depuis troys jours ilz ont faict dung petit lieu appellé

    le prince [barré : daulp] son filz pour estre lune en service et laultre revenue bien

    de Neufville secretaire

    que ce faict esdits estatz pour ne vous ennuyer de plus long discours

    Monsieur de Gordes, je ne laisseray descrire au sieur de Mandelot quil

    des catholicques, des quelz aucuns se retirèrent dans le

    de Dye et pour lamour de luy les siens en tout ce quil me sera possible,

    au chasteau de Boulogne, le VIIIe jour de juillet 1573

    retarder les commissions necessaires pour le recouvrement des trente mil livres

    plaisir de vous employer en leur endroict selon les moyens que je scay que vous

    me manderez de voz nouvelles, priant Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte

    Caterine

    quil m’a semblé estre chose innutille et de trop grand interest, daubtant

    n’adjousteray rien davantage, synon pour pryer Dieu, monsieur

    [hoercheurs ?], lun de monsieur de Suze et laultre de monsieur de Maugiron,

    pour le recouvrement de trente mille livres aux

    fauldray vous en advertir. Bien vous puis je dire, syre, que

    plaict le merite de ceste depesche

    desmandeler les villes et places que tiennent ceulx de la nouvelle oppinion,

    De neufville s[ecretair]e

    establir et faire. Quant à ce que leur a offert le sieur de Virieu denvoyer ung

    pourvoyr au payement de la compagnie de monsieur de Nemours

    la responce quilz mavoyent faycte et de la quele je vous

    ungs par les champs, sans adveu, les faire prandre et punir très rigoureusement ;

    ledit commissère Faure jusques à ce [barré : q] jour qui vous rendra compte

    encores quelques ungs sans adveu par les champs, les faire prandre

    monsieur de Gordes, vous avoir en sa sainte et digne garde. Escript à Paris,

    deliberation en lassemblée faicte à

    majesté qu’on nous devoit librement octroyer le passaige par le pont de Saint Esprit, qui

    vous mandons que vous ayés chacung en lestendue de

    rendre bon compte dudit lieu. Faict au Montelhimar,

    qui se commectent au contraire à la grande ruyne du peuple. Nous lavons

    anotée par justice, ayant aussi reprins ledit procès

    mes deux povres compaignons qui n’estoient du tout mortz au

    protection ledit pèze et iceluy conservé avec leurs propres

    Marsane : Xm pains X p. v. – f[ourny] : XVIIIc p. II p. vin [marge gauche : lesquelz s’en sont allez sans acquit]

    marechal de Dampville

    entendant, monsieur lambassadeur de Suisse, il me resercha

    venir du costé de Nions, dequoy je suys bien ayse pour le dezir

    experances cy elle ne vientde Viennes. Je suis icy aveques

    cassés durant la trève ; se sont presque

    de la nouvelle oppignion et actendu la grande quantité quil en a audit

    de mondit seigneur d’Ambrun qui, estant adverty de ma debtention la pluroyt

    ledit passage, commandant aulx cappitaines qui seront dedans et

    ayant eux ruiné ung fort dont environ deulx ans

    desdictz deux gentilzhommes ledit Pommerol se trouveroit prins, cestoit

    que lon ouyoit à plain les couptz dartilherie audit Anvers. En fin, lennemy

    devers moy le sieur d’Ourches vostre beau filz.

    tout cela sont choses notoires.

    que nous nou[s] recommendons bien humblement à votre

    sur ceste resolution là, je me recommanderay de bien bonne volonté à voz

    Le cappitaine Lagier

    plus de repos d’ycy en là que ne vous en a esté

    Monsieur vous donner en très bonne sancté très bonne et

    de fère fère couvrir les grange de Plaveyssard

    cest sy larmée turquesque prendra la route de la Poille,

    scaramouche avec troys cens arquebusiers, mais il ne leur sceust faire beaucoup

    et massurant que vous aurez toiors en recommandation

    lettre cy encloze par quelque commodité que vous pouvez

    favoriser ung parti que lautre et quilz se rendent partiaulx quant ilz parlent plus

    votre humble frère à vous fère service

    monseigneur vous donner en parfaicte santé ce que votre noble cueur desire. De Paris

    bien humble et

    ensuyvre à ladite compaignie ung mesme poyement que les aultres

    comme la gendarmerye a esté traictée et quel moyen

    Lisle. Monsieur de Carpentras me dict y falloit pourvoir

    que estant sur les lieux, y scauriés mieulx donner ordre, les commis des Estatz appellez,

    très hunble servysse, comme saluye vous bonnes

    sienne. Je ne scey sil sera home de promesse, je len ramentevrey

    priant Dieu vous donner

    que me recommande très humblement à votre bonne grace,

    monsieur en senté heurese et longue vie. De Gargas

    bien au long de ses novelles

    Votre très humble et très oubeissant

    qui vient de Lucques et de Gênes, vous en dira

    suffisance. Au demeurant, monsieur, je vous veux bien avertir comme

    Monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et

    pourté argent, et sil plaict à madite dame,

    vie, après vous avoir presenté mes très humbles recommandations

    tout prest. Jay mandé au cappitaine Philip mon lieutenent,

    et vye longue. De Vallence, ce dernier aoust 1571

    aux villes et grand prejudice au service du roy ; et que si

    trop grant garde ; et par ce moien, elle ce porra prandre, chose que si il avient, le roy

    en breche en ceste ville quil ne

    part le X de ce mois de Gênes ; et parce que

    monsieur, très heureuse et très longue vye. De Grenoble, ce IIème de

    escript pour avoueyr quelque trecte de blés de se pays. Je luy dis

    remarcher et recognoistre pour en tesmoigner par devers elle ;

    fins diceulx chasser avec telle assemblée

    estre faicte entre nous par la fornir quil vous plarra, daultant que

    bonne grases de mon frère de

    nous en sentirons tousiours gré, et principallement Dieu, lequel je supplie vous donner

    recommandons très humblement à vostre bonne

    je les arey si ia jà douze cens escus davence pour les

    Votre très humble et hobeyssant

    connoit on bien que à la fin [barré : il saysie saysye] lon ne peult resister à la volonté du [barré : ma]

    conserver

    longue vie. De Tulins, ce IIIIie setanbre

    paouvre peuple, que pour tous noz compaignons ; et

    obeyrons. Quant au prevenu de Laval

    car il en fault XXV ou XXX [livres] pour le moings,

    vous dire prou daultre chose à votre première venue ; quest

    laisse en tout ce lieu. Je ne sache deux maisons qui

    Chesilienne que me feroient de beaucoup de choses

    monsieur, très heureuse et très longue vye. De Grenoble, ce VIeme

    la reyne et Monsieur à Paris, ils envoiarent querir monsieur de Vauclus,

    prye Dieu vous donner en santé bonne vye et longue.

    Votre très humble et obeissant

    de leur sort principal, jouissant toutefois pour cela du revenu

    vous dira ce que na estéfaict. [barré : Sil est]

    VIIme septembre 1571.

    Froment

    Alfonso d’ornano

    veue des copies de lettres que je

    et entendre ce quil vous plaist que nous faisions en cest endroit pour lasseurance

    jambions. Si madame Marie en veult,

    monsieur, très bonne heureuse et longue vie. De La Coste,

    serviteur

    Meylans [barré : que] jusques à demein que sera mercredy prochein où le filz dudit

    obeissant serviteur

    huict ou dix jours pour avoyr ce bien que de vous veoir

    pour sa part. Je presente mes très humbles

    viz très humbles et très obeyssants

    voz commandementz

    bonne grace, je supplie le Createur vous donner,

    bonne grace, je supplie le Createur vous donner,

    il y avoyt dix jours quilz estoyent partys et quil est

    trouvé, il vous raporte le tout.

    accordé, il vous suplioit si aviez affère dobtenir quelque chose

    quon a faict [barré : coure] courir, je nen ay rien creu et ay depuys letres

    grandement, si ladvés pour agreable, vous fère la reverence.

    ce jourdhui à se purger par ladvis de messire

    oblyer me recommander à mon neveu monsieur de Balthezard

    ie l’en supplie de tout mon cueur et

    en votre endroict comme je suis tenu de vous faire

    jusques icy pour le parachever le mariaige du sieur de Vins

    serviteur

    estatz

    Despuis la presente escripte, messers d’Aix mont mandé

    votre humble et obeissant serviteur

    lon a faict en establissant des commissaires (cy ainsi vous

    madamoyselle d’Ourches.

    priés aussi vous deslecate, à quoy vous en serés si ledit chatelain

    desirant monseigneur, estre et demeurer votre très humble et très hobeissant

    contre ce mal. Je desire, monsieur, que lesperrence

    Remusat

    toussainctz.

    Bajoue

    Votre très hunble et hobeyssante

    monseigneur, après avoir presenté mes très humbles recommandations à

    Bressieu ; qui me gardera que ne pourray aller à vous, monseigneur,

    Votre très humble et très obeissant

    ce 26 septembre 1571.

    tempéré, sans toutesfoye me sembler conclure fort clairement

    marier, jespère quil sera si vertueulx quil en trouvera

    après toutes les substitutions de vous enfans une semblable clause :

    A la Tour du Pin, ce 6e janvyer 1574

    et les jours maigres au lieu de la

    tout ce quilz treuvent, arransonnent les pouvres

    vie. De Vallance, ce XI janvier 1574.

    monde que ie desyre aultant et qui me peult

    monseigneur, en parfaicte santé et longue vie. A

    aultres par où entre leau et les aultres par eschelles.

    faisant part de voz nouvelles ; et je prierey Dieu pour fin, après

    memoires de monseigneur de Gordes apportées par monsieur de Vennes y avoient esté

    changer pour chose qui ne nous concerne aulcunement, car le

    Bonrepos

    vous plait que cest la mienne, car

    que Berne, qui est soliciteur de monsieur de Chaste,

    lestat quil tient à Lion et les expeditions de son dit

    passent dans le Contat et le bruict qui a couru que

    des deniers pour les vous faire assigner du moins en payement

    mieux scavez. Surquoy quant je pourrey estre bon

    quelques foys en iceulx si elle nestoit assister de quelque troppe

    de Este, suyvant vous lettres, car ce nous seroit grand sollas que de

    Votre très humble et plus affectionné

    vouldront passer et lors quil vous plerra madvertir, je

    Votre humble serviteur

    semblera. En cest endroit, je vous presenteray mon humble service avec mes

    continuent à Gordes et, Dieu aidant, tout yra bien ; et

    fayre quatre vins eschelles. Jey oppignon que ne

    pour ses mauvais deportemens quil avoit belle peur destre battu ; et de fait

    telz desmantellementz soient faictz aux despens du roy sans ce que

    monstre pour ledit quartier, de quoy nous sommes bien marris. On a

    mois.

    avec moyen destre paié chascun mois, les conpagnies, gens de pied et la

    De Parys, ce dernier de janvier

    la promesse qu’avoys faicte à messieurs du paÿs, je leur feistz sustendre toute ma

    Marc

    desdits lettres en tout et partout contraires aulx susdites ordonnances, ains

    Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie le

    affaires me pressent de telle fason que si je ny

    vous voir. Ce pendent, vous prendrés ceste prinse q’uon

    remuer quelque chose, mays il a mandé asseurer quil ny pensoyt aulcunement, et que

    Monseigneur, vous presentant mes humbles recommandations, ie supplie le

    si jeusse penser voyr le duc d’Albe, mès la goute

    commandant en Piemont et Salusses. Lon nous menasse assés

    quelle aymeroyt mieulx encores demeurer en ce

    Le pegue

    par mes bien humbles recomandations à votre bone

    gouvernement. Il est bien vray que par la votre du XIXe du passé, me donniés advis comme le sieur d’Hautefort,

    se rendent dificilles de deposer pour craincte de leur desplailre

    Voz très humbles et obeissantz serviteurs les

    chasteau, tous estrangiers, a remonstré comme messieurs de ladite

    de Gresivodan, assesseurs, de Macon, juge royal

    monsieur, qui vous aye en sa garde. De votre maison de Montoyson,

    lantier contantemant de voz plus requitz desirs. De Montelher,

    randant humble service et daussi bonne volunté

    Sainct André, ce troixieme febvrier 1574.

    advenant que lennemy ne veuille embrasser ce que le roy desyre

    piet à deus centz cinquante hommes pour enseigne, dont la moindre payecera de douze francz. Je salue voz bonnes

    habitz, mesmes de ceulx de coleur que pour la dernière foys

    bon plaisir soit dissipare cogitationne malignorum ne possint

    advantaige dentendre si vous prorogerez votre suspention dont je vous

    que je suis chargé de la rectorie des

    de difficultés, leurs magestés vous hount accordés sur

    Grane, suyvant ce que par votre precedente lettre mescripviés suyvant

    vous en dire davantaige. Bien vous veulx dire quilz

    vous en discourira plus amplement comme

    le Createur, lequel supplions vous donner

    la suspension darmes finie, il vous plaira, monsegneur,

    Schault executeront contre notre ville et ceulx de Vivarès contre ledit Estoille,

    de la ville pour plus de seurté pour les ungs et pour

    en ayde Sansons et Fiansayes, ce que seroit bien neccessaire pour le peu de

    de la filhe de monsieur

    de la reception de leurs doleances que je vous avoys mandé.

    montaignes qui dès le commencement à adsisté au

    point voulu faire tormanter, sans premierement

    nouvelles de voz

    monsieur vous donner en santé longue et heureuse vye.

    seigneur le prince, vous dyre de ma part, ausquelz jay donné congé

    ennemis convenoient quil neust moyen .

    Vostre très humble filz et à jamays affectioné

    le tesnir de près et si estois depeché de ce cousté

    qui estoyent dedans, se doubtant son entreprinse estre descouverte, sortist

    G. CARDL. D'ARMAIGNAC.

    font courir le bruyt quilz sen vont

    VIIIe febvrier 1574.

    a espousé une seur de monsieur de Sauve. Sur quoy, je prieray le Createur

    que de celle que iay endurée jusque à ceste heure ;

    et que fut ung peu espert à ce faire pour le proffit de luy et des

    fait difficulté rendre le chasteau comme il vous pleu

    estre adverti par ceulx des estatz. Nous sommes

    monsieur, bonne vye. De Tournon, ce VIIIe [barré : j] février 1574.

    la maison de monsieur de Beaulmont par ce quil

    de quoy lescripvis par mes dernières lettres fust faict vendredy et

    Monseigneur, je me recommande bien humblement à votre bonne grace

    voyent [barré : be] que ce pasage faict experer beaucop dheur pour

    Seigneur vous donner

    daulcugne qui estoient de lentreprinse cy devant descouverte.

    lauditeur Faure, present porteur, en quel estat sont

    à Civita Vechia et à Craparolle avec lillustrissime de Farnèze,

    Vous savez, monseigneur, les moyens que lon a et forces

    Votre bien humble serviteur

    prisonier audit lieu de La Bastie de le mectre incontinent en

    informera et par mesme moien povés avoir dudict Menis

    cinq ou six jours que natans autre chose pour desloger

    plus hardyement je vous ose bien escrire,

    avec du charny. Si elle a faulte de boys et charbon, je dorrey

    enquis comme je feray si davanture je y voys ; mays je pence bien que

    voz lettres de don, voyre après que vous avés arrenté ;

    voz lettres de don, voyre après que vous avés arrenté ;

    en votre maison de St Saphorin.

    de mes bons seigneurs et amys, cest monseigneur, purement

    Segnieur me voloyt antiereman aquablé de mal et diferés

    très humbles recommandations, de votre mayson

    sont voysins dyci se vouloyent employer

    createur vous donner,

    de quel cousté pencheront ses amours, car telles gens ne savent

    dangiers que sons ceus les chemins ma gardé les bailler à mondit

    [autographe] Monsieur, je vous suplie très humblement mescuzer si je [barré : je] ne vous escrips de ma

    laprès disner, une troupe de leurs argoletz au près du

    monsieur Mercier et Vincent de Lion. Monsieur de

    lentreprise sur leur ville et quil a faict que la plus part de ceulx

    Votre très humble serviteur

    que cella les deschargeroit de me fornir jens pour ladite garde,

    que pour la norriture dicelle, ilz ce metront très vollontiers en pespence pourveu quilz usent de vigilliance

    comme ont rapporté lesdits consulz qui me sont tous

    monsieur, très bonne santé, heureuze et

    que vous aurés de moy qui me recommande très humblement

    mon seigneur vous doinct en joye et santé le comble de vous

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue

    commandemens [barré : je suis prest à vous obeyr et à cest endroict] je fineray la presente

    de gaigner le liard pour nestre en lieu

    deniers que je leur balie et me volion après les a voyr

    vanté y avoyr quarante soldatz de leur humeur

    service

    comme vous mescripvez vous ferez poursuyvre lettres de restablissement

    [2 mots dans la marge] par vous comme elle avoyt esté accordée, nous sommes à la guerre er depuis

    donner,

    vie. De Greno[ble], ce 13 fev[rier].

    du compte de Beynez qui sont à Moyrenc et à Tullin ne serons

    très humblement à vous bones graces et prie Dieu

    et à monseigneur le duc. Jentendz que monsieur le baron de La Garde

    mon maistre, mesier Jusyani, tant pour le repos et tranquilité

    [autographe]Monsieur je vous prie nesparnier homme exprés pour me faire entendre

    notamment des maulx, marcins et pilleries dudit cappitaine La Forestz et ceulx de sadite

    especes de fievre carte, que pour les grandz affaires qui se

    pour nous y ayder, encores que nostre succès les

    procès jusques au lendemain des sendres à cause de la fraction

    accompagnés. Quant aux menasses et desseings des rebelles, nous

    qui nest que la prolonguation quil a accordée jusques à la fin de ce moys pour les

    assés [à ces] grandes froydures comme jeans dissoulus et inconsequens

    je men suys faict payer par justice, car par prières ne les

    monsegneur en santé vous donner très bonne longue

    adverty, nous le ferons ; et nestant ceste en aultre

    château de Miribel et que monsieur de Montmartin

    pour le magasin de ceste ville, de quoy

    ilz ne respondent quil neny ha aulcunes nouvelles. Daultres me veulent faire entendre que mon dit seigneur

    my Grane et Marsane, a treuvé

    Dieu,

    1574.

    et comme je prie le Createur vous donner,

    humblement que de les faire descharger de

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse vye et longue. De Grenoble, ce XVIIe

    pour vous faire service, et ce que je fais pour les aultres

    messeigneurs, en prosperité, vie longue. Dudit lieu

    Votre très humble et

    vous priant à touz pourvoyr à toulte dilligence

    et entretenir des soldatz dans les maisons, chascun selon

    la cocte du magasin de la gendarmerie,

    grace, à laquelle je presente mes très humbles recommandations, priant

    votre bonne grace, à laquelle, me recommandant bien humblement, je supplieray le Createur

    servyteur lathivolliere.

    quartier sans cavallerye jusques à present. Quant aus corriers, je ne leurs conseillerès pas de ce metre en

    forni du mien pour la despence dudit moys de decembre,

    escrire ce quilz me promirent fera que feut cause

    il me comanda datandre enquores deux jours,

    que ie vous escriprai pour le presant, que de vous suplier très humblement

    il continuer tousiours en votre accostumée vertu et prudance

    Senessay et avoir eu fort bonne parolle de luy. Tout ce

    servisse

    depeché la presente à mon seul nom. Jay comminiqué à to[us] lesdits

    que estiont là arrivés, conduictz par un nomé

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse vie et longue. De Grenoble,

    Mon cousin de Ponsonnas, pour

    quil vous doinct, après mes humbles recommandations

    ayant daulcuns esperance davoyr ce bien den pouvoir

    et moy avons accordé avec monsieur Besson, reservant

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    à votre bonne grace, quil vous doinct,

    magesté degueyne son espée et ouvre sa bource,comme jà

    à dix tant que la tresve durerèt, tellement que

    Lon a esté contrainct ses jours passés

    commis comme verrés par la letre que mescript le capitaine

    rière luy les chevaulx desdits soldatz, ce que je nay

    escript qui est que si je neusse cogneu La Balme tel que[barré : s] ces euvres

    avec des grosses cheynes. Notre Dame du Puy ny a jamais

    Votre bien humble pour

    et longue. De Vallence, ce XXIIIIe jour de febvrier 1574.

    ainsin noz escholiers, mesmement ceux qui sont de telle importance que mondict

    en venoict tousjours à la fille qui entrions

    paser le Rone[barré : e]. Ilz detiennent ancor mon postilhon

    votre très humble et au

    je men voy vous baiser très humblement les mains, suppliant le

    homme seul ne peult pas faire grand-chose, aiant affaire à ung

    chasteau de la ville, ceulx de ville font tout ce qui

    Bovet secret[air]e.

    ont bien batus et nont beaucoup tués.

    le blé aux catholiques. Ceux de Château dalphin ont faict

    mis cinq soudalz davantage à la porte à grans

    m’assistent de votre faveur à ce que je soys restably en ladite charge

    vivres en qualité quilz se rendront si

    Les susdictz consulz mont monstré aussy une provycion

    volonté que je prie à Notre Seigneur

    signor idio chella conservi. Da Grenobel alli 18 do februaro

    jean besson

    l’on luy fit en croire que ledit seigneur admiral estoyt mandé pour

    écripray davant ; quant à ce que vous mandoit mon nepveu, le

    prie faire de vostre cousté, en me recommandant bien

    plus amplement. Je suis bien aise que vous escoliers soyent acheminés

    communiquer ce que ie leur escris des petitz seaulx et quelle

    que partir du seau ny que d’estre commandées et signées

    le congnoissent que bien peu et à ce que i’entens, ce sera en place où vous aurés bien moyen

    personnage de la part du pappe. L’ambassadeur de Venise fut hier ouy sur les

    humbles recommandations, priant notre seigneur vous donner

    les autres ont esté payées l’année passée, attendu

    Et partant, Monsieur, outre ce que j’en escris au roy, je vous supplie

    nuy pour avoir un fait ou failly et asture qu’il

    très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner

    que puissons cognoistre et sentir la présente requeste pour

    nous en serons et cuyde que c’est ce qui retarde le despart

    de paix ou de guerre à cause de la sommation que l’on

    congnoissance d’entre ceux de diverses religion en

    pourrés avoir plustost d’ailleurs.

    vé[ri]ffication faicte des quallités des demandeurs,

    Cependant monsieur, je suys actendant vous commandementz que je

    Pour vous obéir à jamais

    [v°]

    faire et tout soudain vous an rambourser an

    à voz faire service

    de ce royaulme. Je vous asseure que toutz ceus qui vous appertienne ce prevauldront de laffection

    Madame lira icy, sil vous plaict,

    Votre très humble et obéissante alyé

    Du boys, ce IIIme juilhet 1572

    vous donner,

    comme ont faict les aultres et touttes ces bonnes gens d’icy

    tresorier à Lyon du quartier passé et vous adseure que les

    adverty de noz aultres particullaritez de desa. Le roy et messieurs

    et longue vye, me recommandant très humblement à votre bonne grâce

    vaisseaux de guerre. Larmée des Venitiens est tousiours

    vous n’estes, que la charge où elle vous a mis vous aura

    non poinct pour marcher encores

    iroys commander en Piémont ou sur la frontière là où les urgentes occasions ce présenteroyent

    de Flandres, vous en estes plus près que nous. Vous

    ville de Dye ung aultre paquet de lettres de mondit filz

    Lathivollière

    dire. La royne a donné à monsieur le mareschal

    car ilz arriveront à la court assés à temps, venant dudit Alières. Icy, jey

    jours ; et attendant voz commandentz, je feray fin par

    Marc

    et longue vie. De Saluces, ce XIe julliet 72.

    Du plan de Vorèppe, ce XIIme julhet 1572.

    car je crois que seront plus de cinquante. Il

    de bon cœur. Vous luy en porrer escrire quand il vous

    Mathieu Bovier

    Baptiste de Simienne

    priant Dieu qu’il vous donne

    cœur que votre commère et moy nous recommandons

    [v°] mandé que me vera bien tost. Madame de

    n’amende point. Je prie Dieu qu’il le nous veulle encores

    qu’à présent ilz puissent estre partis de leur lieu, ne pourront toutesfois arriver en Constantinoble

    vostre hermitaige de Mélardron, ce XIIIe de julhet 1572.

    pour moys. Je poursuivray ce faict du mieux qu’il

    vous tenir en sa saincte garde. De Paris, en l’hostel de Lorreyne, ce

    que désirois qu’ilz sont à moy et vous me

    Mole et de Ste Jalle ont prins des fruictz dudit principaulté ;

    avoir decoit fère levée de gens en Alemaigne ; et nome

    et d’aussy bon cueur que je prie Nostre Seigneur

    jour de juillet 1572 .S.

    de Montbasin au seigneur Jean de Laquasche,

    Votre très humble et obéissant serviteur

    fasse la grase de vous fère les servises que ie dois et ne suis née que pour vous

    jour avec vous troys ou quatre seurs que pence que serions, m’asseurant que

    leur y pourvoyrriés de remède convenable ; et si trovés bon,

    souffisant et que ledit homme d’Eglise luy voulsist résigner de son bon gré

    à jamais toute hobeyssance et fère

    soubz l’obéissance du roy, sans faire semblant de riens ny donner

    Votre très humble et plus obeisante

    mentioné à la dicte lettre. Quand j’auray heu responce, la

    sieur conseillier d’Aymé partit d’icy, monsieur le conte nous

    de Grignan son mal. Je prie Dieu luy donner la

    Monsieur, très herese et longue vie. D’Apt ce

    Votre très humble et très obéissante

    florins. Je nescry rien à monsieur d’Evènes ny à mon neveu de Laval,

    assés de passer en tout votre gouvernement. Ce pendant,

    Tande

    délivrer de l’argent pour leur bailler à chacun à cest effect, lequel

    Monteillimar les III compagnies de monsieur de Clermont, lequel il disoit

    Segneur luy veuille donner bonne santé. Nous en tiendrons de

    A. d’Ambrun

    femme, auroyt esté contrainct la quitter

    Il an faut prandre ce quon peut dune mauvèse

    vous en avoyr mandé lettre. Je vous puys asuré que je ay puls

    vous aller faire la révérence et demander ce qui est nessessaire

    Si madame veoit la présente, elle y trouvera mes très humbles recommandations

    suivant ce que vous nous escriviés de faire, le tout par son

    de buffevant

    les mayns et dit qu’elle voldroyt advoir le faict de [nae ?] que luy

    en l’office de premier président. Nous ne poursuivrons rien

    pour vous estre tant hoblygée et affectionnée à vostre

    Brouage, qui haste l’armement de ses vaysseaulx le plus qu’il peult à ce

    suys prest à vous hobeyr à vous

    en toute dilligence à Briançon pour avoyr des mulletz jusques à Fenestrelles

    de ce pays qu’ilz facent leurs diligences de

    bone part les excuses du roy quil ne vouldra et naura

    bonne grâce. A Paris, le XXIIII juillet 1572

    ne permetrés que mon frère tombe en honte, que me

    [v°] il heust à Crest bonne trouppe de gentilhommes de ceulx

    que je ney mouyen vous en fère tenir. Monsieur d’Avanson a ung

    [v°] sur la revocation du tiltre de grand duc de Toscane

    seigneurie en sera advertye. L’ambassadeur d’Espaigne

    vouyage. Nous avons resceus tant de biens et secours de

    Madame, vous donner en parfaicte santté longue et heureuse

    à Lespecie, qui embarquoyent six mil hommes de guerre

    de retourt et en seste endroict, je vous bayse très humblement

    Dieu aidant de sorte que nan adviendra inconvenient ;

    de Madame de Gordes et prye Dieu

    de Romanieu pour luy aller pourter une lestre de ma part.

    dernier, poursuivist et blessa dedans la garde de la porte Saint-

    passage ordinère pour le service de sadite magesté,

    Donné. Nostre seigneur soit loué quilz soit aultrement. Jay retenu

    vostre bon advis, vous adceure qu’il a bien besoin d’estre bien

    Roissy, qui est du conseil, qui me dict que l’on avoit

    Ilz y ont aquis une très mauvaise reputation. Le filz du duc d’Albe est à une demye lyeue de Montz

    chevalier dhoneur et fort bon catholicque.

    De Chapponay

    peu venir à bout de le lire tout.

    bonne grace et prie le Createur vous donner santé

    de ladite première volerie, vous prie escripre audit sieur Correa de

    calonnies faucemant controvées que auquns particuliers

    quil escrit à monsieur de Brigaudières. Je vous envoie sil

    quelles soyent telles que je les désire et vous

    vous aveys escript, où monsieur de Monbrun leur

    Vostre plus afectionné et

    mon filz aussi, le premier mandement quil me feroit.

    receuz le dernier du passé et vous remercier des advis que me doniez, dont je vous

    Monsieur vous donner en parfaicte santé ses graces très saintes. De Sault ce

    Duvillars

    pareilheument. Jusques à ceste heure on na vacqué que à la verification

    presence et commodité de telz commissères que feussent demeurées

    Monseigneur, je supplie le Créateur vous donner en trèss bonne santé, très heureuse

    estant au service de monsieur le prince d’Orenges, ensemble

    jusques icy. Mais jespère que Dieu nous favorisera tant

    empeschement affin, que nous peussions estre secouruz,

    trop mieulx comme il voudroyt favorizer une

    vie. De Grenoble, ce IIII aust 1572

    Montoyson.

    voiage leur seroit fort long avant qu’elle feut à Viene,

    à Grenoble et si je resoulx avec ma belle

    je la finiray avec mes bien humbles recommandations à

    avouer escript ci ce nest monsieur de Veynes pour ny en

    Marco Antonio Buragia

    [v°] pouvez asseurer de ma diligence et soingnement que je n’obmectray

    serviteur

    sien testement qu’il fist avant son depart. C’est

    nièce, à vous fère service

    jugement, et en faict plus detat que de la grande

    de ce temperament que pour leur mesdisance vous ne vous

    yci l’armée de Don Johan d’Austria. Puis trois jours en

    de Bazemont, abbé d’Aiguebelle

    encores faschée de sa descente, mays non pas tant que du

    adviendra que bien. Je me porte meintenent

    vie. De Lyon, ce 7 aust 1572

    le tout au Lionnoys, dont scandale en

    moien executer votre volunté et si je ne le fais par tout cest moys

    le vouloir excuser si ne vous rand teil

    A Paris, le VIIe jour daoust 1572

    grande que ce s’eut esté pour mon faict propre, vous en ferés en

    compagnie vous baysent très humblement les mayns

    vostre très humble et

    Bertrand

    de la fère tenir au pis aller quant monsieur d’Hourches ne

    pas quilan soit esant. Mon afère de Dieppe est au

    par monsieur du Chastelard. Je prie Dieu quil puisse estre avec aussi peu

    XXe presant, interompus à cause quil a

    Vostre très humble allié et serviteur,

    que vous serez. Ce pendant, faisant fin à la présente par mes très humbles

    de sorte quil la tirat de sa poche et la me bailhat,

    Pellisson

    serviteur à jamais

    de façon quil ne randoyt par la bouche, sinon ce

    serviteur

    ou trois jours et puis à Jaunages, sans aller ny à Mures

    abbé d’Aiguebelle

    Jay envoyé la lettre à

    voulluz aider de monsieur de St Romain, se seront

    nous ont escript du XIe de ce moys comme la peste continue

    sellon la volunté du roy, car je seray tous jours de son costé quoy

    de quelle syncerité vous vous estes tousjours manié en votre charge ;

    recommander à votre bonne grace et de celle de madame de Gordes,

    esté de craincte que ne le treuvissiés mauvais

    adjousté que aussi bien eussiez-vous pourveu à faire

    Xe jour daoust 1572

    [v°] en attend-l’on quelque chose grande et inopinée,

    je prie le Createur vous donner en santé prosperité très longue

    après vous avouer beysé très humblemant les mains, je prieray

    Monseigneur, après mestre très humblement recommandé à vostre bonne grace,

    passé. Faisant fin, après vous avoir presenté mes

    qui estoit avec elle. Aurreste [barré : lad] monsieur, jay veu ladvis quil

    De Simmienne Alleman

    De Simmienne Alleman

    Monsieur, pour laugmentement de votre heureuse prosperité

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    rendre votre responce dans quinze jours echeux.

    celles quil ma escriptes pour après les avoir

    de monsieur de Sainct André pour commander à maistre Lyonne, commis

    On na faict à Sault que la veriffication des meubles contenus en

    G de Simienne

    Lyon, le XIXme aoust 1572.

    serviteur

    Vostre très humble et très hobeyssant serviteur

    de sen aler ; et sil fault quelle parte sens le voyr, se luy

    vie. De Grenoble, ce XXe aoust

    demayn après diné. Sur ce, nous vous presentons noz très humbles

    vie. De Suze, ce XXe daoust 1572

    reconsillyer l’Eglise, luy mesme luy dict de quatre

    vous y priverés du loz, ensemble du droict de retention

    vous les escrire. Je continue tousiours daller en

    son pays de Prouvence au lieu de Forcalquier ou de

    Gibert

    declaration quil lavoit faict faire luy mesmes

    Monsieur de La Coste est en bonne disposition et

    recommander bien humblement à vostre bonne grace et à celle de madame

    fesant escorte au corrier de ceste ville ; et contre ledit

    daulcung rabat, si est ce quilz se persuadèrent que votre

    vont en grant regret de ne lavoyr veu. Je ney resseu

    seur de Sainct Privast, en priant Notre Seigneur vous donner

    vous bonnes graces de mes très humbles recomandations,

    tout ce que s’en dit presentement. Pryant Dieu,

    A de maugeron

    luy donnerons advis s’il nous en faict communiquation. Mondit sieur le

    j’ay esté contraint de dire à ung de la religion que j’ay trouvé

    a soné comme du temps de guerre ; de ma part, je ne le

    les consulz de la ville de Romans.

    foybles du costé de la rivière par la grand ruyne que

    ville que vous en resevrés comtemteman, qui me ferat

    Monssegneur vous donner en sainté longue et

    obeissant serviteur

    en mon logis advant quentrer votre paquet à monsieur de Bigodieres

    quil feut, je luy respondis que naviés autre voulonté

    Vostre très humble filz et à jamais très obéissant

    de sa part que de la miene auiourduy à monsieur

    Monsieur, quil vous doint an santé très heureuse

    Elle me dit que je lesasse parler et que

    avoyr baisé bien humblement les mains et supplié le

    de vostre compaignie, priant Dieu quil vous doint

    vous plaict pourrés encores commander ausdit sieur de Villefranche

    Monseigneur et si soumes logés porte à porte du

    est sa magesté qu’il commandast le faire venir en Constantinople,

    vous pourrez aussi voir par la lettre du vischastelain dudit lyeu,

    [v°] meurtre. Je vous envoye la responce de la dernière lettre qu’avés escrit à monsieur de Mombrum. Quant

    Maugiron avoit lors en charge de lever deux mil hommes oultre

    es point que, monsieur, je suys assuré quel y en a

    icelle vous faictes entendre aulx villes et

    conte de Tande, lons la tenu pour mort et nespere-t

    pour le pays en feissent de mesmes de vous escripre particulierement,

    Vostre très humble et très obéissant filz

    voulx presenterey mes très humble recommandations à vous

    Monsieur en parfaicte santé longue et très heureuse vie.

    [v°] digne de vous si ce nest pour me recommander

    Votre très humble et hobeyssant

    mérité de tel en votre endroyt et par ce que vous aurez

    premier octobre 1572.

    [v°] quil se monstre sy fragile quelle pourrey

    Lamote Verdeyer

    Bonvert s’il vous plaict, que faict aulcunement antrer les

    Bourgel secretaire

    de la garnison de Dye et surce

    envoye ung paquet de lettres que monsieur le president Bellyevre vous escrit.

    le Prince d’Orenges. Le roy de Navarre fut à la messe vendredy

    de Crest est à Pryvas ; que sera la fin, après

    comminations et submissions de peynes quil a

    reste sy cher que les paisans mesmes prennent de six à

    Votre très humble et obeissant

    Votre tres humble et aubeyssan servyteur

    Monseigneur vous donner en santé heureuse et

    ce jourd’huy eslargi Lironifa. Quant à present, à caution j’entens qu’il

    G Deportes

    seditieux que ceulx que l’on avoyt faict mourir et

    vie ou de la mort du sieur de Saint-Romain. Du premier de ce moys,

    visiter par demy heure madame an ce lieu. Elle

    Monseigneur très heureuse et longue vie. De Paris

    me recommander bien affectionnement à voz bonnes graces et

    heu le conge desdictz conseulz et mont donné quelque

    J de Cheysiliane

    et heureuse vie de Baches ce 4e octobre

    loing l’ung de l’aultre. Sur ce, faisant foy par mes bien humbles

    rendre toute hobeissance aus commandemens de sa magesté, ne

    Geneve et puys plus oultre ; et sur ce je vous feray p[art de] ce

    qui lons porroyt prandre des assemblées que lons dit estre

    [v°] en nombre de troys mil. En ce pays, Dieu mercy,

    [dessin d'une croix à six branches]

    pour le payement des cappitaines et mortes payes

    foys, yer, despuis que le sieur de Saint-André fust arrivé

    pence nestre aultres que pour sen aller en troupe ou bien

    suivoit le secours de 19 nefs d’eslite et les 6 galieces,

    pour la fin et que je my voys recommander bien humblement à votre bonne grace,

    pour [barré : avecques] ramener les compagnies de monsieur des Adrés aux lieux de leur demeure

    qu’ayés en propos d’envoyer noz enfens en cez cartyers et que vous

    afeccionnés requomandasiouns de bien bonnt ceur

    très longue et très heureuse vye. De Paris, ce VIIIe jour

    huict ou neuf cens escus argent monnoye et cinq ou six

    passé et i fère sejour jusques au dimanche

    y a bon nombre de ceux de ladite relligion qui mesmes ont suyvi les dernieres guerres,

    contre les Turcs, quest fort grande ; et cest tout ce que

    il ne s’est presenté chose qui altère tant peu le repos où

    il ne s’est presenté chose qui altère tant peu le repos où

    ne veulx oblier

    e pacquet et me tenir plus advisé, je laissay aller le susdit

    estremement vous y faire quelque bon et fidèle

    et m’a prié de vous en asseurer et messieurs de la court.

    grasses et toute leur compagnye] De Gargas, le

    huguenaulx, que sera la fin, après vous avoyr

    Monsieur, vous donner en perfecte santé, heureuse et longue vie. De [barré : Viene] Beauvoir,

    vueilhe conduyre propèrement et vous doinct

    Monsegnieur vous donner en sancté et prosperité acomplissement de voz

    que ay dedans je vous envoie et par mesme moien

    dans l’Ysere, puys, en fin, voyant qu’on n’offensoyt persone, se

    de La Coste, na pas falli de venir voyr

    Monbrun vous escrit, laquelle je vous envoye. Il vous plairra, monsieur,

    Lon nous a asseuré de la mort de monsieur

    avec monsieur Deise qui le solicite, estant audit lieu de

    Les commis des estatz de Daulphiné

    pour lesperance que jay que non seulement ladite sauvegarde, mays aussy

    mais pour cest hivert, je serois fort d’opinion qu’il

    des Adrestz, vous a esté rendu. Lon nous dit que monsieur

    de Simienne

    dira la volonté du roy. Je suys en esperence

    que envyron quatre vingtz que nest pas en tout le nombre

    ladite vente et commis aux deschargementz, et maître Regnaud

    sil vous plest me faire

    bonne grace des présantasions que je luy ay faites

    qu’il le tienent presque à leur devossion et les massacres

    messe, toutz nous sommes resolus de vous envoyer ladite letre datée à

    Votre très humble et très hobeissant

    journées que jay marié la pestitte Jehanne quil

    à votre bonne grace, priant Dieu

    sont meschantz et cella eusse faict ung coing

    Saint-Jehan-d’Angely, s’estans jectés dans La Rochelle grand nombre

    et mes petitz services ne meritent encor d’estre du tout obliez.

    amy

    et eyreuze vie. De Vallance, se XXIIIe

    laugis ce XXIIIIe octoubre 1572

    de Lavigiere

    de leurs letres et pour monsieur du Roucet, an atandant

    vie. De vostre Laval, XXVe octoubre 1572

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé et propérité, très heureuse

    arrenté en argent son vingtain pour cinq ans.

    Seigneur vous donner,

    Votre humble et très hobéissant

    évidamment que j’ay esté contraint de les récuser ; sur quoy il

    magestés, mais pour cella l’ons n’en tirera

    lequel je me perpétueray tant que je vivray de vous

    Vostre très humble cousin et

    Novembre 1572

    et quelque bon cheval pour la tyré. Je croys que

    prié vous escripre et supplier de le vouloir tant

    Monseigneur, en très parfaict santé longue et heureuse

    tellement qu’il m’est redevable de dix ou douze escuz. Je luy ay escript

    encor à Fontenay-en-Brie et la royne sa mère à Monceaux.

    J’ay bien receu ce jourd’huy deux de voz dépêches au roy don

    Votre très humble et très affectioné serviteur

    de Grane soint intérinées par messieurs des comptes

    assurentz obéyr en temps que nostre pouvoyr aux

    à Apt pour la Tous Sainctz, luy a faict dire qu’il

    de Cabanes, je ne luy [barré : eneyj] en ey jamès parlé, sachant bien

    ou de ceste ville, qui seroit mal à propos. Mon nepveu

    l’Angleterre et des choses qui se sont comises autour de Tholoze

    heust advertissemant que l’on se vouloit saizir du lieu

    Créateur vous donner,

    à votre bonne grâce et à celle de madame de Gordes,

    prometz et assure de rechief que les Anglès, les Allementz

    à mondit seigneur le marechal, auquel j’ay bien déjà dict qu’il ne faut

    prye à Dieu vous donner

    vivres qui s’augmente tous les jours, ilz ne peuvent vivre à six soubs par

    Villeneuve avec Stephani de ceste ville ; c’est ce que j’en ay peu

    de l’opinion de ses environs vendent

    Aurenges il y a quelques cappitaines de la nouvelle oppinion, lesquelz toutesfois

    qui le m’a faict tenir. Ladite dame s’en revenoyt d’Aix

    Messieurs de la cour de parlement font grande poursuitte

    Ilz est forcé, monsieur, d’accorder les guardes en la forme contenue

    recommandations et pour ce que j’espère vous veoyr

    Dufay

    vie. De Vallance, se premier de désembre 1572.

    monsieur de Veaulne, mareschal des logis de votre companie,

    au fort. Sy vous trovés bon la

    Je suis bien marry de ce que vous me mandez de ceulx

    encor par voz lettres ausdits seigneurs.

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé longue et

    des Vignaulx, ny des aultres choses pour l’espérence

    Vous humbles et hobéissans serviteurs.

    d’unne toux que j’ay pris ses jours à la chasse, que

    votre très humble et très obéyssant serviteur.

    Parys, le VIème décembre 1572

    qu’il voulloyt lever la garnison, qu’il les

    douze jours prisonnier. Il dict que audit Chellard a

    Beaucayre monsieur le mareschal d’Ampville bien

    madame de Gordes, à la quelle je n’escris pour le présent, l’ayent

    François de Simiene

    estre, et d’aussi bonne vollunté qu’en cest endroit je me recommande à voz bonnes grâces,

    ne diminue assés la réputation de la Ligue et

    bonne amye

    la rivière c’est trouvé quelques jours toute gelée

    je vous ay cy-devant escrit, baillée au sieur de Lombes pour quatre

    vie. De Vallance, se XIe de désembre 1572.

    dez cent escus qu’ilz vous doibvent despuis le XVe de

    et avec l’aide de Dieu la prendrai en

    Votre à jamais plus humble et plus obéissant frère

    la luy pourra faire tenir à Saint-André de Cousans ou à Upays ;

    ande et fraternelle amitié que vous m’avés tousiour portée qui

    de s’emploier pour vous. Quand à votre fait de Grane, il

    d’ici. Il me dit qu’il s’en résoudroit à la couchée avec

    humbles recommandations à votre bonne grâce et priant Dieu

    mynée dix piedz et ha de large au dedans cinq

    Mandelot

    mesmes monsieur d’Alières, juge de mondit seigneur et le procureur,

    rendre les clefz de ladite ville, disant qu’ilz

    Dieu veulhe que lhors le tout soyt bien fait.

    du roy. Mes nepveus et le reste de la petite troupe

    et envoyé les provisions, si ay-je escrit à Bazemont de m’en

    Voz très humbles et obéissans serviteurs

    en cest endroit bien humblement à votre bonne grâce,

    par lequel je vous escrivis il y a [barré : huit] douze jours de

    je n’avois jamais eu tieulx maulx, Dieu en

    monsieur le viconte et toutte la bonne compagnie qui

    Pierre de Pontevès

    d’aultant que ledit seigneur alloyt avoyr l’entyer gouvernement de ceste province, si bien que ledit Roysse m’a dit que, venant ces

    Bourgel

    Monseigneur, après m’estre très humblement recommandé à votre bonne grâce

    G. Cardinal Darmagnac.

    château un gentilhomme catholique, bon et asseuré serviteur du roy, avec semblable

    cheval à la charrete, duquel nostre chauretyer a bonne

    monseigneur vous conserver toujours en sa très saincte et digne garde.

    trésorier de l’Espargne Moreau.

    se ravisereront. Sur ce, je vous baise très humblement les mains, saluant

    de quoy je vous ay bien voullu advertir comme je feray de touttes autres choses qui en

    et supplieray le Créateur vous conserver,

    Votre bien humble amy et serviteur

    sera avant mon partement d’icy, car nous desvons désià

    Jean Besson

    en votre gouvernement soubz couleur et espérance d’aller gaigner

    et l’a on heu advis qu’il en sont sortis beaucoup de gentilzhommes qui

    adreseré vous letre à monsieur

    ce matin le Rosne prins, et en quelques lieux le bestail y passe, qui est

    Monsieur le légat a disné ce jourd’huy avec le roy pour la

    che questi di Loriolo ne forniscano un’ mese

    16 jour de dessembre. Votre bien humble seur

    Madame de Gordes verra icy s’il luy

    proceder et en advertir du tout votre seigneurie,

    de Charmes. Que e[s]t toutz ce que je vous puys fère

    de Tavannes et monsieur de Villequier partent ce jourdhuy

    que [barré : monse] Monsieur frère du roy avec le reste des prinsses icy,

    desiré celluy que j’ay à lances mais si monsieur de

    Votre très affectioné parant et

    mer avecques le sieur Paul Urssin son beau frère et beau

    bon congé de son coronel, qu’il avoit oppignion que

    forme que monsieur l’auditeur de la Colombière vous dira,

    entrefaicts ung gentilhomme pensant donner au

    graces.Priant Dieu vous tenir,

    et affectionnées recommandations à votre bonne grace. Priant

    de ce pays de fasson que jay eu toutes les peynes du monde à les garder de veoyr

    grace, je prierey Dieu,

    longue et heureuse vie. De Romans ce Xe jour de janvier 1573.

    craignoys le soudain despart de ceulx avecques lesquelz je suis venu et

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    estés reduictz par le commandement de messeigneurs de la court,

    de Vanse, du Monestier, de Combaud, et quelzques autres.

    temps j’ay telle fiance en votre amitié que je me promectz que

    leur despart sans quon sache quand ce sera ne leur

    Conmourcier

    pour le seigneur Carles et semblablement la compaignie de gensdarmes du

    Hourche

    très humble et affectionné service daussi bon cueur que nous

    enpechent en Viverès de fère se que il[s] veulent.

    qui est occasion qu’ay advisé vous envoyer le sieur

    à celluy qui luy avoit appourté ceste advis, confirmant aussi que monsieur le

    où je prye le Createur,

    mil trois cen livres me merront quelques temps. Il est vray que je

    qui se mangent en Daulphiné et aussi le charbon qui y

    je prie Dieu vouloir prosperer et conduire à son

    du jour et despartans me ferent compagnye jusques à la porte de notre mayson

    Quomant il s’est mis en devoeyer de fère, les

    Seigneur vous donner,

    servyteur

    Votre très humble et obeissant

    recommande très humblement à votre bonne grace, priant Dieu,

    lon dict quilz ont pris Beauchastel et si ont cuydé surprendre

    pour le service du roy tant pour tant que Dye et an lieu le plus à

    que ce soit come aussi sont plusieurs aultres. Car ilz font

    reverance, mais les susdites occasions survenues mont faict

    vous et les vostres. De Brianson, ce XVIIe

    monsieur, vous doner très bone et longue vie.

    du roy, lequel abergemant il na volu communiquer, combien

    [90 v°] ainsi quil vous plaira lordonner, lextraict de

    H de Montmorancy

    de Baumettes, car ilz sont à Aix.

    Votre humble serviteur

    Morges

    ce XIXe janvier 1573.

    monseigneur, vous doner en santé, très longue et heureuse vye. De Dye, ce

    Serviteur

    scauriés commander. Et en cest endroict, je vous presenterey

    lors que vous porés donés hou[r]dre à la fère ; et touchant

    civiles sy malheureuses que Dieu par sa grace veullie appaiser.

    si vous leur faictes faire monstre et payer auparavant quilz partent,

    Vostre très humble et très affectionné

    d’attendre jusques à demain monsieur le contrerolleur

    nouveaulx. De quoy vous ay bien volu advertir à ce quil vous

    de Sen Endré et hon aupinion que à la mi fevrier,

    aucunes novelles, je vous en tiendrey a-

    [113 v°] Monsieur le vibailly,[barré : jay (mots raturés)] au contraire de ± [± ce que mavés escrit ]

    comme vous rendront plus acertainé tesmoignage les effectz ausquelz je

    autre par ce porteur, dans la quele verrés le lieu que je vous ay ordonné et

    prendre aulcune chose audit Vienne, après que lesdits consuls m’ont faict entendre

    avoyr pour recommandé monsieur de Vilar,

    daultant que ledit sieur du Vilar est mon allié

    milieu de la Vaunage et si est entre deux ledict Nimes et Saumières.

    serviteur

    premier jourt pour La Rochelle. Je masseure que les lettres quilz vous ont escrites sont

    le faict de ladite nouvelle oppinion qui ne se soyent retirés ou qui

    ce XXVIIe janvier 1573.

    tout cela, et me suys retiré icy, ne me voulant

    janvier 1573.

    qu’après nous estre derechief bien humblement recommandez à vostre

    conseil de ceux qui feroient entreprinses contre la volunté

    est necessaire ; toutesfois, lon y fera le myeulx que lon pourra, vous priant ce

    me fussent bien neccessaires, si est ce que je veulx en cela

    de Gordes, en saincte garde. Escrit à Paris, le IXe jour

    nous sceumes quil en partoit, qui feut occasion de nous

    Nous n’avons pas tant d’incomodités que lons nous

    H de Montmorancy

    pour trois ou quatre iours. Le roy est ce pendant

    Du camp de Nieul près La Rochelle, ce XXI febvrier 1573.

    et fait lons tousiours enforcer forsse veusseaux pour

    pryant Dieu,

    de la noblesse qui est ici, cregnant larrivée

    au Valentinois et Montelimar, ce que je dezire pour avoir ce

    ses très humbles recommandations, come aussy

    Jour duy. Jay ecript à madamoyselle de Casaneuve et

    les affaires de ceste province le permetoyt. Je vous puys asseurer

    Monsieur cestoit retiré ung peu loing de

    certaine science. On espère bien de la legation de monsieur

    vous croire qu’au besoing, je seray toursjours prest pour vous secourir si loccasion sen offre.

    en votre gouvernement, et si vous en departant, votre

    vie et longue. Au Montelheymar, ce XXVIe de febvrier

    monsieur de Tavannes qui estoit à Estampes se portoit mieux.

    longue. A Montelimar, le XXVI febrier.

    de leurs novelles quand vous en haurés, que devés penser si cela me

    mis forsse pièces du cousté doù ils pancent estre

    aultresfois car, possible, vous cognoissez que je

    mère comme faict votre mère, frères et seurs. Priant le

    tout cela, je le pris quil vous veulhe donner,

    febvrier 1573.

    jour de fevrier 1573.

    la main de tout ce quil peust pour descouvrir

    pource quilz veulent suyvre leurs anssienes costumes

    personnages, joinct que je demeurerey obligée

    sont, vous donnant,

    faisant par foys sourties où ilz nont receu guère de

    desquelz ledit Brassac est, lesquelz ne font aulcun

    Monsieur de Chastellart est davys que je ne mande rien à messieurs du pays de mon

    plaict ainsi lordonner pour la seureté de notre ville, taicherons

    quoy javois pieça envie quil eust ce bien de vous veoir pour beaucoup de

    Monseigneur je ne veulx faillir que lesditz ennemys

    du XXVe, quadvés mandé votre compagnie. Je masseure

    cappitaine Arnault pour scavoir votre partemant pour vous

    moyen de me retirer au campt de Monsieur comme je

    Monsieur despuis la lettre escripte, jay esté

    Monsieur je prye le Createur, après mestre humblement recommandé

    d’icy. Ce pendant, je m’en vays très affectueusement recommander à votre bonne grace et prier Dieu

    frère est dans ledit Chalancon, a deux centz hommes

    à monsieur le trezorier audit lieu de Briançon

    Damville faysoit faire à Sommiayre et pour

    supplier croyre quil ny a gentilhomme en France qui de meilleur

    je vous remercie très humblemant.

    le susdit ma bien assuré quil y aura quelque remuement en

    monseigneur, comme nous prions le Createur vous donner en sancté, accomplissement

    à votre bonne grace et en priant le Createur vous

    Chastillon est en fort bonne volunté vous faire

    de la ville ilz n’ont aulcunes armes qu’ung baston

    de ce qui surviendra, vous suppliant anvoyer

    resolu de m’y consommer plustost que je ne les aye, encore

    serviteur

    pour le faire mettre en campagne. Ilz n’ont poinct passé encores iusques

    IIIIe mars 1573.

    povoir faire service et le feray d’aussi bonne volunté que je me

    jamais Hourche

    L. Milliet

    le roy vous escrivoit ne laisser coupper aucung ^ [^ de ses] boys en

    Montoyson.

    [brouillon de réponse de M. de Gordes]

    Dieu conduyra le tout sy luy playst,

    Montelimar, ce mercredi IIIIe mars 1573.

    que Pierregourde dit Barjac est gouverneur du Pouzin, non

    aller passer au Pousin. Si tant est que l’on puisse y

    prins les armes pour venir en France, et dans

    pourvoyr et deliberer de leurs affères. Ilz hont esleu

    laisser pour quelques mescognoissance et ingras de faire mon debvoir. Or

    en fort bone senté Dieu graces et monsieur de Saint Sernin

    et par tous moiens essayer d’empescher la sortie

    à Grenoble vous verrés ce peu que j’en escris à monsieur de

    St André. Si vous estes à Valence, vous y aurés veu le

    à votredite seigneurie pour icelle supplier de favoriser mondit frère d’une lettre d’icelle audit

    proveoir d’armes et chevaoulz et leur en aller à La Rochelle

    le seroyent avant que fust Pasques. Enquoy j’estime que

    vie. [barré : A St] J’ay fait vos recommendations à madame et damoyselle

    Vous très humbles serviteurs à faire très humble service

    Votre très humble et très obeyssant

    la fille de la quelle ma belle seur est accouchée. L’equivocq fut fait en

    qu’à tout evenement il les peult faire à conduire jusques à Vallance

    nulles novelles de ceulx d’Oranges ne de monsieur de Caderousse.

    le nostre. Touchant aux gardes

    plus seront obstinez. Vous suppliant monseigneur

    encor que je pence que le tout leur servira

    [particullaritez] de par deca. On m’a rapporté

    VIIIe jour de mars 1573.

    je ranvoyrey à vous aveques totesfoys que atandens

    à monsieur de Quintel et à madamoyselle de Quintel

    moins que l’on en est en quelques bone esperance dela que Dieu nous done

    serviteur

    n’ayant pour cest heure aultre chose digne de vous, je ne vous enuierey

    bonne grace. Priant Dieu,

    beau frère vous dira le reste qu’il y a veu, lequel vous croyrez s’il

    escrit et qu’il l’avoyt oblié de mestre

    touchera par dela et ce me sera obligation de tant plus en votre endroit.

    leur commander et comme il voudra marcher je les [barré : ly] luy

    du Rosne et font sentinelle la nuict de quatre à quatre.

    de vous. Sur ce Notre Seigneur vous ait en sa garde, du camp devant

    me garde que ne puys mouncter à cheval pour encor.

    que luy est porté par ledict courrier exprès.

    et très heureuse vie. D’Exilles, ce XIe mars 1573.

    Montoyson.

    actions. Je vous plairra de commander que leurdites lettres me soient

    Vostre très humble et très obeissant

    serviteur Bellievre

    de se bien prandre garde. Monsieur de Vaucluse m’a dit qu’à Viene

    est de Teing, et l’aultre François de Laygle qui est de Normandye,

    la plus part de la teste comme il estoit à l’artillerie

    de Dauphiné pour vous en aider iusques à ce que vous ayez faict faire

    l’entretenement de la compagnie du cappitaine Colon, lequel alla audit lieu mardy

    que madamoyselle d’Hourche ma niepse a eu II

    tant au bien et à l’honneur. Mais j’ay trouvé le contenu esdits memoires

    bonne grace, quil vous doint,

    aujourdhuy que les huguenaulx hont retournés devant Challançon et vont assiegé.

    vous ne viendrés pooint sa bas. An atandant de vous

    Valence m’a randu ung paquet que je vous envoye lequel

    Phelipes Durand

    service du roy à

    Colombat

    de sen soucier, qui monstre bien quon ne se doit fonder sur sa

    le XIXe mars 1573

    et au dessus : A Monsieur, monsieur de Rousset, chevalier de

    Dieu mercy se ne sera rien. Je vous avoys escript

    à celle fin que on ne bouge poinct aux muralhes.

    [14 v°] et supplient leur accorder ce que dessus

    De Lyon, ce XVIe jour de mars 1573

    Loyse du Fay

    court où monsieur il ma tousiours senblé

    serviteur à vous obeyr

    le present, après mes très humbles recommandations à votre bonne grace

    vostre très humble et obeysante

    suyvant le taux de messieurs du païs, comme il vous a plu me commander.

    où nous sommes, et à ce propos sera esmouvoyr

    Monseigneur, en santé voz doner très longue et très heureuse vie. De votre ville

    grand bien et sollagement en ce pouvre pays, mesmes si

    vous doint en laugmentation de votre grandeur

    bon cueur

    qui facillite autant lexpugnation de ladite ville, pour laquelle advancer

    monsieur, en toute prosperité, santé longue et heureuze vie. A Venterol,

    Gordes, priant Dieu quil vous done

    que le surplus de votre gouvernement ne peult fallir de vous estre recours

    Seigneur vous donner

    pour la presence qui est la personne et tout ce qui en despend pour vous

    ont à garder leur ville et la despence quilz supportent

    [barré : lettres] debtes quil sy estoyt acquiz par industrye du trafiq de la marchandise quil menoyt,

    donner occasion à beaucoup dautres de se desister de leurs maulvaises intentions,

    toutes ceste sepmaine ; estant au reste très marry de la besseure advenue à votre majesté

    Charles

    est entre mes mains, du quel la creance estaoyt telle que

    Monsieur de Gordes, ie viens de

    de sorte que jay retenu la compagnie dudit Areret et les autres,

    à propos que ceulx de la ville ne luy fissent abandonner ladite

    tiennent le passage de la rivière du Rosne en subgettion, car ce sera une

    C’est enfin que jay parfaicte assurance et confiance en vous. Pour le regard des

    cappitaine et ung lieutenant et une douzeyne de prisoniers ; il en morut

    il vous pleut la donner au seigneur de Montestruc vostre

    en vous bones graces et priant celluy qui a tout

    ayant envoyé en campagne monsieur de Rousset et de Geissan, mon lieutennant et

    vous supplie de rechef très humblement, sire, les en vouloir relever ou donner

    en leur parcelle semblable partie de IIIc Lt quilz avoyent, de tout temps,

    gouverne comme il dict, je desire quil soit conforté en ceste intention par

    faire sans autre ranfort de cavallerye, nayant que ma compagnie

    de guerre, jen ay de belles,

    regard du sieur de St Romain // [marge gauche : // du quel et du sieur de Cheylar jey receu lettres, des queles vous envoye la coppie] ; et quant au gouverneur d'Orenge, je luy feit tenir votre lettre ;

    resistance à si peu de force ; sil nest quil soyt

    Charles

    de Gordes, vous avoir en sa sainte garde. Escript à Fontainebleau le

    guerres, elle en fera sy luy playst le commandement

    remys, et se sont retirez suivant laccord que luy auroys faict avec le sieur de Montbrun et autres

    Manas qui navoyt volu recevoyr la garnison de XII soldatz

    [lettre à Catherine de Médicis]

    harassée, pour le desir et affection quil a tousiours monstrer avoir au bien de

    La commision don il est

    auquel je nadjousteray que ce mot : que du temps que je suis

    vous secoure et assiste des forces du ban et arrièreban de Lyonnois

    chasteau et ainssi que jestoys sus le poynt dy aller avecques

    qui me faict de rechef le vous recommander ; et surce, je prieray Dieu

    Charles

    affin de espargner autant en la necessitté dargent où je suis ; toutesfois, ayant

    y avez quilz me satisffacent, priant Dieu, monsieur, vous avoir en sa sainte

    garde. Escript à St Germain, ce XXIIIIe jour de julliet 1573

    de neufville secretaire

    que ayant faict et resolu ledit edict de paciffication, tel que vous avez veu

    de Gordes, quil vous tienne en sa sainte garde. Escript

    ausquelz ont esté retenuz armes, hardes, chevaulx et argent ;

    commissayres y nommé, et feray de mesmes celes que votre magesté escrit

    quant il fut dit que votre magesté fesoyt marcher deçà voz Souisses

    par celle que presentemant jescrit

    si tant est quilz les remettent entre voz mains ? Je vous respondz

    dentre eulx vers moy pour me faire leur plainctes et doleances, cest chose

    et mienne.

    ay envoyé coppie qui estoyent depputés de ceulx de leur

    et pour le regard des compaignies qui passent d’ung lieu à autre par mon

    de ce que durant son seiour il y a aprins. Je suis très marry de

    et punir très rigoureusement ; et pour le regard des compaignies qui

    le XXIIme jour de sep[tem]bre 1573.

    [178 v°] Grenoble en la quelle estoient monseigneur de

    est cause que ledit seigneur conte vous envoye ce gentilhomme, affin que par luy

    vosditz gouvernement et destroictz à faire conduyre

    ce unze novembre mil cinq centz septante troys.

    faict entendre à monsieur de Gordes qui nous a communiqué de voz lettres et discours

    au lieu de feue dame Anne [barré : d’Albiny] d’Albini sa

    fondz de la montaigne et jectés dans ung fossé avec ung

    forces sans quil ay esté besoing à nostre Sainct Père dy envoyer

    Mont[é]limard : XXm p. XX p. v. – f[ourny] : IIIIm pains IIII p. vin [marge gauche : sans acquit]

    par le moyen de monsieur de Beauvoys la Nocle de fère

    que jay de vous faire conestre combien je dezire de fère

    mon peuple que fezons le myeulx que nous

    toutz allés rendre à lennemy et fest de tant

    lieu quilz n’heussent à prendre et recepvoyr à la reddition desdits

    et en ce faysent, la maulvays sortans a volu que deux paquetz

    aulx manans et habitans diceulx de vous suivre et prandre les

    et moins que luy avoit commencé de fabriquer

    chose où les hommes ne peuvent remedier. Lesdits deux gentilzhommes

    contrainct de si prez madite armée quelle fust forcée se separer

    [231 v°] Vous plaise monseigneur, ce considéré, inhiber ausdits consulz toute

    bonne grasse et de celle de madamoyzelle masseur,

    bonnes graces, suppliant Dieu quil vous doint,

    Pour la garnison du Pouet de Laval C XX hommes

    permis [barré : des] quelque temps par tant d’entreprinses

    très eureusse vie à vous de bon cuer. De votre maison

    et du Chastel. Si je puis je vous irey trouver

    ou sy elle viendra en Celgoul. A Cara ce sont descouvers

    de mal pour la grand force que y estoyt. La Seigneurie de Venise a, depuis mon partement dudit lieu, créé ung general de vingt cinq gallères pour la garde de leur golfe et

    la droiture, je ne vous feray plus longue lettres, fors

    avoir, et faire retirer de luy ladite responce que vous

    par les catolicques que pour ceulx de la religion pretendue refformée. On dict que

    St chamond

    ce XIXme aoust 1572

    affectionné serviteur

    compaignies qui sont en Daulphiné feroient, comme il appert par acte

    elle peult avoir de se remectre. Je y tiendray la main

    n’estent la chose en ce temps assuré, sy mestent

    joinct quil vous appartient de faire ledit taux par la charge qu’avez destre lieutenant du roy.

    grasses de mes très hunbles recommandasions, priant

    si vous le trouvés ainsins bon et men donés advis de votre volanté.

    monsieur, en parfaict contantement, très bone et longue

    pryant Dieu

    ce XXVII aoust

    Serviteur

    amplement, mayant promit de passer vers vous,

    monsieur le cardinal Allexandrin m’a faict entendre le grand contentement

    Très bonne vie et longue. De Rousset, ce XXIXe daoust 1571

    elle vous en souviendra bien ; que sera lendroict après

    à votre bonne grace. De La Coste, ce XXXe aoust 1571

    quil luy fit service et acomodat aultant ou plus que

    votre à jamais plus humble

    les maistres ne tenoint garnison en cas dinconvenient,

    d’Espagne veut quelle ce fortiffie, et pour cest efaict, la plus part de larmée ivernera là,

    se scauroit despecher, et fault

    jay veu par voz dernières du XXIII du passé,

    septembre 1570 [sic]

    la nesessité en quoy nous en estions. Il ne se dit aultre chose

    et davantage le jour ausdites portes avoyr loeil ouvert

    de personnes quil verra ou aultrement

    ne vouldrions en rien mesprendre, mais estre tosjours très humbles

    mes hunbles recommandations

    monsieur, en parfaicte santé, heureuse et longue vie, me recommandant bien

    grace, priant Dieu

    neguotiesio[n]s ; nous verons quil en sera ; cepandant je vous demeure

    Serviteur

    maistre ; et croirés, monsieur, sil vous plait que ce païs vous est

    Monseigneur, en sa tres saincte et digne garde. De Paris, ce

    votre très humble et obeysante

    en cest endroict, je vous saluerey de mes très humbles

    quest venu à Grenoble, lon ny a rien faict,

    parquoy elle en porra mander davantage de

    le tout, après mestre recommandé à votre bonne grace, priant le

    soit exemptz de malladie. Quest tout ce que presentement vous

    tous deulx, desquelz jaurois bonne fiance

    septembre 1570 [sic]

    auquel ils en parlèrent et despuis à messieurs de Sault quil leur dirent

    De Bloys, le VIme de sepbre 1571.

    serviteur

    de par les meins dudit recepveur jusques à plein et entier

    Lon luy a monstré les fours qui ont besoing de

    Votre très humble et aubeisat [sic] servyteur

    vous envoye

    de ladite ville, tant de jour que de nuict, pour vous obeir en cela et en

    je luy en ferey tenir. Vous y trouverrés

    ce Xme septembre 1571.

    darces

    huyssier sen yra pour sen prendre aussi

    g deportes

    plus souvant et estre au près de vous, comme celluy qui

    recommandations à votre bone grace, priant Dieu,

    serviteurs

    Monsieur, en parfaicte santé et prosperité tres longue

    Monsieur, en parfaicte santé et prosperité tres longue

    vray que le gouverneur de Millan estoyt mort et

    dicelle, de luy en envoyer les memoyres et questant à Rome,

    de monsieur de Chastelard de Bloys, du 5, qui me dit ung mot

    [v] Veu quil na quelque sursseance à messieurs de la

    Jehan Guilhen qui a esté ici. Et si, graces à

    Votre bien humble et obeissant frère

    bien humblement. Tout maintenant, i’ai deborsé

    compagnie comme je desireroys. La goute men

    et de la demoiselle de Sault, et vous monstrer les doubles des lettres

    Bellievre

    é leur ay bailhé largent

    Anth[oin]e morard

    plaict comander) qui se prandront bien garde sans faire

    Monsieur, prieray le Createur vous donner en santé très heureuse

    ne se[barré : n p] vouloys departir de la pièce ; en somme, que vous seriés

    serviteur et bon voysin. Et quand je auray votre responce et que je verray

    que jay ay veu de telles cas sanblables piarres an

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre

    file aiamais

    votre bonne grace, supplierey le Createur vous donner en

    pour vous rendre raison de la charge et commission que j’espère

    serviteur à vous obeyr

    Vostre très humble et très obeyssant

    son dire. Je luy ay respondu le plus clair que jay peu

    qui luy seront aussi à propoz, mais jen ay requis principalement

    « Et au default de tous mesdits enfans et au dernier d’iceuxl, je [barré : veux] substitue

    Votre très humble et très afectionné

    chair à lequipotent dicelle quest X s.

    hommes, iceulx attachent et pendent avec des cordes

    Vostre entierement meilheur amy

    rendre plus conttentte et : [au-dessus : dont ie vous] en serè à iamays

    Grenoble, ce XIII janvier 1574

    mestre recommandé à votre bonne grace, quil vous doint

    leues et feut trouvé que lesdits memoires et voz remontrances touchant lestat du païs

    faict dudit marchand d’Ambrun et le nostre na [barré : enco] rien de commun

    jemassure que cognescés la plus

    avoit esté depeché pour aller trouver monsieur le

    estat. Le pis seroit bien, ce que ne veuls crère si monsieur

    le pape avoit donné ledit Contat à Don Jehan d’Austrie.

    de voz arrerages, mais il nen avoir encor peu faire parler.

    à y servir, ou en aultres endroict, serey tousiours prest

    darquebuziers à pied. Monsieur d’Ambrun, à mon arrivée, donnat en ce

    sauver sa propine ; je ferey tout mon pouvoir pour jouir de ladite grace

    serviteur ferrus

    leur manderay tousiours ung passeport, que sera ung moyen

    ADe Rame

    très humbles recommandations à votre bonne grace. Priant Dieu quil vous donne,

    madame de La Coste ma [h]ier lecé X escus pistolles que avés

    atandront pas la fin de la tresve pour recomenser

    quil sen alla sans dire adieu n’y à lun, n’y à laultre regiment, ne seulement en

    le pouvre peuple entre en despence en ce temps. Il auroit trouvé

    faict ung noveau despartement de la gendarmerie et ne laisse

    Monseigneur, je presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace [barré : je prier] et prie

    cavallerie, de cartier en cartier et ce sans aucune faulte, et artillerie et

    Votre humble serviteur

    procedure pour en scavoir leur volunté, lesquelz par la lettre quilz mescriprent

    lempeschons formelement, suyvant le debvoir et charges de noz estatz.

    Createur vous donner en sainté heureuse vie. De Lyon, le premier

    remedye à ceste heure, jamays la saizon ne se presentera ;

    fera recullir le mieulx [barré : quon] q’uil sera possible et comme

    cestoyt luy qui estoyt en craincte pour avoyr ouy parler de lentreprinse qui se brassoyt

    Createur vous donner en sainté heureuse vie. De Lyon, le premier

    la arresté pour quelques jours à Lyon [i.e. : Lons] le Sonier. Monsieur

    sans nous doner grand moyen dy obvier. Ceste craynte

    pays labas pour estre plus [barré : prest] près de

    graxe, prient Dieu

    ambassadeurs pour sa majesté en Suisse, vous avoit escrit une lettre de laquelle vous aviés envoyé coppie à sa dite

    ou bien destre mal traictés en cas de retour. Bien sommes

    consulz de Grenoble

    ville avoyent presentement receu advertissementz de

    [86 v°] assesseur, M. de Saultereau, juge de Grenoble, assesseur,

    ce IIIme de febvrier 1574

    ce 3me febvrier

    que je supplie le Createur vous donner,

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    pour le soulagement et repos de son peuple si bien accompagné

    graces par mes très humbles recommandations, priant Notre Seigneur vous donner

    quelles pencent les porter, ilz ne tièrent bien les rues. Avant-hier,

    implere manus eorum quod ceperant, et vous donner

    prie madvertir, afin que tous allions dun mesme trin, et que la bonne

    pouvres qui moccupe bien aultrement

    les deniers de la vante du domeine X mille lt, verifiant

    laquelle vous porrés prendre resolution du chemyn quaurés à tenir

    disent quattendent le baron d’Allemaigne qui partit

    celuy qui scaict lestat des affaires

    monsegneur, en parfaicte santé, très heureuse et longue

    [barré : v]nous comander ce quil vous plaira que nous faisons

    desquelz jay advertis. Or monseigneur, ce que me faict croire en partie quil est

    les aultres ; quy semble, veu les hocasions quy se presentent,

    nombre des subiectz dudit Barbières, pauvreté diceulx et que Sansons

    André Aréons à madamoyselle

    Et silz ne peulvent aultre choze faire vous demeureront de plus

    ministre Guerin à Molines et qui mest venu

    savoir votre volunté. Il est du nombre de ceulx

    rentiers de Lyon

    De Grenoble, ce VIIIe fevrier 1574

    en actendent que nostre mostre se face pour sen aller en Languedoc

    et en attendant de recepvoir vous commandementz,

    serviteur

    là, je larrois voulontiers le demeurant à la poursuite de

    dehors pour se retirer avec lesdictz ennemys quil trouva justemant de là

    à Chorges pour ruyner tout pour vengeance

    Votre plus humble à vous fère service

    vous donner,

    et ne vous pouvant dire lobligation que nous vous en

    successeurs après luy affin que à ladvenir cella ne se perde, comme

    le comander et le trouverés tous jours afectioné vous

    attendantz ce qui reussira de la negociation de

    Monsieur, de Mogiron ma escript quil me vera en passent. Vous ne

    se tient ordinairement avecq madamoiselle comme parent

    lespousée coucha avec ce dispost homme et dancèrent les

    et prye le Createur vous donner santé, prosperité et

    luy. La royne de Navare estoit malade dune deflucion.

    monsieur,en très bonne sancté, longue et heureuse vye. Au Mon[telim]ar, ce IXe febvrier.

    Monsieur de Sainct Heren a encor les cappitaines estrangiers.

    les affaires des Montagnes, notamment comme grande

    me vient mal à propos. Toutesfois, je ne laisse avec lappuy

    pour emepcher le passaige dudit Columbin. Si ainsi est,

    P Evesque de Gap

    plaine liberté avecques restauration de tout ce que luy peut

    le roolle de tout le reveneu et de tous les fraiz, tant

    dicy, ayant desià mandé esprès à Paris deux fois audit comis

    monseigneur, pour estre tesmoingt oculaire de leurs

    ordre quelle en aura. Sil vous pleysoit luy faire ce bien

    en teles matières et beaucop moingdres le vers de Virgile : sinditur

    l’aultre que pour vous frustrer, il a faict coucher en

    l’aultre que pour vous frustrer, il a faict coucher en

    Quant à ce que lon a volu faire entendre à sa majesté

    ce que jen ay en lentendement.

    mes Pasques an mafligean hime conserve an vos bonnes grasses

    d’Eurre, ce XI fevrier 1574.

    leur donner une bonne revue avec

    Le frère du cappitaine La Balme arriva hier en ceste ville,

    rien dissimuller. Vous naurés pour maintenant aultre chose de

    filz, et aussi peu les cent livres pour monsieur d’Angières que a

    mein et vous contenter, monsieur, que monsieur et madamoyselle d’Ourches truvent

    pont de Quart une lieue desur ceste ville, tua un

    Chatellart pançoit se trouver della pour le

    de leur voisinage, qui de peur sestoint [barré : retournés] retirés dans ladite Rochelle

    Ade Rame

    vous asseurant monseigneur, que je aimerois mieulx ung souldart

    et dilligence à fin quilz puyssent negotier leurs affaires en toute asseurance ; à quoy je masseure, monsieur,

    venuz treuver ce jourdhuy et mont dict que les

    longue vie. D’Avignon, ce XII de febvrier

    à voz bonnes graces, priant Dieu vous donner,

    très nobles et heureux desirs. A votre ville de Montelh[ima]r,

    vie. De Grenoble, ce XIIe de fevrier 1574.

    me recommandant à votre bonne grace, suppliant le Createur vous donner

    de travailher leur povre vie. A ceste

    resus tenir am perpetuelle peyne. Mès mon consel, prevoian leur

    et practique. Nous verrons que ce pourra estre

    glandage

    que sero[n]t comme vous mescripvez plus aisée à obtenir ; et en ce cas,

    deus jours lennemy a surprins Ruynat et Alex par le tradiment daucuns

    monsieur, en perfaicte santé, longue et très heureuse vie. Du Pont St Esprit,

    Votre très humble et très obeissant

    en guière bonne asseurance et quils feront tout ce quilz pourront

    vous doner,

    a mis ce faict en advant. Vous scaurés bien, monsieur, en exequuter

    de la repub[lique] et comandemant du roy notre seigneur, monsieur

    ce que monsieur de Maugiron faira avec Montbrun et de St Roman

    trouppe. En fin, ledit Labarre, accompaigné d’ung jeune homme nommé Claude

    presentent de pardela, lesquelz il ne peult remectre à aultre.

    touche de près. Je ne fays doubte que estant

    de la tresve ; et ce pendant tous estrangiers vuyderont. Les

    en remectons ausdites lettres et advertissementz de messieurs de Portes et

    diocèzes d’Uzès et de Nismes. Je ne scay de la quele est le Pouzin, mays ilz

    sen sont chauffés et pour mieux vous fère croyre plus

    povoyt je avoir despit de ce et autre menterie que,

    et heureuse vie. De St Jehan, ce XVe febvrier.

    fin, prierey Dieu vous donner ;

    ne faict aulcun semblant de le faire garder.

    ilz sont pressés de payer par le syeur

    le mareschal est si mal satisfaict des contrevantions quilz ont faict durant icelle quil ce fasche

    ung nommé cappitayne d’Aulbrée

    [249 v°] monsieur, qui vous aye en sa garde. De votre

    Votre très humble et hobeisant

    messeigneurs, en prosperité vie longue. De Briançon, ce

    [255 v°] paier telles et sy grandes sommes, du moingz

    fevrier 1574.

    cest à votre aveu, qui me faict vous suplier très humblement

    du Monestier, ce dix septiesme febvrier 1574 à mydy.

    plus obeysant serviteur

    et nous estre en ayde du tout en avoir votre

    sa portée et facultés, à quoy voyant que toutz messieurs estoyent

    de quoy voz povres subiectz vous

    le Createur vous tenir,

    vous donner,

    chemin, craignant quil leurs mesadvienne. Je salue voz bonnes graces par mes très humbles recommandations, priant

    laquelle monsieur lavocat Bouffin vous monstra à Vallence,

    que je laissay ma letre ung peu plus crue. Je voys

    disant quil avoyt à me parler et donner quelque depeche.

    me fère cet honneur de me departir de vous nonouvelles [sic] et vous

    ce qui maccroit mon emoi est ung mescontantement que

    que jay de nouveau est que à la parfin, on a declaré à monsieur

    maugiron.

    sieurs la copie de la letre du roy et monsieur le president Truchon.

    Stablon d’Anprées de Digne. Jey faict remetre

    ce XIXe fevrier 1574.

    se jeter seans, a perdu ung

    à votre bonne grace,

    discourir en votre presence, puys que noz ennemys se sont

    vous voulountés de ce quil pretant estre foullée pour

    Railhet.

    Monsieur, en parfaicte santé et prosperité tres heureuse vye.

    je vous hay touché dès Chambery. Je ne me veulx venter de rien,

    moy et et [sic] mes dictz souldatz demeurons toute la

    de rompre le pont de Sainct Barthelemy

    Ferruz que trouverés cy dedans, avec deux copies de letres

    vollu, mays les ay balhé en sequestre soubz la

    lon faict paroystre insufisant de ceste charge, je vous promès, monsieur,

    rien faict ; et fault il parler des preheferances parce

    vous fère service

    [brouillon de réponse de M. de Gordes]

    Vostre très humble et très obeissant

    sieur le baron, et principalement au capitaine Lorient qui est [barré : est] le Vespasian de ceste

    dedans. Je croyt queste assés avertit comme monsieur de

    car cy fut venu, je le vous use anvoyé pour vous

    beysant servyteur

    createur vous donner,

    peuple qui ne faict rien de bonne vollonté pour le service du

    peuve et ne sepouvante [barré : q] guierre, mays que Dieu les

    mo[n]stre denviron six cens arquebuziers sans les aultres

    frais et des pans, qui nous contraint vous supplier

    en laquelle jespère vous faire autant de fidelle service comme

    la necessité ne se presente de les y despendre.

    quilz advoyent obtenue de mon dyct cyeur de Gordes de

    monsieur, vous donner très heureuse et longue vye. À

    nel 74.

    luy faire trover bon que son filz esposat à l’église romaine. Elle

    capitaine Lacoste, que ma iambe s’estoit rouverte, ce n’estoit pas

    affectueusement a vostre bonne grâce, suplye le Créateur

    à Paris et si on m’a escript d’ailleurs à fin que monsieur Besson les a accompaignés,

    résolution i’en ay heu du conseil et après de la royne.

    de la propre main du roy et d’ung secrétaire des

    de faire pour luy. Je ne voudroy pas iurer que les mil homes que scavés ne fuscent

    occasions de la Sainte Ligue. Les roines et Messeigneurs sont en bonne santé, Dieu mercy.

    Monsieur, très bonne santé et hereuse vye. A Parys, ce XXVe juing [1572].

    les affaires que s’y peuvent presenter, mais ie n’y ay rien

    de rechef, si la demande vous semble juste, de la luy accorder

    ce porte bien, le roy s’an est allé à Charles Val

    Monsieur, en très bonne santé, longue et hereuse vye. A Paris, ce XXVIII de juin

    notre respect luy avoir profité. Et si ledit votre capitaine

    de monsieur de Joyeuse pour venir sur la frontière. Dont il

    nous escrit par lettre du XXIIIIe de Lyon que l’ambassadeur d’Espagne

    quoy ils en ont d’autres opposants empeschants et

    Monseigneur de Savoye faict charrier afforce

    estre procedé à la saysie des biens par

    actendz par ce pourteur, priant Dieu,

    De Portes

    à votre bonne grâce, priant Dieu

    Prouvansse. Pour fin, ie prie Dieu quil vous doint

    Lacondamyne

    quelle vous a. Je remetray le surplus à vous en discourir par le menu à notre première vuee et pour éviter

    et à elle, mes semblables recommandations à sa bone grace.

    preste à vous faire bien humble service

    Votre très humble et très obéissant

    Monsieur, en parfaicte santé et prosperité très longue et heureuse

    qui rapportent tousiours quelque proffit de telle commodité

    premiers seront les votres ; et à faulte de ce, je panse avoir sy

    arrivèrent hier de leur voiage de Charleval et Normandie. Me

    de Piégon, ce VIme julhet 1572

    [v°] devant Castel Nuovo, le bastant vivement et a l’on opinion

    esté autant onéreuse et dommageable que honnorable.

    librement de ce moiz. A mon retorner, j’ay

    que pour la levée de gens de piet qu’ilz volloyent que je fisse en Daulphiné et les mener où la nécessité seroit.

    adviserez si je vous puys servir en aulcune chose

    que vous mavés faict tenir ; de quoy je vous

    ung buffet qui est estimé trante ou quarante

    receu une despeche de Salusses. Je vous envoye lextrayt des nouvelles

    mes très humbles et affectionnées recommandations

    Votre très humble et très obéissant

    Votre bien humble allié et afesionné

    a escript à monsieur de Pourrières et à moy [barré : que ce soit]

    viendra à propos. Je pence aussi vous avoyr escript que je

    Monsieur en senté très bonne et contante vie.

    très humblement à votre bonne grâce, priant Dieu,

    Joyeuze est de retour et à ce que disent

    [v°] conserver pour le besoin que ce pays en a.

    avant ledit printemps, concluant ledit seigneur d’Acx que si l’armée de la Ligue n’exécute quelque chose

    Votre très humble et très obéissant serviteur

    me sera possible. J’eusse bien voulu que ledit seigneur de

    XIIIIe julliet 1572

    obligerez à vous demeuré

    et croy qu’à la fin, voudront que le pape, monseigneur le légat

    deux villes en Sellande et deux en Olande et hune en Gueldres

    Monseigneur, qui vous doinct en parffaicte sainté, longue

    Votre plus affectionné à vous faire service

    riche, ou bien son père, duquel il est unicque,

    Guilhaume eme

    donner ordinèrement beaucoup de peine. Et sur se, monsieur, ie vous supplie très humble-

    toutes seroient bien de ceste bonne vollanté. Il n’y a novelles digne

    monsieur, pour éviter tout abus, que ce soyt tousjours en l’assistance

    et sans convention simoniacque, je y consentirois et avec telle responce

    très humble service, priant Dieu

    occasion à personne de se plaindre, vous suppliant à ceste cause

    à vous servir à jamès.

    vous feray entendre. Il y a encores [barré : ung moys] XV jours que mande la

    contremanda tous jusques à nouveau mandement qu’il

    parfaicte senté qu’il désire et à vous

    XVIII jullet 1572

    seur à jamais

    masseurant quilz seront partis avant que la presente vous vienne en

    monsegneur, il vous plairra me commander voz bons plaisirs,

    leur sera toutesfois rabattu et précompté sur leur payement

    y avoir laissé et que larmée navalle ne scauroit partir plus tost que la fin

    près leurs magestez. Je ne puis avoir response à voz lettres

    Je ne veulx oublyer mes bien humbles recommandations

    [v°] en hayne de quoy il dict que ledit sieur de

    paie. Jay grande anvie dy voir une fin qui et

    danvye de partege [se]que dacyete, je panse le vous avoyr

    pour ma dicte crue, supplient encores très humblemant votre

    à sa bonne grâce. Mon frère de Guarguas ce pourte bien. Le premier escuyer est mort,

    advis et considérantz que votre volonté et son premier desseing

    advés donné de reformer. Je vous supplie très humblement que jaye

    pour le surplus que n’ayons autres novelles de la vie

    service, que par ladvis de monsieur de Veynes, nous nous y

    qu’il escript. Cependant monsieur de La Garde, qui est à trois ou quatre

    commandementz, priant Dieu,

    et cependant, ce deshordre et deshobéissance des consulz ont causé

    le prendre et dexecuter leur commission dans tous

    le moyen dembrasser tant daffères à la foys et sil ny a pas

    Votre très humble et très obeisant

    feict prier Dieu vous donner

    de la relligion qui resoulurent se trouver

    serviteur de par dessa que n’est pas si sage et vertueux que

    que le feu pape donna au duc de Ferrare, ayant

    est encores en ceste ville, car après sa legation

    monsieur et madame la generalle Grollyer, que nous leur

    vie. De Lyon, ce 26 julhié 1572

    quilz vieignent après, ses nouvelles sont bien changées despuys

    les mains et supplie le Createur quil vous donne scanté et

    et ne pretandons bouger de ceste ville de huit ou IX

    Monsieur quil vous ayt en sa saincte, digne

    Felix ung qui aultreffoys avoit esté pourtier ; et dès ce jour, ou ung au

    quest la cause monseingneur que nous

    le lacqués pour le vous renvoyer quant nous arons des nouvelles

    conduit et aller en bon her et de faire le vouage à la

    fort parlé le jour précedent des affaires de Daulphiné

    lequel est sur le point de ce résouldre de deus choses : lune quest dataquer Montz par troys

    Lons tient le tout pour certein que monsieur de

    et longue vye. De Grenoble, ce dernier de julhet

    luy former son procès sur lesdites deulx qualités et de

    et pasionnés invantoint et quiluy plut vous garder

    vous plait des novelles que arés en fère part à monsieur

    donner

    [v°] a escript que despechassent car au premier

    obeissant amy

    Je scai qu’à Aix et par dela nont pas esté sans peur

    prie vouloir continuer.

    IIe aoust 1572

    des meubles contenus en linventaire faict par monsieur d’Aubignan.

    estainctes ; mais le vent à present est trop bon pour eulx.

    et longue vye. De Loriol, ce IIIe aoust 1572

    des villes qu’il tient. Surce, je prie Dieu

    quil nous gardera de la guerre pour ceste année, et

    [v°] en attendant que quelque provision, que nous sommes

    meschanseté. Je m’asseure que s’il en sayt la verité,

    Vostre très humble serviteur

    [v°] sy vous truviés bon, Monsieur, qu’elle fit monstre au

    fille Montavil de la mener à Lyon, je ne

    vostre bonne grace, priant Dieu vous donner

    avouer la moetyé, tant come [barré : que] il vous [barré : pourroys] peut avouer escript.

    rien que je puisse penser que ce soit pour sa santé, Dieu fera

    Bressieu

    en somme tout ce que je vous puis escripre de nouveau,

    Honorée de Simienne

    messe quils a faict dire. L’on ma dict aussi que

    lascherés à chose qui prejudicie au service du roy ou puisse

    çà, on s’est encor mieux resolu à ne rompre en aucune

    Mondit seigneur ma commandé vous presenter et à madame de Gordes,

    costume. Elle et moy vous presentons noz très humbles

    graces à Dieu, très bien. Le palefernier de mondit

    Vostre très humble et hobeyssant serviteur

    [v°] pourroyt advenir. Cependant, monseigneur actendant

    de septembre, je ne le porrey lavoir de toute l’année et se me seroyt

    debvoir quil doibt car il est fort interessé

    Vostre très humble et

    cela et en toutes autres choses en ce qui me concernet ce quil vous playrrois

    très obeissant serviteur

    vous rancontreroit point ; il ni a point de perte car vous

    pareil etat que la dernière fois que ie vous ecrivis.

    de danger que monsieur de Gargas de sa rojolle. Nous avions aussi antandu

    faleu que monsieur de La Coste soit allé

    G. d’Avanson, a[rchevêque] d’Ambrun

    recommandations à vostre bonne grâce, je prie Nostre Seigneur quil vous donne

    me demandant cinquante escus en vostre nom ; et pour ce que

    De Simienne. Alleman

    quil [barré : mang] maioet à son desiuné, le quel, grace à Dieu,

    des adrés

    ny au Columbier. Je vous veulx bien dire que avant hier,

    Ledit nepveu de monsieur

    monsieur le contrerolleur

    point voulluz encor aider à ce coup de ceste occasion,

    à Genève et aux envyrons, de sorte quil y a inhibitoin de par

    quil en soit, monseigneur, de La Paerre, mon cousin, men portera encores

    aussi que par le discours des complainctes, je ne veoy chose de laquelle vous

    priant Dieu

    et qu’on heust dict qu’eust esté ung

    abbattre les tableaus diffamatoires, comme de votre movement

    Vostre plus afectionné et

    sans se resouldre à aulcune certeineté ; touts

    vie. De Grenoble, ce XVe aoust 1572

    le Createur

    je prie Dieu quil vous aye en la sienne. De Grenoble, ce XVIe aoust

    très humbles recommandations, priant Dieu

    vous plait me donner pour le fait de la charge que tiens de monseigneur

    et santé, saluant vous bonnes graces de mes très humbles

    Lyonne

    Nous vous supplions monsegneur, nous accorder

    veues, sil vous plaist me les renvoyer.

    de monsieur Musy de faire ladvance desdites parties ; car, encores

    linventaire que monsieur d’Aubignan avoit faict faire ; et comme on vouloit

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    Prunier

    Rival

    sera ung grandissime regret, comme nous advons tous

    Voustre très humble et très hobeissant

    et très affectionnées recommandations et prions le Createur vous

    Votre plus affetionné et

    mille. Si est ce que je suis nen faire nul semblant

    pour obvier aux menées et practiques des seurs et

    amendant, dont je loue et remercie le [barré : Createur]

    Manosque, ainsi que m’ont dict certains dudit lieu de

    par le moyen de laquelle ilz furent mis

    sans aulcun resentiment de fiebvre. Qui est en

    de Gordes, sans oublier toute vostre petite noblesse, priant le Createur,

    corrier n’y ha provision parce que par lesdites lettres on

    seigneurie la leur acordera, et pour cest, jusques

    les lettres que faictes menssion la vostre du XXe. Je

    Monsieur en perfaicte sancté longue très heureuse vye et ce que désirés. De

    comme aussi faict la dame de nos biens. Je prie le

    Monseigneur, donner à vostre segnorie en très parfaicte santé très longue

    Je vous direy comme monsieur

    president m’a montré la lettre que luy escriptes hier

    hors les portes – m’ayant descovert quil se retiroyt à Domène

    treuve maulvais et ne me suys enquis qui l’a ordoné.

    Busol vy secretaire

    scavés que y est, et si treuvés bon qu’on y feisse

    fenyr septe, après vous avoeyer presenté mes humbles

    heureuse vye. De votre mayson de La Baulme, ce

    Jean Besson

    qui la ouvert en ma presence et ma asseuré satisfère à votre

    que la sienne et cogneus lors quelle avoit leu votre

    serviteur

    de Guise et luy a presanté vostre letre. Il i an avoit par

    bonne vie et longue. A Paris, le XX 7bre 1572

    debviés vous assurer que le roi, elle et Monseigneur

    Créateur vous donner

    monsieur an santé, très heureuse bonne vie et

    les entretenir et garder que ne soyons offancés, comme il a faict

    chevalier de Guet, qui est de mes amis ;

    ce que fust faict incontinant ; et espère, Dieu aidant, qu’il

    qui faict bien de l’honneste homme à ceste heure et excuse

    au despourtement de la noblesse huguenotte de ces quartyers, ilz ce contiennent, pour encoures, ilz désirent

    les communes, et je avoys esté nommé gouverneur desdits fortz ;

    plusieurs qui tous les iours vous romproint les

    gentilzhomes et autres de la novelle relligion qui

    hon encores bonne yssue de son mal. Je vous envoye

    ce que jay faict à la court pour vous affaires. Il seroyt tropt

    et serviteur

    bonne grasses, comme font le cappitaine Colombin

    De La Tour d’Aigues, ce XXIXe septembre 1572

    bien humblemant à votre bone grace. Sur ce, je

    serviteur

    peu entendre comme je me suys arretté avec que le cappitaine

    Vostre meilleur amy à vous obeir

    fère. Il a esté mis en prison attendant sa

    Je baise les mains de madame, laquelle je supplie recepvoir mes

    catholicques en jalousie contre d’iceulx. Et par ce vous

    Monseigneur, je prie le Createur vous donner en toute prosperité très

    [v°] Au demeurant, monsieur, j’ay faict tenyr le paquet de monsieur le cardinal d’Armaignac,

    passé, et le jour de la Sainct-Michel, le roy devoit donner l’ordre à monsieur

    vous avoyr supplié me commander votre vouloyr

    faict au grephe et au bureau où il a esté ouy.

    sept solz la journée. Ladite solde est payée par ceulx de

    serviteur

    Lathivolliere

    prospère vie. De Grenoble, ce 3e octobre 1572

    se veult catholiser et qu’il se trovera catholic qui le cautionera.

    La letre de madame de Gordes adressée

    que par votre commandement, je les eusse faict emprisonner,

    la royne m’en demanda des novelles et si je ne scaurois sentir

    et monsieur de Cabanes vous escrivent bien au long de

    ce IIII Octobre 1572.

    prier Dieu vous donner,

    pointe de payer le tout. Et en est endroit, je me recommande

    Voustre très humble et très hobeysant

    recommandations à votre bonne grace, je prie le Createur vous donner,

    recognoissans en rien monsieur de Joyeuse, comme il a escreit à monsegnieur

    que Theseus a seue en plusieurs lieux, que les cantons [de la] novelle

    faicte en Chanssaur, combien quil nen lache rien et que le

    tout y est en bon repos. Madamoyselle d’Ourches

    Monsieur an santé très heureuse bonne vie et

    des Chasteaux de ce pays, auquel jespère participer

    yci, je heux novelles que ceux-là de Veyne desliberiont

    pour se fortiffier à Mens, ce qu’on pourroyt empescher y

    ne pouvant avoyr le Turc plus de deux cens vaisseaux

    priant dieu

    ce que je ne puis ny doytz fayre car je lerrai à vous dire quen alant en piedmont

    et madame de Gordes les vuelhés suivre, et vous puis assurer

    à votre bonne grace et suplierey le Createur

    doctobre 1572

    cens escus en des bagues. Je n’avoys aulquunes novelles

    après disner. De fasson con estime quil sera

    lesquelz on auroyt aussi tost, voyre plus à craindre que ceux de ceste ville. Je m’estois pencé

    scai digne de vous, [barré : i]si ce nest pour me recommander

    vous nous avés laissé. Si l’on continue tout ira bien. Je prieray à

    vous nous avés laissé. Si l’on continue tout ira bien. Je prieray à

    messagier, ne prevoyant ce que despuys c’est descouvert de

    service, là et (barré : q] en quelque lieu que je soye de

    Quant au seigneur de Montbrun, il est encores à sa mayson,

    XIIe 8tobre 1572

    supplié me commander votre vouloyr pour

    se XII octobre

    Monsieur en saincté très bone et longue vie, me recomandant

    desirs. De Gapt, ce XIIe octobre 1572

    luy expedier une commission par laquelle vous aurez depputé

    retirarent toutz audit Curebource et s’asseurarent de toutz poyntz.

    noz enfens. Incontinent, il vous escript

    faire tenyr à monsieur de Chastelart la lettre que je luy escrys.

    le comte de Tende, qui est mort à Evignon

    Seneste despuys troys jours icy ce matin mandé à Marseille

    Bourgel

    la recommandation de mesdites seurs et loffre que je vous foyt de leur humble

    ne voiagat pouint, tant pour ranforsser sa jambe, que

    d’Ambrun doyt arriver icy ce soyr. Je croy quil nous dira

    de ne tarder plus guières d’avoir ma fille

    quil a pleu au roy me accorder, lesquelz je desire soubz votre

    Rousset, lequel à entière charge des papiers, escriptures et

    scavoyr leure quil

    par lhomme que je luy ay envoyé et men a fait

    de Toulouze et aultres que l’ons voyt continuer porroyt

    Marsieu le seziesme. Quant à la letre y evoquée de maître Patras, le porteur

    Serviteur

    mest unne grande descharge. Lespérance que iay

    Monsieur, qui vous veuilhe donner en très bonne

    desdits fortz. Lesdits depputez sont retournez

    de gentilzhommes. Le jour qu’il y eust de l’emotion à Tholouze,

    Au reste, Monseigneur, tochant ce qu’il vous a pleu me comander

    H de Montmorancy

    de octoubre 1572

    Vostre très humble

    de vos nouvelles an bonne dévosion, je preray Dieu

    Vostre très humble

    et vie longue. A Loriol, ce XXVme octobre 1572

    Il a vendu aussy quelques prés et terres.

    Monsieur, très heureuse et longue vye. A Bressieu,

    Serviteur

    a pleu à ladite cour retenir la cause à soy, ayant bien cogneu les

    rien de plus que ce qui est ourdonné pour le

    en faire très humble service et telle affection que je

    Affectioné serviteur de La Coste

    Vostre très humble allyé et très affectionné serviteur.

    demain le roy sen partira et que messieurs de Veynes

    favoriser que de luy donner une compagnie et qu’il la

    Vie. De Paris, ce XIX novembre 1572.

    par deux ou trois fois sans en avoir aulcune responce. Au surplus, je

    Messieurs d’Évènes et de Laval ne sont encor non plus de

    la plus grande est addressée à monsieur de Villeroy et que les

    Bellievre

    de ceste ville, et que ceulx de dellà n’y peuvent

    ordres de sa maiesté et vostre, qui sera pour fins

    en fisse son profit, car à tieul pris vous n’y

    qu’il s’en fascheroyt contre moy, ce que je veus éviter en ce monde.

    et moy verrons monsieur le cardinal Ursin et fairons le

    et près de nous freschement, si que le tout descovre quelque grand

    de Condorcès, ce que pance eussent fet sans l’ordre que

    Monsieur, en parfeytte santé, loumgue et

    priant le Créateur vous donner

    et Bernoys, Gasquons, ni touttes les bonnes novelles qu’ilz scariont

    tousjours croire tout ce que nos Daulphinoys disent, et qu’il y en

    Monsieur en parfaicte santé très longue et très heureuse vye. Du Teilh

    jour ; et fault que vous rezollés, Monsieur, que sus le premier estat qu’il vous

    aprendre. Si ay notice plus ample, vous en donneray

    leurs domaines, exigent leurs debtes

    ne bousgent, mais il y a encore assez de temps pour ce faire. Au reste, quant

    pour quelques siens affaires que sont bien facheus. Je pence

    et inquisition contre ceulx qui auroint entrepris de

    dens la requeste car il i ha lonc temps que aulcung ne le veult

    bien tost, je ne vous diray pour ceste heure l’espérance

    De votre très humble et aubeyssan

    se monstre fort affectionné à nous instruire du debvoir

    fère abatre, sera tost mize que

    de Pragela, qui veullent faire les oppiniastres, comme aussi

    Les nouvelles qui courent icy, Monsieur, sont que Domp Joan qui avoit voulu

    heureuse vie et à moy demeurer tousiours en voz bonnes

    que j’ay estre bien tost vers vous, hoù lors vous

    Pierre Sarge, Florys Durand et Bernard Grangier, vous rantiers

    je ne puys ny parler, ny souffler, que me sera, s’il

    Monlehuc

    Votre très humble allyé et très affectionné

    y tiendroyt à ces despans. Monsieur de Bazemont

    de sept à huict vingtz hommes et que, en cependant

    Occupé à y provoyr, d’aultant qu’il n’a poinct les

    advertye bien au long par ci devant des novelles de voz enfens,

    priant le Créateur vous donner, Monsieur de Gordes, en bonne santé, longue et

    ne donne occasion de faire entreprinse sur l’Afrique,

    de Myolans

    de façon que il ne ce pourroyt recouvrer une seule

    companies ordonnées pour les affaires du Languedoc.

    Votre très umble et aubéyssan servyteur

    septembre et l’ay faict pour advist et conseil de monsieur

    pacience et que les hommes estiment de moi

    De Simienne

    que sera l’endroict où je me recommanderay bien humblement à

    me cause l’extrême regret que j’ay que je ne puis vous contenter

    est accordé au rolle. Les letres en sount depechées

    son segrétaire. Voilà tout ce que pour asteure je vous

    monsieur vous maintenir en parfaicte santé très longue et heureuse

    piedz. Elle samble qu’il est si bien esmantellé et la

    aussy des chanoynes de ceste églize. Hier en mourus ung

    avoyent advisé en leur conseil de les garder* [*comme si je avoys faict quelque tradimentz à la ville] et je

    Messieurs de Cadenet, d’Oraizon et de Riez y asistent

    au collège se portent, grâces à Dieu, très bien.

    advertir. Le sieur de Stanay est prisonnier ez mains du prévost

    les consulz, eschevins de Lyon

    suppliant le Créateur qu’il vous doinct

    Lourmarin en hors ; et n’ayant aultre chose digne de

    soit loué, lequel je supplie

    estoyt assemblée à Larmarin pour l’ouyt des comptes

    nouvelles à la notice de la noblesse huguenotte de ce pays, qu’ilz ce sont grandement troublés et quasy prest à c’esmouvoyr

    et longue et heureuze vie. D’Avignon, ce XVIe decembre 1572.

    nombre de souldas qu’il y a de présent pour la garde

    espérance et croyt fermement qu’il tirera bien qui

    De Grenoble, le XXIIe jour de décembre 1572.

    voz bonnes grâces de mes bien humbles recommandations ; je prie Dieu

    surviendront.

    Monseigneur, en sa protection et sauvegarde, accompagnée de

    Joseph Arnolfin

    bien bas et si prétans emprunté enquores Vc escus

    dans le sien. Comme la dépêche fut commandée, je parlis à monsieur

    en ont tiré plus de quatre centz hommes quant et eulx, lesquelz

    de Cly, promier cegrestaire de

    venu le plus mal à propos du monde, car le propre jour qu’il comença à

    première foys, et au-dessus de messegneurs les frères du roy.

    sia tanto habia mandato por fare venire il

    A : Roera san severina dame de monlitard

    plaît mes semblables recommandations à sa bonne

    le plus tost appelle en tout le substitut du sieur

    entemdre aprezant, après vous avoueyer prezenter

    pour La Rochelle avec la plus grand part du train de Monseigneur

    en doeust aller en poste. Monsieur de Glandage  [le père] est arrivé icy

    Rousset estoit si mal habile que de vouloir faire ce

    serviteur

    filz du duc de Florence. A notre frontière, sur le païs du roy Philippe,

    leur artilierye partiroit pour l’aler batre,

    dautant quen la closture de son compte la chambre a

    senglier, donna un coup despée au bras du roy.

    monseigneur, en très bonne sancté, heureuse et longue vie. De

    Dieu,

    les lettres quil vous a pleu mescrire. Pour ce je vous supplye, monsieur, comme vous

    monsieur, vous donner en parfaicte sancté, bonne longue et

    Vos très humbles et obeissantz serviteurs les

    vous supplie de croyre quil ny a rien heu qui ayt esté cause que je naye

    à jamais

    tellement quil ne reste qu’à bailler afferme leurs immeubles

    Mais lung deulx, qui nest pas prest, les a prié dattendre

    pour lamour de moy, vous y ferez le mesme ofice que je vouldrois

    rendévous. Si jen puys aprendre quelque chose davantage

    feu sieur Ludovic ; qui est tout ce que je scaiche pour ceste heure digne de vous escrire,

    prions Dieu,

    Gouzet Murat sep retirer en septe ville

    des Eymars qui est à moy que je vous prie

    baron de La Garde, avoit prins deux navires chargez de bledz pour La

    Monsieur, vous donner en parfaite santé heureuse et

    ne scauroys rembourser monsieur d’Evènes des [barré : ci] six cens livres quil m’a prestés

    va et autres danrées, ce que je nay voulu faire

    honneur et gloire et [barré : vostre] quil vous douint,

    avecques leurs lanternes et mon flambeau ; mays je me feu presques retiré que

    auficieirs de mon sieur de Vallance luy

    monsieur, en parfaicte santé, très longue heureuse vie. De

    La Thivolliere

    serviteur Servaing

    monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison de Montoyson,

    Privas lon doubte aussi Raynac qui est de ce ressort,

    craindre silz vollient se remuer et qui seroyt aultant demuny car

    ce qu’ilz veullent. Ses jours passez ils ont donné ung

    atter la presante. Sperant de brief estre en votre presence

    janvier 1573.

    D’Ancelle, de voustre maison, ce XVIIe janvier.

    que la court ayent ordonné il y a long temps que dans trois

    toutes mes procedures ; et en cella et toute autre

    Votre bien humble et obeissant frère

    de Neufville

    Votre très humble et très obeissant frère

    XXe jour de janvier 1573

    [101] brouillon de réponse

    Montoyson.

    mes très humbles recommandations à votre bonne grace, priant

    la pansyon, me samble que vous metés byen à la reson.

    Je ne vous scerois espliquer la peine qu’a madame de notre frère et

    il y en aura la moictyé sachemynant en ces quartiers qui se

    serviteur Bellievre

    d’Aragon pour aller de compaignie, jenvoiay dez lundy

    plaise men mander votre volenté à la quelle je hobéirè daussi

    se elevera et le say par hum janti lionme de

    verty. Je finerey septe par mes humbles

    [barré : ce quel vous semble] la court sur samblable declaration

    me remettray ; et estant votre bon plaisir de me participper aux occasions

    les commis du païs ont baillé les eydes necessayres pour la norriture

    quayant receu votre mandement, ilz envoyeront incontinant toutes lesdites munitions

    mon nepveu en quelque expedition quil a

    et qui en ses guerres passées ma suyvi faisant

    Monseigneur, je me recommande très humblement à vostre bonne grace et prie Nostre Seigneur

    Laval

    despuis le partement dudit Louynes. Jay pancé au lyeu le plus propre de ces quartiers

    ne se retirent dans le temps et pour ce que cest à vous à interpreter

    Vostre très humble

    plus empescher que de mon mesnage et me

    Votre très humble et très obeysant

    bonne grace, nous prierons le Createur,

    de nostre mestre et que me trouvant à la court, je pourrais

    pendant vous ayder le myeulx que vous pourrez, ayant fondé toute mon esperance

    ce que sadite majesté en a ordonné, et ce que vous et le païs

    de fevrier 1573.

    faire prandre notre dret chemin ici doù avons mandé

    proposoit. Mais avec le temps tout y pourroit estre

    à St Germain en Laye. On parle de faire quelque sejour

    Votre pour jamais très humble filz et très obeissant

    ruiner le port et empecher lentrée. Monsieur de La

    monsieur, vous donner en santé très longue et

    de secours, lors que les marées estoint les plus hautes.

    bien dentendre plus sovant de voz nouvelles et recepvoir voz

    fet ma seur de Charpey.

    à monsieur de Cabanes pour tous les autres. Il ma

    que quelque gentilhome quil heust sceu laisser en sa

    La Rochelle. Que sera la fin,

    de Valence en Poloigne [barré : devers] où le jeune sieur de Lanssac

    Il vault beaucoup myseulx à ceulx de votredit gouvernement sesvertuer pour une bonne fois pour

    absence y pourroit aporter aucun preiudice et interestz au [barré : f]

    1573.

    Lon continue fort quil ne se fait rien en Allemagne contre nous

    Je manvois presentemant despecher mon

    augmente mes grandz ennuys. Nostre Seigneur soyt loué de tout ce quil

    asalhis. Durant le parlement nous avons estés pesché de

    suys trop pouvre pour vous. Je vous supplie

    Createur vous donner,

    monsieur, en bonne sancté très longue et heureuse vie. De Baiard, le XXVIII

    Vostre très humble serviteur

    Charles

    la meschanceté de les entreprinses, tant de ceux

    de les leysser passer pour de largent [barré : q]ace quils disent ;

    à prier Dieu pour votre prosperité et mes

    monseigneur, très longue et très heurese vye. Du Fay, mèson votre,

    mal. Mais en bref, les trouppes qui vyennent de Gascoigne

    estat des lettres dudit sieur de Saint Roman. Mais au lieu

    despart de la court, veu quilz ne sen prendront point guarde entendu que jay donné jusques

    dobéir à vous commandemans, non seulemant en ce, mais en

    respects. Je vous ai envoyé par monsieur le tresorier de Bourges la responce

    ont levé le siege dudit Chalancon qui

    quelle sera bien tost assemblée et que la ferés acheminer

    accompaigner et recepvoir vous commandemantz et aussi

    auroys bien envie destre pour faire service au roy. Sy par

    adverty comme dedans le chasteau d’Armieu

    à votre bonne grace, vous doint en parfaicte saincté, longue et heureuze

    vous donner, monsieur de Gordes, en parfaicte santé, longue et heureuse vie. Du camp devant

    avec ques l[u]y. L’on tient que Sainct Thomé qui estoyt

    le terme eschée à la chandeleur prochaine passée

    navoyr autre chose digne de vous, ferey fin par

    ceur vous face service quand il vous plerra me fère cest

    Votre très humble serviteur

    Dauphiné. Je doubte que ledit Pignerol ne soit bien toust saysi

    de voz bons desirs. De Vienne, ce IIe mars 1573.

    donner,

    paroistre par effect comme il desire vous faire

    blanc qu’ils portent à la garde. Si vous seigneurie

    sy ne venés sy tost, le plus de forsses que pourrés.

    que à l’occasion de la rupture de l’armée de monsieur l’amiral, j’aye

    C[apitain]e Mestral

    icy sus votre gouvernement. Monsieur de Rosset m’escript de Loriol pour luy

    Votre pour jamais très humble filz et très

    recommande très humblement à votre bonne grace. Priant Dieu,

    vertu d’une commission baillée au sieur de Maniquet. Je suis

    Monsieur de Briansson, j’ey receu votre lettre escrite à Grave du IIIIe de mars. J’ay

    le quel je prie après mes humbles

    J’escris à monsieur d’Evènes,

    pour (an avoir) faict lentreprinse, car cest ledit de Pozols.

    entreprendre quelque chose il y a deux compagnies

    ycelluy prient et commandent à tous cappitaines et chefs

    le Poyet pour comander au bas Viverès et Saincte Greve

    monsieur, je vous en parle ainsy ouvertement parce qu’il me semble que je

    et moy en sommes de mesmes, et saluons voz bones

    de ladite armée, laquelle toutesfois estoit resolue

    St André. Si vous estes à Valence, vous y aurés veu le

    capitaine Doyssel. Et sur ce, après m’estre très humblement

    sieur reverend aux fins qu’il lui plaise de consentir pour obvier à frais et molestation

    aveques eus. [barré : Ilz] Ilz ont achepté chevaoulz et armes mais n’ont

    nous pourrons encores avoir de la besoingne tailhée si ne

    d’Ourches qui vous presantent les leurs très humbles et

    Chabrand, conseul ; P. Saunie consul ; Souchon consul

    serviteur

    ceste ville sur la nouvelle du decès de monsieur de Marillac. Je ne scait

    [barré : ja] sans dangier où vous commenderez s’il vous plaist qu’elles

    Je suis marrye et empeyne de ce que monsieur d’Hourches est allé

    que nous faisons, iusques alheure presente

    sur tout qu’il vous plaise tant que le temps

    bien peu pource qu’ilz sont brigandz et

    [en bonne] part que nos voysins sont pour remuer

    [Je vous] prie monsieur de faire mettre, s’il vous plaist

    qu’il y fut par vous aultrement porveu il leur seroyt

    Votre humble et plus feable frère Roysses

    quelque bon effect, par mesmes moyen je le priray

    De Buffevant

    plus longuement par ceste letre, sy ce n’est pour me recommander

    monsieur, vous donner très bonne, longue et très heureuze

    vous plait de ce qu’il vous dira de moy, et je suplieray Nostre

    dans sa lestre coment Posol qu’il tient prisonnier

    Et sur ce me recommandant de bien bon cueur à votre bonne grace, je

    renvoyerey par ce moien. J’espère avecque laide de Dieu rompre

    Les soldartz sont retranchés là où ilz ont leur corps de

    La Rochelle, le Xme jour de mars 1573.

    Vous mesciserés donc s’il vous playct et je prierey Dieu,

    Monseigneur, je me recommande humblement à vostre bonne

    Votre très humble et plus affectionné

    randues à votre première commodité car elles meritent bien d’estre gardéez

    serviteur

    l’on y faict très maulvays garde. Je n’en doute ne des telles

    lesquelz desirent fort de se retirer en leurs maisons pour demeurer

    faisant tirer aux deffences. Cela advint le troisième.

    levée d’autres gens pour la conservation dudit païs, et que vous

    Ve de ce moys pour les occasions que mondit segneur de Rousset vous a pu escrire.

    acsès de fièvre tierse s’estoit hier son jour et ne

    très raisonnable et necessaire. Mesmes qu’il y a si peu de bone volunté

    monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vye. De Lyon, le

    Toutesfoys je ne vous en puis encores bien asseurer descripvant la presente. J’ay

    nouvelles, je me recommande très humblemant [barré : env] à votre

    ma dit qu’il est sorty ung de Saumière qui a asseuré monsieur

    Lambert

    Valance

    bonne volunté, mais cest bien avec un certain rechignement desagreable.

    aulx consulz

    lordre du roy et lieutenant de monseigneur de Gordes

    commant monsieur de Lengières cestoyt saulvé. Lon me

    Jay faict murer les portes avec de la chault

    qui est le moingdre gaige accoustumé.

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    Madamoyselle d'Hourche notre fille a heu trois accès

    qu’il ne pourra estre que bien à propos pour

    Marc

    et à celle de madame de Gordes, priant Dieu vous

    cousine

    Il ma prié vous fère entendre comme il a son nombre de soldatz

    les humeurs de quoy ayant quelque descouverte

    d'Embrun, ce XVIIIe mars 1573.

    vous scavés particullièrement les viollences que la

    heureuse sancté et longue vie. A Dye, ceXVIIIe mars

    Monseigneur, comme nous prions le Createur vous donner en sancté sa digne

    mondit frère et tous mes bons serviteurs ne perdront une seulle

    ce 19 mars 1573

    monseigneur, en parfaicte santé très longue

    asseuré pour la fourniture de toutes denrées; je nai voulu containdre

    monsieur, en parfaicte prosperité très heureuse et très bonne

    faire très humble service, vous suppliant, monsieur, que je ne soys eslogné

    comme il leur est bien besoing faire [barré : pour] aians plusieurs ennemys

    que pourroient valoir la somme de troys mil livres et

    vous ferez chose que le roy, mondit seigneur et frère et moy aussi, aurons

    et loue Dieu quelle [barré : en soit quicte à si bon pris] aye bonne esperance de la [barré : consolidation] soubdeyne guerison avant

    de Neufville

    votre magesté pourra veoir ceste vile faillit destre

    recepvoir votre lettre du IIe. Je

    ors mys une questoys dejà en Languedoc, et ne vous veulx celer

    porte et se sauva, blessé à ung bras ; et y eut dune part et dautre

    incommodité bien grande pour mes subggectz, estant tout le commerce rompu, de

    compaignies qui sont par dela qu’avez faict lever pour du tout n’habandonner la

    aussi des leurs et en y eut de blessés. Jusques à ceste heure, Dieu

    enseigne ; surquoy il vous pleut mescrire que vous

    pouvoir vous donner

    enseigne, avecque ma compagnie et les chevaulx ligiers du sieur Jullio Senturion

    quelque soulagement.

    accoustumé de donner chacun an aux myens pour leurs peynes et labeurs,

    toute bonne remonstrance et gratieulx traictement, au moyen de quoy je

    et que les susdites ont accoustumé tenir garnison en ce pays [barré : estant] qui en

    environ cinquante, toutes

    et au reste, entendrey au debvoir de ma charge, de façon que jespère votre majesté

    vos bons playsirs nous y voloyr servir et exciter

    de Neufville

    dernier jour de may 1573.

    aux commis des troys estatz de ce païs ; et neantmoings,

    de son party quy mont presenté ladite requete et ce en vertu dicelle lettre quil vous a pleu ≠

    que je y envoyay et [barré : soubdein] le lendemein, par le moyen dung

    Madame, votre majesté verra, sil luy plaist par la lettre que jescriz au roy

    votre service, ma liberallement accorder la levée de cent chevaulx legiers en ses

    faict mention en la

    en la charge quil vous a plu me donner, jay tousjours cognu

    se vous en avez besoing. Demain ie luy en feray une lettre, mais ie

    les forces que jay peu metre ensemble pour les secourir,

    monsieur de Gordes, quil vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript au camp

    De Neuville

    presentement receu votre lettre du VIIe de ce moys, je ay escript à ceulx de mon conseil

    garde. Escript à St Germain en laye, le XXIIIe jour

    Charles

    cest une loy que je veulx estre generalle pour tout mon royaume et

    à Paris, le XXIXe jour de juillet 1573.

    oultre ce que le sieur de Virieu aura [barré : f] advisé votre majesté

    aux chappitre de Die en faveur de leur doyen que jaccompagneray

    et autres forces [barré : qu]ilz parloyent plus gracieusement que

    au roy, la suppliant très humblemant

    que je vouldrois que toutes les villes et places qui sont au-dedans

    que je leur eusse voluntiers permise auparavant que jeusse faict mondict

    Sire, etc

    party [barré : me] et me presentèrent hier une remonstrance et requeste

    commandemant et pour mon service, comme pour changer de garnison se retirer

    vous importuner pour la compagnie de monsieur de Nemours et

    passent d’ung lieu à autre, par mon commandement et pour mon service,

    Charles

    Grenoble pour le clergé, messieurs de

    nous soyons advertis de votre intention pour, en ensuyvant icelle scavoir diriger noz

    ladite compagnie et à icelle faire administrer les vivres

    Pbarbier.

    plusieurs particularitez. Nous vous prions très affectionnement pendant ladite tresve,

    mère deffeucte daultre, tant auroyt esté preceddé

    grand regret comme dict ledit laquay de n’en avoir faict aultant

    synon lors que par sa magesté, il a esté requis comme il ne

    Avignon : Cm pains C p. v. – f[ourny] : XIIm pains

    une promesse ne prendre poynt les armes et que

    [barré : conestre] aparoir par bonns effaictz le contraire de ce que mes calomniateurs

    pouvons ce gardent des ungs et ne ce fier aux aultres.

    [v] fortiffié et nous affoiblis ; et dailheurs que

    comptes ny en leurs conseilz et assemblées pour les affayres de la

    quil avoyt desparties pour le faict à monseigneur de Laborel, furent

    armes pour empescher ledit passage et generallemant faire tout ce

    sur le millieu presque du golfe de Cattaro

    sont partiz ceste après disnée et les actendons à demain au soir.

    en deux et se retyra ledit jour de Bolvoir et terre proche dune petite

    exaction en cas dopposition, les inhibitions tenans et autrement pourveoir

    priant le Createur [barré : monsieur]

    monsieur, en bonne santé, bien heureuse et longue vie. A FFach [sic] en Hessen,

    Monsieur d’Audeffet

    et sur tant de lieux, dont lon se doubte que la

    d’Antiboul, ce dernier de lan 1573. Je desire

    demein matin, mais il men fauldra retourner

    le 20 de ce moys grand nombre de cavalerie courant jusques

    jeudy dernier feirent une grande parade bannières en leur place de St-Marc,

    quaprès avoyr baisé les mains de votre grandeur,

    menvoyerez sil vous plaist au plustost, car sil

    monsieur le comte de Ventadoure est en une sienne maison près d’Orleans. Sil y est, je

    Si vous avez quelque oiseau de reste,

    votre très humble et très obeissant serviteur

    La casette

    retiré rière moy. Je suys aussi esté adverty par monsieur de La

    le plus que je pourray. Ceppendant, je me recomanderay

    quelcun à la traverse vous seroit aultant de peine

    Je ne vous veulx celler que je prens ung plaisir indicible à me proumener en ce lieu

    Dyeu vous donner

    Madame de Gordes a esté ceste sepmeine en ceste vile pour fayre abiller

    vie. D’Avignon, ce 27 aoust 1571

    [v] monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison de

    votre à jamais très humble et

    Delanges

    mesmes vous fera entendre lembarquement

    que sa Saincteté à eu de tous voz depportementz, mesmement au dernier

    Votre très humble serviteur

    avoir prié le Createur

    votre très humble nepveu et très obeissant

    ce cestoit pour moy mesmes. Votre nepveu de La Coste sen

    et plus oubeyssant serviteur

    que les capitaines en respondroint. Monsieur de Sauve mavoit

    sepandant quelle se mestra en terme de defance et le reste de ladite armée ira passer

    un peu actendre.

    que jay receu le VI du present, vous serié[s]

    votre très humble et à jamays

    dans Lionn, si nest de la renue de monsieur de Nevers à Vienne

    et servir à lobservance des ordonnances de police, lexecution

    comme votre providence cognoistra estre meilheur

    et obeyssantz subgectz et serviteurs à sa magesté de vivre en union soubz

    affectueusement à votre bonne grace. D’Avignon, le IIe de septembre 1571.

    Monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre

    votre plus affectionné

    Prunier

    autant affectioné quil est possible. Iay fait tenir tos vos

    IIIIe jour de septembre 1571

    servante

    et très affectionnées recommandations à votre bonne grace. Je prierey

    causant labsence de monsieur le juge.

    bien menvoyer si ou non jen achepterey pour ce

    Createur

    puys escripre, pour prier Dieu

    de ce quilz auroient en mein, cependant,

    votre très hafectionné serviteur

    nen pouvoir rien respondre sans en avoir adverti leurs parens et amis, quest

    Votre humble serviteur

    de Malloc

    payemant. Le segretaire d’Arragon a escript que combien quon panssa

    reparation, mais il na volu les donner pour reparer

    montoyson

    toutes aultres choses quil vous plaira nous commander et daussi bon cueur

    du boys fort bon et sec pour quelque

    Votre très humble cousin et affectioné

    garde, comme il faisoit ses années passées.

    desire vous demeurer très humble et obeyssant serviteur et en

    Monsieur, quil vous doint en parfaicte

    Anthoine Dupuis, consul

    Vye. De Lyon, le XIIIe septembre 1571

    Vye. De Lyon, le XIIIe septembre 1571

    fort plainct, et que lon y disoyt quil en estoyent

    il vous servoroit de si fidèle soliciteur quil ne failloit point

    et croy que vous en aurés receu depuys du 9. Je voys

    court attendent les comissayres et quilz vous

    Dieu ne se porte que bien, selon sa coustume,

    Bap[tis]te de simienne

    XVc pistolles en diverses espèses dor à

    empeche qui me tient ung petit et espère

    quon luy escript de ce pays pour cest effect et ce que la roine

    Lome que savés a été puls

    injure au voisin estrangier qui ne nous en peult secourir,

    et conte[nte] vie, après mes très humbles recommandations à votre bonne

    marry lavoir recherché de ce plaisir si vous nestimiés

    que vous serés content que je fasse lesdites reparacyons, le lendemain

    les portans sus soy vous puysse estre parelhe, mays

    bone grace et supplie le Createur quil vous done

    Laurense de simienne

    santé longue et contente vie. De Grenoble, ce 22e 7bre 1571.

    faire bien tost à Serre où madite dame de Bressieu ma asseuré

    C[apitain]e Marc

    serviteur

    comme je me desire vous dire un jour le pendant. Je me

    pour l’hooneur et affection que jay porté au père, lequel sil vivoyt

    et veux que mes biens et heredité soyent restitués à mes très chers frères et

    Serviteur à jamais

    [v°] A larcher, pour jour

    et font plusieurs aultres tormens ausdits supplians,

    Gordes

    votre très humble seur pour vous fère

    Votre très humble serviteur

    monsieur, en santé bonne et longue vie. De Saluces, le XVe janvier

    se rappourtoient et estoient conformes entierement. Je nay heu loisir de vous

    ensemble et n’avoit point jusques icy esté parlé de son faict parmy

    grand pard et qui vous rendront tout

    marechal pour fère pourveoir monsieur de Sainct Vidal

    le chancelier se randoit difficile à celler les

    Je pense que le roy en veut avoir la garde noble

    Nous faisons depecher les lettres doffices de conseliers pour monsieur

    à y employer tout pour hobéir à voz commandementz et

    lieu quinze arquebuziers à prendre le paiement sur des lieulx tenuz

    aussi bien contre luy que contre les aultres et nespargneray vous faveurs

    de contenir les soldatz ; estant au demeurant bien marry que

    monseigneur en parfaicte santé très longue et très heureuse vye. Escript à St Germain

    bailhé à mondit cousin. Ie metrai dans votre bourse.

    la guerre ; et disent publicquement que ne veulent

    escrire aux colonel et cappitaines desdits Landres, dont ils sont tellement

    un expedient davoir personnages qui se veullent charger de

    on dans votre gouvernement, iusques que plus grandes forces soint

    Dieu vous donner en très bonne santé contente vie. A Grenoble, ce XXX janvier 1574.

    munitions en bon nombre, de quoy tant des compagnies de gens de pied et de

    Francois Vachon

    je treuvys avoir changé daultre advys, tellement que je men retournis sans y

    Faict le premier jour de febvrier 1574. Ruzé

    février.

    parquoy je vous supplieray de rechefz très humblement

    fist madicte dame lesté passé, elle estent icy, nous

    sus La Rochelle, et quil avoyt ouy dire quon menassoyt [barré : qu]en mesme temps de les despecher.

    février.

    de Gargas a excript une letre à messieurs de la cour

    nha gardé monsieur de La Tivolière daller à St Laurens

    monsieur le mareschal. Se ma esté un grand

    Monsieur, quil vous tiègne en sa seinte et digne garde. De

    majesté, affin quelle cogneut loccasion quelle pourroyt avoyr de ce doulloyr du traictement que les Suisses ont

    nous memoratif davoir faict infourmer contre ceulx de la

    Surville s(ecretai)re

    plusieurs bons lieux que lennemy avoyt faict entreprinse de

    de Marrel, assesseur, de Carme, assesseur, de Vernin, assesseur,

    Votre très humble et aubeisant

    votre très humble à vous fère très

    monseigneur, en par faite sainté, longue et heureuse

    Expilly

    [barré : qui s] que possible ; se repentyra il davoyr fayct de loppiniastre et

    monsieur, en très bonne sancté, longue et hereuse vye. Au Mon[telim]ar, ce IIIIe febvrier

    à la procession, il y avoict pour le moingz dix huict ou vingt

    monseigneur, en parfaicte santé très heureuse et longue vie. De Gap,

    intelligence accomode noz affaires. A quoy jadjousteray que je ne cuyde

    que ladite administration dheritage

    que la diter soume ou plus grande vous est dhue du passé

    mesmes pendant que monsieur du Chastellard y est encores ;

    le premier du moys passé en poste pour sen aller

    de par deçà ; et comme lenemy a prins

    vie. De Tullete, ce Ve febvrier 1574.

    pour le regard dudit Molines. Monsieur de La Cazete

    à heulx est dexecuter leur malereuse entreprinse est le petit nombre des

    fort raysonable, tant pour le service du roy, bien du pays,

    est aussi proche dudit chasteau que Barbières, dequoy semble, sauf

    de Vientes XXII ecus sol et

    fort obeissans, comme je serey toute ma vie en tout ce que

    treuver en lieu dit en la val de Suzane pour

    qui mont prins avecque Les [barré : Digier] Diguires [sic] pendant

    moings payement.

    Voz bons amys les gens tenans la cour de parlement

    où ilz ont des affaires ; et ce pendant, vous croirés, sil vous plaict,

    je finiray ceste et prieray le Createur

    Hourche

    monsieur de Chatellart, estant toutes les memoires rière monsieur

    le Pontault qui venoyent (comme a despuys raporté son laquès

    de ce que dessus, disans que par ce moyen,

    laborel

    monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureuse vie. De Montpellier

    aurons, ie supliray Dieu nous faire la grace de vous

    je masseure quil en y aura desjà de perdues par lambiguité du

    obéyr anse quil vous plerra luy commander. Je me

    monsieur de Maugeron. Je voy chacung fort enclin

    me mandés point cy mon houvraige de Mylan est bon. Le mestre est

    quil luy est dict aux soldatz du château de faire bonne

    comaires toute la nuict. Il est vray quele neust que les

    longue vye. De Grenoble, ce IXe de fevrier 1574.

    Dung aultre lieu, lon me mande que le quahet avoit

    Vostre très humble très hobeyssant filz et à jamays

    trouppe des rebelles sest parquée à Ribiers, faysant

    desdits seigneurs embessadeur et cardinal illustrissime, de fère cheminer

    actendu que plus aisement il pourra avoir accès par

    avoir esté pris. Mais ne treuvés pas maulvais si je vous

    ordinères que extraordinères, car on dict que à present ne

    pour le faire donner jusques ici, mais lons nha

    misères et calamitez si grandes que je puys

    non pas quelle men aye parlé, de escripre ung petit mot

    incertum, etc …, et y est bien pratique, estant lesdits du Crest entrés en jalou

    son contratct moindre somme quil n’a payé de la

    son contratct moindre somme quil n’a payé de la

    que vous avés doné occasion aux bandes suisses

    [172 v°] Dautre part, monsieur de La Tour ma fait escrire par

    et souvenanses. Je ne doute que an faveur diselles mon bon droyt

    Votre du tout hobeyssant et

    ce que lon pourroit assembler de

    lequel jay faict mettre en prison pour la rebellion quil

    moy, actendant melheur occasion ; après voir supplié le Createur vous

    forni ledit sieur contorroleur ; et m[i]eus, lui ai-je vouleu bailler les

    à ce peu de lettre mes plus humbles recommendations à leurs bonnes

    homme venant de ceste ville et trouvant un aultre venant

    terme des estats, mais il ma fait santir quil

    se sont retirés et asseurés dans leurs maisons. Jespère que pour le

    que six de ceulx là que manvoient des villages. Monseigneur,

    aurés seu très bien pourvoyr, vous asseurant que monsieur de La Pierre ne donnat pas lalarme si chaulde

    rebelles de Mollines n’ont peu treuver leau quilz cherchoyent

    1574.

    monsieur, très heureuse et longue vie. De Gordes,

    ce XIIe de fevrier 1574.

    En escrivant la presente, jay receu ung

    monseigneur, en prosperité vie longue. De Grenoble, ce XIIIe febvrier 1574.

    cause, monsegeur, vosdits povres subiectz

    antreprize les at ampesché et a vons demuré bien doze jours

    et avec layde de Dieu, obvierons à surprise. Je

    la negotiation sera beaucoup pls asseurée pour vous et moy et moings

    quy estoyent catholiques et se sont Votre entierement meilleur plus perfaict et

    ce XIIIIe febvrier 1574.

    serviteur Lo[uis]. De villeneufve

    pour les surprendre. Toutesfois, je vous tiens adverty dheure à

    monsieur, en santé contante vie. De St Germein, ce

    tout ce que vous [barré : en] sera possible, comme il est bien necessaire

    de Gordes, d’Ambrun que votre charge, quil plaise à votre bonté

    et silz s'abocqueront ensemble, quel jour et en quel lieu,

    Estalin, son serviteur et ung laquais, vindrent loger aux faulx bourgz des

    Bien ce dict il que monseigneur le duc est pour faire ung

    mieulx que nul autre adverti, ferés remuer les forces

    dames se rejouyssent de cela car elles danceront plus

    et La Tivolière. Que sera lendroict vous ayant presenté noz très humbles

    viennent courre tous les jours [barré : p] deça le Rosne et depuis deuxs jours lennemy

    de mal contre se pauvre soldart qui sest endebté

    controuvé hier au logis et en presence de monsieur notre gouverneur,

    Votre très humble et hobeyssant

    monseigneur, heureuze et longue vye, à moy le moyen de vous

    Sy lennemy sen emparoit, il porteroit ung grand

    Ennemond Parrot qui les a actendu jusques

    dentendre |barré : au] plus à aulcune prolonguation darmes et que, bien quelle ne soit, ilz ne larront de sassembler pour

    acompaigné de dix huict hommes

    maison de Montoyson, ce XVIme de febvrier

    serviteur pierre arnoul

    XVIe fevrier 1574 à dix heures de matin.

    sil nest en tout, ce sera en partie, à celle fin

    Votre très humble et aubeyssant

    quil vous playse avoyr esgard à ma pouvretté et à la bonne

    Votre très humble et obeyssant serviteur

    ferrus

    part, nous recomandantz à vous bonnes graces,

    presque de cest advis, je nay voulu reclamer. Bien pensé je

    escripvent comme verrés par leurs

    monsieur, en très bonne santé, très longue et très heureuse vye. De Grenoble,

    monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureuse vie. De Montpellier, ce XVIIIe jour

    Notre Seigneur vous donner

    qui est la cause que jay prins lardièce vous importuner

    sur ce prier le Createur,

    Me voyant mené à la longue, je men suis venu en

    asseurer que nan ferés iamais part à perssonne qui de melleur cœur

    par ce que ma escript monsieur de Cabanes n’aperçoy honnt

    notre gouverneur que sa garde seroit cassée, nonobstant que

    Quant à monsieur Narcys, je lay adverti de se tenir sur

    dans la ville la plus part des avivres de nous

    Votre très humble et aubeyssant

    cheval. Il vous prye dy

    Monsieur, en parfaicte santé tres heureuse vye. De

    retirez à Mens. Nous navons aucunes nouvelles de monsieur

    la cherté des vivres jusques à la première

    De Lyon, ce XXIe febvrier 1574

    mès jay assés tesmoins quil y ha plus de deux moys que

    nuict sur les muralhes pour ce peu de gens que nous

    pour garder que les huguenaulx ny passassent,

    que luy escrivent [les] capitaines La Casete et Pastre. Il y ha aussi

    main du roy et de justice. Il vous a faict entendre

    que javoys si peu daffezction aillieurs que je ne vous en eusse jamays

    que madamoyselle de La Baulme, en toutes entrées et sorties

    Lavallette.

    Cappitaine Forvillier, je receus hier votre lettre escrite à Nions le XXIIIIe de

    serviteur

    ville entre les ieunes gens et qui ny apporte nul bien par sa presence et y

    Brianson [barré : est] et le cappitaine Brianson sont allé à Grenoble

    advertyr comme le tout a passé ; et sy an cognoysset

    montoyson.

    monseigneur, très heureuse et longue vie. De [nom barré : B ou P] Cracovie, ce XXIIII febvrier

    roy. Parquoy, monsegneur, vous plairra i donner tel ordre que

    garde de trahison, lequel je prye de bien bon cueur,

    Je ne say si estes adverty comme les huguenaux

    et ont despendu ceux mil escus pour se armer comme mest venu

    très humblemant davoir pitié de nous et nous

    il sen peult offrir pour vous en faire de plus suffisant. Je ne

    Sur ce, priant le Createur,

    trante soldars, dont je treuve que ce n’est pas assés,

    Padoua, ce premier de mars 1574

    De vostra ecelentia

    a esté ouverte et a trouvé deux postumes qui y ont suffocqué

    à la plaie, s’estoit sus l’os de la iambe au mistan du moulé

    vous donner bonne santé et longue vie. A Marseilhe,

    c’est une espèce d’animaux que ces gens-là mal aysés à en retenir,

    j’ay demeuré si longuement à vous escrire et à mesdits

    commandementz frère du premier président de Dijon et

    au premier iour contremandés. La reyne, mère du roy, fust hier entretenue le

    Hier soir arriva l’ung des Praillons venant d’Allemaigne qui dict qu’il se faict grandes levées

    Vostre très humble filz et affectioné serviteur à jamays

    peu advancer encor. Je vous supplie en escrire

    et je priray Dieu, après mes humbles recommandations, à vostre bonne

    coure les sers. Ie ne say qu’an esperer, soit bien ou mal

    Vostre très humble et très hobéyssant filz et serviteur

    se seroit tant oblié en son office, qu’il n’auroit faict devoir

    y a déia si long temps qu’il menace, encor que j’entendis

    a fait au roy. Dieu par sa grâce veuille mectre au cueur

    faisants contraires brigues et y a aucuns deputés de

    boys et fassines dans la citadelle,

    [v°] eulx indiqués, desquelz seroient mis en sequestre

    Monsieur, vous donner sa grâce et avoir la votre. De votre maison

    Monseigneur, qui vous doint en bonne sancté très longue

    Monsieur, an santé très heureuse, bonne vie et

    la prolixité, jai veu monsieur des Bains que ma dit laccort entre vous et monsieur d’Euriage. Pour navoir

    De Ancezune

    serviteur

    vye. De Lyon, le IIIIe jour de juillet 1572

    [v°] vous en demeureroyent très obligez, comme je feray aussi de ma

    bon credit que vous serés content ; et cependant, vous supplie

    recommandant très humblement à votre bonne grâce et de toute votre

    Votre très humble et très obéissant

    que pour ne pouvoir estre secouru qu’à la fin

    Je vous puis asseurer, Monsieur, que ie feus plus faché

    trouvé que Laffrain ce n’estoit allé sans

    Je ne feray aulcun dessain en cest dit endroit que monsieur d’Evènes ne soit arrivé en

    car le me faisant entendre, je feray de si bon cœur que

    remercie très humblement. J’y ay faict passer votre

    mille francs. Il a amené aussy afforce belles

    quon ma escrites. Jeusse bien desiré scavoyr la responce que avés

    à votre bonne grâce, priant Dieu

    serviteur

    serviteur

    et à mon advis à plusieurs aultres que se soit sans

    seray jamais d’advist qu’on y tache audit pris tant s’en

    De Gargas, ce XIIe 1572

    (v°] monsieur, qui vous ayt en sa garde. De vostre

    l’on a espoir qu’on ne sera pas

    Il n’y a que deux jours que je luy avoys escrit pour le désir

    cest année, qu’elle ne prenne villes ou defface l’armée du Turcq, que l’année prochaine ilz ne

    G. deportes

    Sauve eust esté encor absent et que ce faict eust

    Votre très humble allié et affectionné serviteur

    et moy les leur rendons. Cependant, je les verray venir

    et trois aultres, don Mons en est hune, toutes de consequensse,

    et hereuse vye. De Vallence, ce XVe jullet

    Lodovico Birago

    de trois mille escutz de revenu et par la

    ment de me tenir à votre bonne grace, alla quelle ie presente mes très humbles recom-

    de vous faire entendre, qui me gardera vous faire plus longue lettre,

    d’ung chateleyn ou vichasteleyn, cela couvrira telles assemblées

    je renvoay ledit Genton. Le jour après, vint Bonaventure son frère,

    Monseigneur, vous donner en tout prosperité

    si vous entendez quelque chose qui concerne le service du roy en ce

    Claude de St Prie.

    la dicte lettre, je ne scay s’il seroyt torné malade.

    nous feroit par ung de ses lacquey lhors qu’il auroit la

    [v°] Monsieur, avecque sa grâce, très bone et longue vie,

    Votre à jamais très humble et plus affectionné

    Loyse de Simienne

    main. Et sur ce, je me recommande très humblement à votre bonne grâce,

    ausquelz j’obeyrey toute ma vie très humblement, priant Dieu

    [v°] de la montre que je leur envoyeray faire ung jour ou deux après

    de ce moys. Il passa hyer un corrier du duc de Florence qui dict que Don

    au roy du Ve. Monsegneur ne treuve pas bon

    à la bonne grâce de madame de Rousset.

    Chastellard a dict en plusieurs lieulx qu’il

    landroit où ie prieray Dieu qu’il vous doit

    escryt. Je ay vu [barré : que] se que vous escryt le roy. Me samble

    seigneurie vouloir faire donner au laquay presant porteur

    Fontayne a eu sa place. L’on dit que monsieur de Sensse aura l’estat de feu monsieur de Montreuil.

    concourroint en ce que monsieur son frère vint en l’estat de

    ung autour par votre moyen.

    ou de la mort, après lesquelles nous vous renvoyerons

    renverons demain où nous y serons beaucoup mieulx.

    lieues d’icy dans ses galères, faict contenance d’homme qui ne se soucieroit

    Monseigneur, vous avoir en sancté et

    au grand regret de mondit sieur des Adrés et de moy, le séjour en ce lieu

    les pays où ilz le trouveront ; et pour ce que despuys

    apparence que lannée qui vient. Ils soit gueres plus delivré.

    frère à iamais

    Monseignieur, en parfeicte senté, très heureuse et lon-

    dimanche à Vallance pour regarder avecque ceulx

    luy, que luy anvoye du fruyt avecques esperance ung jour

    faict instanse l’embassadeur de l’empereur en plein

    faicte au roy, le conseil la trouvast adventageuse

    en serons redevables toute nostre vye. Ilz nont pas lessé

    vostre très humble et obeyssant

    ses advis que vous donnoyt ledit seigneur Ludovic de Biragues.

    longue et heureuze vie. De Grenoble, ce vingt huictiesme jour du

    jours, pour puis après aller pour autant prendre

    grace. De Marseille, ce vinghuitiesme de

    paradvant, le sieur de Mirabel avecques plusieurs cappitaynes se sont

    [v°] supplions affectueusemant vostre seingneurie avoyr

    de Laval, Nostre Seigneur nous les doint bonnes.

    court. Je n’y voys, pour qu’il soyt résonable, qu’il i alhe

    et faict de grandes plainctes contre vous, mais que on

    endroitz ou daller au devant du prince d’Aurange pour le combatre. Voyla ce que le dit sieur

    Janlis ha heu la teste tranchée à Bruxelles.

    au soir

    enjoindre audit juge de Marches de luy deslivrer ledit prisonnier

    une oreille, ce quil me proumit. Depuis, il ne man

    de Marssieus.

    Monsieur, en parfaicte prosperité très heureuse et très bonne

    mandement quil auroyt, desliberoyt sen aller, combien

    Tande

    pour laquele, Dieu aydant, nous en serons quitte

    Vostre plus affectionné et obeissant à vous

    Lundi lon ouyra le compte de la recepte et de la mise que

    Je vous puis asseurer, monsieur, que vous avez ung

    Vostre très humble et très obeyssant serviteur

    Monseigneur qu’il vous doinct en parfaicte sancté, très longue

    mesmes par des advis de Romme que monsieur le cardinal

    après de faire faire en Bourgongne, suivant la

    la faveur que celuy quy l’employe aura de luy sera

    Gaspard Flehard

    Montelimar ou en aultre lieu près du dit

    despartiray sans aller prendre conse de vous.

    Monsieur, bonne santé, heureuse et longue vye. De Suze,

    Touteffoys, si vous protesteray-je que je ne luy en fais

    le reste. Le jeusne de monsieur de Rosset est guerry,

    qui me faict mettre fin à ma lettre, par mes

    Domp Jehan d’Ostrie est arrivé à Gennes avecq

    instament offenser les catholiques. Aussi, Monsieur, suys-je

    façon la paix avec le roy catholiq, mais il est à craindre

    ses très humbles recomandations à voz bonnes graces,

    recommandations à vous bonnes graces,

    nepveu est malade au vilage et mon home de chambre

    De Chapponay

    vous commandementz en toutz affaires comme si

    une grande perte, car il me fauldroye aussi bien payer linterest des

    du bras dung catarre que luy est tombé sus. En

    très hobeissant serviteur

    que vous trouverez bon. Et pourveu que vous ne le trouviez poinct mauvays, ci c’est

    Jean Besson

    an referer bien faire un autre vous étans isy ; sest tout

    Pour fin, ie me recommande tres humblemant à vostre

    la convalesance de monsieur le presidant Truchon, de quoy tous ceux qui le

    [v°] à Marselhe faire quelques mostres pour

    Sa Sainteté a mandé cinq

    Monseigneur, en très bonne santé, longue et heureuse vie. De Grenoble,

    ne men aviés escript, luy dis que le vous feroys entandre,

    Avec congé, je salueray les bonnes graces de madame de mes très humbles recommandations, la suppliant

    illa perdu depuis hier. Et nonobstant tout

    Grasset s’en alla sans dire mot et sans aucune

    de Brigoudières est

    Gibert

    masseurant bien quilz y perdront leur escrime ; et

    son altesse et de monsieur le gouverneur de Savoye de ne

    mieulx vostre resolution. Monsieur le conte de Tende madvertist hier quil

    ne vous puissiés très bien justifier et fère cognoistre qu’il faut bien

    Monsieur vous donner en sancté très longue heureuse et contente

    affection deshordonné, l’eusse faict prandre

    vous aviez faict biffer et effacer à coupz d’harquebuse par

    obeissant amy

    noz voicins ont beaucoup [remis] de la solicitude

    Vostre très humble et hobeyssant

    Monsegneur, vous donner en parfaicte sancté longue et heu[reu]ze

    1572 de

    Monseigneur pour vostre prosperité et santé. De

    le chevalier, que jen suivray au plus près quil me sera poussible

    recommandacions. Du Montelimar, ce XVII aoust

    quelques rebat desdits arrerages, tous ainsi

    Je suys aujourdhuy allé veoir monsieur le president

    quil ay est reffuzé à d’Aragon mon commis de ce faire et que

    vacquer à ouyr les comtes, monsieur de La Coste feut le IIIIme

    Mandelot

    [v°] que vous ne nous ayés faict ceste honeur destre

    Serviteur

    donner

    Obeissant

    [v°] ains nous (athaquer à partaiger) quest cause, joinct le desir

    beaux frères. Monsieur de Cabanes nostre frère est rescheu

    Createur, lequel je supplie, après vous avoir baisé

    Cezanne. Je ne doubte point que s’il vous plaict de

    [v°] hors de procez, mais seulement condennez aux

    somme tout ce que ie vous puis escripre par la

    Monseigneur, vous conserver tout en sa saincte et digne garde.

    presuppose ledit Corbis estre le corrier, que n’est.

    avoyr entendu sur ce vostre bon plaisir, je leur acorday

    vous suplie très humblement monsieur me tenir adverty de vous

    Gap, ce XXVI aoust 1572

    Createur vous donner

    et très heureuse vie. De Saint-Saphorien, ce jeudy XXVIII d’aoust 1572.

    de Nemours a esté jusques à La Brelle

    touchant les affères noveaux survenus en France. Dieu

    ayant entendu lesdits bruitz – que sur ma vie et honeur, il

    Mesdictz sieurs me chargearent il y a deux jours de dresser

    quelque nombre de gabions, cella nous feroyt

    et afeccionés requomandasionns de bien boinnt ceur à votre

    samedy dernier aoust 1572

    mandement concernant la conduite des Corses et quil se resoluoy

    letre, car elle me dit que cestoit comme luy en

    de Simienne. Alle[man]

    si devant remersié. Sest tout ce que vous puis

    Vostre très humble etrès obeisant frère

    se contantoint de vous actions. Je luy remostray

    Monseigneur, ce quil connoit vous estre necessaire.

    longue. A Paris, le XXIIII 7bre 1572

    jusques icy, et prierons Dieu par votre prosperité et santé, vous

    d’autre part, il nest pour la faire logié

    [barré : sera] est à ceste heure en liberté et qu’il sera bientost en ce

    bien joliement ce ministre. Si vous trouviez bon, monsieur,

    bien ung bon succès en Flandres pour le prince d’Ourange, espérant qu’il leur sera favorable. Je ne say

    quoy advenant m’en recommande humblement à votre bon plaisir.

    aureillies dunne infinité de callomnies et

    porroyent avoir entendeu ce qui seroyt adveneu à

    ung double de lettre de Rome que monsieur d’Embrun ma envoyée

    long. Bien vous asseurerai-ge que je n’y ay rien obmis de ce que

    Hourche

    et monsieur de Gollas, jantilhonme mien voysin,

    votre très humble voisin et

    prie Dieu quil vous doinct

    Prunier

    Expilly, lequel de sa grace, ma faict beaucoup de cortoysies,

    Claude de Guise

    respentance, laquelle je croy ne sera si longue

    tres humbles recomandations. Madame de La Motte vous presante

    supplie très humblement, monsegneur, qu’il vous plaise me

    longue et très heureuse vye. De Grenoble, ce premier octobre 1572

    et cestuy-là de monsieur de Suze par la voye de la poste. J’ay aussi donné seure adresse

    le prince de Condé, qu’on dit estre fort bon catholicque maintenant. Voyla tout

    pour icelluy tout ma vie acomplir daussy

    la religion sur lesquels elle a esté esgallée par les consulz

    Veaulne

    Voustre très humble et très obeissant

    Nous accommodames hyer les affayres de monsieur de Saint-André

    au soliciteur de monsieur d’Ourche luy a

    ce que, sauf la correction de votre seigneurie, ne

    qu’il est devenu, s’il est vif ou mort, me redisant plusieurs foys

    ce peu que en sy long temps a faict un commissaire

    Votre très humble filz et très obeissant

    Monsieur de Gordes, en santé bonne et longue vye. De Molins,

    de fort bien cœur à votre bonne grace et prye Dieu vous donner la

    serviteur

    Monsieur, en parficte santé tres longue et tres heureuse vie.

    le cardinal d’Armagniac. Ceux d’Orenges hont respondu au

    opinion se sont declarés voloyr empecher la levée des Suisses pour le

    mieulx quil peult fère pour ouster toute soupesson pour son

    a heu troys ou quatre assès de fiebvre tierce.

    longue, me recommandant très humblemant à vostre bonne

    par ce pourteur. Monsieur le commis mayant

    de s’an aler en nombre de trante ou quarante ; toutesfoys je

    faisant abastre deux encogneures quil y a. Je y ay

    de combat, que sont galeres ou galliottes, et que l’armée

    Monsieur que vous tenyr en sa saincte digne garde. De votre mayson

    [barré : lesdites compagnies] elles ont fayct entierement ce que bon leur a semblé et non

    qu’ilz ne me scauroyent desacommoder en nulle sorte du monde,

    vous donner,

    Votre très humble et très obeissant

    de par-deçà, sinon que l’on m’a faict entendre que monsieur

    vandredy à Lion quy est la cause que je vous

    les faire contribuer à la paye desdits soldatz, affin de les cognoistre et tenir en plus

    très humblement à votre bonne grace et de madame de

    Dieu qu’ainsy soyt, et de vous doner,

    Dieu qu’ainsy soyt, et de vous doner,

    leurs accoustumées traystresses et malleurreuses vollentés, dont

    aussi bonne volunté que je dézire estre recommandé

    accompagné de quelques ungs. Il y y a passé grand nombre de

    Vostre mère

    [v° ] icelluy toute ma vie acomplir daussy bon cueur que

    Votre très humble et

    très heimblement à vostre bone graces et de madame de Gordes,

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    le controolleur Besson Bresson à faire le controolle des monstres des compaignies,

    Il m’a rapporté en oultre que, de quarante qu’ilz peuvent estre

    où il estoit allé attendre madame la

    pour fère prendre garde à ce que jey charge touchant quelque

    sercisse, vous seront très agreable. Je vous baiseray bien humblement

    pour recognoistre ung peu premièrement la court ;

    quelque chose plus certeyne des Montagnes. Je voys surce

    la presidente et pence qu’elle vous rencontrera

    bon plaisir faire passer par votre gouvernement où je

    livres de raison de ladite ferme ; tous lesquelz nous

    part et le chemin quil prend

    une bien fort honneste et gratieuse responce.

    estre cause de quelque rumeur, car chescung creynt

    l’a egarée ; et vous prier de commander au sieur de Merieu ou Bouvert

    Prunier

    vous voir bien tost me garde vous dire davantage.

    santé, longue et heureuse vie. De Grenoble, ce

    [v] vers leurs gens et m’ont demandé asseurance pour

    il en avint de mesmes et davantage à Bordeaux. Lesdit desordres

    vous mander mon advis sur ce que touche pour reduyre ceulx de

    Vostre très humble et aubéyssan

    Laval

    Monsieur, qu’il vous doint an santé très heureuse

    Laval

    Vostre plus humble et plus obéissant serviteur

    Ilz font asture garde en sa mayson, que

    ce XXVe octobre de 1572.

    Andrieu d’Exéa

    justes causes de récusation. Et non contant de cella,

    général, et ne pance pas que cest année se trouve

    présente mes très humbles recommandations à votre bonne grâce,

    Monsieur de Carces avoit despeiché le sieur de Vauclarse du IX ou soir du XXV

    Monestier

    et de Laval sen partiront pour aller avec Monseigneur

    faira tieulle qu’aurés occasion en demeurer content et

    Vostre très humble filz et très obéissant

    mectz toute la diligence qu’il m’est possible à m’acquiter de la charge qu’il

    retour. Je me voy embarqué encor yci pour cest yver,

    gens de monsieur de Sauve que les ont trouvé estrange.

    Madame de Gordes et monsieur de

    plus rien. Don suis très marri car ce ne sera sans

    Monseigneur que nous pierons Dieu pour vostre bonne sancté

    vouldriés entendre. Je suis esbay que n’avés novelles

    Mays, quant au premier, il se rend plus traictable et l’ey cog-

    contenu de la vostre. Ne creignés aurreste que mon dit

    complot et une délibération propencée de longue main, laquelle se

    ledit sieur y a mys, et vous asseure que journellemant passe

    eyreuse vie. De Vallance se XXVIIIe de novenbre 1572.

    Monsieur, en sancté, longue et heureuze vie. A Aix, ce XXIII

    escripre pour eux ne sont suffizantez me esbranler ni fère

    a qui scavent aussi bien advancer qu’allieurs. L’autre foys,

    se XXVIII novembre 1572.

    havet pleu leur fayre, ilz pourront justement se tenir chaussés et amunicionnés

    advis. Ce porteur, qui est le sieur Bonineau qui me rendit

    fort diligemment et ramassent des

    aux commissions que j’avois depeschées pour lever des compagnyes en votredit gouvernement, je vous advise qu’il n’y en avoit qu’une addressante au sieur de

    que vous en scavés le tout. Voylla les fruictz de beaucoup de pères

    saccager Paris, et y en a plusieurs gentilzhommes en poine.

    i entrer, mays c’est à faulte de payement.

    que j’ay de la venue de monsieur et madame du Bochage.

    servyteur

    que nous avons à tenir pour le service du roy et vostre,

    terre, mès se sera ung grand préjudice

    suis-je de la fourtune que ceulx de La Rochelle ont choisy de

    aller en Espagne, a esté arresté par la protestation que feirent les Vénetiens

    [v] grâces, les saluations de mes très humbles et affectionnéez

    résoldrés au tout. Et atandant ce bien, je supplierey

    vous plait, pour excuse, en priant Dyeu,

    Je vous supplie prandre

    Serviteur

    vous comptera plus amplement. Il nous font

    qu’il estoyt là, se sont battuz par troys foys pour

    Forces ny les moyens telz qu’il désireroyt et que

    lesquelz sont, Dieu grâces, en bonne santé, auquel je prye que vous

    heureuse vye. De Beaucaire, ce IXe décembre 1572.

    laissant celle de Levant, contre la volunté des Vénitiens,

    buche de boys ny moyns de foin. Je vous puis

    Monsieur d’Évènes et moy eussions bien désiré de voir la response

    La Thivollière

    de La Coste. Si est-ce que j’ay spérance qu’ilz payeront. Je

    ce que bon leur semblera, mais que n’aie

    votre bonne grâce et à celle de madame de Gordes, en priant

    et plusieurz autres mes proches parans entre lesquelz mada-

    et viens présantement en parler à monsieur de Biraguo pour

    puis escrire, vous ayant baisé très humblement les mains, je supplie

    vie. De Thorène, ce XIIIme Xbre 1572

    tour de si peu de vallue pour s’en pouvoir servir

    après avoir long temps malladie, qu’estoit chanoine et chantre

    ne leur ay voulleu dire aultre chose, remestant le

    ordinèrement lus ungz ou les aultres comme aussi font messieurs

    Aurreste, Monsieur, je veulx bien vous advertir que despuis

    de l’Hostel et renvoyé à la court de parlement de ceste ville.

    Pavot

    monsieur, en très bonne sancté longue et heureuse vye. De

    Vous que le comptenu de cele de monsieur d’Evènes,

    monsieur vous donner avecques sa sainte grâce

    de monsieur d’Aubignan, desquelz je m’asseure que monsieur

    pour le malheur qu’ilz leurs en rensseroit, et par conséquent à tout le pays, d’estres exposés et assucjectys aus

    Votre très humble et très affectionné

    dudit château, au despens des subjects du comté, le quel

    me fait résoudre de le dédyé à cella pour estre

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    monsieur, vous donner en parfaicte santé ce que bien désirés. C’est

    Monsieur, il y a quattre ou cinq jours que ceste lettre a esté escritte jusques icy, mais ma

    très parfaicte santé, longue et heureuse vie. De Paris, ce XXIIII décembre

    pour moy de monsieur de L’Isle qui me les a proumis.

    de Sauve de la particularité contenue en votre lettre touchant

    ont presté le serment de fidélité au roy entre les mains

    sont altesse et feré metre

    neiger, monseigneur le maréchal avoit mis en campaigne XV ou XVI hommes qui

    Le Grand Escuyer de l’empereur est yci pour le baptesme de

    [v°] luocotenente con gli altri che siano absenti per fare le

    grace. Je désyre scavoir à quoy en est

    procureur general du roy et aux moindres fraiz que se

    mes humbles requomandasions de bien bont ceur

    qui doibt partir après la feste des Roys, incontinent je pense

    depuis troys ou quatre jours anssa. Monsieur de Laval a esté tout

    voiage comme il mha escript, sil veult il pourra le

    Allemaigne

    y a quatre mille Espagnols, de ceux qu'estoient en l’armée, lesquels

    qu’ilz deslogeroint, la nège y en abundanse.

    ordonné que ledit Hortie en viendra compter et quil croit

    Dieu graces il se porte bien et ne laissa de venir

    Pignerol, ce 8e janvier 1573

    monsieur, vous donner et perfaicte santé très heureuse et

    apprendrés que ladite parcelle sera preste, de mescrire de vous aller trouver à

    très heureuze vie. De votre maison de Montoyson, ce Xme de

    consulz de Romans

    attendu ladite lettre que la crainte que javoys de perdre la commodité de men venir

    Monlehuc

    selon votre commission, ensemble ceulx dudit Me Gentillet, et

    iusques au XIIIIe. Je recevray en son absence votre depeche

    [37 v°] faire pour vous. Surce, atendant de vosdites nouvelles Je me veux

    et de plus certain, je ne fauldray vous en advertir bien diligemment ;

    après mes bien humbles recommandations à votre bonne grace, supliant le Createur,

    monseigneur, quil vous tienne en sa saincte et digne garde. De

    de puys ir [hier] et mast promis de vivre sous

    voulloir croyre de ce quil vous dira comme

    Rochelle. De quoy je vous ay bien voleu advertir, encores que vous en

    bien longue vye. De votre très hobeissante maison de

    sans demeurer en arrière. Mondit sieur d’Evènes vous pourra mieux informer

    dautant que je scay que cest contre l’intention de sa majesté

    monsieur, avecques sa grace, très bone et longue vie,

    certains de ces (appellés) soldatz les chargearent et premierement leurs gens qui

    hont feyt fère enybision de ne s’en meller.

    votre maison du Saix, ce XIIII janvier 1573.

    ce XVme de janvyer 1573.

    dont vous en ay bien volu advertir à ce que votre seigneurie

    elle est assés fort et me samble quil est plus raysonnable que

    arrest pour les paouvres là où ilz ont adjugez la sixiesme

    et vous reciter lestat de toutes choses de par deça, que

    Votre très humble et très obeissant

    Voustre très humble et hobeyssent

    jours il le communiquereoit après le commandemant faict

    chose concernant le servise du roy et vostre, je

    Baptiste de Simienne

    Francois de Simiene

    Votre plus humble et hobeyssant serviteur

    Monseigneur [barré : XIII] ^ [^ hier] XIIIIe de ce moys, jay receu votre lettre du XXe de

    Notre Seigneur vous donner,

    Je panse que Seynt Veran yra car je l’ay toujours

    m’a dict que le voinat[= voyant] en son [barré : henr] herreur, elle [barré : j] en tombera

    pourroient desbander. Aussi pour ce que je pourray avoir affaire

    matin par la poste voz pacquetz et ceulx de messieurs

    bon cueur que je vous presente mes humbles et très affectionées

    la relijion, lequel e[s]t an voulanté de vous aler

    requomandasions de bien bount ceur à voutre

    comme mauroit requis le vibailly se votredit ma donné

    des nouvelles qui surviendront de votre cousté, je ne fauldray vous faire le

    de votredite compagnie que je vous prie mettre sus le plus tost que vous

    à leurs despens là part où sera mondit sieur le mareschal, lequel faict estat

    par devant vous pour son beau frère de Chapan

    le service du roy comme ung brave gentilhome, je

    quil vous done en parfaicte santé, très longue et heureuse vie. De Lyon,

    Suyvant ce que mescriptez

    pour y dresser une compaignie. Il me semble que Sainct Pol seroit bien commode pour

    ceste difficulté et en avoir ladvis de mes dictz seigneurs, me suis

    et très obeyssant serviteur

    presenter à fère service à mes bons amys comme

    serviteur de luz

    noble, magnifficque, puissant, très honnoré seigneur, singulier et

    asseurer le roy de ceste sienne resolution et quil

    pour mes affaires de pardela sur votre industrye et saige conduicte. Je prye Dieu,

    voullez quil en soit faict. A ceste cause, je vous prie

    Charles

    au camp ^ [^ qui n’est que trois liues] despuis hier pour y avoir lougis et esperons,

    et surtout pour les chevaux. Quand nous santirons

    à Chartres et les festes de Pasques. Vos petitz

    serviteur

    Garde a esté bien fort malade à lisle de Rhets, mais

    heureuze vye. A Guiers, ce XXIIe febvrier 1573.

    Meintenent lons la doubte moyns estant basses

    comandemens, ausquelz je seray tousiours prest obéir.

    Votre très humble et plus hobeyssante fille à iamais

    dit qun chacun ce portoit bien an Prouvance, don

    place coment le roy luy ordonoyt, il est à craindre quil

    monsieur, après mestre recommandé très humblement

    a esté il y a assez long temps envoyé. Et puys dix jours

    ayder à estaindre le feu de la maison de leurs voisins que datendre quil soit dedans les

    service du roy. Toutesfois si daventure vous venez

    Monsieur, monsieur le conte et

    et que tout ce qui sy lève est pour Flandres et me semble bien

    laquais à ma niepse et luy anvoier

    luy plaict me donner et luy plaise me donner patience. De

    mellé avec eux, aumoins avec la noblesse qui est là

    de me faire tant de bien que de me faire entendre

    ma fille, en santé, longue et heureuse vie. De Saint

    de febvrier mil VCLXXIII.

    de Buffevant

    De Neufville

    de la ville que dehors ; lequel ma dict que

    et quoi quil soyt, il nen passera point. Monsieur vous me

    [180 v°] pupilz à vous faire très humble service

    où madame de Gordes est a bonne devotion attendue pour luy faire service,

    soubz la charge de monsieur de Saulvignac qui sont

    de leslargir ont composé avec ledit Brassac quil

    icy de vray. Il me semble que cest le meilleur chemin que je puis tenyr. Je salue voz bonnes

    toute aultre chose où vous commandemans seront estandus

    que Platel fait à mademoiselle de St Pris et escrivois à monsieur de St André [pour : barré ?] ce

    est cause que je m’achamyne pourvoir

    sabas. Je vouldroys quelle y fut desjà. Quoy atandant,

    pour scavoir le deportemant des fames desquelles je me

    vostre segneurie, je nay quelque secours tel quil plairra

    il y a ung qui sappelle le capitayne Malhe

    vye. A la Tour d’Aigues, ce premier mars 1573.

    Sommyères, ce premier de mars 1573.

    [200 v°] au Pousin, sen va mort. Dieu mercy rien ne bouge

    [201v°] de peur destre deteneuz audit lieu par ledit

    mes très humbles. Priant Dieu,

    honneur me commander, ne soit que ayes plus de pouvoyr, le vous

    L Lestang

    et quil seroit besoing y envoyer soudain ; et lasseurance que jay

    Voz très humbles et affectionés serviteurs

    monsieur, heureuse et longue vie de Rumilly,

    service. Et atant, vous presentant ms plus humbles

    treuvoyt bon que je leur commandasse d’avoyr des

    Monsieur le senechal est yssy, quy noblie rien de

    toutes les forces des rebelles de Guyenne sur nos bras et en

    fournir de quelques forces qu’il seroict une chose fort mal aysée à moy

    obeissant serviteur

    monsieur, vous donner en très heureuse et parfaicte santé, longue vye.

    interrogé tous les jours si vous l’avez receue. Je n’ay

    entendu de monsieur Lionne ce qui a esté faict pour les monstres des compagnies. Je ne doubte

    recommandations à votre bonne grace

    vous supplie fère mectre

    Je ne faudrey vous advertir de tout ce qui concernent le

    des miennes soubz la charge des cappitaines Mazet et

    de guere ne donneyr dommaige aux marchans et

    pour le ault. Ilz metent les Inpos et font levées

    suys solagé de la moytié de ma peyne en vous faisant entendre mon

    graces et de madame de Gordes de noz très humbles

    d’en tenter le hazard, dont selon le succez ilz jugeoient

    capitaine Doyssel. Et sur ce, après m’estre très humblement

    recommandé à votre bonne grace, je prie à Dieu qu’il vous done,

    de sa personne à son eslargissement pour deus mois dans lesquels il

    encores bogé de leurs maisons, Cela donnoit ung peu de

    nous prenons garde. Et ce que me faict mieulx craindre

    de madame de Gordes comme ausy fais je très

    Baltazar Eme

    rien adiouxter à mes precedentes pour le regard de La Rochelle, de laquelle

    soyent receues et après vous adviserez si on les pourra faire

    à La Rochelle et m’assure que madame d’Hourches et ma filles

    sont assés bonnes, mais à ceste heure

    [255v°] sera en trouble m’ordonner une creue, car

    le meilleur seroit de prandre de ceulx

    [entre icy] et Pasques et qu’il n’a guerre que aulcune

    le mien pacquet sur la poste et comander qu’il soit

    premis de retirer quelques souldatz pour leur

    après mes très humbles recommandations à vostre bone grace et de madame de Gordes

    humblement à votre bonne grace et prie Dieu,

    [271v°] Vie. De vostre maison de Montoyson, ce IXme

    Seigneur,

    luy avoyt donné sertain avertisemens.

    prie Notre Seigneur (monsieur de Gordes) vous avoir en sa sainte guarde.

    les desseins que les ennemis pourront avoir sur ceste place. Je

    garde près dudit bort du Rosne et leurs transchées atornent

    Ce bien vostre

    Monsieur, vous avoeyr en sa sayncte garde vous beyse le[s] meyns

    grace et prie à Dieu qu’il vous done en parfaicte santé, très longue

    serviteur à jamais La Casette

    pour la confession qu’ilz font en icelles. Je pense monsieur que monsieur

    Collon

    ny de la plus part des aultres et asseurés vous monsieur, que

    soubz l’obeyssance du roy et s’ayder de son eedict. Je m’asseure qu’ilz ne

    Il est grandement regretté [barré : dont] pour sa bonté

    ayez veu comme toutes choses succederont au gouvernement dudit Dauphiné.

    J’espère y aller dymenche prochein aidant Dieu, pour y donner ordre après que

    leut pas plus de VI heures et voumit fort des

    entre ces deux persones qu’elle n’ont point d’occasion de s’y fier [mots barrés]

    XIIIme mars 1573.

    receu la lettre qu’il vous a pleu m’escripre par monsieur de Chapponnay, ensemble

    bonne grace de madame de Gordes. Priant Dieu,

    le mareschal que lons ne la pouvoyt plus tenir et quil sasseure

    Platel le doit faire sommer de poursuivre les criées et adjudication

    de Briançon

    lavoyt ainsin mandé de La Voulte ; et despuis lon

    Et arche et faictz faire corpz de garde

    Et moyennant ce que dessus ledit cappitaine

    Dulin

    de fieuvre tierce, mais jespère que ce ne sera rien

    vous affères, si vous y pourray fère un voyage

    donner

    Lucrece dantiboul

    et attend des armes d'Avignon où il a envoyé pour les vous

    plus grande, je ne fauldrey vous donner advis; et

    Voz très humbles et très hobeyssans serviteurs

    [30 v°] compagnie susdite du cappitaine Eschallon a faicte ausdits

    1573

    grace. De Vienne, ce XVIIIe mars 1573

    heure de temps, ayant plus desperance que jamais d'en rendre,

    Votre bien humble et hobeissant serviteur

    et heureuse vie. De Lyon ce XIXe jour

    encor les villages à fournir leur cocte entière et tasche de les soulager

    vie et longue. De Lauriol, ce XXe de mars 1573

    de votre bonne grace, à laquelle je desire estre aultant entretenu que

    et aultres malveulians qui ne cessent de tacher de les surprendre.

    sans en avoir disposé, ne en pouvoir de ne faire de vostredite majesté, et ni en

    très agreable. Priant à tant le Createur vous avoir, monsieur de Gordes,

    le reception de voz lettres, jen estoys en bien grande peyne comme

    prinse par escalade hier à lheure que jestoys sus le bord

    vous prie de rien espargner

    que il a très bien fayct son debvoyr là où il a esté commandé, car

    de tués et blessés. Ceulx du Viverays et du Pouzin quy passèrent

    façon que le tirage du sel sera du tout intermis si ce nest à leur mercy; surquoy

    campaigne, j’ay aultant de bonne volonté qu’elles soient payees comme je veux croire

    graces, ilz ne tiennent aucune bonne vile en ce gouvernement,

    proumoiriés ledit Ryvat de quelque autre quy

    madamoiselle ma cousine en parfaicte santé, lentier effaict de

    et quelzques arquebusiers. Ilz rancontrarent une compagnie de ceulx qui

    [85 v°] [lettre à Catherine de Médicis]

    laquelle leur a esté rayée en hayne de celle et pareille [barré : en] y employé au

    vous prie ladmonester de perseverer en ceste volunté et luy permectre

    souffre les charges, estant à ceste cause bien raisonnable que lesdites deux

    neuves et bien montées.

    en recevra tant plus de contantement ; aussi la veulx-je bien supplier très humblement,

    monseigneur de Gordes nous en donner les moyens,

    Charles

    syre, je ne puis vous celer que les trovant sy attentionnés

    [ au bas de la page : ≠ mescrire ; aussy ny estoys-je pas venu tant pour attaquer ledit lieu que pour cuyder y attirer

    catholisé, les rebeles sen redirent mestres

    en quoy jen suys et empesché de resister à lennemy, sil ne plaist à

    pays de Savoye et Bresse que jay mandé avancer [barré : pour essayer avec] pour

    presente vous sera envoyée par autre voie nestant encore scellées,

    les commis desdits Estatz qui sont gens vertueux et signallés personnages

    desirerois ne charger mon peuple de cette levée, sinon quil en fust

    [barré : le] Mirabel ayant choisy IIc[ent] sinquante des meilleurs

    de Nyeul près La Rochelle, ce VIIIe jour de jullet 1573.

    qui sont demourez à Paris de faire au plus tost expedier lesdites commissions et vous

    de juillet 1573 .s.

    de neufville secretaire

    servir pour tous mes subgectz de ladite oppinion, n’estant desliberé de

    Votre bon amy

    luy a esté faict et tant daultres actes insupportables

    dune mienne , suyvant le commandement quelle men fayct par

    ilz nont fayct depuis, attendu que ceste bonne nouvele pour

    tenir la main que je soye au plustost

    de mon royaume et non necessaires pour la seureté de mes frontières

    edict de paciffication lequel comme il est pour tous les subiectz de

    Autres de mesmes au roy de Pollongne, à la royne mère et à monseigneur

    de la quele je vous envoye coppie et de lapoyntement

    en leurs maisons ou pour autres causes, dont ilz feront apparoir silz vivent

    mienne, mays sil ne playt à votre magesté reformer votre precedante

    comme pour changer de garnison, se retirer en leurs maisons ou pour autres

    Fisses

    Sassennaige et de Laval, de La Baulme et

    actions ; et dautant que les affaires sont subiectz à changement et que par aventure

    dont elle aura besoing, ainsi que vous avons escript

    et attendant la resolution quil plaira à Dieu nous donner, tenir toutes choses,

    en icelluy comme plusieurs sentences auroyent esté

    de moy et ne pouvant croire que je ne feusse [barré : assés fort] armé

    veult aussi deffailhir à present de faire office à sadite saincteté,

    Aubourg : XVm p. XV p. v. –

    moyennant cela, il me promestoyt aussi de la part du

    hont avancé contre moy quand jaurès ancores

    Voylà, mesieurs, où ce païs est roduit. Je me recommande

    à Sere se font quelques pièces et en y a jà

    commune dudit lieu, aulcunqz de ceulx de ladite nouvelle oppignon ny

    volés [barré : des] des huguenotz, se que mondit seigneur d’Ambrun ne cuyde poinct

    que par vous leur sera ordonné et commandé pour vous y obéir,

    près d’ung fort quil [barré : d’e] y avoit ià nommé Chasteau

    Au surplus, la conclusion de lassemblée dudict Millau a esté advisé

    ville que les rebelles tiennent, nommée Rousval quil print et le lendemain,

    de remède convenable.

    monsieur mon frayre quil vous tienne en sa garde

    ce dernier jour de decembre 1573.

    La compagnye du cappitaine Larene arquebuzière IIIIXX

    bourrasque ne se descharge sur Avignon là où

    fort de bon pein que mengés à Montalimar et de

    du mesme jour pour faire parachever le pressoir

    aux portes, et le marquis de Rangon, lon luy dressa une

    [v] par laquelle marchoyt ledit general porté par deux hommes en une chaise et ensuyvis

    presente très humble service avec mes très humbles

    nest sollicité de cela, il pourroit faire semblant

    le verray en passant. Surce, me recommandant humblement à votre bonne grace, et

    vous ferez grand aulmosne den

    delagorsse

    Pierre qu’aviez heu des plainctes de moy et de ceulx de la compaignie

    humblement à votre bonne grace et prieray Dieu

    vous scerés mieulx monsieur y pourvoir. Le mariaige de

    qui est une belle pièce de terre toute en ung tenant et dure VIm pas à plain pied le long

    monsieur, avec santé, très [barré : bio] bonne lonnguye et

    voz petitz mignons et minhone. Ele se porte bien, coment [barré : font] ilz font

    votre très humble et très obeissant frère à jamais

    Montoyson, ce XXVIIme aoust 1571

    très obeissant frère

    de monsieur de Laval avec les jeunes Gallon

    faict d’Orenge, duquoy, il vous remarque pour bon serviteur de Dieu

    Rousset

    monseigneur, vous avoir en santé bonne et longue

    serviteur

    va à la court avec monsieur le conte et della à sa

    Alfonso d’Ornano

    dict au paravant quil y avoit une depeche preste

    livert en Cesille. Voyla ce que en dye ou escripve ceulx quy cuydent en savoir quelques

    content que je ne perdisse une si belle

    affectionné serviteur

    ho monsieur de Maugeronn se prepare fort à luy fer bone chière.

    desquelles se faict et reigle le plus souvant es antrées

    et plus expediant. Et sur ce, je prie le Createur

    sa protection et votre, prians surce

    Votre plus affectioné à vous honorer

    maison de Montoyson, ce deuxiesme de septembre

    et obeissant

    paquetz à ma dame de Caseneufve, comme ie ferai auiourdhui

    Vostre à jamais plus fidelle et plus

    viergine bonne

    à Dieu vous donner

    Sur ce, je prie le Createur vous donner

    faire, affin quon ne demeure en arrière ; quest

    Monsieur, vous donner en parfecte santé, très bonne, longue et heureuse vye.

    monseigneur, donner à votre segnorie en très parfaicte santé

    je suyvroys à Lumbin et à La Terrasse

    de thomassin

    tout ce que vous puis dire ci ce nest pour vous asseurer de lentière devotion

    Fisses

    Je vous supplye, monseigneur, me faire advertir

    que la reduction et suppression des officiers de la guerre comme

    sans votre lisence ou de ma dame.

    La dame de sceans se recommande

    que, apprès vous avoir presentés noz humbles recommandations, nous prions

    temps à La Terrasse. Et si, par fortune, vous

    serviteur

    Je lerray icy Mathieu avec le grangier

    bien bonne grace, à laquelle très humblement me recomande, priant Dieu

    senté, très bone et longue vie, de Villeneuve, ce XIIe

    Aymes, consellier et Poux le secretaire

    Votre plus afeccionné à vous fere servise

    Votre plus afeccionné à vous fere servise

    mortz quatre entre lesquelz ilz nommoyent le duc

    doubter que nemportissiez ce que demanderiez, tant pour le

    surce prier le Createur

    feront conoistre quil nest rien de plusieurs choses

    coume entendrés plus particulièrement par la siene.

    [v°] messieurs d’Ayx pour une pansion de cent escus

    Dieu aydant, le ne sera rien, vous suppliant,

    mère et monseigneur le frère du roy [barré : par] en ont dit à monsieur

    joveale que de coutume,

    ayant esté de ce desfendu par son prince, monsieur de Savoye

    grace. De Sainct Gervays, ce XVIIIme septembre 1571.

    que ne fust chose qui vous importa plus, pour le regard de monsieur

    je y feray mettre la mayn après, car pour les avoyr entrectenues

    cest soubz la chemise que la dicte piarre doyst estre

    en parfaicte santé très longue et heureuse vie. De

    Madame d’Ourche ma coumendé vous presenter

    Votre très humble et très haubeissant

    [v] que vous luy ferez tant d’honneur, et à messieurs ses

    De chapponay

    recommande très humblement à votre bone grace, en suppliant le Createur

    je pense que celuy que demande aujourdhuy sa fille, auroyt

    les leurs selon et à la forme quilz [barré : y] sont appellés par les testaments et dispositions

    Dhyeres

    Pains : quatre, deux blancz, deux bis de

    quilz n’ausent vous racompter tant sont excecrables.

    Et au dessus :

    service

    Daragon

    1574

    en envoier la copie, encor que jen aye faict faire plusieurs que jay donné à messieurs

    le nostre.

    [v] lobbeissance et servisses qui leur sera

    du gouvernement.

    letres des dits offices, dautant que lons supprins celuy

    ad longos annos advant que cela puisse advenir. On dict

    Mercier et pour monsieur Vincent, pour lequel monsieur de Langes

    daussy bon cueur que je prie le Createur

    par lennemi, quilz nont pas eu grand moien den estre paiez comme

    ne ma poyne pour vous rendre contant et satisfaict come je desire

    le dit La Motte ne ce soyt trové icy pour en fère fère telle

    en Laye, ce XXVIIIe de janvier 1574.

    Ie vous ai escrit ni a long temps et envoié mes lettres à

    point de paeys. Ilz sont licentiés à tous desordres

    depittés contre luy que si nous venions à avoir besoing d’une levée, ils

    telles demollitions en leur donnant lactraict ausquelles conditions

    prestes pour la guerre, que les companies de monsegneur le gouverneur

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    chevalye . [. artillerie], monseigneur de Gordes retiendra ce que sera necessaire pour son

    faire aultre expediction que d’avoir ordonné des aydes des vilages des lyeux circonvoysins

    Monsieur de St Sulpice est allé à La Rochebise

    quil nen fasse poinct de difficulté pour leysser

    sommes sus le poinct darranter Caseneufve quil fault

    On a aussy volu dire que La Noue eust reprins les armes, mays lon nen saict encores rien

    Monsieur de St Sulpice est allé à La Rochelle

    que trouverés cy dedans. Je croy que ces tassés pour ceste

    du Pont pour se fère mettre en possession de St Laurens.

    [[70 v°] bien de ce quil vous a pleu me mander que

    Toulignan, se premyer fevrier 1574.

    receu en votre dit gouvernement, bien que je ne vous repliquasse rien à la votre du XIXe, je nen estoys pour cela

    compagnie de monsieur de Suze, dont les informations furent

    samparer de ladite forteresse, au moyen de quoy les

    Coriot, assesseur, de Sailheur, assesseur.

    servyteur

    humble servisse honorade deurre

    vye. D’Alixan, ce IIIe fevrier 1574.

    Pour luy fère somner reyson, sa magesté a despeché monsieur de Maugeron

    Vostre très humble filz et très hobeyssant serviteur

    robes de velours avec panssementz dor et dargent, y comptant cele

    le IIIIe jour de février 1574

    pas qu'il soit possible d'establir une bonne et ferme paix tant quil sera

    Votre très humble et plus obeissant serviteur

    sur vous estats, comme verrés par le double du brevet

    et si eusse esté adverty de votredite volunté, jeusse dressé les

    treuver le prince d’Orange pour amener quatre mil reistres

    sur icelles bledz et avoynes et en a faict

    Vos très humbles et obeissans

    massure quil semploiera pour ledit faict comme

    soldatz du chasteau quy ne sont que huict ; et en oultre que le jour dhier, comme

    que pour la descharge de celuy que y comande. Je pars presentement

    votre bon pleysir, estre neccessaire, si ceste guerre dure, dy pourveoir

    retiré bonne quictance. Jey receu lettres de monsieur le juge de Bully,

    nous congnoistrons vous estre agreable, d’aussi bon cueur

    avoir est[é] long temps mon soldat en Piedmont,

    la première trève, environ quatre cens charges

    Après la presente escripte, les

    du Daulphiné. Fustier

    que je vous feray service toute ma vye daussi bonne voulanté

    monsegneur, en santé, vous donner très bonne, longue et

    de Limoges pour en faire son raport ; quelques bruit de

    qui est revenu) pour entrer ausdictz chasteaus. Je pence bien que monsieur de

    on na rompu la treuve, combien que

    ce VIIIe jour de fevrier 1574.

    faire ung iour quelque agreable servise et vous donne

    temps et faulte de tesmoings. Sil vous pleysoit monsegneur,

    terrey pour le presant à vous dire, monsieur, quil me

    à la paix. Vous adviserés si ce traicté prenoyt plus long

    allé se pourvoir de bonne marchandize pour en fère daultres.

    garde et quil y avoyt une entreprinse sur lesdits chateaux

    ranversseures. Il est à craindre dune novelle rumour

    Votre très humble et hobeyssant

    esté porté à monsieur le duc. Voylà tout ce que jay

    Serviteur

    amas deschelles. Nous navons reçeu aucunes novelles de

    mes bulles par chancellerie.

    la vallée de Quayras que [barré : st] sur le commancement de ces

    soume quil soit relacher avant que la trefve soit expirée,

    [barré : pourroit] revient à II mil l.ts. [barré : de] Ie finiray cesticy par

    pas deux ecrit, ce qui est bien raisonnable. Par mesme

    asseurer votre seigneurye que lesdits paouvres

    à monsieur de La Tievollière, les consulz de Grenoble

    sie et soubsson dung qui est chatolique et ne fut jamays autre

    picore. Finablement, quil n’a volu obeyr aux commandementz

    picore. Finablement, quil n’a volu obeyr aux commandementz

    de se mescontenter, il me semble que les lettres des seigneurs

    monsieur Granger quil desyreroit [barré : quil desyrerai]

    ne me soyt guardé, vous suplian très humbleman an consideration

    loyal serviteur Brette

    gens de pied des garnison voysines dyci

    feit au cappitaine Curebource de luy ouvrir le château après

    donner,

    deus centz quatre vinctz [barré : dix] livres et dis solz que jai receu de

    graces.

    de La Motte mapportant des lettres du sieur de La Tour,

    ne peult si randre si tost. Je ne puis vous

    iour de demain monsieur d’Evènes aura touttes les provisions pour

    je vous escripvis aussy dernierement comme le faulxbourc de

    [203 v°] quant laultre suspention darmes fut expirée comme non nous la donnet de toutes pars. Je dis à ceus qui sont

    dans leglise dudit lieu ou clochier dicelle, laquelle

    Votre à jamès très affectionné et

    ce XII fevrier 1574.

    Votre humble et très hobeyssant

    paquet des montagnes que troverrés

    Votre très humble et obeissant serviteur

    vous supplient très humblement leur estre

    san rien hi fère. Mès heux, voian que jetoys anlieu pour me guarder

    vous envoye plusieurs paquetz des montaignes et

    subiecte à recherche. Je la retiendray pour la vous payer sur les

    saysys du Puy Seynt Martin, de sorte

    [autographe] Monsieur, le quapitaine Sain Marc, lequel quognesés être à moy ily at XXV ans

    autre sy ainsy est que lennemy aproche ceste ville. La cavallerie

    XIII febvrier.

    que vous vous y efforciés pour votre decharge et pour la satisfaction

    et seignourie que ex officio mander quelques empechementz

    car je y envoyeray homme exprés pour trecter avec eulx.

    Jacopins et sans faire semblant de rien, se vindrent presenter à la porte pour

    voyaige en Languedoc avec forces en cas que ses rebelles

    du roy selon la necessité. Je voys surce prier le Createur,

    à leur ayse. Les plus vielhes sont celles qui tienent tout

    recommandations, nous prions Dieu

    a surprins par la mechancetté daucuns catholiques les lieux de Ruynac et

    jusques au bout et quil luy est du des contributions

    il ataqua monsieur [barré : d’Agnières] d’Allières, luy disant quil sentendit

    serviteur

    fère le servisse que je vous doibz à jamais. De Crest, ce XVe

    domaige en tout ce païs. Il vous plaira men

    à present à cause quilz sont voz subiectz et leur

    ce resouldre à la paix ou la guerre. Et quant à mon oppinion, Dieu veuille quelle ne soit vraysemblable

    à cheval, lesquelz le sont venus

    1574.

    Votre très humble et hobeissant

    que vousdictz povres subjectz ne soient sy

    servyteur lathivolliere

    volunté que jay de vous faire service tel que j’estime

    Chalhol

    priant à Dieu nous estre en ayde à touz

    que ce seront de chanoines qui sappoltrineront à la table et qui ne

    lettres et vous supplient très humblement

    le XVIIme de febvrier 1574. Votre très humble allyé et très affectionné

    de fevrier 1574.

    monsieur, en très bonne sancté, longue et hereuse vye. Au Mon[telim]ar, ce XVIIIe febvrier. Nous ne pouvons asteure

    encore se coup faire commander audit Froment faire payer

    monsieur, vous doner en santé, heureuse et longue

    ceste vile par ladvis de monsieur de Vilerroy pour

    desire vous fère bien humble service. Iay esté bien ayse de celles

    messieurs mes frères, hors monsieur d’Apt pour le

    la royne luy eust escript du contraire, dont il est entré

    sa garde. Il ne fauldra à sa promesse et vous remerciera

    villages, à quoy lon continue de jour en jour. Et

    servyteur Lathivolliere.

    advoir esgard.

    Lyon, ce XXe febvrier 1574.

    de Charens puys le dernier depesche du XXXme janvier quavons

    et procheine recolte deux centz l. ts., ascavoir

    Vostre plus afeccionné à vous fere servise

    jay taché à metre ung ordre en ceste ville qui vous porroyt

    sommes, en semble ceux du cappitaine Alleret que sont

    qui furent jusques au Sappey, mandement de

    une letre à vous, monsieur, du sieur de Rame et ung

    quil a sèze soldatz à cheval. Je vous asseure quilz ne sont

    importuné, ny pressé comme jay faict et masseure que vous aurés tel

    marchoyt première. Il eust de la rumour toutesfoys on

    fevrier et scay bien que vous mavés porté une lettre du roy que layssates

    Le mestral.

    laisseroit beaucoup de bien par son absence, comme ie vous pourrai sil vous plaict

    parce que madamoyselle [barré : s] leur mère estoyt fort malade

    quelquez uns, je vous supplye, monseigneur, me commander

    1574.

    votre segneurie advisera estre necessaire. Monsegneur, je vous advertis

    monseigneur, vous tenir en sa grace. De vostre

    furent avantier au Buys là où ilz furent

    rapporter ung quy sen doict aller en votre ville de Grenoble. Sy les

    descharger de la contribution de St Pol, veu la grant

    cederay à ceux là qu’à leur suffisance ; et masseure entierement

    messeigneurs, vous donner en bonne prosperité, très longue

    estant le lyeu de cy grand garde toutz les soyrs ; et à moyns,

    Votre plus affectioné serviteur

    affectionissimo servitor per servirla

    le cueur ; les aultres disent que c’est le bocom. Il n’y

    qui n’y avoit foulle. Ie me suis jusques isy bien porté et

    le XVIe juing 1572

    mais il faut endurer quelquez foys d’eux aussi bien que des nourrisses

    sieurs, d’autant que les affaires d’ung cout estoint remis

    dressées de façon qu’il n’y peut avoir difficulté sur

    long de son disné par monsieur d’Hourche sur ung subiect qui vous touche

    et que l’on estime que monsieur le prince d’Orange peult faire estat de quatre mil

    Hourche

    au roy et à Monsegneur. Je vous envoye les provisions

    grâce, qu’il vous doint

    ie ne me proumés pas grand contantemant le reste de

    à jamays.

    tel qu’il est tenus (comme n’espérons aucunement), nous

    hier que s’estant acheminé, il reboursa chemin pour avoir

    du roy la résolution qui doit estre pour son mieux et celuy de son royaulme,

    ceste ville en court qui donent aux habitants d’icelle

    [v°] mais autrement ne faict semblant de rien.

    jusques à ce que il eust pleu à sa magesté

    de Vaulx, 1572.

    et hereuse vie. De ce lieu d’Albert, ce 2e juilhet

    longue, me recommandant très humblemant à vostre

    aultre chose à vous escrire, je salueray voz bonnes grâces par mes très humbles recommandations, priant

    Pontays

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    part pour la prière que je vous en fais ; cependant

    mexcuzer sy je ney faict mon debvoir envers vous et metre ce

    compagnye, je prie à Dieu vous donner

    serviteur à jamais

    les Venitiens l’empourteront. ledit Castelnuovo est au

    de voir ce retranchement que ie pense que vous ne serés

    mot dire comme jà avoit faict une aultre

    ceste court, auquel je vous supplie luy dire résoulument vostre entière opinion, laquelle

    je me recommande humblement à votre bonne grâce, suppliant

    laquais afin de vous rapourter comme nous y sommes tous

    hacquenées que tous ses millors luy ont donné.

    eue de votre tresorier, car la longueur est preiudiciable grandement

    [v°] Monseigneur, qui vous doint en très bonne santé

    Mathieu Bovier

    des Adrés

    sérémonie d’abilhementz comme les jeunes. L’on m’a dit

    fault que j’ay grand regret de quatre cens escus quel

    Votre très humble et très obéissant frère

    maison de Montoyson, ce XIIIe de juilhet

    sy tost à la guerre qu’on pence. Monsieur de

    que j’avois d’entendre l’estat de sa santé. Je me recommande très humblement à

    pourront résister à si grandz fraiz, ains au contraire, seront empesché de se garder.

    Les compagnies sont de grande charge à ce

    passé par les mains de monsieur de Villeroy. Je vous ay escrit

    Jacques du Fay

    et vous diray, monsieur, que vous me ferez ung singulier

    que lesditz gueux tienne. Jay veu hune aultre novelle que le

    Votre très humble et très hobeissant

    [v°] reddition de comptes des intérés de ladite seigneure, elle

    mandations, priant

    vous baisant très humblemant les mains, je prieray Notre Seigneur vous donner,

    que seroit d’alieurs restreyntes ausdites fins tant seulement

    nous faisant pareille requeste, mais paradvant comme je suis bien adverty,

    acomplissement de tous vous désirs. De

    [v°] mien gouvernement, me faire cest honneur de m’en advertir comme

    [v°] Je pence qu’on vous a escript que ne fauldroyt oblier de faire

    certeinetté de la venue et arrivé de madame la contesse sa

    saluent les votres et de madame de Gordes de mes

    frère et serviteur

    à celles de madame de Gordes et de mes neveux et nièce en

    Monsegneur, vous donner en toute prospérité, accomplissement

    estre arrivez en leurs garnisons et logez qu’ilz seront. Et me

    Jan d’Austrie estoit party de Messine, mais quon ne scavoit la routte

    que l’on licentie les compainies que l’on ny voye plus clair.

    J’avois désià sçeu, monsieur, l’extremité de monsieur le president

    dourroit deux centz esculz à celluy qui luy

    Monsieur, en santé, bonne vie et longue, me

    devyés fère saysyre la paye que yl dyt et le reste coryra

    une commission de pouvoir passer par votre gouvernemant

    Je vous envoye ung double du cayer que ceus de la Religion du Daulfiné veullent présenter au conseil.

    premier président, et que vous vous contenteriés de pouvoir faire votre

    Michalon.

    Nous tenons nous chevaulx à Jonages à six sous pour

    guères quant il ne se feroit point, mesmes que quelques ungs disent qu’il

    hereuse et longue vie. De Vallance, ce

    de Cézane. Je suis asseuré, avec l’ayde de Dieu, jeudi les remectre en

    peu de jours, jay entendu quil sest retiré en

    Mon frère mescrit pareillement de mesme du XIIIe quil a fait à

    de simiane

    gue vie et prousperité de vostre grandeur. Escrit

    de Vivaretz pour regarder de ceulx qui fairont

    sil est sage, luy faire service. Et sur ce, je me recommanderey humblement

    consistoire de telle revocation avecques preteste que

    qu’on luy dict qu’il falloyt qu’on eust declaration

    faulte à monsieur de Laval ny de confitures, ny de

    serviteur

    Monsieur, je me recommanderay humblement à vostre bonne grace et prieray

    moys de julhiect, lan mil cinq centz septante deulx.

    laer [en] quelques des lieux que vous ay si devant escript,

    jeuillet 1572

    promenés par ceste ville accompaignés de plusieurs de leurs adhérans

    ceste vallée en recommandation ; et comme nous

    de bien lonctemps ; quent à ce que je vous avoys mandé pour

    n’y avoit pas adjousté foy, me demanda si javois veu

    de Mondoucet a escrit à mon dit seigneur, lequel nous fit cest honneur en ce couchant à

    Je nescrips pour ce coup rien à madame de

    Vostre très humble et affectionné

    car je ne me extimerois pas faire office de père si je ne

    a point parlé. Si iavois charge de vous, ie luy dirois ce

    vie et longue. De Prunières, ce premier daoust 1572

    que sa jambe cestoyt retournée ouvrir et avoyt

    pour ce coup. Je me recomande très humble à

    faire service

    sera lendroict où je me recommanderay très humblement à votre bonne

    grand et très affectionné amy en monsieur de Bellievre,

    Monlehuc

    et très heureuse vie. De Vallance, ce IIIe daoust 1572

    d’Armaignac vient de menvoyer, ilz mandent la resolution

    traicte qu’il auroit pleu au roy nous accorder, nous

    de le bien fère chastier par justice. Je vous suplye

    Avignon, ce seroit un grand solagement pour

    Monseigneur, je me recommande à votre bonne grace et

    ce Ve daoust 1572

    poinct tant. Comme je en est la bonne volanté, je remectray

    mais laisné et le filz de monsieur de Corbon y sont tumbez,

    très humbles et très affectionnées recommandations

    cent et cinquante gallères. Je croye à vostre lettre

    bien d’avis que vous les esclarcissiés tellement de votre droicte

    que ledit roy catholiq ne soit pas de ceste mesme volonté.

    après la presente escritte, mondit seigneur le presidant ma commandé vous escrire quil

    Monseigneur, priant Dieu que en bonne santé vous doint très longue

    ici, cependant que mon nepveu se refermera, ils

    presenteront je prieray Dieu

    chambres que j’ay retenu, je n’achepterai point de lit pour monsieur

    actandant aultre première comoddité davertir votre

    A. de Vaulx

    à la poursuyte du procureur du pays et des aydes, je le feray disputer

    ce que je y ay peu et su faire, vous asurant que ie suis bien

    bonne grace, de madame de Gordes et du surplus

    connoysent ont aultant receu de joye et de contantemant que de

    le chastau d’If où il est enquores de presant.

    jubillé pour prier Dieu

    ce Xe aoust 1572 de

    lequel me dit que vous envoyasse ladite lettre ; quant

    me vouloir excuser si je ne lui escrits, nayant aucune chose digne

    cella, il na poinct cessé de bien reposer [barré : toutes]

    occasion sinon de poltronerie qui le conduira au gibet,

    trespassé tout asteure

    en attendant ce quil vous plairra men despartir

    frequanter audit Genève, ne aux envyrons, sur peyne de punysion

    a advis que le duc de Sexe a apporter nouvelles à Don Jehan d’Austrie

    que votre cas soit nect, puisqu’après une si animeuse

    vye. De Grenoble, ce XIIIIme aoust 1572

    et mettre en prison pour le chastier,

    les soldatz du capitaine Boquin certaine escriture gravée

    Tande

    et diligence qu’ilz avoyent à fortifier et munir

    Serviteur

    vie. De Lyon, ce 16 aust 1572

    Vostre très humble et très obeissant serviteur

    Grenoble, ce 17 daoust 1572

    et nay pas jamais pancé de me départir davec luy quavec sa

    Votre très humble et

    que vous estimerés estre raisonnable et prierons Dieu

    Truchon et luy ay porté une lettre dudit sieur de

    pour le present il ny aest fondz, si est ce que dans trois sepmaines

    constraint de partir pour aller à Marseille faire monstre au chateaudif ;

    yssy pour quelques jours, masseurent que conbien

    de Brianson

    Monseigneur, en très bonne santé très longue et très heureuse vie. A

    Suze

    que jay de vous voyr à toute votre compagnye en ces cartyers,

    à la tierce [barré : mons] pour s’estre emgourgé un vandredy

    très humblement les mains, vous tenir

    vous y employer, que vous n’ayés le moyen de le

    despans (quest tout ce, monsieur, que je scay de ce

    presante, à laquelle je mets fin par mes très humbles

    De Grenoble, ce XXIIIe jour d’aoust 1572

    Ce pourteur ha charge poursuivre provision contre ledit corrier

    suspension des contrainctes que je vouloye faire pour quinze jours

    nouvelles et je prieray Notre Seigneur vous doner

    Votre très humble et obeyssante cousine à vous fère service

    Monsieur en bonne santé, très bone et longue vie. De votre

    Votre très humble à jamais très hobeyssant

    pour s’an aller à la court,

    veulle le tout guider. Je n’ay encores veu vous responces

    n’en estoyt du tout rien, et que si monsieur l’admiral avoyt

    quelques letres à aulcung de messeigneurs du Conseil privé

    plus fort et garderions la ville avec moindre

    bonne grace, et suplierey le Créateur vous donner,

    Votre obeyssant heumble affetyonné

    à employer monsieur de Modieu, du quel il a pris la letre,

    escripviés. Elle mentretint longuement de la mauvaise

    mander à presant, i apo[r]tant le bon portement de mon petit

    à jamais De Simiane

    que le peuple qui est dans les viles seroit

    De Paris, ce XXIII septembre 1572

    Votre très humble etrès obeisant frère

    presantant tous très humble service, priant Dieu

    ici ou pour ung party ou pour aultre et

    pays de retour. J’ay entendu que en ce païs on disoit

    que suivant les declarations faictes par sa majesté, qu’il

    si vous avés rien seu des nouvelles que nous tenons icy pour toutes certaynes, comme les catouliques

    Quand d’aller dans la valée pour y attrapper quelque ministre,

    impostures, mestans ennemys et mesme ceulx de Gap.

    Rouen dont peult estre cella leur fairoyt entrer

    et ne sachant aultre chose pour vous escripre, je prierey

    jay peu et sceu, tellement que les effectz sen sont veux, car la

    priant Dieu

    serviteur

    Monsieur en santé longue et heureuse vie.

    des deniers que furent levez par

    je ne vous ennuyeray de plus long discours que pour

    que son peche, voila le plus maulvès que

    de mesme à toutz deulx

    faire entendre sur ce votre intantion, ensemble sur la

    Votre humble et tres affectioné serviteur

    à la lettre qu’avés escrit à ceus du Bouys. Et incontinant que le consul de ce lyeu

    ce que je scaiche pour ceste heure, apres mes humbles recommandations à votre bonne

    bon cueur que la dame de sceans et moy

    [v°] et officiers du lieu, si bien qu’i n’y ont sceu que redire. Neantmoins,

    Monsieur Je vous ay bien voulu aussi

    serviteur

    et mademoiselle de Montavit. Toutes les parties m’ont remercié

    esté baliée par mon home. Ce matin il a este depeché

    debvoyt estre faict sans mon sceu comme magistrat.

    ces motz : « Il ne seroit pas de besoin qu’il retourna si tost en

    à Gordes qui ne vous a en rien prejudicié, ains mieulx

    serviteur à jamais

    ce IIIIe jour de octobre 1572.

    sienne, acompaignée de longue et contente vye. De Gargas le

    C de Brianson

    D’Avignon, ce IIIIe d’octobre 1572.

    courrier envoyé expres par sadite magesté celle part quilz hobeiront

    roy, jusques à dire que si, nonobstant leur opposition, ilz veulent

    regard cest se retirer ors de ceulx de la religion et auprès

    Dieu graces, astheure icy se porte bien;

    grace, de madame de Gordes et du surplus de votre

    asseuré quil ne feroit difficulté me faire toucher

    ne n’ay point heu à nuict d’aultre advertissement. S’il survient

    envoyé le cappitaine Arnaud pour en scavoir des nouvelles,

    des chrestiens avoyt 30 000 combatans ; qu’est tout ce que

    du Pegue, le 6 octobre 1572

    ce que leur estoyt ordonné par le commissayre que je leur avoys baillé. Mays il est

    ains me sera grand plaisir et contentement. J’ay veu les articles

    Monsieur, en parfeytte sancté, loumgue et

    serviteur Jean Besson

    le mareschal d’Anville est arrivé en Avignon, là où est

    envoye se laquès espresemant vous en avertir

    grand crainte ; et m’asseure que par ce moyen plusieurs se randront catolicques.

    Gordes et du reste de votre bonne conpaignie, priant Dieu,

    Monsieur, en santé, heureuse et longue vie, sa grace. De Grenoble,

    Monsieur, en santé, heureuse et longue vie, sa grace. De Grenoble,

    ledict sieur d’Ourche, à ce qu’il m’escripvist hersoir bien tard,

    très humblement à votre bonne grace et de madame

    gens de pied et quelque nombre de cheval, et vont de nuict.

    Pierre de Pontevès

    me recommande très humblement à votre bonne grace,

    plus afectionné à vous fère

    d’Apt, ce 12e octobre 1572

    à jamais

    laquelle il est besoing quil rapporte sur son compte, dauttant

    des reliques de ceulx qui ont suyvi ce parti aux derniers

    comtesse sa femme

    remuement à ce changement, mesmes en ce temps, je my

    les mains et prieray Dieu quil vous done

    d’autre part, monsieur, ce n’est pas sans grand

    prier le Createur

    par les chemyns. Monsieur l’arcevesque d’Embrun

    nay voulu entrer sans votre commandement et licence combien

    vous supplions très humblement, monseigneur, voloir descharger

    Jay encores ce jourdhui vit en me venant

    d’estre de la partie ; et sy ceulx de Nismes se randent

    d’aller jusques sur ce lieu et avec leurs forces, si elles soufisent,

    XXe doctobre 1572

    quatre ou six de leurs principaulx chefz pour me

    pourroyent bien avoir esté cause desdites elevations.

    Pragella, pour vous en parler rondement et sans sperer rien sur

    servyteur

    bonne vie et longue et pour fin, monsieur de

    Alfonso d’Ornano

    n’estoit de costume, aulmoings au descouvert,

    Votre plus humble serviteur.

    mondit subject, nommé Claude Aubert, a recherché par tous

    que, de huit mois pour lesquieuls l’asignation est

    Monsegneur, je prie Dieu qui vous conserve en très longue

    du passé pour lextrême maladie de levesque de Glandèves à Louriol en

    le mareschal de Monmorancy. Que sera landroyt après

    moien d’en tirer servisse, m’aiant assuré qu’il partira

    Serviteur à jamais

    vous a pleu me donner. J’ey bonne espérance en Dieu qu’en recepvrez plaisir et

    dont messieurs du pays m’ont prié ne bouger. Je leur escris

    Peut estre que l’autre debvoit estre pour monseigneur le prince

    La Roche verront icy, s’il leur

    difficulté et peine. M’a l’ons dit qu’ils intérinent

    et prospérité, vous donner bonne et longue et heureuse vie.

    de monsieur l’ambassadeur de Rome. Monsieur le cardinal

    neu si résonable en toutes choses [barré : que je f], fors à cele qui heurtois

    nepveu pratique avec le personage qu’escripviés, ce n’est

    doyve bien tost exéquter. A ceste cause, Monseigneur, et à ce que

    par ce pays là-hault ung nommé le cappitène Félis de Chasteauneuf

    Votre très humble et aubéyssan servyteur

    Novembre.

    rompre ma promesse, et que je preigne aultre dellibération que j’ay

    sur ce que vous m’escriviés de cecy mesmes, je luy dis, comme

    Votre très humble et obéissant serviteur

    de pouldre, corde et plomb, et à moings de vintetcinq soldatz, je ne puys guarder

    la votre, vous en advertira de ce que se présente de par deça qui

    deniers le plus qu’ilz peuvent. Je ne

    Rochefort ; et sy avec cella je l’avoys acompaigné d’une lettre que je vous escripvois

    et mères. Dieu en soyt loué de tout je n’ay jamais pensé que

    La chose fut preste, comme je pense vous avoir escrit

    La Thivolliere

    et nous vient souvent visiter, comme luy estentz prochains

    à celuy à qui est la méson que cause

    vouloir continuer en leur obstination, car en fin, ilz perdront

    de tenir en ce cas la Ligue pour rompue. Il s’est retiré à Naples et a desparty

    recommandations. De Gonselin, ce 3me décembre 1572

    Notre Seigneur vous donner

    Monsieur, vous donner santé très heureuse et

    en gré ce peu de gibier que je vous envoye, qu’est tout ce

    Monestier

    beaucoup de dignités, jusques ama de pierres

    scavoyr qui seroyt le chef, aultant en font en

    Seroyt de besoing d’avoyr pour tyrer l’hobéissance

    doint sa grâce acompaignée de longue et contente vye.

    Votre plus affectionné parfaict amy

    mal contens que, pour avoir trop tardé cest esté passé

    asseurer, monseigneur, qu’il a fait une extrême froidure icy

    du sieur de Monbrun mentionnée en votredite dépêche car

    rendz grâces à Dieu de ce que votre frère Evènes faict quelque

    faulte de mon costé ; ce m’est assés

    Dieu, Monsieur, qu’il vous doint la sienne et en parfaicte santé longue

    moyselle tienz le premier lieu, à la quelle je say combien

    les seler, ce que libéralement m’a accordé. De ma

    le Créateur vous tenir

    Vostre très humble voysin à vous faire service

    qu’aulcung ne si pourroit percher. Il est vray que

    dudit esglize. La chanoinie est à la donation du chanoine qui lors

    tout à ce que bon vous en semblera et vous renvoye

    d’Oize et d’Allemaigne et plusieurs aultres. Monsieur et

    deux jours, j’ay remis son enseigne à monseigneur le Grand

    C’est pour le faict du saccagement qui avoit esté entrepris

    Lyon, le XVIIIIe décembre 1572.

    Après vous avoyr supplié qu’on rande ung paquet à

    très bonne et longue vie, saluant les votres de

    de La Coste vous en escripra par ce porteur toutttes

    passions dudit seigneur, lequel faict apparoyr journellement sa grande ambition et envye. Je m’estonne comme sa consience

    serviteur. Bellievre

    gentilhomme sera nommé à monsieur de Carcès pour estre

    une beste forte et puissante et mesmes qu’il nous fault

    affectionné serviteur

    de Gap, ce XXII décembre 1572.

    malladie a esté cause du retardement d’icelle, pendent lequel j’ay esté advisé de bon lieu

    1572.

    C’est pitié de la despance qu’il fault faire et

    les gentilzhommes qu’avez mis puis le moys d’aoust au gouvernement

    [v] de monsieur de Biron, qu’est là auprès, et n’est-on hors

    desu les letre "A monsieur #/

    ont esté contraincts séjourner à Couvisson, laquelle, ayant prinse d’armes

    Madame. La royne d’Angleterre sera la marrayne. Monsieur

    montra è subito serano remborsati di tutto quanto hanno

    demouré monsieur d’Evènes pour le regard

    pourra faire, suppliant très humblement votre dite seigneurie

    à voutre bonne grace et suplierey le Createur vous

    que la pluspart de la noblesse de France sy assemblera. Monsieur

    ce tamps divers si extremement gellé par le corps et par les

    faire pourter. Mon nepveu nha enquores emploié sa

    ne sont en aulcune forteresse et vivent à discretion. Attendant

    Quest tout se que vous puis escripre pour le present,

    quil en sera appellé. Les grands froydures et gelées se

    [21v°] à Parys. Lon tient certain que bien tost après la

    Votre très humble et très obheissant

    longue vye. De Valence ce VIIIe jour de janvier 1573.

    la part où vous serés, y adioustant certaynes occasions que bon vous semblera, pour

    janvyer 1573.

    Loyzon secretaire

    avecque la compagnie qui mavoyt desjà attendu quelques jours et ce que jen ay faict

    à se faire, pour indispotion de ma personne, jay depputé des

    et satisferay à icelle de tout mon pouvoir vous pourrés

    très affectueusement recommander à votre bonne grace et prie

    cependant je vous asseureray que de la sepmayne passée, Lesdiguières

    monsieur, quil vous doint en bonne santé longue vye. De Lyon, le XIIe janvier 1573

    Lyon, ce XII Janvier 1573.

    loubeyssance de sa magesté et auserver ses

    moy mesme. Il est besoing comme trop mieulx

    puyssiez estre d’ailleurs, comme je feray de toutes aultres choses qui viendront

    Montbrun, ce XIIIe janvier 1573

    et certifier de lexecessive depence quil convient faire, pour estre touttes choses

    declairée par ses edictz naguesres faitz sur ce faict.

    me recommandant très humblement à la votre. De

    pourtoient les lanternes qui se meisrent en fuicte et se sauvarent comme aussy fest

    Je ney leyser de quomander audict [barré : Quore]

    Votre plus humble à vous fère service

    Monsieur, je vous ay escript par plusieurs foys et

    y puisse pourvoir dheure.

    mes subjectz maydent à garder ma mayson que à garder la ville de

    partie du revenu des ecclesiasticques aux paouvres iusques

    sont de grand importance, ne la feray plus longue, ains

    serviteur

    serviteur Densiene

    à peyne d’estre descheu du proffit d’iceluy # [# part aynsi en est forclos] le tiers est

    memploieray de tout mon pouvoyr de telle volonté

    Du Perier juge de Dye

    janvier passé que le cappitaine Areres ma rendu, ensemble une

    monsieur, en santé très hereuze vie et longue. De Marcelein,

    torvé byen fort afesyoné à vous fère cervyse. Monsieur

    mallade. Je ne scay en quoy il panse et s’il cuide estre plus

    aux occasions qui se presenteront pour le service du roy de la compaignye

    du pays. Sur ce, faisant fin après m’estre très humblement

    recommandations, priant le Createur,

    fère la reveranse et cuide que il sont ensanble.

    bonne grace et suplierey le Createur vous

    advis quil fault que lesdits absantz se retournent

    semblable de celles dedeça. Surce, je me recommanderay bien affectueusement

    pourrés, car monsieur le mareschal de Dampville me haste bien fort.

    que je luy rende tout ledit nombre de bouletz et autres munitions suyvant lestat

    suys esmeu par là me joindre à la requeste quil

    XXVIe jour de janvier 1573.

    vous envoyer ma femme, il

    estre abondant en vivres, pour tirer des soldatz tant de ces environs que des Baronnyes

    advisé vous escripre la presente pour en estre par ce moyen

    G. delange

    vous et aultres comme jen ay. Et en ceste mesme

    grand amy, qu’il vous ayt en sa saincte, très digne garde. De Berne,

    nactendoit plus grande faveur que de recevoir ses

    mon cousin, vous avoir en sa garde. Escript à Paris, le IIIIe febvrier 1573. Ainsi signé

    de men envoyer les deux en diligence et les deniers

    Dolu

    Dieu aidant, nous y acheminer demein et si Monsegneur

    aprocher la fin de nous finanses, nous panserons aux

    escholiers se portent fort bien. Je me recommande

    De simienne : allemand

    de present, est sur les galères. Ceulx de la vile ne sortent

    Votre bien obeyssant à vous faire service

    et nous estant venu ranfort de quelques vesseux,

    Ce pandant je prierey Dieu,

    Laurence de Simienne

    jan rans graces à Deu, au quel je supplie,

    ni eust heu du remuement. Lon le supplie aynsi de laisser

    [153 v°] à votre bonne grace, priant Dieu qui vous aye en

    en ça le sieur de Chomberg. Je voudray bien scavoir si vous faictes

    leurs. Je masseure qu’oultre l’affection que vous avez au service du roy, lamitié particullière

    me voir, vous y serez aultant bien venu et receu

    madame la contesse de Grignan ce recommandent

    que le cappitaine de la citadelle de Mets nescrivoit chose au contraire

    la letre que luy ecrivés.

    Gargas, le XXVIe fevrier 1573.

    dedans qui n’est [barré : de plus] que de quarante ou cinquante

    de voz nouvelles par le premier pourteur

    Cristol, ce XXVIe fevrier 1573. Votre affectioné père

    Vous verrés monsieur ce quon

    si luy envoyés commission quil hara dressé une

    ferés, sil vous playt, antandre sy dyssandés bien tost sabas.

    à jamais comme exequuteur de la justice

    ce dernier febvrier 1573

    en nombre de deux milles hommes de moings, lesquelles

    payeroyt ausdits Celliers la somme de mille livres

    graces par mes très humbles recommandations. Priant Notre Seigneur vous donner,

    sur nous soit pour le service de sadite maiesté et votre en

    quil mavoit dict. Je ne scai pas si, ayant sceu que le sieur de Mures

    le chemin quilz pregnent et si je pourrey

    je prie Notre Seigneur vous donner,

    trove assés empesché pour voloir plustost appaiser les

    à vostre segneurie, me obligeant vous obeyir et faire

    qu’est borlhe [= borgne] [barré : dung heul] qui espose

    Votre humble et affectionné voisin et serviteur

    Votre plus affectionné parfaict et asseuré meilleur amy

    en votre gouvernement. Je vous supplie sy cognoyssiés

    monsieur le vibaly ou par aultres, qui sera pour

    monseigneur, vous donner en bone santé, longue et

    offrant daussy bon ceur que je vous presente etc … De [barré : Vaulraes]

    en tiendrez adverti monsieur de Gordes, est cause que

    les consulz de Vienne

    ce second de [barré : febvrier] mars 1573.

    recommandations et à ma dame de Gordes, ie prie Dieu vous donner,

    armes je ne [barré : fault] fauldroys d’hobéyr à voz

    son costé et vous heust script seus la presante.

    mon gouvernement, qui me menacent de me venir combatre,

    que je laissasse ceste ville [barré : pour] en danger à cause des ruynes et de

    De Simienne Allemand

    À Paris, ce IIIIe mars.

    pas receu la copie de la lettre du roy que Bourgel vous

    poynt que n’ayés esté en peyne ayant receu la nouvele de la saysie du Pousin,

    vous donner, Monsieur, etc.

    mes lettres dans votre prochaine

    service du roy et le votre particulhier, vous suppliant croyre

    La Croix, qui viennent de vers le Hault Viverais en ça,

    artisans ou aultres catholiques qui sont gens de

    de denrees et n’oblient rien de l’autorité qu’ilz hont

    juste dueil, et pour ne vous ennuier davantaige de ceste facheuse

    recommandations, priant Dieu vous donner,

    deppendre ung grand bien ou grand mal, que ledict

    recommandé à votre bonne grace, je prie à Dieu qu’il vous done,

    monseigneur, très longue et heureuse vie. De Lyon

    lui fera apparoir de sadite dispense aultrement qu’il se representera devant

    suspesson mais c’estoit ung bien peu ; aussi disoit on que

    d’ung remuement est que ces jours passés ung nommé

    humblemant et monsieur de Bonnevaux qui s’an reva

    monsieur de Langes nous a envoyé le pourtrait. Dieu nous en doint bon

    à conduire sur la rivière avec escorte nonobstant ledit Pouzin, ou bien

    en sont bien fachés. Je prye à Notre Seigneur le volloyr conduyre.

    que les besongnes accommancent advenir

    quinze soldatz payez à cent soulz ne peuvent

    de leurdite relligion qui ne se sont vollus

    [déchiré] recognoistre Corp.

    envoié en toutte diligence.

    consservation par conssentement des catholiques et aultres.

    qu’il vous done,

    monsieur, qu’il vous doint en parfaicte sancté, longue et heureuse vie. De Baiard,

    de mars 1573.

    Monseigneur, vous donner an perfète santé, très longue et très heureuse

    Mays je croys qu’il ne sont tout que manteurs.

    De Nancy, ce IXe de mars 1573.

    me recomande bien humblement à votre bonne grase et prie

    une grange où il s’en retire partye à couvert. Il est à craindre

    Francois de Bourbon

    De vostre meysonn de La Tour à Varces, ce Xme mars 1573.

    et heureuse vie. De Lyon le Xme jour de Mars 1573.

    le vibaly de Gap vous aura adverty que leurs voysins se doibvent

    sy vous n’advés bien tost des forsses amssemble, qu’ilz executeront

    viendra jamais faulte de leur cousté. J’en ay receu beaucoup de

    et vertu et pource aussi qu’il ne ^ [^ nous] reste poinct de prince

    Cependant d’aultant que comme je vous ay escript les forces de

    j’aurey pourveu en cette ville. J’ay dressé troys magazins lesquelz pourront

    eaux jaunes. Ella a eu bonne nuit. Le medesin e[s]t

    au moins pour le regard de ladite demoiselle. Car quant audit sieur de Mures,

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    une couppie des bonnes nouvelles qu’avez receu de La Rochelle. Je vous supplieray

    monsieur, vous donner an santé, très heureuse, bonne

    dens peu de jours en voyr la fin. Au reste monsieur Briensson

    ou luy fournir les procurations requises pour ce faire autrement proteste

    [9 v°] ma asseuré quil a laissé ses deux filz en octaige

    à toutes les portes, et ay faict fermer

    promect et se oblige de entretenir

    pour ce que le dernier n'a pas esté fort grand. Elle

    estans ces fureurs appaisées ou moderees.

    Monseigneur en parfaicte santé très longue et

    representer en bon equipage, ne desirant rien plus que le jour de la monstre

    cependant, en saluant, monsegneur, vos bonnes graces de

    les consulz d'Embrun

    villages, notamment Chuselles, Villette et Yllins, desquelles

    Charenny consul

    Voz très humbles et très affectionés

    moyennant la grace de Dieu (lequel est conducteur de si justes

    P: durre E: de Viviers

    de mars 1573

    de tout mon pouvoir. Surce,

    Votre très humble serviteur

    [47 v°] de personne qui vive et ce daussy bon cueur, comme je prie Dieu quil

    Monsieur, après avoir salué voz bonnes graces des très humbles

    contemplation des services quil a dès long temps faictz à votre courone, tant en la

    en sa sainte et digne garde. Escript au camp devant La Rochelle, le XXXe

    aussi estoyent tous voz bons et fidèles sugetz, à reyson quon

    du Rosne.

    pour rompre les dessaings qui se preparent, avoir loeil ouvert et mettre la

    quelque foys, il a esté mis dans le Montelymar, autres foys en

    en lile que je vous ay faict entendre, ont repassé dautant quilz nont

    je vous prie me donner votre advis et de ce que lon peult faire, car de

    elles feront bon debvoir et service, et que les avez bien choisies. Mais je suis contrainct

    ony [ie : hormis ?] bien quelques petites viles aux Montagnes, questoyent ouvertes

    vacqueroit cy après en consideration de ses services,

    vous sainctz et justes desirs. De Pontaix, ce dernier

    sestoient trouvez à ladite escallade, qui fut si mal traictée que, environ soixante

    Madame, estant survenu le décès du feu sieur de Fiansays, conseiller en votre cour de parlement

    proufict desdits secretaires de mondit sieur le prince, ce que navoys jamais esté faict.

    recueillir les fruictz des terres qui luy appartiennent favoriser et

    compagnies y viennent servir au besoing, avec ce que monsieur le marechal

    oultre ce que jay faict par ma dernière despeche, me vouloir accorder les

    aultremant serons contrainctz de quicter tout et si

    de Neufville

    et promptz à ce quy concerne votre service [barré : il] je vous

    ledit Montbrun pource quil se faisoit ouyr que si je sortoys, il me viendroyt combatre]

    Sire

    [119 v°] à voz majestez me ranforcer de cavallerie et survenir des moyens

    essayer avec le peu de forces que jay et ceulx de la noblesse, de sauver ceste

    et au lieu de la compaignie de mon cousin le prince de

    choysis par luniversel du clergé, de la noblesse et du tiers estat,

    très grande et urgente necessité en ce cas, doncques vous advertirés ledit

    hommes quil peult se saisir de la vile et chasteau de

    Vostre bon amy

    les envoyer, estant certain que en scaurez sy bien user que vous ne les mectrez

    Charles

    lampliffier ny changer en aucune sorte et manière que ce soit, et mesmement

    Henry

    que je suys contrainct men taire, sire, pour vous supplier

    voz lettres de Saynt Germain du XXIIIe, que je receus le dernier du

    les catholiques ne continue plus et ne scey queles doleances

    que faire ce pourra resolu et adverty

    feussent bien desmentelées et tellement ouvertes quelles ne peussent

    mon royaulme je entendz aussi quil serve et soyt suivy dun chascun, vous

    le prince daulphin

    que je mis au pied dicele par ladvis de aucuns conseillier

    autrement quilz ne doibvent, rançonnent et pillent mon pauvre peuple

    commission ou pourvoyr dautre moyen, il ne fault

    causes dont ilz feront apparoir ; silz vivent autrement quilz ne doibvent,

    de Moydieu pour ceulx de la noblesse et

    vous ne pourriés avoir affaire de nous, attendu que sa majesté nous a commandé

    par ledit reglement, faizant en sorte que nosditz subiectz

    mesmes les actes dhostillité en surceance comme scavés trop mieulx la necessité

    par vous données mesmes le vingt quatriesme septembre

    pour ne m’avoir arresté de deux ou trois harcquebouzades quilz

    joinct que le peu de nombre quelle y voulloys envoyer ne seroyt

    [198 v°] Pierrelatte : VIm p. III p. v. – fourny : Vm p. III p. v.

    roy que tous mes biens me seroyent rendus, ce que je fis liberalement

    moindre nombre de soldatz que je nen ay. Bien est vray

    à voz bonnes graces, prient Dieu vous advoir en sa

    en estre que nous faict doubter que ne soyt

    catholysez despuys la mort de ladmirailh comme mesmes ledit

    et ce pendent sen est allé, aydent que je le suyve après, mais

    tout ainsi quilz feront à nous mesmes si nous y estions presant

    Neuf, il est raison qu’ilz le refacent à leurs despens

    avant quentrer en plus grande conference que ceulx de la religion

    larmée se rallya et alla unye jusques à Berghes où elle estoit

    Justine de Saillans

    et moy en votre bonne grasse. De Guilliestre, ce XXVIIIe

    Votre plus affectioné à vous

    à cheval

    le secours envoyé par le pape ne arrivera pas sans

    bon [barré : pein quevoyés] vin que bevés. Je vous prie de men

    que ne se porra achever ce jourd’huy aussi

    escarmouche avec troyscens arquebusiers, mais il ne leur

    de vingt cinq cappitaines de leursdites gallères, tous vestuz de robbes rouges, en fin ce

    recommandations, je prie Dieu

    de navoir receu madite lettre

    priant le Createur vous donner

    despartir à vous amys

    de ce que je suys esté à Alexan et Chabeul, vous faisant entandre

    monsieur, vous donner très bonne vye et longue. De Suze

    notre nepveu de Chasteauneuf est rompu, aiant la

    du rivaige de Seine et environ deux mil cinq cens pas de large, les trois pas

    hyeureze vye. De Pyerlate, se 24me houst.

    Dieu mercy. Monsieur le conte part bien tost pour la court. Il est à Salon

    francois de simienne

    Votre très humble et aubeisant

    de Simienne

    et d’Aubres et autres gentilshommes françoys

    et de votre roy ; et je ne doubte point (au langage que je luy en ay

    vie. A Feurs, ce 29e daoust 1571

    de simienne

    compagnie, sy tant est que helle soit encores entretenue

    respondant à la votre du XIIe pour faire faire taux et

    chose. Et pour revenir à monsieur votre filz, il est party, deliberé danvoir ce quil en

    occasion de ce voyage de larmée d’Espagne,

    de Thomassin

    Je ay veu les licts et tapisserie quil fayct fayre, que le tout

    des villes, tant pour le regard des personnes que des fruictz

    monseigneur, vous maintenir et conserver en sa

    Monseigneur, le Createur vous donner en bonne santé longue et

    aymer et servir

    1571

    Suze

    celui que ie receus ier. Vous me ferés ce bien sil vous plait,

    affectionné serviteur

    monsieur, entrès bonne santé, très longue et heureuse vye.

    Monseigneur, en très parfecte saincté et très hereuse vie.

    tout ce que je vous puis escripre, après avoir prié

    De Grenoble, ce Ve sepbre 1571.

    très longue et très heureuse vie. De St Saphrien, ce V sepbre

    pour donner ordre à ce que seroit de besoing.

    que je ay à votre service, la quelle desire autant vous faire parestre

    si monsieur le president doybt estre icy le

    commissaires des conterroleurs fust assopie que lon doubte

    Aussi, monseigneur, la garesne de Sainct-Vy a besoing destre

    très humblement à votre bonne grace

    Dieu

    y faictes long sejour, jenaurey bien toust

    De Lacoste

    des Granges et des gens pour presser le vin

    vous donner,

    7bre 1571.

    Mandelot

    Mandelot

    d’Alva. Ce sont en somme de faiseur de piques

    service quil vous y feroit, que pour la bonne envie que sadite

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie, sa

    que lon ha contre eulx faict antandre et quilz ne

    Je suis ausy après à me purger, mestant

    pistolles tous les ans. La première paie

    Monsieur, me tenir pour excusé.

    de Sault et ce quil leur respondu, que a esté fort saigement.

    Dyeu an soyt loé.

    et monsieur de Piedmont. Au demeurant, monseigneur,

    Votre nepveu très humble et très

    votre frère que vous ne cuydés pas quelle puisse faire à luy. Cela [barré : le]

    de terre coment jay faict puys le temps que je vous escripvys ,

    portée

    Grenoble, ce XXIe jour de septembre 1571.

    ses très hunbles recommandations

    serviteur

    enfans, que de vous y treuver pour le huictième du moys

    quil vous done,

    esté lu des derniers auquel il lauroyt voulu bailler,

    de dernière volunté de noz predecesseurs et specialement par celuy de mon

    V quarterons piece IIII pains

    Ce concidéré, madamoyselle sera votre bon plaisir de y

    « Au cappitayne La Cazette gouverneur du château d’Essilhes »

    A de monlitard

    du conseil. Monsieur de Limoges ma dict aujourdhui que aussitost que monseigneur de

    Par quoy, noz seigneurs, vous plaise de voz benignes graces le volloir

    possible, faicte moy ceste faveur

    pour quy aviés escript en faveur de monsieur le presidant

    qu’à lassemblée de Milliau il y a heu des Espagnolz

    nous a escrit. Celuy de feu monsieur Volnet est supprimé.

    monsegneur vous donner en bone santé très longue et

    il vous aperra assés par la comission ; totteffoys, je les y ay faict

    et vous fère agreable service et très humble et me retirer dicy les plus

    raison que les aultres y eussent example ; quest landroit

    Votre très humble et bien affectionné serviteur

    notre seur de Ste Clère pour vous fère tenir comme

    et scandalles. Le baron d’Aleymanie a mandé troys

    sont deliberés de reserver quils ne seront jamais plus commandés ne

    aulcuns auroient volu entendre, mesmes pour le respect du

    et la votre. Je ne vous rediray pas ce quest contenu en ma lettre à

    Lyonne

    gouvernement, le reste passera en Languedoc, faisant au reste sa magesté

    pour faire ledit desmantellement ; et estant de retour, je les feis assembler où (en somme)

    pour entendre que lentreprinse sur icelle

    sa compagnye en main de celluy quil luuy playra

    necessairement arranter pour la Tous Sainctz prochain. On en

    dasseuré. Lon continue icy à reigler et retrancher toutes choses. Tous messieurs les gouverneurs

    pour entendre que lentreprinse sur icelle

    première venue, si ce nest de prier le Createur,

    Noz ennemys pensent en tout aultre menage et nous sommes

    monsieur le mareschal de Montmorancy est

    Votre pour jamès hobeissant et très

    moins en peyne. Il me semble que ce seroit bien chercher une querelle d’Allemant quy auroit [barré : quequn] quelque chouse de

    esté envoiées en court, mais nous feut faicte responce que ce

    a sommés et requis de recepvoir audit chasteau cinq soldatz

    Publiée et executée le troisiesme janvier mille

    montoyson

    Votre très humble et très hobeissant

    que jattens ce jourduy ehn ceste vile pour sen aller devers monsieur le marechal

    Hourches

    de madamoiselle du Motet de velours violet cramoisi, toute couverte

    Je pense, monseigneur, que monsieur de Laborel et nos consuls vous donnent advis

    permis à ceulx de la religion de courir pour les contributions, qui est cause

    A manuel

    quen ay heu du roy signé de sa mein. Maintenant,

    memoyres plus ample [barré : suyvant] pour envoyer en court suyvant votre

    et lattendent dheure en autre comme plus aultrement vous

    magazins, et aussi du peu de moien que

    serviteurs

    je ferey de ma part si votre segnieurie cognoist que

    je’hus faict antandre au conseil de notre meson de ville cest advertissemant,

    pour aller à Selhans hoù je pence trover monsieur de Mirebel

    pour leur donner daydes, comme monsieur d’Ourche scait ce que luy

    monsieur de Brys, qui mescript quil a votre procès contre

    que nous vouldrions très tous deçà que la craincte que

    [120 v°] lequel tout de mesmes ma discoreu croire ausdites

    de bled duquel je me vouldroys bien servir pour

    religieulx de Notre Dame de Myans

    que je presente à votre bonne grace mes plus humbles recomendations,

    heureuse vie. De St Jehan, ce VIIe febvrier

    casserie de gensdarmes que lons fasse, je pance que lons

    Moydieu vous en avoit faict entendre quelque chose que je luy avoys prié de

    ledit Ferrier et sa troupe laye rompu

    Vostre à jamais plus fidelle et plus affectionné

    ce pendant tout le bien et heur que nous vous desirons.

    daultant que je vous suis serviteur et que cella me porroit obliger de plus

    samble je debvoys estre respecté daultant quavés

    trayct sil y auroyt moyen de prolonger la tresve

    Votre humble et obeissante

    [148 v°] laquelle debvoye estre exequuter ce soir. Lon ma

    car après avoyr dung commung consentement chassé la garsse

    serviteur

    pour ceste heure, atentent cy monsieur de Mogeron

    Hourche

    la court puis la dernière lettre du XXme de janvier ; que

    Votre très humble et très hobeissant serviteur

    derniers trobles. Vray est que les montaignes et passaiges

    vous priant me faire responce à la presente, et au Createur etc

    Mes très humbles recommandations à votre bone grace, priant Dieu,

    moien, le tresorier des guerres mandera à votre paieur

    habitantz sont à la fain et extreme necessités ;

    et cappitaine des Suyses faire transumer de lougis les Suysses

    et est de leur vile. Certeynement, messieurs, en ce temps, il est

    que luy ont esté faictz par vertu des lettres de

    que luy ont esté faictz par vertu des lettres de

    de cinq cantons et de Fribourg, ensemble des

    que je remisse mon estat à monsieur de Pressins

    de lonar que jey dapertenir à feu madame de Guordes, me voloyr

    Votre très humble allyé et très affectionné

    avoyr veu mes lettres ; et vous asseure quilz tout ruyne le chateau du roy.

    monceigneur, en parfaicte santé heureuce vie et longue. De Grenoble, ce

    lavocat Enret pour monsieur de Chastellart ; quant aus ditz

    Votre très humble nepveu et obeissant

    le prindrent, luy ostèrent les lettres, tout largent quil

    faire long discours, après toutes mes

    faire la monstre à votre companie du moys doctobre ; et pour voz [barré : X]

    ceste ville, advenant ung siège, nous donneroit beaulcoup de peine

    les plus sur et apprenhensif quilz sasseurent quil ny a pas tant de noys dans le sac comme elles font du bruit.

    ilz ont fortiffié et vous en ay escript comme dessus.

    obeissant Suze

    Votre à jamais très humble et plus

    serviteur

    cy encloses et verrés le stile du

    Guilh[aum]e eme

    en ayde et secours à ce quilz ne soient

    de surprinze, hi setion de liberé, pour lanvie quils hont de

    icy dedans ung bilhet que ma mandé monsieur de Laborel.

    restes qui sont encor deues, car je ne lay pas comptant, comme

    que mal eyseement pourrés vous avoyr asseuré amy de montmorancy

    [dans Sienne], à la requête de seux de la ville sy tan e[s]t quyl vous soyt agreable

    que à present y est ne pourroyt guière servir car il ne scauroit

    Je me recommande humblement

    de ceste cour, de peur que vous [barré : n’en couriés] n’encouriés les

    ou inhibitions ausdits consulz de ne mempecher ou troubler

    Votre plus affectioné à vous aymer, honorer

    entrer, mais furent recogneuz par le cappiataine Curebource et autres qui les

    continuassent leur oppiniastreté, ce que lon ne veult penser à

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie. De Grenoble, ce

    le bal laprès souppée et la près disnée les jeunes à cause des

    monseigneur, vous donner en très bonne santé, longue et très heureuse vie. De

    de Alex, et saysy le chasteau du Puy Saynt Martin, de sorte que il nest à ceste

    plus de cinq ou six cens livres quil doit comme je say

    avec les huguenaux et quil avoit saufconduit deulx pour

    Lacardoniere

    febvrier 1574.

    faire entendre votre volanté, comme aussy à messieurs

    a decleré et à moy, quil ne les peult plus actendre

    [243 v°] daultant quil me semble quilz ce deslibèrent plustout à la guerre quà la paix, temoing la dilligence excessive

    prendre au chemin et icelluy ont

    Votre très humble et aubeissant

    Serviteur

    fort chargés et follés ; et par mesme que

    quen recepvois contentement. [barré : Mons] Messieurs de Vennes et

    et audits consulz pour le tout. Vous bons amys

    fauldront pas à derober leur hoste en un bon besoing. Toutesfoys,

    les volloir favoriser, si nest du tout,

    serviteur monestier

    Vostre à jamais plus humble, fidelle et affectionné

    envoyer homme à Sainct Gervays quil ne soit troussé. Manas

    à mondit Faure ledit moys de decembre ou bien ses povres gentz

    vie. De Grenoble, ce 18 de fevrier 1574. Et

    donner ourdre à mes affaires, sperant me randre

    que mavés mendé de madamoiselle d’Ourche ma niepse. Et sur ce, ie vous

    testament quelle ha fayt, bien que je ne sache

    en grand mescontantement et non sans cause, attendu les

    comme il doyt à la première commodité. Je ne laisse pour chose

    nayant aultre chose de noveau à presant que merite

    Monsieur, je vous puis asurer que je nay point veu monsieur

    receu par leur moyen. Nous vous prions ne faire dificulté

    pour votre part IIIIxxX l. ts., pour monsieur de Corbont XXXX l. ts,

    Mandelot.

    à une necessité relever de quelques forces. Je ne mousa

    en nonbre de sèze, dont je vous suplye très humblement

    Chechilienne, qui vient bien mal à propoz à votre

    paquet de monsieur de St André. Ce sera lendroit

    davantaige de six.

    contentemant du proceder et fasson de vivre de celluy qui y est, que vous

    veult cela deulx comme saict si bien que en partie les dames

    à Seynt Valier, que me fut rendue [à] Aneyron où jestoys pour lors et si

    descrire plus par le menu quant vousserés par deça. Et surce,

    et mourut jeudy dernier, ce qui les a retardé et à

    votre vollonté afin que cellon icelle, je me conduyse,

    Votre très humble filz et très obeissant serviteur

    que les faulboures de ceste ville advenant ung siège, nous feriont

    chasteau de Graine, ce 25e fevrier 1574.

    bien repousés et y tuarent dans le revelin

    aultres de ceste ville y vont, et ma deict quilz nausent scripre

    pouvreté en la quelle nous sommes à presant constitués.

    sur ce que vous avez cy devant eu cognoissance de ma fidelité

    et très heureuse vie. D’exilles, ce XXVIe febvrier 1574.

    comme votre segneurye sèt trop myeulz, de quatre ou

    Bressieus.

    Giovan batista de lucerna.

    ont faict encores aulcunes préparations. L’on faict bruyct

    espère en Dieu que il me continuera, si luy plait, auquel

    vostre obéissant et afectioné amy

    quant aultrement elles donnent bonne nourriture comme j’espère dudit Besson.

    et continués au lendemain et si vous puys dire que ie n’ay

    obreption et subreption, tellement qu'elles peuvent

    et pour n’estre estimé flatteur, ie ne diray point la responce que j’entrouys de mes

    reistres, douze centz chevaulx légers et quarante enseignes de lansquenetz.

    Monsieur, vous ne trouverés mauvays si à ce coing de lettre , je présente mes très humbles recommandations aux bonnes graces de

    desdites mortespayes, vérifiées par messieurs les trésoriers

    Monsieur, très bonne et longue vie. De Venize, ce XXVIIe jour de

    mes jours. Je prie à Dieu,

    Hourches

    en advertissantz, nous ne ferons faulte de luy faire telle

    sceu que madame sa femme estoit à Lyon, revenant de

    lequel je prie aussi, après mes très humbles recommandations à votre bone

    [v°] esperance que l’on y establira une chambre pour avoir

    Vous suppliant au reste, monseigneur, nous fère

    faire plus ample déclaration sur les remonstrances

    Vostre humble et hobeyssant serviteur.

    1572.

    bonne grâce, de madame de Gordes et du surplus

    Nostre Seigneur vous donner,

    Mandelot

    je vous supplieray, Monsieur, me tenir tousiours en votre

    bienfaict avec les aultres ; et je prierey Dieu

    Monseigneur, en parfaicte santé très longue vie. De Chaillot près

    Pontays

    long de gorffe de Venize, entre Raguse et Cataro

    vous mesmes et ne puis en cela estre payé de l’exemple

    fois, mais estant jà icy, je le manday

    je veus soigneusement obsserver pour navoyr rien de si recommandé que voz commandementz. Vous me

    le Créateur vous donner

    arrivés en bonne santé

    Au reste, le roy de Navarre vyent darriver bien

    au pays et si ne apporte aucune comodité à voz compagnies. Jey

    heureuse et longue vie. De L’Alben, ce IXe juillet

    Ge suplierey madame de Guordes, comme housi fet ma fame, être de la partie.

    qu’ilz doibvent alés à Berbentane en Arles, à

    y a trop d’en donner quatre mille et désire beaucoup

    A jamais

    1572

    Portes m’a escript que monsieur de Sainct Geran

    votre bonne grâce et prie Notre Seigneur qu’il vous veille donner

    De Rome du VIIe passé, ung nepveu de monsieur de Malras escrit comme les Italiens

    païs et nous mettent en grande nécessité

    par Domasset, secrétaire du receveur Lyonne. Monsieur

    playsir de me donner advis de ce que vous entendrez de ces

    roy estant en son consey pour prandre avix de la guerre ou

    Serviteur

    se treuve avoir de mariage de 13 à 14 mille escutz,

    Dieu quil vous doint,

    Monsieur, en parfaicte santé, longue et très hureuse vie. De Grignan, ce

    Monsieur, estant la présente exprès pour ce faict, je la finiray

    ilz avoient efforcé le presbitaire de ladite cure et mis gens en garnison,

    Vizille, ce XVIIe julliet 1572

    je feray de mesmes en vostre endroict de tout ce que je pourray

    demander le loz de toutes les cinq partz. Pour vous faire

    famme. J’escrips ung mot de lettre à monsieur de Evènes, que s’il

    très humbles recommandation et de mes nepveus et nièces,

    de Simienne

    priant Dieu,

    de voz désirs. De Bourg d’Oysans, ce XVIIIe juliet 1572

    recommandant sur ce à votre bonne grâce, je feray fin, priant Dieu

    qu’il avoyt prinse. Et sur ce,

    Du vent qui court ce jourdh’uy, nous sommes à la guerre.

    Truchon. Vous pouvez penser le regret que j’en suis

    apporteroyt la teste dudit Brunat. Et sur

    recommandant très humblement à vostre bonne grâce, de

    cant il pelra à Dyeu. Faut que Laval soyt puls

    [v°] aveccques les armes et donner aussi ung lieu près de Brianson pour

    La Moulle part avec douze chevaus de poste pour aller en Angleterre

    profit de l’estat de tiers président, et que la sienne aussi

    Monsieur le président Fléhard m’a dict ce matin qu’il

    cheval checun jour. J’ay escript au chastelin (Juoud)

    ha envoyé à la court pour le fère rompre. D’alieurs, il ne vict personne

    XXIIme julhiet 1572

    le gouvernement de monseigneur de Birague, que me sera occasion

    Daulphiné quelque foys cheuz ung maulcunié de St

    [v°] monsieur de St André du VIIe, y adiouxtant ces mots : « de

    à Paris, se XXIIIIme juliet 15702 [sic]

    le voyage. Je mectrey poyne den entendre quelque

    à votre bonne grace et supplie le Createur vous donner

    aultrement se partira de Rome et que l’empereur

    de son maistre avant qu’il partist. Quant à

    gellé. Nous avons receu aussy beaucoup de courtoesie

    de Chapponay

    Dieu vous donner très bonne santé de longue vie. De Suze,

    Je masseure que sil vous voullés prandre du plesir et aussy vous contregarder

    suivant neanmoins vostre commandement. Madamoiselle

    Votre entièrement plus afectionné à vous

    qui effraye ung peu le monde ; pourquoy, Monseigneur, vous playra nous

    tenons vostre dite seingneurie pour nostre père et

    y aller, je voys bien quil ne m’est pas résonnable, pourquoy

    monsieur Bellièvre, d’autant qu’il avoit dict qu’il en

    Dourmans, de nous faire veoyr les dites lettres. Il y a troys jours que les nouvelles sont venues

    Gordes ; sil luy plait, elle mexcusera

    Serviteur

    poursuyvois par justice réparation du tort qui men a esté faict,

    quil vous plairoit me commander, à quoy iobéiray toute

    Vostre très humble serviteur

    procès contre ses subiectz, mais que cella ne le

    vostre bonne grace et à cele de madame de Gordes et

    Sault

    grace et à celle de madame de Gordes, de mes neveus et

    lequel le XXVIIIe du passé que l’orateur de la cause,

    Monseigneur, jay faict tout ce que

    Vostre bien humble et obeyssant serviteur

    qua prins ledit Dom Jehan avec ceulx de la Ligue, qui est

    soit amenée. Et en ce faisant, tout le peuple de ceste ville

    très humblement, monseigneur, luy en fère entendre la

    ma dite compagnie, moienant qu’il vous pleut

    prye le Createur quil vous donne santé et

    Suze

    tout cela à quand locasion melieure sce presentera. Et

    qui mest une fort grande peyne, car je les ay separez tous

    à vos bonne graces, priant Dieu,

    et non à ce bruict. Si japrens quelque aultre chose,

    intention à l’observation dudit edict et conservation de la

    Si avons-nous esté cinq ou six jours en opinion que le roy feroit

    ne dort encores bien à son ayse ny jour, ny nuict, aiant tousiours quelque inquietude

    et eureuse vie. De Grenoble, ce VIe daoust 1572

    pourronnt [sic] guerir. Au reste, monsieur, jay vu

    Monseigneur, vous donner en santé hereuse

    votre filz que je n’ay responce de mondit sieur de Rosset. A tant,

    seigneurie, je prierey Dieu

    et vuyder c’il ne vous plaict le descyder. Et pour navoyr aultre chose digne

    marry que ie nay peu toucher argant de monsieur de Roissy, car

    de vostre compaignie, priant Dieu quil vous doint

    marrison et de desplaisir de son accident, lextremité duquel a plus

    Tout se porte bien à La Coste, monsieur lescuier

    quil favorise larmée chrestienne.

    vostre très humble et très obeissant serviteur

    à vous affaires de par deça, la Dieu grace, sont

    delle. Madamoyzelle de Moneri et touts mes frères et seur recevront

    toutes les nuictz, come il fait ancores. Bien vous

    ayant prins ung escu dans la bourse de monsieur de

    comme à celluy qui espousera toute sa vie tout

    corporelle. Monsieur Demurs arrivat sabmedy dernier, ce portant

    pour retourner avec son armée en Levant et faire bien la guerre au

    recherche l’on a esté contrainct recourir à telles inventions

    Vostre très humble et très obéissent nepveu

    tant pour ceste faulte que pour le port

    en une pierre sur la breche du Montelimart contenant

    Depuys la presente escripte, jay eu nouvelles quilz estoient arrivé à Gennes huict gallères

    leurs places. Attendant aultres nouvelles plus certeines

    Prunier

    Vostre très humble et hobeyssant serviteur

    de Bazemont, abbé d’Aiguebelle

    Vostre très humble et obeissant

    bone grace, ayns délibère, luy ayant remis ma dite charge, le

    obeissante alliée preste

    Monseigneur, vous maintenir longuement en toute prosperité

    Bellièvre et lay trouvé en bonne disposition

    ou ung moys au plus, il ne se peult excuser d’avoir moien

    laquelle il a faicte pour deux cartiers et quant ausdits comtes le

    que vous soyés en lieu hoù vous advés les frescheurs,

    Grenoble, ce vingtieme daoust 1572

    vous pryes de y venir faire lhyver et me venir ayder à

    de muscatz et mellettes, mais j’espère en Dieu quil

    monseigneur en très parfaitte santé, très heureuse

    [v°] faire venir et que par la moindre lettre que vous luy envoyerés,

    faict là) Et la fin de la presente par mes

    et très affectionnées recommandations à vos bonnes

    Votre à jamais plus fidelle et plus affectionné

    qui fist prisonnier ledit archier et le desarmat.

    [v°] au moyen de quoy, monseigneur, il vous plairra leur

    Monsieur en parfaicte prosperité très heureuse et très bonne vie et longue.

    Lucrece dantiboul

    maison à La Motte, ce XXXVIIe aost

    serviteur

    mais illat heu des nouvelles quy

    faictes sur les articles presentés contre vous à sadite magesté, mays

    esté blessé ou tué, c’estoyt pour la querelle particulière de

    pour les prier de nous garder une orelie et ne croyre

    nombre de gens. Et ne scachant aultre chause digne

    Monsieur, en parfeytte santé lonngue et eyreuze

    Servyteur

    monsieur D’Ylins estoyt present. Quant à lhome de la

    volonté que feu monsieur ladmiral avoit en votre endret

    nepveu et de toute sa bande, qui disnarent hier tous avec

    bien aise à atraper, mais mal eisément la

    Votre très humble filz et très obéissant

    pour jamais De Simiane

    Monseigneur, vous conserver en toute santé et prospérité. D’orpierre

    suivant votre advis, pourra plustot sacheminer della

    que quelcung de mes compagnons s’estoit renyé.

    s’en saisist, qui veult qu’on garde les personnes factieuses

    ont estées massacrés en une petite ville qu’est auprès de Nismes, laquelle ce nomme

    suivant ce qu’il vous a pleu m’escripre par vostre dernière de Laval,

    [v°] Je vous supplie monsieur commetre tel gentilhome en

    en quelque dobte ou mauvayse oppinion de sesdits volloir

    Notre Seigneur vous donner

    compaignie de monsieur de Barbezieu et aultres plus vielhes que la

    Monsegnieur quy voulz doint en bonne santé très longue

    Cental

    D’Ambrun, ce penultiesme de 7bre 1572

    votre commandement durant la

    vous supplier très humblement en attendant voz commandements

    soyt de ses (mnyeers) jugez quelz sont

    continuation ou non du reserrement des aultres factieux et

    Lauren Nabot

    fut de retour d’auprès de vous, je donnys congé aus souldatz que j’avoys retenu

    grace, suppliant le Createur qu’il vous doint,

    nous recommandons très humblement à votre bonne

    ilz en ont cuidez enrager du commencement jusques à me sommer

    advertir comme les grains commencent

    Cl. Chapuys

    et parlent fort overtement d’estre contentz ; et en verité ilz nous

    [v°] Mais j’apperçoy journellement que despuis que les armes

    Daulphiné ». Je ne sceus que remettre la royne au sieur de Stanay

    cogneu la mauvaise volunté d’eulx. Monsieur de Saint Sernin

    De simienne. alle[man]

    Vostre plus afectioné et entierement meileur amy

    XVIIe octobre 1572. Je ne vous sarés dyre la peynne

    Votre bien humble et affectionné

    [v°] aus commandemens de leur souverein le princes d’Orenges, resolus de

    marcher, l’on les combatra ; dont toutesfois ceulx qui m’escrivent de

    [v°] des perssonnes signalées qui respondront de ses actions

    que sera la fin après vous avoyr supplié

    compaignie. Tout le petit peuple de lescolle est an

    quelque quartier de la presente année par le comandement

    quelque chouse de noveau, je ne falheray vous randre le debvoyr

    lesquelles si elles sont dignes de vous escripre Je ne

    vous puis escrire à present, attendant aultres particularités,

    Votre pour james obeisant a vous

    croyable monsieur que la monstre que sa majesté leur fayct fayre cest pour

    qu’avoyent porté ceulx de la derrision à leur majesté

    eyreuze vie. De Vallance, VIIIe de octoubre 1572

    ce que porte toute l’intention du roy, et croys que n’est

    Aultrement, veu qu’ilz ne se ressantent de rien, ilz se tiendront tousjours en leurs oppinions

    monsieur, vous donner en sancté très longue heureuse et

    ce Xe d’octobre 1572.

    ce Xe d’octobre 1572.

    vous a au long adverty. Il y avoyt ja troys jours que estoyt

    de Gordes, ensemble le reste de toute votre bonne

    L’on ne scait qu’ilz deviennent. Je crois qu’ilz vont à Nimes.

    priant Dieu

    service

    Vostre très heimble et hobéissant frère

    de Buffevant

    que Bresson nest pas controolleur ordinaire. Je ne vous conseillerois

    troubles, il n’y en a plus que doze qui ne soient remis à

    suys offert à monsieur de Carcès en ce quil cognoistroist

    Monsieur, en santé, très longue et très heureuze vie. De Paris, ce XIIIIe

    despance que tieuls voiages s’entrepragnent si le

    Monsieur vous doner en bone, heureuse et longue vie.

    arryve ce matin en ceste ville après avoir

    que je soys sur le bord ; parquoy, monsieur, je vous suplie

    de la peyne et ennuy quon peult recepvoir au logis

    yci madamoiselle de Cazeneufve et votre petit

    difficultens d’obeyr, il y en ara des aultres qui seront aussi

    se saysir desdits voleurs vifz ou mortz, et, s’ilz voyent que besoyn soyt,

    Votre très humble allié et serviteur

    venir parler, ce que leur ay accordé, pour veoir ce qu’ilz

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et

    cest effect là, je n’y voys aultre chemin ne plus prompt

    La Thivollière

    Bonnevau et moy, nous recommandons très humblement à

    et y a cappitaine que comande à ses gentz de

    Bressieu

    moyens et surprinses de me nuyre audit procès et aultres

    donnée et culhie pour les quatre pour lesquieuls

    et heureuse vie. De Paris, ce VIe novembre 1572,

    faveur du frère du sieur de Vins. Je ney point oui dire despuys qu’il soit mort.

    vous avoir beysé très humblemant les mains, je prieray le

    dès demain pour vous aller trouver. Je vous en supplie,

    De Simienne Allemand

    contantement, pourveu qu’Il luy plaise nous entretenir en telle santé que nous

    de demander creue d’ung second conselier ecclesiastiq, attendu

    daulphin ? J’estime que voz dépêches attendront le retour du roy en

    plaict, mes semblables recommandations,

    les mienes de Jaunage. Il n’en a enquores esté

    De Valvluson, ce XXVe 9bre 1572.

    Ursin c’est acheminé en France comme avés peu scavoir.

    sa conscience, que les aultres vous en contenteriés et n’y trouver

    pas que vous ne l’aié assés recherché au comancement,

    le tout soit mieulx veu à l’oeil par vous, nous vous envoyons

    et deux de Nions, ung nommé La Rozane et ung Ercules

    La Thivolliere

    Votre très oubéissant et mylleur cosin à vous servir

    fait jusques icy, et mes actions avecques mes voysins en porteront

    j’ay fait encor aujourd’huy, que l’homme dont est question ne commanda

    Leugières

    que la moytié de ce chasteau. Les douze Corses qui i estoyent, Monsieur, n’en

    me gardera vous en fayre aultre discours et en n’est

    scay, Monseigneur, si ce seroyt comme

    pour vous prier de luy bailler lieu pour la dresser. Mays depuis en ça, il

    ne faiche tumber de tout de la despence et tumbast

    du XIXe du passé, d’estre exequutée et proche

    voisins d’une lieu, et l’avons tourjourz trouvé

    [v] que n’y a lieu en toutes les

    leur cause et seront contrainctz de donner du cueul à terre, parce

    l’armée en Sicille, ayant eu commandement de son maître de se préparer pour sortir de bonne

    Vostre très humble et affectioné serviteur

    Monsieur, en parfaicte prospérité, très heureuse et très bonne

    longue vye. De Doche, ce IIIIe décembre 1572.

    qu’en ay peu recouvrer

    contre le logis de monsieur le conte. Je ne vous

    Desaigne où il se faict quelques compaignies.

    debue au roy du nombre des gens qui sont dedans

    De Gargas, le VIII décembre 1572

    H de Montmorancy

    le seigneur Don Joan de se joindre avecques eux, ayent

    l’espace de quinze jours durant. Nous avons aussy

    de là on en peut toujours prendre plus grande instruction.

    chose pour vous. Je m’assure que si se présentoyt quelque

    [v] de penser que ie suive ceste religion pour opinion sinon

    et contante vie. D’Apt, ce XIIme décembre 1572.

    je suis tres atenu et très obligé, outre le devoir de nature,

    plusvalue de Jaunage, j’ay délaié cest affaire pour avoir

    monseigneur en toutte prospérité, longue et heureuse

    St Chamond

    le lieu est fort de soy. Passant à costé, je treuvey

    de son décès estoit sepmainier ; car c’est du reing et costé senextre

    votre commission, s’il vous plaict que je la commande, je

    madame de Carcès et madamoiselle de Vins sont à Aix,

    Prieur en ayant premièrement parlé à la royne et

    après que le roy fut dernièrement party pour aller en Brye.

    Votre plus afeccionné à vous faire servise

    Monsieur de St André, je fineray la présante par toutes noz

    mes très humbles recommandations et sy vous plaist

    les particularités, comme celuy qui y a assisté et assiste

    Vous verrés les copies des lettres qui ont esté envoyées à mondit seigneur le mareschal qui monstrent

    par luy approuvé s’il le merite ; et vous promets que j’ay deshormais

    deux puyssants chevaulx, d’aultant que je crins fort

    Truchon

    Vostre bien humble voysin, serviteur et

    que ceulx de la religion du Daulphiné ont esleu pour chef ung qui se nomme Champolan,

    Votre très humble filz et très obéissant serviteur

    n’estoit ce voiage que ne puis honnestement évité,

    des villes, mais il a voulu que cela demeure à votre discrétion.

    d’espérance que ceulx de dedans ne se ravisent heu esgard aux susdites

    [marge gauche : #/ de Lavacine, gentilomme de la chambre

    et défait une compagnie qui estoit dedans, ils treuvent le surplus

    de Pienne part pour aller prendre à Bo[u]logne ses délégués.

    fornito, mi confido nella sua solita benignità é cort..

    de la damoyselle que scavés. Je suys en

    me vouloir commander et donner advis si je doibz

    donner,

    de Monluc se trouvera aussi. Je vous supplie monsieur,

    janbbes et est encores de façon que je me doubte quil ne

    letre de banque mais il y faudra venir avant que

    aultres mellieures nouvelles, je prierey le Createur,

    vous presentant mes très humbles [mot manquant]. Priant Dieu,

    sont resolues puis trois jours en ça en pluyes continuelles

    Chandelleure, Monsieur achemynera son armée droict à La

    serviteur à jamais

    Voutre très humble et aubeyssant servyteur

    eviter les fascheryes et pleurs qui se presenteroyent. Joblyoys à vous dire que jay

    Votre très humble aubey

    na esté pour temerité ne presumption ; nonobstant je ne suis point venu sans bon passeport

    anciens et notables advocatz du siège, et estime n’aurez

    renoveller vos lettres. Monsieur d’Evènes men envoyera du camp

    Dieu vous donner, Monsieur de Gordes, en bonne santé heureuse

    et Poligny sont esté veus passer en ung bien fort mauvays et dangereus temps

    Vostre plus afectionné à vous faire servise

    Vos très humbles et obeissans serviteurs

    edis. Il[s] sont pluzieurs quatoulyques qui

    lentendés duser en ce faict de toute dilligence

    à celluy qui vous recommande ce porteur bien estroictement à ce que votre

    Votre très obeissant et plus

    si extremement chères quil ne se peut de plus. Jay bien grand regret de

    Je masseure que dez que vous serez adverty de cecy, semblables

    Gargas, ce XIIIe janvier 1573.

    Lyoux ; mays ledit Chabrieres receust ung coup de halebarde à la joue, qui le

    Quorery de continuer de in fourmer quomant

    Laborel

    sil y a long temps que nay poinct heu de vous

    Votre humble et très hobeissant

    Dye, joinct que je suys contrainct men aller de madite mayson de Guysans

    à la cuillette procheine de traict[er] les decimes sans regarder

    prieray Dieu vous donner très heureuse et très longue vye.

    Chalhol

    de rante quil me deoilt, son père mayant recogneu et

    que je prie le Createur,

    commission quil vous a pleu luy expedier pour entrer en

    ce XXe de janvier 1573.

    d’A[p]t vous escryra puls ampelmant de lafère. Touchant

    privilegié que les princes du sang du roy qu’on ne permet vivre

    de gensdarmes de monsieur de Maugiron, je luy escriptz ou à celluy

    recommandé à votre bonne grace, je prie Dieu,

    mon seigneur, vous doynt en joye et santé le comble de

    Que ferè fin, après avoyr prié Dieu,

    donner,

    en leur domicille auquel ilz habitoient au paravant le

    à votre bonne grace, priant le Createur quil vous doint,

    Mandés moy estant là de voz nouveles, à cele

    que je luy en ay cy devant envoyé, vous suppliant, monseigneur, leur comander

    [121 v°] vous veult faire, vous suppliant très humblement de luy

    Depuis mardi le legat des Ursins arriva en

    na tenu à moy, mèz elle craynt

    et du Contat. Ce nous est beaucoup dhonneur et de bien davoyr en ceste ville,

    ressolu, me asseurant bien que en tels affères une petite erreur

    volunté, je vous prieray me donner part

    ce 3e de febvrier 1573.

    [134 v°] commandementz et luy fère service que voluntiers il

    Charles et plus bas de Neufville et audessus est escript : « A Mon cousin le sieur de

    entre les mains du tresorier de lextraordinaire des guerres pour

    ny arrive ce jour mesme, se sera le landemein, car le

    moiens den recouvrer. Je partis de la court avec

    très humblement à votre bonne grace et de celle

    quà la faveur de leur muralhe, et voit lons jamais

    Ludovico Costa

    oultre que lons en enfonse tousiurs pour empecher

    monseigneur, vous meintenir en toute prosperité et santé,

    [en marge] Monsieur aveq votre lisanse, ie supplie très humblement

    Monsieur, quil vous doint an santé très eureuse,

    en ces pays lune les quattre compaignies denfenterie qui i ont

    sa garde. De votre maison de Montoyson, ce XXIIIIe

    verifier les lettres de monsieur d’Evènes pour la plus valeue

    que m’avez toursjours portée fera que vous le leur remonstrerés et les contraindrés d’entendre à

    quen tout autre part que vous pourriés estre

    très humblement à votre bonne grace.

    encor que en parla plus doubteusement sil se fait.

    Votre très humble et très obeisant frère

    Votre mère

    au plus. Ils usent des plus gracieux et honestes langages

    qui viendra sahault car, encores que vous

    Cheilas

    mescript de Romme, qui est asés

    compaignie dans cinq ou six jours sans mectre

    Saumières nest encores prins. Le sieur de Savignac est arrivé

    divine de ceulx qui nous ont faict une

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    lon attend pour aujourdhuy ou demain pour le plus tard.

    [barré : comme en] et ung cheval. Ont en oultre lundy premier

    monsieur en très bonne sancté, longue et hereuse vye. A Parys, ce [barré : x] premyer de mars.

    particulier. Devantaige, ayant esté advertis

    laisné fust encor mineur de XXV ans, il sest advisé dadiouxter

    donner encore sur la guerre de ce qui est

    monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et

    choses avec la doulceur qu’avec la forse, quest la cause

    tout humble service ; que sera laffin, cregnant vous

    la seur de la femme de monsieur d’Armieu

    Cental

    H de Montmorancy

    que je soys sy heureuz vous pouvoyr faire service,

    finir la presante,

    heureuse vye. De Veyne, se IIe mars.

    Vaulreas, ce IIe mar, et au dessoub :

    ne la vous feray plus longue si nest pour vous supplier

    Savignieu s[ecretai]re

    Je vous bayse les mains pour la faveur qu’il

    monseigneur, en sancté, heureuse vie. De Lyon,

    commandemens. Il y a en ceste ville deux saulpetriers

    vous verés par celle de monsieur de Truchenus les entreprinses

    [213v°] ce que je desireoys de bon cœur pour essayer tout à une fois et

    ceux qui sont dans ladicte ville ausquelz je ne me fie poinct. Toutesfoys

    Votre très humble et affectionné

    porta et ne scay parqui me l’avez envoyée. J’attendois

    mays par les advis que j’ay iusques à ceste heure, le moyen que j’ay ordonné

    depesche.

    monsieur que je suis entièrement le votre en tout et partout

    lesquelles vous pourrez en passant prendre et employer

    bien et amateurs de repos publique ; le double

    [231v°] à ce que j’ay peu antandre par gens que je y ay

    lettre je ferey fin à icelle après avoyr prié Dieu,

    monsieur, en la siene très bone et longue

    prince avoit mis des vivres et autres munitions

    monseigneur, très longue et heureuse vie. De Lyon

    ce VIe jour de mars 1573.

    ledit senat ou bien devant les sieurs juges roiaus tant superieurs que inferieurs

    Montgoumery estoit arrivé à Bellille en Bertagne aveques

    le cappitaine Bogearel de la Motte en Prouvance est allé

    demain ce disi. De St Gervès, le VIIe mars 1573.

    succès affin de couper tost chemin à tant de malheurs et necessités.

    par charroy jusques à Lauriol ou au Montelimar pour puys après

    Je feray en son endroict comme m’escrivés. Il y a quelques jours

    nous serontz fort foybles, car la plus

    pas estre completz comme trop mieulx scavez pource que

    [257v°] catholizer en ce pays et sur tout de ceulx de

    Vostre très humble et plus obeyssant

    Votre plus affectioné

    Vous ne porriés croyre monsieur la jalouzie enquoy

    monseigneur, en parfaicte santé, très longue et très heureuse vie.

    le IXe mars 1573.

    Votre très humble et aubeyssant

    Vie. Du camp prez Sommieres, ce IXe de mars.

    Il disoyt que venoyt [barré : g] des granddes forse de Gennèvre

    Votre bien bon amy

    Dieu,

    s’il n’y ha plus grandes forces, qu’ilz ne sont attacqués et

    Mondit frère de Morges ma chargé

    Madame de Gordes verra icy, si luy plait, mes humbles

    esmouvoyr entre cy et Pasques et que quelques catholisés se [barré : revire]

    partie de leurs dessayns de ce costé et qu’ilz y prenent pied vous verrés

    courtoysie astheure, qu’est cause que je vous supplie très humblement donner

    de son eage et esperience à la guerre. Monsieur

    Guyenne ou en partie se sont rendues avec les rebelles de ce païs

    secourir votre armée de quatre mille sestiers de blé, aiant faict celuy

    pres d’elle qui nous proumet que ce ne sera rien

    je ne recognois pas grand hazard ne interest pour son regard. Et vault

    Mandelot

    mon seigneur avoir souvenance de ma compagnie parce que le moys estre de main

    et longue vie. A St Gerviès, le XIIII mars 1573.

    ma escript don je vous envoye coppie de sa lettre et presante

    de ses domages et interés à loccasion de son enchère. Nous verrons ce quil

    jusques à ce quil aye bailhé quatre mil escux. Et

    lesdits corpz de garde creignant une surprinse ;

    ordinairement le nombre sus dict en voz

    et moy vous baisons très humblement les mains et à

    Jen ay quelque fois parlé à monsieur des Vènes.

    heureuse vie. De Lyon, ce XVIIe jour de mars 1573.

    par le moyen de la quelle il puysse avoir ses soldatz obligés et hobeissans.

    mes très humbles recommandations, je prie Dieu vous

    Psaume consul Souchoys

    je vous en heusse escript quelques unes sans la suffisance

    Monseigneur, avecque votre permition, je vous

    serviteurs, les consulz de Vienne

    entreprises), lyssue telle que je desire, ce que vous pourrez dextrement

    Votre très humble et très affectionné

    monsegnieur, je prie Dieu vous donner en toute sancté et prosperité

    Rousset

    vous veille donner

    recommandations de mon père et des miennes, nous prions Dieu vous

    compagnie de feu monsieur de Maugiron, de monsieur de Clermont et autres, ensenble

    jour de mars 1573

    disoyt ladite blessure estre très dangereuse.

    main à loeuvre selon loccasion ; assister aussi des

    ceste vile où elle est, et souvent à Loriol et au bort du Rosne,

    trové tant de lieux saysys comme on leur avoyt promis ; du costé de

    permett[r]e que mes subgectz composent avecques eulx, il ny auroit nulle seureté, et

    de redire souvent que j’ay a satisfaire en infiniz endroictz et principallement en mes

    et desmantelées, quilz reparent de piarre seiche et gazons et

    comme je vous supplie exprès de rechef très humblement,

    dapvril 1573.

    demeurarent sur la place et bon nombre de blessez ; de sorte quilz ne

    de ce pays et par ce moyen son estat vaccant à la grande perte et desolation de

    A ceste cause, sire, et que mesdits secretaires sont en possession et coustume davoir

    assister sa femme et les siens en tout ce que vous pourrez affin que luy

    de Dampville qui en a assés dautres sen pourra bien passer ; et sil vous

    compagnies de messieurs de Suze et de Maugiron pour mayder à favoriser ceste

    seroyt bon que monsieur le vibaly adsistat icy qui est

    [barré : vous plerra] suplie humblement les gratiffier que leur receveur en

    que ma offert monsieur de Mandelot soubz voz bons plaisirs, comme par

    cueillete, lesquelz je feray soldoyer par voz subiectz de ce pays, encores quilz

    Piedmont, ie me suis advisé de ordonner celle de

    versés de telle integrité et predhomie au maniemant de leur charge

    sieur de Mandelot de ce quil devra faire. Ie suis [papier déchiré : contant ?] que mon

    Chabeull, distant de Valence [barré : qu] deus l[i]eues, de Romans troys

    Henry

    en besongne sil nen est très grand besoing. Jay veu ce que vous mescripvez

    De neufville secretaire

    pour le faict de la relligion. Pour ceste cause, le voiage dudit depputé seroit

    très humblement avoir esgard à lexcessive foulle et surcharge que

    passé. Je la suplie très humblement ordonner [barré : votre] sa volunté pour le

    ils vous [barré : pourroyent] vouloyent fayre, car on ne leur [barré : en] a jamays donné occasion

    de lintention de sadite magesté sur le

    jamays plus servir de reffuge et retraicte pour ceulx qui ont mauvaise

    asseurant que vous ne scauriez me faire service plus agreable que de le

    cappitaines et autres qui sont près de moy. Le delay passé,

    comme la pluspart sont acoustumez de faire à mon très grand regret, je

    sperer que dicele se retye aucuns deniers.

    rançonnent et pillent mon pauvre peuple, comme la pluspart sont

    les consulz des neufz villes principalles

    nous joindre avec vous pour le moins quil vous plaise nous donner lieu,

    nen puissent estre follez, ne travaillez sellon que saurez

    du pouvre peuple le requerir et que par telz deportemens la voye de pacification

    mil Vc soixante huict[mot barré] voulant faire

    pençoient m’avoir lancé au travers du corps. Voila la foy des

    souffizans pour resister aux forces que les aultres ont, priant à ceste

    Donzère : IIIIm p. IIII p. v – f : IIm p. II p. v.

    en presence de messieurs de Berne, masseuran

    quil me samble que ceste ville meriteroyt davoir melheurs

    garde. De Tournon, ce XVIIIe decembre 1573.

    pour nous comme nous menassent à la

    sieur la deffendu audit Pierre Durant de sa propre bouche,

    au contrère je suis encore icy tiranisé de ce cruel Neron qui

    et avec la mesme authorité, ce que nous leur enjoignons

    [mots barrés] (ores que grandy) à beaucop près

    envoyeroient ung gentilhomme des leurs au roy qui est ledit sieur

    encor le second de ce moys, ne pouvant passer plus ooultre sans

    decembre 1573.

    faire service

    plus les garnizons des chasteaux et mortepayes pour la garde

    dificulté bien grande et peult estre quelque danger

    faire tenir sil est possible des truffles par homme seur.

    me fauldra faire relier les cheneaulx la

    sceu [barré : rien] faire beaucoupt de mal pour la granda force qui estoit.

    nest que piafe et le Turc ne pert le temps ce pendant. Voyla ce que je puys vous

    monseigneur quil vous aye en sa garde. Du village de Naves

    monseigneur, en parfaicte santé longue et contente vie. De Paris, ce XVe jour

    que je prenois aultant comme si toute la compaignie y heust esté,

    ce XXIIIe aoust 1571.

    mère de la damoiselle casé la fille ailleurs. Au moinz

    faisans la toise ; et ayant gousté de ce plaisir, je ne mesbahis sy le prenez semblable à Laval.

    votre très hunble et plus hobeysant

    et ne retournera p[lus] du costé de Provence avant son voiaige de

    Servyteur

    Nous atandons de jour en jour monseigneur de Nevers

    pour sen aller joindre avec le seigneur don Joan d’Austrie

    [v°] ouy tenir) que sa Sainteté avoit moyen de vous faire paroistre la bonne volunté

    votre très humble serviteur

    comme luy a mandé son frère sur le partement que fit

    composition avec les villes, de façon que ceulx des garnisons

    sera, ayant bien depleu à monseigneur de Nevers de le voir en aller en sy petite trouppe, car

    outre ce que je mestois efforcé auparavant

    fort manificque. Lugdi à laprès souppé, partit du dit Lionn le

    et denrées ou aultres choses samblables ; et si besoing

    saincte et digne grace. De St Marcellin, ce premier de

    heureuse vie. De Dye, ce premier de septembre 1571.

    G. card. d’Armaignac

    Votre très humble et obeyssant

    de me tenir ung des plus humbles et des plus fidelles scerviteurs

    Truchon

    De Pierrelate, ce IIIIe sepbre 1571

    De Grenoble, ce quatriesme 7bre 1571.

    Notre Seigneur

    Votre bien humble serviteur

    1571.

    Quant à la pailhe de monsieur du Fay, il me

    que je desire estre très humblement recommendé à vous bonnes graces,

    XXe de ce moys comme lon dict ; car sil estoyt

    grandemant quelle ne se remete si pie, et peult estre que

    playée et acoustrée pour la tuission des conys. Sil est

    Monsieur, avoir escrist la presente lon ma dit que madame d’Ourche se doust

    Monsegneur, vous voloir donner en toute prosperité, longue et heureuse vye.

    faict faire. Jehan Deyme et le filz de

    Monsieur, je vous suplie ne treuver mouvays si je suys brief en cestecy,

    dycy, et ne bougera que ne soit faict. Je leur

    monsieur, en santé très bonne vye et longue. Du Thouvet, ce XIIe 7bre 1571.

    Votre très humble et très obeissant frère

    mais ilz parlent de ce que se dict publiquement

    Saincteté avoit de semployer pour vous, comment rendoit

    grace, sans oublier de me recommander humblement à la votre. De

    voldroyent vivre au monde silz ne vous estoyent

    treuvé despuis quelques jours mal dung reume

    comansera le premier d’apvril prochain,

    Je vous en ferey le recit et vous en entiendray quant nous nous arons ce bien de

    nous essayons de faire contenir en paix le peuple tant que

    obeisant serviteur

    [barré : ne semble] le presseroyt davantage ; et sil vous sembloyt

    me coustant plus de cent escutz, et je nay ryen faict

    Votre très humble et très affectionné

    A deyguebelle

    prochain, et lors je vous rendray compte de poinct en poinct

    monseigneur, en parfaicte santé, longue et heureuse vie.

    car [barré : au] je me souviens combien peu il aymoyt loncle

    très honoré seigneur et père ».

    Vin IIII potz

    pourveoir de votre remède agreable, attendu que les

    De Turin

    Montpensier seroit arrivé, que seroit pour le jour de demain, il fera son rapport dudit

    ainsi faire entendre à mondit seigneur de Gordes, et faire en sorte

    que de croyre querés tousjours

    Deportes pour lequieul ay fait et dit ce que ma esté poussible.

    pour leurs eglises calvinistes. Mais vous estes pour en scavoir

    A mon très grand regret, on tarde beaucoup dordonner les

    très heureuse vie. De Brianson, ce XXIIIIe janvier 1574.

    entretenir le mieulx que jay peu et le plus souvant du mien. Sil vous

    soubdainement que je pourray et aux moingdres fraiz. Il ne est possible,

    où je prye le Createur apprès mettre bien humblement recommandé

    Hector de maniquet

    aussi ie fis la presante depeche vous avisant mes neveux

    grands chevaulx à Vitrolle, lesquelz il a faict venir du

    conduictz par Italiens ; quant à ce que je vous ayescrit que j’auroys

    château dudit Moirenc, mais depuis se sont departys de leurs

    messieurs du pays. Monsegneur le duc a esté faict chef du Conseil,

    [(effacé) re] quavant la reception de la [barré : pe] presente,

    estat de sapproucher bien toust avec [barré : aultres forces] plus grandes

    le procureur du païs deplore la calamité du peuple qui n’avoit moyen supporter telz

    nestoit de la volunté , sceu, ne commandement

    envoyer pource que je lasseure de luy leysser

    a jà presenté IIc ff [écus] par an plus q’uil nest à present.

    des provinces ou leurs lieutenantz y sont, excepté vous, celuy de Provence et Languedoc.

    nestoit de la volunté , sceu, ne commandement

    monsieur, vous voloyr doner en sela heureuse et longue

    fort heureux, je ne scay si sages, de ne laisser pour tout cela

    fort bien au près de leurs magestés. Au soyr

    humble serviteur

    commun à la venue du seigneur en ce pays pour la pacification diceluy [barré : si] car au lieu de vous remercier et sauvoyr

    nestoit le temps dy toucher ; aussi dès le commencement

    catholiques, gens solvables et asseurés de ladite ville

    LXXIIII, en persones desdits La Barre et Estallin.

    serviteur

    de Dampville et en prendre une resolution qui, si les affères ne

    le corps de grantz et larges passementz dargent avec des grosses

    particullièrement de ce que lennemy a faict sejour quelque temps à Ribière et quil

    quil me sembleroit très expedient de les changer en quelque façon qui

    messieurs des finansses me veulent remetre à six mille

    intention, lesquelles monsieur de Brianson dressera aussi trop

    ay escript par celluy d’Ambrun ; et de ce que me mandés

    nous avons de mainlever deniers pour le

    Les consulz de Tullete

    je y puisse servir. Je vous envoie une lettre que le

    pour y remedier, il fust advizé daller sonmer le cappitaine Bolut, cappitaine du

    et estre de retour demayn vers vous, à layde de Notre Seigneur, lequel

    en a esté remonstré. A quoy a esté dillayé pour esperance

    monsieur de Chaste, lequel il vera et ne se faict rien

    lesdits rebelles ont destre courus par votre commandement

    lettres et que de plus, ceulx de Champsault leur

    avoir quelque satisfaction, ou à tout le moins quil

    sont arrivés, ausquelz jey donné

    priant le Créateur vous donner,

    Votre très humble et hobeyssant

    ni touchera, sinon que la pluspart ne scauront que cest

    vous dire que je avoys descouvert ceste menée à se traicter

    premier, car ilz ont bruslé leglise de

    serviteur Truchon

    De Thurin, ce Xe frebvier [sic] 1574 f.

    en plus à vous faire très humble service ad ladvenir, men proveoir de celles

    grande persuasion des honnestes remonstrances de

    si estimés que cela profite aux affères du roy et soulagement

    Claude de turenne

    faict entendre par le sieur que sy le cappitaine Curebource

    ou chambrière, il renaistroyt des novelles amours, car madame en

    Prunier

    [152 v°] me fera ceste faveur de me venir voir comme me mandois.

    sera lendroict vous ayant presenté noz très humbles

    A. Draqui

    ne seront si libres que lon pourra penser. Je ne perdray

    A Chorges, ce Xme de febvrier 1574. Au dessoubz « vostre bienprest à vous

    Monsieur, quil vous douint en la sienne très bone et

    le mandement pour les deniers du quartier

    que sera lendroict où je prieray le Createur

    que sont lougés en son lougis puis le decès de monsieur

    au povoyr de tous de metre en poyne les plus gens de bien, par

    chabeuil, mays a commise rebellion à justice.

    chabeuil, mays a commise rebellion à justice.

    colonels, vous pourront grandement servir pour

    en montant à celui de monsieur le president de Portes, le

    tenir pour humble parante et servitresse. Brunet [ie : Brunel] mat hofert par

    serviteur monestier

    Monsieur en parfaicte santé, heureuse et bien longue vyr. De Grenoble,

    XIe jour de febvrier 1574.

    escus testons quil vous pleut faire bailler à mondit filz à la

    serviteur de simienne.

    pourtoit et peu sen fallu quilz ne le tuassent.

    plus humbles recommandations à vous bones graces,

    dix mil livres, on parle dune grande perte que le gouverneur

    pour estre si près de la murailhe de la ville, est si grant et fort

    Le sieur de Roysse fianssat mecredy dernier une des filles dudit sieur de Mombrun ; aussi mat lon adverty

    Dieu nous face la grace destre maintenuz très tous en

    Sil vous polest fère tenyr le paquet

    afectionné frère et serviteur de simienne

    Andrieu de Exea viseneschal

    vibaly de Brianson.

    contrainctz de fornir telles sommes, ains

    tocher deniers, de proseder verteman. Et à ses fins, a vion remis

    Je prieray sur ce le Createur

    je nay pas aussi pour fournir au payement des compagnies

    ny envoyer nouveles de la court. Je ne

    et pour lamour de moy je desirerés que me gratyfisiés de luy donner

    monter à cheval que douze ou quinze, sy esse que jespère

    aux bones graces de

    mescontantementz que lon a, parce que i’en puis aprendre

    suyvant le bon voloir de Notre Seigneur, car il est impossible

    et servir come frère G. card[ina]l D'armaignac.

    menarent à monsieur de La Tivolière, de l’auctorité duquel ilz furent faictz

    la court quil facent, ains quilz viendront a quelque composition.

    XIIII de fevrier 1574. Votre très humble et obeissant

    [231 v°] des [sic] tourtelles qui sont encheryes par la liberalité de troys, scavoyr

    Grenoble, ce XIIIIme febvrier 1574.

    heure nouveles davoyr nouvelles de la hault, ny moings dy envoyer que

    pour verité quil est endebtté, meintenant lon le veut

    ses maisons. Il y eut du sot apellé par pays et ung

    Votre très humble et très hobeyssant

    du pays.

    ne aultres. Vous en ferés votre bon pleysir quilz ensuyvront

    de faire travailler aus fortifications des ieus quilz tiennent, par ainsin ce preparant de resister à leurs

    conduict à la grange appellée de Tralie,

    servyteur

    Chalhol

    sy leur venoict à fournyr telles sommes, [barré : ne

    du Chastellard vous en porront rendre bon tesmoniage. Sil

    et frères les consulz de St Martin et

    il fault armer la peur du mellieur harnoys que lon peult.

    en partie et ilz vous seront grandement

    serviteur Truchon.

    est contrainct de contribuer ses vintz francz aus ditz ennemys ; ausy

    sont à ung desespoir, ne sachant plus que faire, ayant soufert

    ce soyr je feus adverty que ceste troupe sortie de Varse, donoyt du

    à St Germein dans sept ou huit jours au plus tard, si

    baise très hunnblement le mains, priand Dieu que vous doinct,

    ni m’aie escript quieul il est, sinon quil nest pas

    menasses quon luy faict et semble que malaisement il sen

    contenue en votredite letre de desirer scavoyr si vous troverés

    vous escripre, apprès vous avoyr beysé les maiens,

    Lettre adressée à :

    de Maugiron et aimerois mieulx mestre denoué ung

    ne mectre en doubte douvrir tous depesches qui sad[r]esseront

    pour monsieur de La Coste XXX l. ts., pour monsieur de Rosset L l. ts.

    venter den venir au bout, mays il ne tiendra en Moy. Je

    monsieur, me permetre prendre ledit nonbre des souldatz

    rentier. Toutesfoys, il se fault conduyre

    où je prieray le Createur,

    ne serés marry en avoir faict le changement. Je ne veulx oblier à vous

    de ceste ville tiennent le parti de madame de Saint

    scay bien quil vous a envoyé pour son service, je prie Dieu que vous

    monseigneur, ie me recommande très humblement à votre bonne grace et prie Dieu vous

    leur depart, me laisare en ce chasteau là où je suys, faisant

    car je ne regarde ne lheure ne le jour de perdre

    De simienne allemand.

    beaucop de mal pour estre si près de la muraile et qune partie

    Votre très humble et très hobeisant

    unne douzaine et leur chef qui les menèt

    ne porter lettres par ledit lieu de Mollines et au tour et pource

    Cependant, nous veilherons tousiouir à la guarde

    auant que de ma volunté et affection à votre service.

    seynq arquebuzyers pour chesque cor de garde, le dict

    que le mariage sera retardé pour quelques jours. Si je ausoys

    ie prie qu’il vous doint,

    Tande

    [v°] Quant aux indignités qui vous ont esté usées des personnes que scavés,

    pas heu le loisir car tous les jours despuis ie suis party

    du tout satisfaire à vostre premier désir et à ce que aussi

    oreilhes, tant y a que ce qu’on fera contre en ung an, il sera deffaict en ung jour,

    Ce secours fera besoing à ceulx qui ont entreprins prendre Monlz en Heinault aultrement,

    madame et de messieurs d’Evênes et de Laval. Mon frère de Guarguas et ces compaignons ce pourtent bien.

    de l’espargne, de quoy il vous plaira les advertir

    juing 1572.

    Monsieur, qu’il les vous doint longs et heureus,

    Si Madame et messieurs de Venes et de Laval voyent la présente, ils y

    remonstrance et si son mérite le requiert, luy donner tel

    la court. Quant aux nouvelles de ladite frontière, je ne veoy

    grâce qu’il vous done

    ladite cognoissance.

    encor ce bien de nous fère avancer ce cartier

    de mondit seigneur le cardinal et responses desdictz

    De Chastellard

    Votre très humble et obéissant

    de vostre compaignie. A Paris, le II juillet 1572.

    Monsieur, très bonne santé longue et hereuse vye. A Parys, ce IIe de juillet

    bonne grâce, à laquelle je me recommande très humblement et

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé, très heureuse et vie

    Paris, ce Ve de jullet 1572.

    et lestime lon de grand defence. Lon tient pour

    des autres qui sont en semblable charge car ilz ont

    incontinant quérir et m’avoit promitz qu’il

    ferés cest honneur sil vous plait, de ne me les volloyr espargner. Vous mexcuserés si [barré : l vous]

    Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vie. De

    [v°] accompaigné, ensemble le prince de Condé ; tous les

    fayct sy bonne chière et beu sy frayz à Vif d’Argenz et Alières que

    Votre très humble et obéissant

    Salon, à Marignane, à Marselhe et à Aix, briefz

    [v°] plus de partager que d’achepter et si Dieu me faisoyt

    Francois de Simienne

    Votre très humble et aubéisant

    c’est embarqué à Marcielle pour aller à Romme

    Monsieur, en très bonne santé, longue et heureuse vie.

    et Espaignolz croient fermement la guerre ouverte entre les roys de France et d’Espaigne,

    de vivres

    de Montmorancy est en ceste cort. On dict que ceulx

    [v°] rumeurs, ensemble de ce que vous entendrez du cousté de Piedmont.

    demeuré en pais, que la royne sa mère et messieux ses

    J Bernard

    le tout provenant du costé de sa mère, sauf

    Monsieur, en perfecte santé, heureuse et longue vie. De St Gervais, ce XVe juillet.

    XVe julhet 1572

    par mes très humbles recommandations à votre bonne grâce et

    ce que je ignorois pour lors, qui fust cause que luy feis pareille

    Votre très humble et très affectionné

    apprendre, non seullement en ce qui concernera le service de sa majesté,

    entendre de notre mesnage, il y a heu à Gordes et ici beau couplus

    vous plaist comenderés s’il est parti quele soient mises à la

    n’oubliant poinct madamoiselle de Monery. De gargas, ce

    Monsieur, qu’il vous doint avec la sienne, en parfaicte santé, longue

    Votre très humble et très obéissant

    Monsieur, qu’il vous doint en santé bonne et longue vie.

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grâce et prie le

    Les monstres sont publiées au XXIe d’aoust en armes

    avec tant daultres gens de bien qui y font

    tous ses faictz, il ha nommé un grand nombre

    madame de Gordes et le sur plus de vostre

    ymportun que vous. Je panse que le rantyer de

    assambler et séiourner sil est besoing pour quelque jour la dicte

    de la part de leurs magestés.

    estoit que prinsiés ce profit de monsieur de Pressins,

    escrit par Bourgel à son frère monsieur de Pressins, de vous

    à quel suploiay qui me doys venyr treuvé demain

    qui porte commandement de nous fère partir, ny moings Le Ga et quelques

    Votre très humble et

    prier Dieu,

    Valier, ou en quelque autre lieu là aux environs,

    republica nihil est certi quod seribi posit », il me done

    Votre très humble et très

    chose pour incontinant vous en advertir.

    monseigneur, en sancté, bonne et longue vie. De Pignerol, ce XXV julhet

    ny envoyera plus ambassadeur, ne luy rendra

    la deffecte de ceulx qui sont allés en Flandres,

    [v°] de madamoesele de St Prie. Le chastelin Ivonet ne nous a

    ce XXVIIe de juilhet 1572.

    et vive de diette, que vous cerés longuement saing. Ie desire fort dentendre

    de St Prie nous presse fort daller à St prie, mais

    faire service

    ayder en quelque façon affin que le dommage ne suyve la craincte ;

    lavons congneu toiour par espérance, sans

    ne vous en métés en nule peine. Tout meitenant, la poste

    parleroit avec moy, devers lequel je allis soubdain

    à la court de la mort du conte de Ventadoul. Le conte de Maulevryer a eu sa compaignie.

    [v°] presentant en cest endret mes très humbles

    Prunier

    non pas quil men seust faire condigne reparation car cest

    ma vie et ce dausi bon cœur que très humblemant ie

    Rousset

    garderoyt de marcher. Il y a homme de bien qui a

    prie le Créateur vous donner

    Monsieur sil vous plait je presenteray par

    nièces, en priant Dieu

    Cavagnes, fut ouy au conseil privé, print la parolle

    jay peu pour faire recouvrer largent

    Gibert

    à croyre il ensuyvera ce que je vous ay bien voulu

    se sentira grandement obligé à vous, et moy aussi

    vérité comme vous l’avés peu cognoistre, non seulement

    que le lieu feut bon et capable, car ma compagnie

    longue vye. D’ Allières, ce mardy Ve daoust

    [Marge gauche, en travers :] Je desire scavoyr des nouvelles de vostre santé, aiant esté adverti quavez eu quelques escès de

    daultant quil ne ce presante chose digne de vous

    de chambre et baillé des gardes qui nest sans despence.

    Monseigneur, vous donner en parfaicte santé très longue

    [v°] je vous le ferey scavoyr, mays voila ce que jay aprins despuis

    paix et unyon que sur vous fondemens, nous qui sommes

    la guerre.

    Vostre très humble et obeissant serviteur

    larticle et la letre de monsieur de La Roche

    et propère vie. De Grenoble, ce VIIe aoust

    prierai Dieu

    Monseigneur qui vous doinct en très bonne saincté,

    de voz escripre, ne vous feray ceste lettre plus longue que de me recommander

    i avay autant à fère que ieus de long tamps, qui et cause que ie

    Monsieur, an santé, très heureuse bonne vie et

    faict connoistre et precher ses vertus de prudhomie, mesmes au grandz

    et sa femme sont icy veneus voir mada[moiselle]

    Jentens que celle de Portugal est

    de Bazemont, abbé d’Aiguebelle

    en bon estat ; et en tout ce quil vous plaira me

    mes bien humbles recommandations à leurs bonnes graces

    diray je aussy quil se garde tant quil peult de ne dormyr

    Chaponai qu’il avoit obliée le matin au chevet de son

    ce qui vous concernera et aux vostres comme le

    fort bien. Et à ce, je prieray Dieu vous donner

    Turc où longuement ilz puissent demeurer, avec toutte ladvantaige

    et deguisemens, comme vous scaurés trop mieux remonstrer

    et serviteur

    des armes à feu. Je vous envoye les

    chose diffamatoire contre ceux qui y aurint mis le siège.

    venans d’Espaigne qui portent le duc de Sexe qui va pour viceroyen Sicille et lieutenant

    que vous puisse escrire, et après vous avoir presenté

    A de Chapponay

    Serviteur

    tenir de plus près que ne fis honq ; quand à len prier de me

    à vous faire service

    et vous donner sa saincte grace. D’Orange, ce XVIIIme

    et tombans luy et moy en propos de noz guerres

    de payer telle ou plus grand somme et par ainsi ce nest

    tout feut sursoyé et remis à Lurmarin au XXme, que sera après

    que vous ne vous feussiés anuyé en istissy ; et

    Voz très humbles et très obeissans serviteurs, les

    manger une dozaine de pruneaux que avons (enlevé)

    en sera tost quitte. Il na eu que deux ou trois accez

    et longue vie. De Lion, ce XXe daoust 1572.

    il viendra, car l’on m’a dict qu’il se rend fort facil et

    humbles recommandations à votre bonne grace,

    graces, à celles de madame, priant Dieu

    Serviteur

    Le dix neufvieme du present, sortis hors de ceste ville assés

    escripre ung mot la dessus ou à moy de ce quil

    De Prunières, ce XXVe daoust 1572

    Votre très humble et obeissant serviteur

    Yvonet

    l’ont faict tourner à Chasey.

    tout maintenant je m’en irey treuver monsieur d’Asnières pour les

    la mayson de Guise, et que la garde qu’on fesoyt estoyt seulement

    facilement les pleyntes de Du Chelar et Cugy. Si nous n’avons

    vous escripre, je feray fin par mes très humbles et

    vie. De Vallamce, se penheurtime d’oust 1572.

    La Baume dotun

    Male Bestie, les affayres se treuvent disposés par justice

    et de lassuranse quelle avoit tousiours hue de vous

    nous. Pour fin, je me recommanderay très humblemant à

    noblesse, pour cestre logée aux champs et

    serviteur à jamais

    Tous les petis ecouliés sont, Dieu

    ce XXIIIIme septembre 1572,

    que prendre autre parti et peult estre si plustot

    Monsieur, je vous puis asseurer que jamais n’y

    et qui ont eu quelque charge parmy eulx, se seroit

    Lunel. Il est allé de Vivaretz, pour secouryr les ditz catouliques, plus de cinq ou sis centz arquebusiers.

    je le ferey très voluntiers, mais il me semble que pour cella

    ce païs que bon vous samblera pour prandre garde

    et intention qui nest poinct autre que de garder

    Monsieur en parfaicte prosperité très heureuse et très bonne

    votre sont demeurées cassées, quelques faveurs et poursuittes

    et heureuse vye. De Chesvriere, votre maison, ce

    Monsieur, vous scavés que tous mes affaires que jay de par dela

    Votre très humble allié et

    guerre, jen ay compte et ny en a

    davoyr pour aggreables mes très humbles recommandations

    aultres. Il est vray quon dit quil i en

    brigueurs qu’a esté faict sellon lesdites ordonnance et mandement

    Il vous plaira me renvoyer par cedict pourteur

    pour la guarde du chasteau. Si j’eusse plus toust receu votre lettre que monsieur de

    Monsieur, en tres bonne santé longue vye. De Lyon, le premier

    grace, priant Dieu,

    et resommer de leur monstrer le pouvoir que j’avois de les y

    fort de descendre en Provence

    ont bien aydé ; et quant au faict qui consistoyt plus en leur conscience que

    sont entre les mains du peuple, la justice est de

    ou bien à La Corniere, que l’on dict avoir esté employé par celuy qui

    [barré : et] est dez vendanges, lougé en votre maison d’Apt, qu’il

    H de Montmorancy

    que je suys, vous povés asés antandre lacausyon. Dyeu

    Serviteur, le chevalier

    mourir trestous, plustost que laisser le lieu sans son commandement.

    Savoye ne touchent aulcunement. Si demeyn vous faictes response, cela

    totesfoys quil houbeyra à tout ce que par vous luy sera commandé

    me commander votre vouloyr pour icelluy

    bonne santé. De Paris le V doctobre 1572

    quil voz pleut luy faire dernierement. En cest

    que vous suis tenu pour vous tenyr adverti, saluant

    [v°] faudray de ce fère. Monsieur Gentil est ce jourdhuy arrivé icy,

    lesquelles ne fauldrey incontinent vous escrire, priant le Createur,

    fere treshumble seruice

    payer et se retirer ; et

    contre vous et ce que vous en a escript leur dicte maiesté,

    Votre très humble et aubeyssan servyteur

    guières à l’advantaige de ceulx de la relligion, et que

    avec ce que, s’ilz ne sont ung peu vizités comme leurs compagnons, il y pourroyt survenir du

    contante vie. D’Avignon, ce Xme octobre 1572

    Vostre humble serviteur

    Vostre humble serviteur

    venu à moy ung gentilhomme de bien bon lieu, de dix grandes

    compaignie, priant Dieu vous donner

    Lundy dernier se fit quelque desordre à Cisteron soubz

    Monsieur, qui vous ayt en sa garde. De votre maison de

    ane Maugeron

    Francois de Simienne

    Le segnieur Petro Marie, cappitaine deune de ses compagnies

    pas de le faire si je ne scavois quil est requis den user

    la religion universelle. Est vray que ceste recherche

    que je seroys bon pour luy fère service. Jay prins ceste après

    jour doctobre 1572

    roy n’y fournit, car elle court en deux

    De Grenoble, ce XVIe doctobre 1572

    faict les derniers honneur à feu monsieur le prevost

    en faveur de mondit sieur de Sauve mon frère, auquel je

    [v] desdits soldars qui les pourroyent non seullement destourner

    peuple. Jay trové madite damoisele se boytant

    mal advisés qui prandront se party. Je larray ce propos

    permetre aux chasteleyns et consulz des lieux de les rendre fortz

    G. d’Avanson A. d’Ambrun.

    me vouldront dire, et vous advertirey incontinent.

    prie le Createur qu’il vous donne en parfaicte santé, très longue

    expedient, pour les reduyre et fère hobeyr, que de y fère

    vostre bonne grace, de madame de Gordes et de toute

    pied. Ceulx que sortent aussy de sa mayson

    Madame de Bressieu m’a commandé vous présenter ses plus

    endroictz qu’il a peu, jusques à soy vanter de me ruyner si

    monsieur Le Febvre m’a assuré serés paié au premier

    Vostre très humble et obéissant

    Il estoyt asseuré de la sénéchausée de ce peys et de la moitié de la compai-

    Createur

    si le trouvés à propos, et pance arrivera à vous aussi

    sommes de présent.

    qu’il y a deux chambres au parlement. J’en escris aussi

    ceste ville, qui ne pourra estre avant la fin de ceste sepmaine et scaurez vous pour instant

    et vous plaira luy communiquer

    rien porté au seau, ni pour vous, ni pour moy. C’est pitié

    Vous humbles et obéyssans

    Je me recommande très humblement à voz bones grâces

    dificulté que les grandz frays qu’il y conviendroyt fayre. Bien

    mais j’ay esté en cella de vostre advis, ce n’est que

    [v] originallement ladite lettre avec la mesme cire de sa couverture,

    Bernard, beau-frère de La Roche de Grane, allans et venans

    De Porrières

    tousjours bon tesmoneage. Au reste, Monsieur, par ma dernyère

    de sa vie que à un valet, qu’il est mou et nullement à propos ; sur quoy

    guardoyent que la moytié qui est près de la tour. Les aydes pour le boys et

    endroict après mestre très humblement recommandé à votre

    aulcungs le deubtent qu’augmenter pour faire

    n’a eu le moyen de la dresser et m’a renvoyé la commission et les lettres.

    sur vous si est-ce que l’honneur faict passer beaucoup de

    d’ung estrange désordre ; et pour y parvenir avec quelque

    de bonne volunpté, auquel vous plarra, Monseigneur, scrire

    nouvelles de nous que ne soyt

    que l’on asseure que de l’Anglois ilz n’auront aucun secours, et

    heure à ceste prime. Monseigneur le cardinal de Lorraine doit arriver

    Sernaing

    vie et longue. De La Bréoulle ce IIIème décembre 1572

    Votre très humble et très obéyssant serviteur

    envoyeray plus de ses proppos car il

    On tient certain que monsieur de Fonteynes est

    assez disposés à soy conserver en leur opiniastreté.

    Vostre mère, Pierre de Pontevès

    [v] perdu temps et argent ; que pourroit estre cause,

    achepté ses jours passés une charrecte. Nous sommes après

    La royne m’a bien d’elle-mesme nommé le gentilhomme de

    chose pour monsieur d’Apt, qu’il ne se espargneroyt point.

    quil y va de l’honneur de mon Dieu et de

    Votre humble et obéissant frère.

    mais quoy, je ne puis, ny doy violenté, forcer ny jeynner

    advis s’il faudroit adresser les letres à messieurs

    vie. De Paris, ce XII décembre 1572.

    qu’on avoit faict deux trenchées à mode de perchier

    et non de celluy de mondit sieur. Quant à la chantrerie, elle

    [v] vous hobéyrey en tout ce qui vous plairra. Si votre

    lougés à l’archevesché. La galère dudit seigneur et

    Monseigneur, allégant pour principalle occasion le peu de

    J’estime que l’évasion du sieur de Saint-Romain ne luy profitera

    Mandelot

    Très humbles recommandations à votre bonne grâce et à cele

    aussy celles de madame de Gordes et de monsieur

    encores, mays ilz auront bien tost faict. Je croy que

    estre du mesme stile que celle dont luy avés envoyé copie adressante à « monsieur le

    honte d’en ennuyer si souvent ce bon seigneur. Dieu vueille que n’y faille

    que nous n’an barrassions nostre charrette de beaucoupt

    perfaict amy

    sieur de Champois, lequel a faict provision d’armes, pouldres et d’autres choses nécessaires à la

    à jamais.

    je heusse commancé à pancer à la retrète. Je

    Monsieur d’Évènes vous peut escrire ce que monsieur de Saint-Jehan luy

    divisions et voirés que c’est à bon essien qu’on yra. Je prie à Dieu

    de sont altesse" et elle me seron donné

    assiégé dans le château ; mais l’artillerie nous manque ; néantmoins, on ne

    Monsegneur le duc de Savoye avoit esté prié de venir aussi

    è spero ne mandera qualche buono rimedio accio che

    peine [barré : pour le] du service qui vous appartient de

    proceder oultre extraordinairement contre ceux

    monsieur, en parfeytte santé, lonegue et eyreuze

    commander que mon pacquet à monsieur de la Coste luy soit

    porra porter de long tamps bottes au janbbes tellement que

    partir car je nay rien receu [barré : de] ^ [^pour] monsieur de La Roche.

    monseigneur, vous donner en parfaicte santé heureuse et longue [vie].

    monseigneur, vous donner en bonne santé, longue et

    par deça que font tant enfler la rivière que les pontz

    Rochelle. Monsieur le mareschal de Montmorancy, de

    La Condamine

    La Thivolliere

    receu les lettres de messieurs d’Evènes et de Laval, par la voye de vostre dernière

    sant servyteur

    et sauvegarde de sa majeste vous suppliant de rechef, monsieur,

    desagreable quilz soient nourris aus hostelleries hors leurs

    de la part de Monsegneur et de monsieur de Nevers

    Vie. De Beaucaire, ce XIIe janvier 1573.

    et chemin par Devoluey et de là à Veyne à quatre ou cinq chevaulx sans que

    Mandelot

    les Consuls eschevins de Lyon

    mon repondeu pour luy. Il nast gamès voulleu

    Votre plus affectionné amy à vous

    playsir soit de luy impartir votre faveur et auctorité en ce qu’il en aura

    Humble serviteur Montbrun

    ceste si grande depence que je vous fois, vous asseurant, monseigneur, que

    choses n’adviendront plus. Et nestant ceste pour autre

    Votre très humble et très obeissant frère à jamais

    coucha à terre où après luy feust donné infinité de copz despée ; enfin on

    il feyt je ne foudreyt de vous en vouyer

    nouvelles, je vous supplie me mander de votre

    serviteur

    pour deux moys en une aultre myenne pour des affères qui me sont

    les aultres charges quilz ont pour le faict de la guerre.

    De Dye, ce XVIe janvier 1573.

    luy mesme ayant payé à mes recepveurs pourt quelques

    monseigneur, vous conserver en très heureuse santé,

    garnison à Valence [barré : pr] ; par voz dernières vous m’escrivites

    Voutre à jamès très humble

    le demeurant, vous savés que je ay toujours fet se

    en cette fason puisqu’il ne c’est jamais declairé en ce pais.

    qui commande en son absence, de se tenir prest avec toute ladite compaignye

    monseigneur, vous donner en très bonne santé, très heureuse

    voz très haultz et genereulx desirs. A votre ville de Montelhimar,

    monsieur, vous donner an santé, bone et longue vie. De

    monsieur, en parfeytte sainté, loungue et

    XXIIIIe daoust. Et à ces fins, fault que à son de trompe

    monsieur, en santé bonne, longue et contente vie. De Saluces,

    fin que je vous fasse entendre ce que aurés à fère

    de ce faire affin que le service du roy ne soit en cela retardé et qu’il ne faille

    provoyr à ce qu’il se ressente de votre faveur, et

    ceste ville.

    de desplère à madame de

    [126 v°] monsieur, madame la contesse de Greignan et monsieur de Rousset. Je fis promptement

    pourroit beaucop importer au roy, qui sera lendroict au quel

    [130 v°] à votre souvenance et bonne grace, supliant Dieu qui vous

    Advoyer et conseil de

    fust retorné en Daulphiné, mais il craignoit que si

    Dampville marechal de France gouverneur et mon lieutenant general en Languedoc »

    leur payement et aussi de faire haster la compagnie

    premier jour de caresme ou hier, il debvoit partir

    belles parolles de paiement à assignation des [barré : mes]

    de madame sil luy plaict et de monsieur de

    parler et si peu tirer de [barré : leurs] pièces mesmes

    la dite entrée et ruiner le port. Lons bruit de

    me recommandant très humblemant à votre bone grace. De Piegon, ce

    madame davoir pour agreables mes bien humbles recommandations,

    bonne et longue vie, me recommandant très humblemant

    esté levées et paiés pour troys moys pour les affaires du Languedoc

    febvrier 1573.

    de Jaunage, car si la cour de parlement et chambre

    ceste rayson. Je vous envoye la coppie de celles que sa majesté m’a escriptes par lesquelles

    [156 v°] pour le moins. Je vous rendray participant de mon bien

    Votre très humble serviteur

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et supplie

    et serviteur

    Pierre de Ponteves

    quil est poussible et me demandent disent ils que

    ne me fussiez jamais rien, je ne vous

    Et au doz de la lettre est escript : A ma fille,

    viel. Il vous plera que ceste

    le païs en bien petite despence pour ladite assamblée,

    vers monsieur le mareschal aveques vingt et deux anseignes

    sy grande playe. Que sera lendroict où je

    Hector de Maniquet

    Avecq les bonnes trouppes qui y sont, mondit seigneur le

    [185 v°] de ce moys de febvrier estant Charles Brassac oncle

    Vostre très humble très hobeyssant filz

    monseigneur que puis la prinse du Poussin, plusieurs de

    la condition de laage à son offre. Je voudrois bien y avoir peu faire

    demeuré

    très bonne vie et longue. De Lauriol, ce premier de mars

    que je ne suis encor vollu partir de ce lyeu que je ne sache

    importuner par tropt après me estre recommandé

    qui ne faict que daller et venyr et mont asseuré qui

    commandés moy et serez hobéy daussy bon cueur que

    monseigneur que nous prierons Dieu vous augmenter

    Monseigneur, après la letre escripte, vous advise quay advertissement quíl a passé

    Votre plus humble et hobeissant amy à vous fère service

    croire quil nia gentilhomme en France qui de meilleur

    vous plaist me fère, me faysant part des nouvelles

    le IIIe mars.

    qui sont de la relligion qui ont faict vante de quelque

    quy se font jornellement, qui me faict aultant douter

    mectre quelque fin à ce miserable temps. Je m’asseure que s’il vous

    et si l’avoict besoing de quelques forces pour ung jour ou pour faire quelque execution

    serviteur De Ficte

    toujours que monsieur Revol entra en la poursuitte

    pour la garde du chasteau de Grane doybt estre suffisant [barré : par] pourveu

    [formule et signature de l’archevêque : Votre très humble allié et serviteur. G. davanson A. dambrun]

    Votre à jamais très humble et plus

    d’aussy bonne volonté comme je prye à Dieu,

    ayant commendé à ce porteur d’aller jusques au sieur de Pelous

    duquel escripteau j’ay entre mes mains, ce

    anvoyé. Leur dessayn est d’aller secourir Nismes sy

    monsieur qu’il vous doint en très bonne sancté, longue et très heureuse vie, de Baiard

    vie d’Apt, ce Ve mars 1573.

    dans Harlem, et y en pourroit encores mettre tant

    ce VIe jour de mars 1573.

    Votre très humble et très affectioné

    quelconques, ledit delai expieré du moins moiennant caution qu’il prestera en ce

    disehuit navires et avoir prins la ditte ille. Je vous puis

    trouver le sieur de Montbrun en sa maison ce que n’est

    Votre très humble et très obeissant

    Nous n’avons autres nouvelles de Sancerre, sinon que l’on a remué la batterie

    [249v°] les faire recharger sur la rivière du Rosne et les faire amener jusques

    que monsieur de Rousset m’a escript de Montellimar que

    part d’iceulx qui font la garde sont

    le moindre est à sept francz, et d’autres d’avantaige,

    Pragella pour avoir le revenche et contrechange,

    serviteur

    à vous faire servi

    ses tradimens mettent ung chescng. Vous mescripvés que

    De Lyon, ce IXe Mars au matin 1573.

    Votre très humble allié et serviteur

    servyteur

    Monseigneur le XXVIIe du passé,je fy ma monstre au

    et qu’il faysoyt leur desaing de pranddre Romans et pour avoyr leur passage libre

    Nicolas de Lorene

    Monsieur, vous avoir en sa saincte garde. De Grane, ce Xe de

    assallis par les ennemis, qui ont des basteaux prestz audit

    Fèr[e] ses esquses envers vous. Il

    recommandations à sa bonne grace.

    sortis hors de leur ville sans revenir. Je ne vous ferez plus

    bien du remuement. Je vous tiendrey adverty de tout ce qui

    une asseurence à l’ung pour se retirer en sa maison en Daulphiné et

    le marquis du Maine a heu son gouvernement et

    soubz la conduicte du vicomte de Panat, et que je prevoy qu’il nous

    de Crest plus grand pour estre plus propre et commode à secourir à celluy

    comme il e[s]t bien aparant. Madame d’Hourche, elle et

    mieux qu’elle aye patience que l’adjudication soit faitte, et qu’il soit retourné

    et les soldatz sont si très pauvres qu’ils n’ont moyen de vivres attendu la cheretié

    Votre très humble et très obeissant

    ungne requeste, laquelle je luy ay acordée pour huyt jours

    voudra dire ; sil persiste il le faut laisser aller à La Rochelle.

    cest retiré à Agnèse quest à deux lieues près

    et la porte que je tiens ouverte, je y ay

    equipaige et de gens souffizans et les

    madame.

    Je desire que la coité sen offre bien

    Votre très humble et très affectonné serviteur

    Ceux du Poussin monstrent encor ung petit bateau neuf et ung aultre med

    voulloyr donner

    consul

    du present porteur qui est ung des consulz de cette ville,

    bayze très humblement les mayns et vous

    Savignieu secretaire

    publier en lestendue de votre charge, affin de refroidir la mauvaise

    serviteur Bellievre

    longue vie et acomplissement de voz desirs. De Valance, ce XXe

    Monsieur, ayant heu certeyns advis que lanemy se vouloyt saysir

    monsieur, en très bonne sancté très longue et très heureuse vie. De Notre

    conserver parfaicte sancté et très longue vie.

    à la mienne, avec ce quil est gentilhomme de lieu et reputation qui sest aquis telz

    votre bon amy

    Sire etc [barré : de Ber] du Montelymar, le IIe davril 1573.

    Madame, il plaira à votre majesté veoir et entendre par celle que jescriz au roy se

    commissaires envoyez pour lallienation de mon domaine et

    où il fut blessé dune harquebusade à travers la cuisse ; mays

    Pragela et Fressinières et valée d'Engrongne sy fayct quelque remuement

    davantage, ilz en tireroient grand secours, comme ilz ont faict une autre fois.

    armees qui ne me permectent d’effectuer ma bonne volonté pour ceste heure, ny moins

    où il ny a moyen dy mener artillerie " [marge gauche : " et quant on le porroyt, je nen ay poynt ici forces [barré : pour] pour laccompagner] ; et neantmoins [barré : par car]

    monseigneur, vouloir faire de cestecy à ma requeste

    Votre plus affectioné cousin à vous

    comparoissent guières en campagne quilz ne soient battuz. Il est vray quil y

    ses pouvres veufve et heritiers quil a laissé chargez de plusieurs debtes

    tel bien faict, quest tout leur sallaire et moyen dentretenement quilz ont

    et tout autre congnoisse que je desire gratiffier ceulx qui se gouvernent

    plaist, madame, commander en estre faictz les despeches pour ce necessaires.

    prochaine recolte qie sera dautant vaincre lennemy et [barré : favoriser] soulager voz

    des long tamps à Romans et seroit bon de obvyer

    aye le maniement, attendu que la despence en est beaucop

    [brouillon de Lettre au duc d'Anjou (Henri III) nouveau roi de Pologne

    mes dernières je leur ayt faict entendre, que seroys lavancement de

    nen peuvent plus et que, à mon grand regret il y a de la pitié

    mon cousin le duc de Nemours, auquel vous feray

    et administration des affaires [barré : pe] publicques que peult ou point de

    oncle, le duc de Savoye, vous ayt secouru de cette [papier déchiré : permission ?] de lever

    et de ceste vile de quatre ; et par ce moyen tenoyt [barré : partie] la plus

    Je vous prye aiez

    de la surprinse que a faicte Montbrun du lieu de Nyons par linfidellité et

    infructueux, comme aussi me seroit de très grand interest, et à tout mon

    ce pays supporte pour lentretenement des gens de guerre que votre majesté

    payement de la compagnie de monsieur de Nemouret la mienne.

    de prendre les armes.

    contenu en la [barré : requeste] responce que ceulx de la

    vollunté, comme elles ont faict et mesmement les dernières occuppées

    bien faire establyr et garder en faisant chastier très rigoureusement quiconque

    je delibère metre les forces que jay ensemble et me

    vous prie, mon cousin, en faire faire examplaire chastimant, de manière

    Syre

    accoustumez de faire à mon très grand regret, je vous prie en faire faire exemplaire

    du Daulphiné pour ceulx du tiers estat,

    soit en Provence ou Languedoc pour nous povoir raffraischir avec noz

    telle estre notre intention. Donné à Vitri le François

    se pourroit altérer. Remectant tout à votre prudence accoustumée, ne vous

    executer, lauqelle, par ledit feu Guillaume de Chaste

    hommes. Je prie à Dieu quil vuielie remedier à tant de misères auquel

    cause sa Saincteté de ne les fère partir et revocquer et revocquer la

    Roussas et Valanras : VIm p. IIII p. v. – f : Vic pains [marge gauche : sans acquit]

    de ce quon me prometoyt et ayant attendu leffect de

    nombre dhomes que pluzieurs aultres garnisons qui sont

    Votre affectionnée voisine et bonne amye.

    première commodité du temps, quest la cause

    ce nonobstant et au mespris et contentement du service de sa maiesté

    relaixe les huguenotz et tient les catholiques en prison

    à tous très expressemant de faire et voulons y estre par vous

    Tant preiudiciables comme dangereuse la

    d’Yolet, pour entendre de la bouche de sa maiesté ce quil luy plaira

    danger daffronter lennemy. Ledit sieur de Belveoir avoit layssé sept

    Votre très humbles et aubeissant

    Louis de Nassau

    diceux [barré : comme] le Ponet Sallart

    si [barré : les] messieurs les officiers de sa majesté ne luy sont

    Votre affeccionné oncle et fidelle affectionné

    sepmeyne que vient que sera jey requis

    La Seigneurie de Venise a, despuys mon partement dudit lieu,

    escrire sur les nouvelles qui se passent de par deça. Il me reste vous dire comme je

    en votre maison, le 10 aoust 1571

    d’aoust 1571

    ce que je vous puys asseuré, monsieur, croyre que de tout cela

    votre plus affetionné et

    a il demontré sa bonne volunté à monseigneur le cardinal.

    Je finiray ma lettre par mes affectueuses recommandations à votre bonne grace, priant le

    pour vous fère servyse

    la court. Monsieur de Carcès et monsieur de Montdragon sont

    Montoyson

    à Marseilhe

    [v°] que sera cause que ne ferey la presente plus longue,

    quil vous porte, qu’il ne le fit et aussi mondit seigneur le cardinal Allexandrin

    Valentin Gobier

    hier monsieur de Evènes de Guargas. Il repceut de

    penssent vivre de leur estat ; toutesfois, quil feroit

    il nest rien si vray que seur toutes les gallères, il ny a neulz Françoys que quelques

    de men essayer encores de rechef. Jescris

    cappitaine La Bastide en poste, alant à la cour pour les afayres de

    est, se treuve[barré : rey] tous prestz à faire la main forte aux exploictz

    septembre

    Voz très humbles et obeyssans serviteurs

    Monsieur, je n’ay poinct aucunes nouvelles que monsieur de Nevers soit encores arrivé à Marseille.

    servyteur

    que vous aurés iamais et ie prierai Dieu

    votre très humble et hobeissant serviteur

    Votre très humble et très hobeyssant

    monseigneur, vous avoir et tenir en sancté et

    f. davanson, eves[qu]e de

    Votre très humble à jamais

    semble que nen scaurés avoir melheur

    priant Dieu

    encores là, je luy vouldroys bien luy escrire un mot

    davantage nous verrons, si Dieu nous feict la grace de vivre

    votre bon plaisir de commander de lacoustré, nous en

    que madamoysele d’Ourche soiet en seinte ; de quoy je loue Dyeu et bien vous a

    De Grenoble, ce huictième de septembre 1571

    Sernin de La Betiene me doibvent venir

    car jay esté surprins ne cuidant que mondit filhs vous portat des lettres

    lerray aussi Pierre Chaiet, chappuis, qui prepare

    Votre très humble et très obeyssant serviteur

    Francois de simiene

    et confirme ce que vous en avés veu. Je nay encor

    temoignaige la lettre que le cardinal Alexandrin luy avoit

    Grenoble, ce XVe de 7bre 1571

    très hobeyssens serviteurs et que sy ly avoyt aultres

    qui me desand sur lestoumac et sur les

    venant à votre propre nom, car cest

    nous veoir pardeça. Je vous avoys escript [barré : par] en responce de [barré : la votre]

    pouvons et tenons ma main sur la prohibition du port des

    De simienne

    [v°] luy pouvoyr estre dict ou escrit en partie après la response

    [v] et me raccomandant très humblement à votre seigneurye, je prieray Dieu

    serviteur

    et de jour à aultre comme le tout aura passé.

    De Grenoble, le XXVIe jour de 7bre 1571.

    et comme peu il eust voulu user de son conseil que se fust

    Par ce moyen, il ne sera jamais rien evincé daucuns qui soyt descendu de vous

    Chair de mouton III Lt

    pouvres supplians sont de votre terre, day et sceu,

    13 de ianvier

    cayer pour y faire promptement pourvoir, du moings ce quest de la conservation du païs

    que vostre arrest de relaxement desdits Margaillier et ministre sorte

    toute puissance sur moy de treuver

    Monsieur de Blanieu, en responce de celluy de son sien frère

    plus certaines nouvelles. Cest, monsieur, tout ce que

    affaires de votre gouvernement. On m’avoit dict hyer qu’on

    Votre très humble et

    plaict augmenter ce nombre jusques à cinquante et en donner la

    monseigneur, de obtenir dispense de lhabit de mondit seigneur d’Apt parce

    à votre bonne grace, de vous donner

    et nièce vous escrivent que notre frère. Metrè fin par

    [48v°] cousté de Millan. Je croys quil est par là ; il en a

    grand envye de vous aller veoir ; certainement elle me croist tousiours

    offres ; sur telles dificultés, avons esté dadvis, en actendant

    mais non encor lieutenant général. Monsieur d’Ambrun vous escrit. Il

    [(effacé) rés] eu advis de la mort du procureur

    forces en propre personne. Voilà quant à la deffence du païs.

    fraiz, estant dallieurs travailher des garnisons du magasin et infinies aultres

    de sa magesté et quelle entend que les

    une compagnye aultant obéissante, bien reglée et belle

    Il semble à messieurs noz frères de passer larrentement

    Voylà tout ce que je vous puys escrire pour cest heure, me remectant à ce que vous pourrés

    de sa magesté et quelle entend que les

    vie. De Grenoble, ce premier de fevrier 1574

    à estre si curieux des [mots raturés] affayres domestiques. Monsieur le baron

    bien tard, lon mescript que ceulx de la

    Le pegue

    bon gré du gratieux et doulx traictement que lesditz Suisses receurent par votre moyen en ce pays lon adheroyt

    que fusmes advertiz quon debvoit establir telles

    pour la fortification et la garde de ladite forteresse en ensuyvant

    Publiée aussi et executée pour le regard

    De Chabanes

    sucèdent et quil faille continuer la guerre, je verray de gratiffier et

    [96 v°] eguillietes dor sur les menches et au devant de la robe accompagnée

    se renforce journellement de Prouvençaulx, mesmes des compagnyes que monsieur de Carces

    napportast point tant de maulx comme lesdites contributions, de quoy touttesfois

    lt, sur quoy je fois toute tieulle instanse que je puis

    myeulx. Et pour mon regard, j’offre obéyr à tout ce

    par la vostre dernière descripre à monsieur le compte de

    paiement de la compagnie de monseigneur

    segneur Carles de Birague ma escript du XXIIII du passé,

    chasteau de recepvoir tous les soirs les cinq ou six soldatz par vous ordonnez

    je suplie vous doner

    (116 v°] de la paix. Et nestant ceste à autres fins, je supplye

    à present, daultant que le procureur dudit sieur de Chaste

    (et pour ce se fortiffient de jour à aultre audit Mollines) fust

    ont promis de les secourir, et fortiffient

    moienna de le me faire rendre, ce quil peult

    voz lettres et payé le legal de

    monsieur, en parfaicte saincté très heureuze et longue vye.

    serviteur

    en paiement pour ceste année. Lons donne fort avant

    [133 v°] despuys le siège qui y fust comme jay peu sentir et croys que si ce faict

    Château Vieulx et les meubles des maisons

    Votre bien humble et obligée et obeissante seur

    quil vous plerroit, mesmes que feu madame les volloit remectre

    monsieur le presidant premier, monsieur Trhuchon [sic] que je

    de ce païs. Jay congneu votre letre et celle du sieur de

    ny feust entré que ladite entreprinse sexecutoyt le mesme

    a amené une aultre qui est belle et jeune, si tant est

    Je me recommande humblement à votre bonne grace, suplient

    recommandations, nous prions à Dieu

    aulcune occasion vous tenir adverty de tout ce que se pourra

    Fère plaisir et service Ferrier

    Longue vie. D’Apt, ce Xe fevrier 1574.

    doctobre pour votre compagnie, et jen retireray ung

    vous donner,

    lamirail jusques à tant quelle fut venuen envonvallessance,

    quoy je men remetz à voz bons jugemens et parce que monsieur le president

    Bref, pour luy copper pour ung coup ses esperances

    Bref, pour luy copper pour ung coup ses esperances

    faire apparoir tout le contraire et, en outre, que cest

    quel seroit satisfait [barré : d] par ledit sieur de Pressins sans

    vos commandemans voutre mezon et ses commodités, de laquelle

    Ce XIe febvrier 1574.

    Madamoyselle de Saint Prie avoyt si grand peur que ses lettres ne se perdent quelle me

    [182 V°] très humble requeste que je vous en avois faict par mes lettres, je les

    Je leisse appart plusieurs aultres actes contrevenantz à

    je prie Dieu vous donner,

    de St André a faict sur la mer contre les gens du prince d’Orenges

    louiable comme il est et la pluspart desdites maisons commandent

    comme il y avoit troys souldatz du cappitaine Favyer qui cestoyt allé randre à Nions où ilz ont receu le traictement

    sa bone garde, en ceste ville et ailleurs, et que

    quest cy inclus par lequel je advertis

    [en travers dans la marge gauche :]

    Vostre très humble et obeissant

    les volloir de voz bonnes graces [barré : les] exhempter

    antre les meins de monsieur de Trie tous leu afères, qui me

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue

    pour le prochain mois, la despence duquel pourra estre faicte des

    scay de quele diocèze est le Pouzin, mays ilz passent deça tous les jours et sy

    pouvoyr por avoyr leul [ie : l’œil] à la garde de Vyenne. Je vous repons de luy de ma vie

    [218 v°] avecq laide de Dieu que noz nous garderons de

    messieurs d’Hourches et

    des affaires du Languedoc. Jenvoye à messieurs du pays ung

    poier decimes et tailhe, ce que je navoys jamays faict,

    prisonniers. Et estans interrogez sur la verité de ce que dessus, ont

    Quant à moy, je prye Dieu quainsi soit il et quil len veulle

    serviteur g. deportes.

    le secretaire d’Aragon, le contreroleur Ramé et monsieur des Falaveaux

    Voz très humbles et obeissans serviteurs les commis des

    avec toutes les difficultés du monde. Je vous envoye ung paquet de monsieur de

    poyer de sette monoye, il vous plerra me pardonner

    peu de desmentie. Je suys marry de tel propos.

    Serviteur à jamays

    monsieur en parfaicte santé, très heureuse vie et longue. De Grenoble, ce XVE

    et moy, vous asseurant quilz sont bien povres et nont moyen

    cources ourdinayres, attendant layde du roy pour ce metre sus loffencive ; ce seoir daultant contenter

    auquel ont osté lesditz pacquetz

    montoyson

    f] ilz ne souroient aulcunement où les prendre

    vous plaict vous escriviés à mondit sieur de Vennes qui me layse,

    Anthoine Portz chatelain de St Martin,

    [264 v°] Jattendz en grande devotion ce que monsieur de Maugiron rapportera

    tenuz, oultre les aultres biens que

    tous les villaiges de la pleyne de Marsanne venant en ceste ville leurs sont contribuables

    tant de maulx et misères quilz ne sen verront jamays

    costé du bourg et que aultres donoyt dung aultre costé. Je voy que

    plus tost lons ne me mande, pour poursuivre vivement

    monsieur, an très parfaicte santé, très heureuse longue vye. De Paris, ce XVIII

    marri quelle maie advantagé. Jespère que quieul

    puisse resouldre et encoures est en quelque opinion que

    à la tenue de lestat. Je supplie le Createur nous en fère la grace

    finirey la presente daussy bon ceur que prie Dieu,

    monsieur de la tivolière

    pié que de lestre alé voir car j’estime trop peu ceulx quy

    à nous vous estant celluy duquel dependons ; nous sommes

    Cest le partage quen ha fait monsieur de Chatellard,

    prieray sur ce le Createur

    que sont pourtés par ma commission quest au nonbre de

    sellon le temps. Je prie le Createur que le

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie.

    Monsieur vous avoyr en parfaicte santé, heureuse vye et longue.

    [307 v°] dire comme deulx soldatz de ceste garnison despuys ceste dernière venue des

    André, daultres que en leur endroict elle continue dhuser

    y fassiés comme

    donner la siene très saincte. De Valence, ce jour des cendres 1574.

    la meilheure garde qui nous est posible, tellement quencores

    le reste de mays chivaulx, vous asurant que ces

    des maisons dudit faulboure commande dans une partie de la ville.

    serviteur

    fut bien blessé et le pourtarent à St Aubain

    ne me en a point porté. Les adversères dudit Molines ont treuvé

    de nostre ville pour la conserver avec laide de

    Monseigneur, je prie à Dieu continuellement quil vous donne en

    Ung des leurs qui ma tousiours faict bon office pour madvertir votre très humble

    corps de garde ne peult estre quyl ne soyt trop

    advertir vostre seigneurie des languaiges qui troctent tant

    Monsieur, en santé, très heureuse, bonne et longue,

    je m’asseure qu’il n’y a longtemps que vous estes tout résolu de

    de fort grand matin pour aller à madrie où il m’a

    a touttesfins vous désirés par voz derniers mémoires;

    et fault que voz ennemis confessent qu’ilz ne scauroyent mieux perdre le tamps

    il prant grandement à doubter.

    les capitaines. Les nouvelles se sont changées puys ce

    Vostre bien humble serviteur et amy.

    me recommandant très humblemant à vostre bonne grâce,

    trouveront mes très humbles recommandations à leurs bonnes grâces. Si

    [v°] chastiement que luy et ses semblables y prendront exemple, et

    [v°] pas quelles pressent plus si fort,

    Monseigneur, en toute prospérité très longue vie . De

    car nous soldatz n’en peuvent plus

    de la religion, renvoyant à ses fins lesdites

    Je vous prie me dyre votre advis que je doybz commander à Meyrieu d’aller

    serviteur pour vous obéir à jamais

    Votre très humble etrès obéissant

    Votre très humble filz et très hobeyssant serviteur à jamay.

    prie Notre Seigneur quil vous veuille donner

    longue. De Digne, ce Vme juillet 1572

    Votre très humble et très obéissant

    certein que le roy Philippe rend Final au marquis.

    des moyens et des pratiques que vous n’avez pas.

    seroit plus saige, encores que je m’asseure

    [v°] je ne la vous foys longue quar je suis fort hasté de monter à cheval presentement pour aller

    Greulx, ce VIIIe juillet 1572.

    princes et seigneurs de ceste court leur sont

    jen ey rapporté ung desvoyement destomac, mays le repos et

    serviteur pour vous obéyr à jamais

    il y n’a en ceste decente escus pour toutes

    grâce que vous vencyez faire l’hiver en ce païs, il se faudroit

    servyteur comme bon conpagnon

    et qu’il espère estre bien tost de retour.

    D’Ambrun, le XIII de juillet 1572.

    car quelque raisons que l’on leur scaiche alléguer, ilz tiennent le roy pour autheur et faulteur

    de Mons en Haynaut n’osent faire grandes sorties sur

    Et au cas que les compaignies vous recherchassent, de m’escrire de leur

    [v°] frères et les jehans de roube longue on hoppiné pour la

    mille et six escutz que monte à sa part l’héritage

    Votre très humble et plus hobeyssante

    Votre bien humble et très obeyssante

    prieray le Créateur vous doner en santé, heureuse et longue

    responce qu’à son frère. Alors, il me nomast ung messire Jean Bouvier,

    serviteur

    mais le vostre particullier. Aussi au demourant monsieur, quant

    de foin que l’année passée. Monsieur d’Apt n’ha, à l’evesché,

    première despeiche que luy ferés. Nous n’avons icy aulcune

    XVIIIe juillet 1572

    et contante vie. D’Apt, ce XVIIIme juillet 1572. Je croy, mon-

    serviteur

    De Saluces, le XIXe juillet 1572, de

    Createur qu’il vous donne en toute prospérité, très longue vie. De Montpellier, le

    où la companie de monsegneur le prince daulphin estoit ordonnée

    perte en ceste province. Or ie prie à Dieu qu’il luy doint soit icy ou ailleurs ce que luy est necessaire.

    de tesmoingstz, lesquelz j’ay commencé d’examiner

    compaignie. A Paris, le XX juillet 1572

    Chabryère paiera à la Madalène porcheine. Me samble

    crue ; ce que, s’il plaist à votre seigneurie faire, je prieray Dieu

    qui avoit volonté d’estre président et bon pouvoir de

    remettre son estat de conseilier pour le prix qu’il vous

    [v°] matin pour me faire recouvrer du vilage, pour argent,

    aultres qui ont des vayseaulx en cette flotte, estans à la court, font

    hobeissant serviteur

    Monseigneur vous donner, en toute prospérité sancté, accomplissement

    je vous suplie me vouloir faire ce bien de commander

    fort bone esperance [barré : que] d’avoir bien tost mon congé

    oubéisent à jamès ser

    Monsieur de Cugy et de Chellard doibvent arryver

    1572

    l’obeissance accostumée. Monsieur le duc de Savoye

    elle [est] si grande que peu de gens y ont plaisir

    jamès abandonné jusques à ce que monsieur de Laval a heu perdu

    Vostre plus affettionné et obeissant

    sil votre purgastion vous a augmanté plus de santé, aussy sil vous bevé de vin.

    estant sa mère malade et elle chargée d’affaires,

    Pierrebon

    et je masseure que les benedictions et prières du peuple vous

    toutesfoys que nous avons recogneu le

    m’a porté ung paquet de lettres du roy, lequel j’ay ouvert

    et le trovis venant au conseil. Il me conta les choses

    Nous sommes tousiours attendant messieurs de Vènes et de Laval. Il ne seront pas plus toust

    recoumandations à vous bones graces et celles de

    ung bellistre qui ne vault rien, mais cest pour purger le

    me recommande à vostre bonne grace et de madame de Gordes,

    Monsieur, madamoyselle de Sainct Privat et le demourant de ceste

    veu la lettre. Je ne ferey faulte de y veilher,

    Monsieur très bonne longue et heureuse vye. De Sault

    ce mot encores mes plus humbles recommandations

    monsieur quil vous doint la sienne, accompaignée de longue et contante

    hautement pour les chefz qui vous concernoint, comme il

    passé par le pays et me semble que

    envoyer par ce deppesche, comme jay faict quand ilz ont

    particullierement, pour men revencher en tout aultre

    par ma pleinte, mays encores par actes sufizantz

    est bort [sic] grande et y a grande quantité de

    Vostre très humble et hobeyssant

    fiebvre, vous offrant tout ce quest à mon pouvoyr, et vous demeurant

    escripre, je metray fin à la presante, après vous avouer beysé très humblement

    Jespère que tous se porteront bien, car la verolle est sortie,

    et très heureuse vie. De Grenoble, ce Vme aost 1572.

    deux heures. Je pance bien que ni aura que soyt nuict lon

    esloignés de vous, puyssions clorre la bo[u]che à ceux qui

    Monsieur, vous aurez bien veu le cayer de ceulx de ladite religion par

    Sev[erin] Odoard

    à monsieur de La Coste et suis très marri de la

    1572

    Monseigneur vous donner en parfaicte santé très longue et très heureuse vie.

    longue et heureuse vye à votre tout parfaict contantement.

    bien humblement à vostre bonne grace, priant Dieu,

    vous suplie que sil vous vient à comodité de maporter seluy

    longue. A Paris, le VIII daoust 1572.

    et la faulte que nous auryons de la perte de tel personage que dhomme

    de Lieux anseinte et bien malade.

    passée bien près de Marceillie.

    commander, vous hobeyrey dune aussi bonne volanté comme

    [v°] poinct le jour. Tous nous vallés ont esté presques malades

    lit et ne l’en subsonnet lors point, sinon quand il a esté

    [v°] le mien propre, je vous baiserey très humblement les

    Monseigneur, en très bonne santé, longue et heureuse vie. De

    quilz en scauroyent désirer. Et surce, je fineray avec mes humbles

    par le menu. Et neantmoins, pour satisfère à ce que vous desyrés

    P. de Simianne

    informations de la saizie de l’archier

    Je les voy et parle à eulx quelzques foys, et au sieur de Saint-Romain,

    en terre et en mer de Dom Jan d’Austriche ; aussi le duc de Nazare qui va vers le pape

    mes très humbles recommandations, je prierey le Createur,

    Guillaume Cuvellier

    donner tousiours lestat quil me donne oultre celluy denseigne

    de ancezune

    daoust 1572

    passées, il ma faict ung long discours

    que le prest d’ung moys. Si eusse esté à Grenoble, j’eusse

    demain. En ce pays, on est hors de doubte de guerre pour quelque

    ayant perdu ceste hocasion, je ne sey quant nous

    commis des Estatz de Daulphiné

    en ces cartiers sommes estes bien trompés de la recolte car

    quil appelle les plus doulx du monde. Vous avés

    Votre très humble filz et très obeissant

    se contente de peu. A cause dequoy, je vous vouldrois

    après vous avoir très affectueusement remercier

    Monseigneur, vous donner en santé très longue et

    Truchon

    matin pour aller fère voller une perdris à votre tiercellet

    plairra en ordonner, afin que incontinent, je puysse

    votre très humble serviteur

    La Mote Verdeyer

    veoir. Et après vous avoir presenté mes très humbles

    pour empecher qu’on ne les facha, dont j’estoys mieulx adverti

    melieur moyen, je croy que monsieur de Fiansayes vous

    obligées recommandations à vous bonnes grace, priant Dieu,

    Votre très humble et aubeysant servyteur

    à ce quen escrives ou peut estre moyns, mays son rapporteur

    et me demanda si monsieur de St Romain et Cheylas

    vostre boune grace, de madame de Gordes et du sur

    maisons fortes pour la mein. Je scay quelle a

    de Simienne. Alleman

    graces, an boune santé. Lon les

    Vostres très humbles serviteurs et à vous fère

    heussions receu la votre que feut allé avec monsieur

    [v°] a heu chevallier qui ayt pencé à faire si grand faulte, mais

    leur donner tousjours plus de crainte et empecher qu’il

    Comme il ce présenteroit quelque chose de nouveau en ces quartyers, je ne fauldros encoure plus toust de

    ne se reduyront, et m’asseure qu’il fauldra combattre,

    à mes actions et au rapport duquel vous vous

    et entretenir son edict de pacification faict dernier ; et

    vie et longue. De Rousset, ce XXVIIIe sep[tem]bre 1572

    quil aient faictes ; non pas que je vuilhe dire que la consideration

    XXIXe sep[tem]bre 1572.

    sont entre les mains de maistre Guillemin, [barré : je] lequel

    serviteur G. d’Avanson, A.

    plus aulcune chose en mes

    à votre bonne grace, apprès avoyr supplié Notre Seigneur

    a qui se treuvent sus leurs guardes et

    de sa magesté et vostres, car lesdits de la religion s’en

    ladite lettre du roy

    la Tivollyere m’envoyast, j’eusse incontinant monté à cheval pour aller attendre

    octobre 1572.

    Monsieur, qu’i vous ayt en sa garde. De votre

    contraindre ; et que sans cela ilz ne payeroient rien. Toutesfois

    en notre scavoyr ils y sont alles fort franchement. Je voys sur ce

    bien peu respectée, tellement que tous les conseilz et

    pretendoit au prioré de Mante pour l’aller assommer ; en la companie

    faict la reparer un peu et aussy monsieur de Cabanes

    me done grasa que ne le soyhe davantage. Je vous

    Laroche

    La nouvelle vint hyer au soir à mondit segnieur d’Armagniac comme

    s’expediera mardy et aynsi n’y aura retardation que d’ung jour ;

    daussy affectionée volonté que serviteur que vous arés jamais,

    toute ma vie acomplir daussy bon cueur

    Votre très humble etrès obeisant

    endroict, je presanteray mes très humbles

    vous bonnes graces de mes tres humbles recommandations,

    qui vient de ce païs là, qui vous pourra advertir plus

    Monseigneur, vous donner en santé heureuse et longue vie. De

    Le Pegue

    davantage que ledit seigneur des

    dont j’en rendz graces à Nostre Seigneur qui vous a conduit

    La Thivollière

    [v°] l’on a faict dessendre de la citadelle de Lyon trente pieces

    dangier. Car on faict courir le bruict que du cousté d’Orange se faict quelque remuement,

    votre très humble, très hobéissant nepveu

    G. Deportes

    G. Deportes

    lieues d’icy, me porter le mesme advys, lequel ne me pouvant

    monsieur en très bonne santé heureuse, longue et contente

    pretexte d’une faulse allarme, tuarent troys de la

    Montoyson, ce XIIme doctobre 1572

    monsieur, janvoie douze qualles et douze

    survenant à la closture de la presente, ma requis dune

    ainsy. Je demeure en peyne pour ne scavoir ce que le

    dona telle alarme à Columbin, qui estoyt de l’aultre

    disnée près moy à venir voir vostre petit peuple qui se porte si bien

    Votre très humble et très obeissant serviteur

    endrets, estant de besoing de lesser équipage

    Vostre humble serviteur

    d’Embrun son oncle.

    ne feray faute de luy faire entendre me vouloir octroyer le

    de la vaccation en quoy ilz sont employer, mais aussy leur pourroit

    [v] ung peu de son genoul, plus que le ne souloyt.

    [v] pour vous dire que, ayant antandu la mort de Monsieur

    et s’ayder à purger leur païs de ceste vermine, nous asseurans qu’ilz

    Pour le moingz, cella me faict bien croyre qu’ilz

    et heureuze vie. Du Sainct-Esprit, ce XXIe jour d’octobre 1572.

    [v] ceste primevère les deux fortz, desquelz vous ay jà escript avoir

    vostre compaignie. De Vienne, ce XXIII d’octobre 1572

    [v] portent pistolés et arquebuses, ce qu’ilz n’avoient encore

    humbles recommandations.

    pouvoit ; et combien que je m’asseure que mesdits segneurs de

    jour, et a esté bien marri qu’il n’y aie heu fons

    serviteur

    gnie. Je luy dis en riant que [barré : la sen] les gendarmes estoint pour luy et

    Monseigneur vous donner en parfaite santté longue et heureuse vie.

    tost ou bien tost après monsieur de Lombes les despêches

    Monseigneur, je le supplieray de vous tenir en très longue et très heureuse

    à messieurs d’Ambrun et de Grenoble, pour n’estre veu

    s’il suffira que voz lettres pour Grane sont addressées à la chambre

    ladite copie.

    que d’avoir ici des affaires. Monsieur le président

    serviteurs, les consses à Valcluson

    et de madame de Gordes et de monsieur de La Roche, priant

    a-je aseurance que vous ne le voudriés veoir avec moins

    Dieu vous garde quand l’ons se treuve. Je ne pance pas que

    signée Mellet, sans date, s’adressant à « monsieur le catholique »

    de Privas à Montbrun. Nous extimons qu’ilz traffiquent quelque

    Je ne rampliray point se

    lettre, je vous avoys suplyé permettre que mes officiers exerceassent

    il m’a dit : « voilà bien mon cas » ; et que tout ce qui en fust est

    chandelles que messieurs du pays hont données à messieurs de ceste ville leur

    bonne grâce et de madame de Gordes comme font ladicte

    à s’en aller.

    [v] Je serois bien marry, en cela et en toute autre chose qui déppendera

    choses. Je prye à Dieu les tenir toutz en bonne santé d’âme et

    couleur, l’on faisoit courir le bruict que les enfans du

    icelle volloir continuer pour la conservations de notredicte

    hors de deffance et quant au

    ne pense pas que d’ailleurs ilz en peussent non plus avoir.

    icy le XIIIIe du présent. Monsieur de Ramboullet passa hier allant à Romme

    Votre très humble serviteur

    La Porte

    est trop fascheux. J’ey mandé vers monsieur

    entré dans Sancerre et ce qu’il a trouvé

    Il a mandé par monsieur de Lombes à sa magesté pour

    Ce porteur m’a dict qu’il avoyt huict soubz de la grand croix que ne les a peu

    comme l’on murmure, que les Vénitiens pourroient ces[t]

    à faire faire ung pavilion pour ung lict

    Picardie qui sauva le sieur de Saint-Romain, qui est le sieur de

    [v] J’escris à Lanel qu’il laisse l’affaire que vous scavés comme il la

    la perte de mon âme qu’il luy a pleu

    Baptiste de Simienne

    ma conscience contre l’honneur de Dieu pour le quel

    des comptes de Grenoble ou de ceste, veu enfin

    Votre très humble filz zt obéissant serviteur

    au devant des deux brêches qu’avoint esté faictes à la

    est bien à la donation de mondit sieur ; mais par les statutz et

    seigneurie treuve bon, la pourrés remectre audit sire

    cele de monsieur de Meolhon partent au premier jour

    moien que j’avois de me tenir suget en ceste charge, pour

    pas car je coneus que la royne en estoit picquée. N’ayant

    De madame de Gordes. Je prie le Créateur vous donner

    de La Roche notre frère. D’Apt, ce XIXe décembre 1572.

    madame de Carssèses et madamoiselle de Vins viendront bien tost

    catholicque ». Il est bon et requis de s’y prendre garde ; et néantmoings, il me semble que

    plus retourner. Au surplus, Monseigneur, j’ay depuis

    de choses come premièrement vous pouvés antandre de

    P. Evesque de Gap

    guerre pour ceulx de ladite religion de son quartier, affin qu’ilz se tiennent prestz pour le

    De Simienne allemand

    n’ay rien receu pour monsieur de La Roche et m’est

    a dict comme il a faict à moy de la plaincte de son beau-frère

    qu’il le permecte ainsy. Au demeurant monsieur, monsieur du

    seurement, pour vous servir.]

    laisse d’espérer qu’ils pourrayent estre contrainctz par nécessité, d’aultant

    pour estre parrain, mais il s’est excusé de façon que le

    potiamo vivere ne havertiro il luocotenente che vegga

    si peu et qui s’est rendu si long et difficile

    de ladite nouvelle oppinion que despuis les eedictz

    vie. De Vallamce, ce IIIme de janvyeir 1573.

    rendu seurement. Il ma faict beaucoup de bien. Je vous supplie

    nous sommes contrins luy faire faire de gros boloars, cest à dire

    [barré : et] J’ai emprunté XII c[ent] livres de monsieur de l’Isle et

    De Saluces, ce 6 janvier 73.

    heureuse vye. De votre humble mayson d’Orpiarre,

    au Change et celuy de St Michel estoit en allarme. Je

    Mehru, de Toré sont à Chantilly, Dieu mercy tous en

    despeche du premier de ce moys. Je loue Dyeu de bon cœur que leurs santé soit toujours

    Montoyson.

    croyre que tout mon desir ne tend à autre fin que de vous rendre

    maisons où lung deux y procedant ses chevaux ensemble

    pour accompagner la depeche du roy à Rome. Je vous

    Votre plus parfaict [barré : amy] et affectionné ami

    pour encore jaye peu scavoyr le chemin quilz ont tenu plus oultre, tant y a quon a prins

    Favot

    [48 v°] prandre les armes. En quoure que hount bien

    obeir Vantadour

    [5 v°] besoing pour lexpedition d’un procès quil a en la court de parlement de

    je meforceray de la reparer de tout mon pouvoyr, affin quau moins elle

    je la finiray par mes humbles recommandations à votre

    Francoys de simienne

    sortist aux fenestres et lesdits estrangers, mangeant le pein du peuple, se sauvarent

    les [barré : in] in fourmasiouns ayant entendeu

    santé.

    Andrieu De Exea vi senechal

    fort necessères et où ilz me fauldroyt tenyr huict ou dix soldatz à madite

    Ilz sont grand haulmoniers du bien daultruy mais du

    Votre très humble et hobeissant

    années la dicte rante, laquelle mest dues instemant

    prosperité et longue vye. De Romans, ce XVIIIe

    que ledit cappitaine et sa compagnie se trouveroyt en votre gouverne-

    Et afesyonné à vous fère

    que avés volhu. Vous eytes byen voyr que les [barré : dyetes]

    Il n’y doist venir pour en ceste saison se declairer. A Apt tout

    pour marcher lors que je la manderay et sera bon, affin quelle soit

    et longue vie. De Lyon, ce XXIe janvier 1573.

    ce mercredi au soir XXI de janvier mil VC LXXIII.

    Aspremont, se XXI janvier.

    eyreuze vie. De Vallance, se XXIIe de Janvyer 1573.

    vous le leur fassiés entendre en leur donnant ung

    le XXIIme jour de janvier 1573.

    en cest endroyt Je me recommande à votre bonne

    y renvoyer pour si peu de chose qui pourra peult estre cause d’ung grand bien

    que pour sattisfaire aux passions de quelques ungz

    Madame de Gordes et monsieur de la Roche

    Guordez à qui elle est très humble

    tenyr voz lettres à madame la vicayre de Saincte Clayre d’Avignon. Il y a environ quinze jours

    vous presenterè mes humbles et très affectionées recommandations,

    mainctienne,

    la ville de Berne

    quelques uns s’oublyoient de leur devoir, qu’il ne

    de monsieur de Maugiron, comme je vous en ay escript

    de Nyort qui n’y a que dix liues iusques au

    arrierages de ma pancion, mais jen espère peu ou rien.

    La Roche. Je nay point heu de novelles de Senarpont.

    pour la quantité quils en hount. Nous presumons quils

    commencer ce soir les tranchées, cepandant nous

    XXIIIe fevrier 1573.

    dont je sallue ses bonnes graces et la supplie mexcuser

    à vostre bonne grace et de madame de Gordes. Monsieur

    demeure icy pour les garnisons de XX homes de Cisteron, part à

    Monsieur, je crendrès [barré : q] que les huguenaus ne se voulsistent

    des comptes du Daulphiné cognoissent desdites lettres, ilz pourront

    congnoistrez son intention. Au demeurant, je nay jamais ordonné au cappitaine La Tourette

    et de mon mal pour lasseurance que jay que vous y prendrez

    Rousset

    le Createur quil vous done en parfaicte santé, très longue et heureuse

    La Roche

    d’assurer leurs vies. Je croy que, quand à ce poinct,

    oblieray jamais. Non aultre chose pour le present,

    Mademoyselle de La Roche à Grane

    lettre me soyt renvoyée après que monsieur de Grenoble et ma seur du Monestier

    car il se presente tous les jours soldartz en ceste

    et est venu bien appropos. Lon na faitz mors les sieur de

    vous baiserey les mains en toutte humilité,

    mareschal faict estat nespargner munitions pour [barré : faire]

    dudit Michel, allé à Chasteauneuf de Vernoux avec aulcuns

    et serviteur à jamays

    la vallée de Bordelois commencent comme à lever les cornes

    quelque chose deventage, mais je considère que un homme vieux et

    Votre plus humble à jamais

    1573.

    comme j’ay à mi conduire car ung plus avisé que moy

    humblement à vous bonnes graces. Priant Dieu,

    negossye quelque chose. Lon ma asseuré quil est ung

    menvoys recommander très humblement à votre bonne

    en ses dons et graces, vous donner bonne,

    à Montbrun ung Espagnol à piet qui parle toutes langues et vient de Genefve et

    Truschenus

    cueur vous face service quand il vous plairra me faire

    de Languedoc et voudrois en avoir dignes de vous

    Le voyage que devait faire

    somme de saulpètre à sertains marchans de Lion

    ceulx quy sont derrière moy que ceux que j’ay devant.

    vienne quelque chose de nouveau en votre gouvernement, que vous y

    et vous le treuvez bon, ne fauldray à satisfaire à votre volenté. Madame la

    de son faict mais cela va au premier sejour de la court.

    que le nombre y soyt, si aussi ceulx qui sont dedans ne se veullent

    [dessous : "à madame de Cental"]

    affectionné frère et serviteur De Simiene

    monsieur vous donner en parfaicte santé, longue et heureuse vie saluant

    où il sera pour le faire acheminer vers vous avec

    qui pourra estre de grand efficasse vers les

    l’on l’ataque et d’avoyr ung passage sur le Rosne

    le Ve de mars 1573

    Votre très humble et très obeissant frère

    qu’il vouldroit par le moien du bras de mer qui donne iusques à ladite ville, et que d’une part et d’autre se font de grandes levées de gens et

    Votre très humble et très affectioné

    serviteur Bellievre

    païs d’autant que je n’ay aucun adveu en Savoie et qu’il est subiect et iudiciable

    [241v°] bien asseurer monsieur que l’Angleterre ne bouge au descouvert.

    sans quelque maniement. Joinct que à ce que j’entendz ledit sieur

    frère et serviteur La Roche

    ayant trouvé une trop grand tranchee derrièr celle que l’on avoit faitte.

    en Aiguesmortes. Vous pourrez ouvrir la lettre que j’escriptz audit sieur de

    lenemy s’estoyt saizy du Pouysin. Ne fault que je vous dye

    [254v°] paysantz et sont si bon nombre que

    ce qu’il vous plaira considerer veu que en temps

    veu quilz spèrent à si grand secours,vous

    B : Ollier

    Carolo Birago

    seriés bien hayse savoyr quy est ce capitaine La Croix. C’est

    Vostre très humble et très affectionné serviteur Bellièvre

    G. Davanson A. d’Ambrun.

    Montoyson.

    Sauzet ancor que votre commandement porta de la fère à Pierrelate.

    et dye le dict de Posol asura monsieur du Pelloux qu’il l’etoyt votre et qui luy ferez

    mars 1573.

    Poulsin. Ledit sieur vicenechal a envoyé à Enconne pour recouvrer

    m’a dit les reysonns pourquoy n’est

    Vostre très humble et très affectionné serviteur Bellièvre

    [286v°] long discours, si ce n’est pour me recommander très humblement à votre

    se presentera et Nostre Seigneur conduyra le tout, auquel je prie

    à l’aultre ung saulfconduict pour s’en aller à Normandie. Et je vous feray

    monsieur son filz l’autre moitié avec l’estat de

    fauldra quoy qu’il tarde venir aux mains, je vous prie tant qu’il

    des deux aultres ou Valence ou la Montelymard, auquel il vous plairra

    monsieur de Bonnevaux m’ont chargé vous presanter et à

    de La Rochelle où il dict s’en aller. J’entends qu’il n’a pas tout l’argent

    [304v°] Brouillon de réponse de M. de Gordes à M. de Mandelot, Grenoble, le 15 mars 1573

    qui est, et sont contrainct la pluspart engager touttes leurs ardes. Je suis

    frère et serviteur La Roche

    tant seulement atandent surce vous comandemens ne volant

    Monseigneur, après mestre très humblement recommandé à votre bonne grace,

    du Bourg ; que sera la fin, après vous avoir supplié

    [10 v°] faict mettre des barrières hors de la porte.

    representer aux monstres ou sera de besoing.

    tost, vous asseurant que vous trouverés

    Bellievre

    moyen, que faict croire quilz soient aidés secretement daucungs leurs voisins, quon

    Monsegneur en parfaicte santé très heureuse et

    qui sen va par devers vous à ces fins et pour vous supplier

    supplye me fère cest honneur me tenyr pour

    volunté de ceulx qui l'avoient appuyée sur le subgect de ceste entreprise ;

    Jay monstré le billet

    mars 1573

    de Bay sachant le peu de jentz quilz y advoyt, jadvertis le cappitaine

    Dame de Myans, le XXIIe de mars 1573

    Votre à jamais très humble et

    [51 v°] merites à votredit service quilz sont de tant plus recommandables comme mesmes

    henry

    qui madvint hier sus le bord du Rosne et comment jen estoys si je y euse

    vous tenir sur bonne garde, me reposant entierement sur

    au rapport des medecins et cyrurgiens, il en sera bien tost guery

    que a esté cause, syre, et aussy voyant teles esmotions, que jay prié

    Je prie Dieu, monsieur de Gordes, vous avoir en sa garde. Escript à Chaleau, le

    pour infinies considerations que vous mesmes pouvez estimer, accorder nouvel impost

    moyennant ce quilz tiennent une partie de ce gouvernement est

    et faveur [barré : et moy et luy vous en demeureront obligez]

    fère service .C. de colan

    a environ dix jours que pour la meschanceté daucuns qui avoient esté

    et affaires pour la debonarité et liberalité qui estoyt en luy, que je vous

    à mon service et que lesdits secretaires de mondit sieur le prince en ont assés daultre

    sagement et ne veullent deppartir de la fidellité qui mest deue.

    bons subiectz pour la necessité où ilz en sont, ne pouvant autrement le faire

    à tel inconvenient que mondit seigneur fut quant il

    moindre comme lesdits commis vous feront entendre plus

    Au roy de Poullongne

    voz affaires en ceste province, bien et soulagement dicelle.

    tenir la lettre que je luy [barré : en] escript pour cest effet.

    plainctes et doleances en sont par cy devant parvenues à votre majesté ;

    cent chevaux legers dedant ses terres. Jespère [papier déchiré] ne vous

    [marge gauche : grande partie] de ce Valentinoys bien engaignée qui me fit changer despuis

    le pour recommandé

    meschanceté daucuns catholisez et pareillement le recouvrement de la ville et château

    pays de Daulphiné que ce pendant voz forces demeurassent innutilles # [bas de page : # et celles que je vous envoye] ;

    ma demandé tenir sus en attendant votre edict de pacification,

    Sire, etc, du Montelymar, le IIe daoust 1573.

    novelle oppinion mont [barré : portée] faicte et je

    en mon pays de Daulphiné. Partant, je vous prie en faire abbattre

    y contreviendra, priant Dieu quil vous ayt, monsieur de Gordes en sa sainte

    loger en quelque lieu, plus pour les convier à se

    que cela puisse tenir en pollice les autres, au soulagement de mondit pauvre

    chastiment de manière que cella puisse tenir en pollice les autres au

    ceulx de Dye sestans excusés, fust

    soldatz en attendant quil se presente quelque occasion de povoir faire notable

    soubz le sel de noz armes, le premier jour de novembre

    ferons la presente plus longue esperant à Nysmes estre plus particulierement

    il seroit allé de vie à trespas y a envyron

    prie, après m’estre humblement recommandé à vous bones graces et dudit

    la [sic] resolution quil en avoyt sur se faicte, comme par daultres lettres que

    La Garde : IIIIm p. IIII p. v. – f : IIm Vc pains [sans acquit]

    ceste promesse jusques à present jay veu en fin que tous

    plus eslognées de lanemi que nous, car il ne passe jour

    Claude de Turenne

    que vous en avons volu advertir, affin dy

    et commandement à ceulx faict par ledit sieur comme dict est, ilz ont

    sans ocasion pour destourner plusieurs biens grandz services que les

    contrainctz comme pour le bien du service du roy et soulagemant du

    Consequence, demeurant par tel moyen la forte

    leur accorder de leurs demandes, ce que ostera mesdictz seigneurs

    cens soldatz dans ledit Rousval, mais par ce quilz navoient vivres

    frère à jamais

    de Bruys et Ste Marye Eygalyers Senyer

    plus favorables au passage que ilz ne sont esté

    Amy à vous faire humble service

    ceulx de Meylans. Le syre Barthe[lemy] La-

    cré un general de vingt cinq galères pour la garde de leur

    parts demain pour men aller à Pize et à Sienne dont jespère estre de retour

    votre très humble et très obeissant serviteur

    vostre à jamais plus fidelle et plus

    y nen est rien, et que tant sen fault-il que je nay jamais

    très obeissant

    Je desirerois quil sattaquast à Lacoste sy Dieu le

    Createur vous donner

    Lapierre

    avec luy. [barré : Nous le alons voir]. Monsieur de Evènes et moy le alons

    Monsieur les enhque namais [ huguenaulx ?] de ce peys font courir le bruyt

    sil nest pour vous supplier humblement quil vous

    pour les honnestes offres que vous luy fites de laccompagner par tout votre

    lettres de monsieur d’Ourches et de ung oiseau que vous mandés

    voir à Monsieur mon placet et y respondre, amis ce

    souldartz, mais il a la voulunpté si belle et est sy curieulx daprandre de bonn[e]

    à mondit seigneur de Nevers, comme estant en ce

    monsieur [barré : de] et madame de Bressieu. Il me voluct dire sa charge

    [v] qui s’offriront de justice, comme il est bien requis et soubz

    votre serviteur

    les consulz de Dye et pour eulx

    Jacoit quil y ait quelques jours que ses chevaulx quil avoit laisser ly attendent et soubdain que

    montoyson.

    monsieur, quil vous doint en très parfecte santé, très heureuse

    Truchenus

    serviteur

    et [sic] longue vie. De Grenoble, ce IIIIe sepbre

    grenoble

    Très hobeyssant serviteur

    compte en granger que de luy, car

    [v°] monsieur, vous donner en sancté très longue, très contente heureuse vie. De

    des [sic] mes arbres

    [barré : longuemant] quelques temps.

    ferons notre debvoir ; que sera lendroict,

    seure que toust ce pourte bien.

    Voz humbles et obeissans serviteurs

    trouver avec leurs bestes pour charrier

    de mesdames de Casenove et de Gordes, ny de lembarquement de monsieur

    les thoneaulx ; et ayant faict, il me viendra

    De montenard

    parlé à persone sinon à monsieur de Crapone que ma dict

    escripte, laquelle ledit seigneur Torquatto vous avoit envoyée

    votre humble et obeyssant

    quy plus desirassent vivre soubz lintenssion du

    reyns, qui mest survenu à cause que le dit

    de votre argent que Mada[moise]lle menvoya

    cele que mescripvites par le lacquey du cappitaine Lisle, mès jentans que

    arquebouzes, lequel sembloit estre refrechy et renouvellé

    Monsieur, je vous suplierai me tenir pourt excuzé si je ne vous

    dudit Morin. Quant aux propoz du [barré : me] seigneur Torquato,

    Monseigneur vous donner bonne et hereuse vye. De Sainct Safforyen d’Ozon,

    Bellievre

    Monseigneur, je supplye le Createur vous donner en très bonne

    Votre très humble et très affectionné

    [v] combien il desestimoyt et hayssoyt le père et combien

    et si vous gratifierés encores en quelque chose messieurs vous frères [barré : en]

    Beuf demy Lt

    à tout le moingtz permettre, attendu les excecrables

    du IIIIme de ce mois, javois faict rapporter une requête contenant seulement trois chefz. Le

    son effect purement et simplement au lieu dudit sieur César, Italien et de

    voulonté que je salu voz

    l’avoyt fait ausy demander par monseigneur le duc, mais

    vous aurés de moy pour la presente que ie finiray par mes

    y avoit commencé quelque chose et ainsi lavois-ie escrit à

    très hobeyssant serviteur

    charge au cappitaine La Varenne, present porteur, je massure que avec une

    que messeigneurs les cardinaulx mesmes portent lhabit de leur ordre et

    monsieur, en parfaite santé, très longue vye. De Nyons,

    [v] mes très humbles recommandations à vous bonnes graces, priant Dieu vous donner

    tenu et avant la guerre et après me vint de mander

    davantaige encor que j’y veoye tous les jours moins de moyens ; si nen

    voz bons voloir et commandementz, surceoir la demolition diceulx

    entre ordinairement au conseil qui se tient en la salle du roy.

    [(effacé) on] dont vous maviés chargé vous advertir

    Et en consideration des despences soustenues par la guerre, le roy

    pauvretés quil allègua tellement que je feuz prié faire sursoyer jusques à ce quilz

    complices soient chastiés.

    de bons hommes, que sil veult seullement ensuyvre

    par sis années et à moy que par quattre, car on a plus tost moien

    entendre par les lettres de messieurs d’Eveynes et du Chastelard. Je ne vous ferey plus long

    complices soient chastiés.

    Votre très humble et obeissant

    [69 v°] des Adrestz est en ce lieu avec le baron de St Trriviet son

    religion avoyent prins Malossène qui est auprès

    [76 v°] aux impoustures et fauces callomniations de certains qui vous sont mal affectionées, dont jaccuse le

    garnisons en ce pays, il vous pleust en faire les

    ladite ordonnance dudit sieur de Gordes ; de quoy ilz, Bonnard et

    dudit Pasquelet le troysiesme jour de février

    fayre ce qui se pourra pour ledit cappitaine La Varenne, present porteur ; et

    de la cotte de satin cramoysi à fondz dor rayé dargent. Elle

    [98 v°] a cassées ou reduictes et retranchées et quil faict faire là et

    [99 v°] je me remectz à votre prudent et saige advis et pour le regard des [nouvelles de]

    et croiés quelle nest exempte de collère et toute

    [107 v°] quil vous plaira me commander de telle affection que, après

    carces et à monsieur de Cuges, [barré : je le] et à ceulx là de

    de Laborel pour les moys suyvans

    laquelle il vous plaira me renvoier et me

    de ceulx de nostre ville, gens honorables et bien assurés ; et estant montés audit

    monsieur, en parfaicte prosperité, très heureuse et très bonne

    le Createur

    puis peu de jours est decédé. Si lon y faict quelque chose,

    à bonyssiant et comme je prie le Createur vous donner

    leur eglise de garites et fossez, ayantz flanqué

    aysement faire par le moien de Chanussy qui

    trente livres ts. à eulx donné par feu

    De Cremyeulx, ce VIIme febvrier 1574.

    La cardonière

    aux comissères et conterroleurs des guerres ; et ayant veu

    est mené ung peu vifvemant comme jestime que lon fera, il se descouvrira

    Oùt ilz ont lougé et verssé les vins et

    A. de monlitard

    les quatre en deux, je les porrois tenir et faire service dhomme souffisant,

    me suis voulu employer pour vous monstrer le desir

    Talhade à chacung et [barré : lay] en ay envoyé la substance

    [147 v°, tout en bas de la page, à l’envers, mots suivants :]

    soyr par le moyen du cappitaine Bastien [barré : que]. Jevous

    [150 v°] elle sera cause de son martire. Toutesfoys, pour obvier à tel inconvenient,

    Dieu vous donner, monsieur, bonne vye. De Tournon, ce IXe

    monseigneur, vous donner en très bonne santé, longue et

    presenter, vous suppliant, monseigneur, nous avoir en

    Cest [barré : la] coppie de la lettre du cappitaine Ferrier mandée à monsieur de Laborel

    Votre très humble et plus obeissant frère

    mandement du roy au comissère et conterrolleur.

    monseigneur, en parfaicte santé sa très digne grace,

    vous luy feriés ung grand, daultant que jour et nuict, ilz

    de Portes vous fera part des coppies de deus lettres, lune du roy et

    et vous oster ceste facherie, je vous supplie luy

    et vous oster ceste facherie, je vous supplie luy

    du comte de Gayasse quilz se plaignent pour ses mauvais

    que je finançasse aucune chose. Je luy ay fait

    je vous remersie bien humbleman. Je me suys logé, pansan fère bien,

    Votre très humble et aubeyssant servyteur

    la faict lhier et garotter dans ce pacquet pour pourter tesmoinaige de sa

    ai baillés en quarante testons à monsieur de Cabannes, aiant entendeu

    La trefve quilz font que seroient trop longs à vous escripre,

    monsieur, en santé contante vie. De St Germein, ce XII

    ny a guières ; cela est bien loing de laccord don ie vous ay cy devant

    dans une partie de la ville. Si vous trouvés bon, monseigneur, que

    quilz meritoyent, car Glandaiges les ha tuées [barré : de] à coups de poignart pour avoyr eu quelque vent quilz estoyent

    chescun face en ce le debvoir quest requis comme

    [...]

    Monsieur, il n’est pas besoing que preniés tant de peine de nous escrire à chascun une lettre

    serviteur g deportes

    et favoriser comme [barré : a] avés de vous graces faict

    fet expererune bonne fin, atandu a prudomie. Mès anses

    vie. De Grenoble, ce XIII fevrier 1574. Votre très humble

    deniers du sel qui sont provenant de limposition de IX s[ous] sur chacune

    telles prolongations de trefves ne sont, comme vous dites, mieulx observées à ladvenir,

    et de mon honneur ; je vous an suplie usan dautre revanche an quelque

    telle façon quen recepvrez contentement Lesdits ennemys

    de Rousset, nobliant

    arrest pour le faict de la blanque et reglement des salins de

    car sy je suis contraint à le faire, je serey contraint quicter le

    confessé ingenuement la verité de leur despart assembler et suite desdits

    conseiller de recongnoistre leur roy. Cest tout ce que je vous

    qui ses jours passés, lung à lenvy de laultre, envoyèrent à Lyon

    estatz de Daulphiné.

    Hautefort. Je me recommande humblement etc… Du Montelymar, le XXVe fevrier 1574.

    si jen dis librement mon avis car les jans ne doyvent

    Monseigneur, je me recommande très humblement à votre bonne grace et

    De pennes

    fevrier 1574.

    de vivre et le seront encoures plus silz sont contrainctz payer

    et soulaiger le pouvre peuple, et par ce moyen, on les ostera les moyens desquelz ilz ce prevauldront si (rien)

    et desserés en sa presence, luy

    ny trover, ne de quoy les payer ; par quoy,

    oultre ce quil vous playrra me donner pour les pertes passés, quelque

    et nous, Jean Faure notaire et secretère

    de sa charge et legation, estimant que ce sera comme nous disons

    journellement ilz recoipvent de vous

    Vostre très humble très hobeyssant filz et à jamays

    [273 v°]le leurs, mays cest ung mal sci commun que presque tous nen peuvent

    pour cestheure il nen est rien ; mès à toutes fins, nous les avons advertis se

    mon partement. Cependant, lons depeche le sieur

    fevrier.

    quil soit, nous nen vivrons, Dieu aidant, moingues en

    ce soit ung commencement pour luy lever sa charge

    et vous doner

    monseigneur, vous donner en parfaicte saincté longue et

    chevalier de lordre du roy

    sestime plus qui ne doive[n]t. Je vous repondrè de Decombes

    en peyne de scavoir si ledit sieur de Charens arrestera en cour, luy

    auquieul pour votre particulier, avons heu esgard aux

    monsieur, vous doner en santé heureuse et longue vie. De Grenoble,

    trente ; et sil vous plesoyt nous donner quelques

    veulhe à mouderer et changer.

    De Grenoble, ce XXIIIe de fevrier 1574.

    De Grenoble, ce XXIIIe fevrier 1574.

    ennemis, se sont remis avec eulx et quelques aultres de la ville que je avoys

    [310 v° ] de semblable magistration, si bien que la querelle est telement

    je scay que vous

    que nous soit bien proche voisin, cy ne le doutournons

    choses nen avienent par mon default, ains advyenent contre

    Sil vous plaist que je le face ruiner, je le ferai. Je croi,

    Du chasteau.

    et se noume cappitaine Bonet. Il Vostre pour jamays très humble et affetioné

    deau dans leur eglize quilz ont bien fortiffiée, come plus

    Dieu, soubz lobbeissance de sa magesté et vostre.

    très bonne santé, très heureuse et très longue vye. De Lyon,

    vient darriver pour me dire quilz prestendent quelque secours et plus obeyssant

    foyble ; et cyl vous plesoyt nous en accorder ancore

    dant de bien bon cueur à voz bonnes grâces, je prie Dieu vous

    Souvenance de la perte, ruine et de noz grandes maladies que par liniure des inobéissantz,

    Monsieur, en bonne et longue vie en tout prospérité ses dons et

    pourvoyr ; et voyant que la gendarmerie n’i scauroyt vivvre,

    fault sercher qui le fuasse et je ne me puys payer de telle

    Meylon

    grande envye. Sur ce je prie Dieu

    cest effectz, actendu que telz deniers auroient esté

    volunté comme je prie Dieu

    car non seulement jentens quon les desarme, mays

    doù ilz estoinct ʺ [ʺ venus] fort en colère, lapellent Chelme et nont voullu du despuis rien

    donner très bonne et longue vie. de Grenoble, le Ve de jullet 1572.

    tant noz, que les genz dhonneur, de bien et obéisantz ont souffert. car, allent

    grâces. Du Montelhimar, ce Xe julhet 1572.

    quant bien elle seroyt payée tous les cartiers, j’en ey escrit

    monnoye ; au demeurant, il ne me souvient plus de quel

    Monseigneur quil vous doint en toute properité et santé très longue

    fournis par vos commandementz exprès, laquelle raison

    Monseigneur vous donner en parfaicte sancte longue et

    quon mette en seure prison ceulx quon remarquera

    faire pour luy. Ie crois que cest de là don despendra sa plus grande ruine.

    sus noz petis affaires et n’ausent porter espée, je ne diray aultres armes, je

    Vos humbles serviteurs les consulz de

    par deus ou troys foys à sa magesté et à Monseigneur, mays je

    pied je marche à l’endroyt de mes amys, car c’est à ceulx qui

    vie. De Grenoble, ce XXIII aoust 1572

    cessoit quant aux autresfoulles ; et telle raison

    heureuse vie et à moy me maintenir touiours en votre

    pour factieux. Si Le Picard est au bout de son terme,

    L’Anglois ne bouge, ains dict quil veult vivre en bonne amytié. Ie ne vous escriray

    craingz trouver ledit La Roche qui, jà m’aient ainsi menassé, ne me face tort

    Montelhimar et pour iceulx

    n’en ay eu aucune responce par laquelle je doybve contrevenir à ce

    font pleisirs de les oublier et à ceulx qui les recoyvent de

    Vostre très humble et très obeissant serviteur

    vous feust donnée à entendre

    bonne grace à laquelle desire humblement estre

    il pourra estre le septiesme dont fauldra que son

    rien de La Rochelle, m’assurant qu’en avés des nouvelles plus seures que les mienes.

    et iniure. Parquoy, monseigneur, vous supplieray très humblement, comme mesme

    Colas, secretaire

    qui m’est commandé par lesdites patentes. Je vous replique ses patentes

    s’en souvenir ; mays puisque vous m’escrivés que vous avés marché

    à perpetuité

    et trouvée legitime. Tout le surplus pourroit estre

    recommandé. De Veurey ce IIe octobre 1572

    entretien soyt prins [barré : au lieu des six] sus la despence

    Ie crois que le tout ce conduira en bonne paix et union et ie prieray Dieu